- 12 oct. 2017, 11:51
#1258824
Bonjour à tous,
Je me décide enfin à venir vous faire part de mon histoire sur ce forum. La situation est plutôt très difficile à gérer pour moi et avoir des avis extérieurs m'aidera surement.
J'ai rencontré mon ex il y a environ 3 ans et avons emménagés ensemble seulement après un mois de relation. Une vie de couple avec des hauts et des bas, mais j'en retire que du positif (et je ne pense pas être dans l'idéalisation de cette relation).
Malheureusement, au fil du temps, nous nous sommes enfermés dans une vie de "vieux" (il y a de ça un an). Mon nouveau boulot me prenait énormément de temps et à altéré ma santé. De son côté, elle était également très occupée (sport, boulot, etc.). Tous ces paramètres ont fait que je n'étais plus forcément le même: je ne voulais plus sortir (mon aspect physique a changé), j'étais exécrable et irritable (traitement lourd de cortisone, etc.).
Malgré tout cela, elle a toujours été la pour moi et m'a toujours soutenu. Jusqu'au jour où elle a changé de travail. Son environnement a changé, elle est désormais entourée de jeunes cadres dynamiques qui travaillent dur, mais savent faire la fête.
Un déclic à eu lieu lors de son premier séminaire à l'étranger au début de l'été: elle s'y est amusée et a du prendre conscience de la situation dans laquelle nous nous trouvions.
En parallèle, elle avait déjà eu l'occasion de me prévenir: mon comportement ne pouvais pas durer, il fallait que je change. Je n'ai pas changé.
C'est au cours de nos congés d'été que tout s'est accéléré. Elle s'est mise à sortir plus souvent, pour rentrer de plus en plus tard. La situation était intenable pour moi, j'ai donc décidé, comme pour faire un électrochoc que nous ne partirons pas en vacances tant que nous n'aurons pas eu de discussion sérieuse sur notre devenir. J'ai voulu la pousser à bout pour la faire réagir: départ précipité chez mes parents, annonce du souhait de vouloir partir, etc.
A cela s'est ajouté une reprise de contact de son côté avec certaines de ses amies qu'elle avait perdue de vue. Fréquentations qui n'ont clairement pas jouées en ma faveur...
Et nous arrivons enfin au mois d'août de cette année: après avoir passés plusieurs soirées très agréables ensemble, nous prenons notre courage à deux mains pour se poser et discuter. Elle évite le sujet mais répond enfin à mes question lorsque je lui demande si elle souhaite que nous continuons ensemble:la réponse est la suivante => des larmes et le signe non de la tête.
Cet évènement m'a fait me rendre compte de beaucoup de choses. Notamment de la personne horrible que j'étais devenu. J'ai eu beau lui expliquer que je comprenais la situation et qu'elle m'avait ouvert les yeux, elle n'est jamais revenue sur sa décision. Elle m'a trop donné, j'ai été un mec odieux et oppressant pendant des mois (à tord ou à raison: maladie, stress, etc. j'ai laissé ma vie privée de côté). Depuis juin, je suis en rémission et je voyais enfin le bout du tunnel. J'ai ouvert les yeux, mais il est trop tard.
Depuis cette soirée, je pense avoir eu un comportement qui se rapprochait de celui que j'avais lorsque nous nous sommes rencontrés. Beaucoup de choses se sont passés depuis, un statu quo au départ où nous faisions comme si de rien était et depuis quelques semaines la fin se précipite notamment par ma faute: je ne pouvais plus supporter de dormir dans le même lit, de s'attendre pour diner, de partager la salle de bain, etc. J'ai donc pris les devant!
Elle a enfin fait le nécessaire pour que nous rendions l'appartement et nous sommes chacun en recherche d'un nouveau logement pour novembre.
Je pourrais écrire un roman, et c'est plutôt difficile de faire la synthèse de toute cette histoire. L'être humain est ainsi fait, qu'il se rend compte trop tard de ce qu'il a perdu. Je pense, en toute sincérité qu'elle est la femme de ma vie. Elle m'a aimé plus que tout et nous étions en passe d'acheter une maison avant cet été.
Je suis totalement perdu... elle me manque.
Pensez-vous que je suis un utopiste en pensant pourvoir la retrouver un jour?
