- 21 sept. 2016, 14:09
#1193093
Bonjour à tous, n'étant pas un grand habitué des forums et ne souhaitant pas m'épancher, je vais essayer de faire bref et d'occulter de longs passages d'une histoire riche en rebondissements.
Cela fait maintenant un an et demi que je suis séparé de mon ex, après 1 an et demi de relation en commun.
Nous avions à cette époque respectivement 23 ans (pour moi) et 19 (pour elle).
Je l'ai toujours aimé, même quand je me suis persuadé du reste, même quand elle agissait mal, même quand moi j'agissais mal.
Bref, de fil en aiguille notre relation a périclité (désaccords, possessivité de ma part, difficultés à accepter ses ambitions), et sur un coup de tête je l'ai plaqué puis ai entamé un SR d'une quinzaine de jours. Chose que je n'aurai jamais du faire car elle est partie se réfugier dans des épaules qui lui ont semblé plus chaudes. (Je ne sais à l'heure actuelle pas ou en est cette relation, je n'ai jamais souhaité le savoir)
Cela va donc faire un an et demi que je suis sans nouvelles, et c'est un tiraillement quotidien, surtout avant le coucher et au réveil (quand notre subconscient a bien eu le temps de nous triturer le cerveau)...
Je ne l'ai jamais recontacté par peur : peur qu'elle me dise un grand "Non", peur qu'elle souhaite qu'on soit "amis", peur qu'elle soit amoureuse de son nouveau Jules plus qu'elle ne l'a été de moi, d'être méprisé même.
Je ne suis pas bien courageux je crois.
Hier j'ai passé un cap, en envoyant une lettre, écrite avant le coucher après avoir fixé le plafond pendant une bonne heure. Simple, factuelle, avec quelques excuses voilées et des remerciements pour le bonheur qu'elle m'a apporté. Une légère note mielleuse à la fin, mais sans tomber dans le mélodramatique gerbant ou la supplication. Chaque mot a été pesé.
Je ne sais même pas pourquoi je poste ici, peut-être un besoin d'être rassuré, ou au contraire de réussir enfin (car il serait temps) à retomber sur Terre.
J'ai eu de nombreuses liaisons en cette année et demie, n'ayant aucun mal à séduire, mais AUCUNE n'a représenté la moitié du quart de l'intensité et de l'amour que j'ai porté à cette personne, et que je lui porte toujours (et je crois bien, à jamais).
Donc on apprend à vivre sans, quand le temps passe les plaies s'estompent mais on oublie pas, on vit avec.
D'après vous, un an et demi d'absentéisme dans sa vie a t'il détruit toute chance de reconquête ? Est-ce au contraire une bonne idée d'avoir envoyé ce courrier ? (postal je précise)
En tout cas, cela m'a servi d'exutoire même si je pense tous les jours, à un moment ou à un autre, à son visage me souriant.
Cela fait maintenant un an et demi que je suis séparé de mon ex, après 1 an et demi de relation en commun.
Nous avions à cette époque respectivement 23 ans (pour moi) et 19 (pour elle).
Je l'ai toujours aimé, même quand je me suis persuadé du reste, même quand elle agissait mal, même quand moi j'agissais mal.
Bref, de fil en aiguille notre relation a périclité (désaccords, possessivité de ma part, difficultés à accepter ses ambitions), et sur un coup de tête je l'ai plaqué puis ai entamé un SR d'une quinzaine de jours. Chose que je n'aurai jamais du faire car elle est partie se réfugier dans des épaules qui lui ont semblé plus chaudes. (Je ne sais à l'heure actuelle pas ou en est cette relation, je n'ai jamais souhaité le savoir)
Cela va donc faire un an et demi que je suis sans nouvelles, et c'est un tiraillement quotidien, surtout avant le coucher et au réveil (quand notre subconscient a bien eu le temps de nous triturer le cerveau)...
Je ne l'ai jamais recontacté par peur : peur qu'elle me dise un grand "Non", peur qu'elle souhaite qu'on soit "amis", peur qu'elle soit amoureuse de son nouveau Jules plus qu'elle ne l'a été de moi, d'être méprisé même.
Je ne suis pas bien courageux je crois.
Hier j'ai passé un cap, en envoyant une lettre, écrite avant le coucher après avoir fixé le plafond pendant une bonne heure. Simple, factuelle, avec quelques excuses voilées et des remerciements pour le bonheur qu'elle m'a apporté. Une légère note mielleuse à la fin, mais sans tomber dans le mélodramatique gerbant ou la supplication. Chaque mot a été pesé.
Je ne sais même pas pourquoi je poste ici, peut-être un besoin d'être rassuré, ou au contraire de réussir enfin (car il serait temps) à retomber sur Terre.
J'ai eu de nombreuses liaisons en cette année et demie, n'ayant aucun mal à séduire, mais AUCUNE n'a représenté la moitié du quart de l'intensité et de l'amour que j'ai porté à cette personne, et que je lui porte toujours (et je crois bien, à jamais).
Donc on apprend à vivre sans, quand le temps passe les plaies s'estompent mais on oublie pas, on vit avec.
D'après vous, un an et demi d'absentéisme dans sa vie a t'il détruit toute chance de reconquête ? Est-ce au contraire une bonne idée d'avoir envoyé ce courrier ? (postal je précise)
En tout cas, cela m'a servi d'exutoire même si je pense tous les jours, à un moment ou à un autre, à son visage me souriant.