
ça fait du bien de se lacher aussi !
Quand je me pose des questions (comment il a pu passer à autre chose aussi vite) ben, je trouve des tas de raisons différentes, je m'embrouille l'esprit avec ces pensées et malheureusement elles sont toutes aussi écoeurantes les unes que les autres, au point où je fini par m'énerver en me disant qu'il ne m'a jamais aimé
voilà, et donc que je peux très bien recommencer et commencer tout ce que j'ai toujours voulu faire avec un autre qui sera à la hauteur de mes attentes.
La chute a été brutale pour moi, et encore aujourd'hui, il suffit que j'apprenne un truc sur lui et sa next pour que je sombre... mais pas pour longtemps. Je transforme cette tristesse qu'il ne mérite pas, elle devient de la colère et je me mets à faire des trucs spontanément sans regrets, sans hésiter une seconde de plus, sans marche-arrière (dernièrement, c'était effacer son numéro).
Je sais ce que j'ai perdu, un sale con qui se prétend indépendant, qui m'a souvent dit (par moquerie) que j'étais faible.
Depuis ma tendre enfance, je sais que je suis fragile, je me laisse facilement submerger par les émotions. Alors quand il me l'a dit, je me suis laissée écraser, persuadée qu'il avait raison, après tout j'étais incapable de vivre sans lui alors que lui, me montrait sans cesse qu'il pouvait se passer de moi (il me l'avait dit) mais apparemment, pas de ses potes. Je pleurais souvent, à cause de lui, et c'était mes amis qui me ramassaient à la petite cuillère, qui me réconfortait quand il ignorait mes larmes.
Pourtant je suis encore là. Je souris, je rigole avec vous, avec d'autres, ce que j'apprends au lycée me passionne (enfin certains trucs

) , j'ai fait des tas de rencontres depuis qu'il m'a laissée, et tout ceux qui me parle remarque en peu de temps toutes mes qualités, qu'il a oublié.
Moi j'ai tenu la distance contrairement à lui. Je ne saute pas dans les bras du premier venu, mes sentiments sont sincères. J'ai le courage d'affronter mes proches quand je dois dire des vérités, parce que je sais que je suis honnete et que je n'ai rien à me reprocher.
Lui ? C'est moi qui ait du le forcer à me parler, sinon il m'aurait larguée sans aucune explications. Meme si je l'aimais à en crever, la rupture ne m'a pas détruite, j'en suis à 2 mois de SR pur depuis la rupture, alors que j'étais incapable de me passer de lui.
Alors qui est le faible dans l'histoire ?
Qu'il ose me dire maintenant que je suis faible, je l'attends avec ma casserole