Je me décide enfin à venir vous faire part de mon histoire sur ce forum. La situation est plutôt très difficile à gérer pour moi et avoir des avis extérieurs m'aidera surement.
J'ai rencontré mon ex il y a environ 3 ans et avons emménagés ensemble seulement après un mois de relation. Une vie de couple avec des hauts et des bas, mais j'en retire que du positif (et je ne pense pas être dans l'idéalisation de cette relation).
Malheureusement, au fil du temps, nous nous sommes enfermés dans une vie de "vieux" (il y a de ça un an). Mon nouveau boulot me prenait énormément de temps et à altéré ma santé. De son côté, elle était également très occupée (sport, boulot, etc.). Tous ces paramètres ont fait que je n'étais plus forcément le même: je ne voulais plus sortir (mon aspect physique a changé), j'étais exécrable et irritable (traitement lourd de cortisone, etc.).
Malgré tout cela, elle a toujours été la pour moi et m'a toujours soutenu. Jusqu'au jour où elle a changé de travail. Son environnement a changé, elle est désormais entourée de jeunes cadres dynamiques qui travaillent dur, mais savent faire la fête.
Un déclic à eu lieu lors de son premier séminaire à l'étranger au début de l'été: elle s'y est amusée et a du prendre conscience de la situation dans laquelle nous nous trouvions.
En parallèle, elle avait déjà eu l'occasion de me prévenir: mon comportement ne pouvais pas durer, il fallait que je change. Je n'ai pas changé.
C'est au cours de nos congés d'été que tout s'est accéléré. Elle s'est mise à sortir plus souvent, pour rentrer de plus en plus tard. La situation était intenable pour moi, j'ai donc décidé, comme pour faire un électrochoc que nous ne partirons pas en vacances tant que nous n'aurons pas eu de discussion sérieuse sur notre devenir. J'ai voulu la pousser à bout pour la faire réagir: départ précipité chez mes parents, annonce du souhait de vouloir partir, etc.
A cela s'est ajouté une reprise de contact de son côté avec certaines de ses amies qu'elle avait perdue de vue. Fréquentations qui n'ont clairement pas jouées en ma faveur...
Et nous arrivons enfin au mois d'août de cette année: après avoir passés plusieurs soirées très agréables ensemble, nous prenons notre courage à deux mains pour se poser et discuter. Elle évite le sujet mais répond enfin à mes question lorsque je lui demande si elle souhaite que nous continuons ensemble:la réponse est la suivante => des larmes et le signe non de la tête.
Cet évènement m'a fait me rendre compte de beaucoup de choses. Notamment de la personne horrible que j'étais devenu. J'ai eu beau lui expliquer que je comprenais la situation et qu'elle m'avait ouvert les yeux, elle n'est jamais revenue sur sa décision. Elle m'a trop donné, j'ai été un mec odieux et oppressant pendant des mois (à tord ou à raison: maladie, stress, etc. j'ai laissé ma vie privée de côté). Depuis juin, je suis en rémission et je voyais enfin le bout du tunnel. J'ai ouvert les yeux, mais il est trop tard.
Depuis cette soirée, je pense avoir eu un comportement qui se rapprochait de celui que j'avais lorsque nous nous sommes rencontrés. Beaucoup de choses se sont passés depuis, un statu quo au départ où nous faisions comme si de rien était et depuis quelques semaines la fin se précipite notamment par ma faute: je ne pouvais plus supporter de dormir dans le même lit, de s'attendre pour diner, de partager la salle de bain, etc. J'ai donc pris les devant!
Elle a enfin fait le nécessaire pour que nous rendions l'appartement et nous sommes chacun en recherche d'un nouveau logement pour novembre.
Je pourrais écrire un roman, et c'est plutôt difficile de faire la synthèse de toute cette histoire. L'être humain est ainsi fait, qu'il se rend compte trop tard de ce qu'il a perdu. Je pense, en toute sincérité qu'elle est la femme de ma vie. Elle m'a aimé plus que tout et nous étions en passe d'acheter une maison avant cet été.
Je suis totalement perdu... elle me manque.
Pensez-vous que je suis un utopiste en pensant pourvoir la retrouver un jour?
...
. Mais il faut que tu asctes dès à présent que cette relation-ci est morte définitivement.
