Une autre forme de Happy end...
#162222
Je te suis !

Enfin... je suis le mouvement, pour aller sous la couette, tu m'avais comprise :oops:

Bonne nuit, fais attention à ton dos, cette nuit : évite les mouvements brusques, les lacets lointains et les éviers perfides... :roll:

Bisous à toi, Médio, et à tous ceux qui sont encore là (même si je crois qu'on n'est plus que deux, même la grenouille a disparu...).
#162234
10 pages en 24hhhhhhhhhhhhhhhhhhh

c'est abusé !!!lolololol, zavé ke ça a faire ou koi??? :lol:
ou vous voulez ke je porte des lunettes ???

bon juste un passage eclair , je suis creved , pour dire ke attention j'ai fait du "free style" hier soir et putain ça payyyyyyyyyyyyye lololololol

( Compte Rendu dem a l'aube), bonne nuitée , et bonne bourre ;)
#162657
Salut tout le monde !
Vous vous êtes bien amusés hier soir !!! :shock:

Contente (je pense) de dire que je me sens de + en + concernée par les postes "je ne veux plus récupérer mon ex" et moi intéressée par "reconquête/je veux récupérer mon ex"
#165526
Tsssss, on vous a déjà dit et répété de lâcher l'interprétation, les n'enfants....

Rien de neuf si ce n'est que presque tous les hommes qui ont croisé ma route au cours de ces derniers mois sont *in love*... avec d'autres.

Pendant que moi je me complais dans un mode Grotte ascendant Rocher-près-des-chutes-d'eau.

D'où ces paroles de James - traduction:

Où est l'amour
Où est l'amour
Où est l'amour
Dont tout le monde parle
Où est l'amour
Où est l'amour
Dont tout le monde rêve


Viens te coucher
Viens te coucher
Viens te coucher
Je ne peux pas dormir dans cette touffeur
Viens te coucher
Viens te coucher
Cette terreur est entièrement dans ma tête


Ne sois pas leurré, aucune terre en vue
Nous sommes tous à la dérive dans cette nuit noire
Nous flottons sur des mers d'incrédulité
En chantant des chants soulageant la souffrance


Agite mon corps - Libère mon âme
Punis mes sens - Perds le contrôle
Ce corps est jeune mais mon esprit est vieux
Disperse mes cendres et laisse filer ces sentiments

Love love love love love(ad nauseam)



Mais bon, qu'à défaut d'amour nous ayons le vin... Trinquons donc à ces largués qui ce soir ne dormiront pas seuls, rassasiés de tendresse et des lueurs d'un jour nouveau. Et ne soyons pas mesquins au point d'y comparer notre propre misère affective (putain, parfois c'est dur d'être humain sans réveiller des tendances misanthrope; femme sans goûter à des dérives misandres).

Mmmh, oui, appelons ceci un vilain coup de down. Et disons aussi que je n'accepterai rien de moins à l'avenir que ce que j'explicite en mode *luv will be back...*, je mets la barre haut, ça m'épargnera les boulets et autres plombés (qui ne rebondissent pas :mrgreen: )

Bref, cheeeers, dears!! :D


Aller hop on se penche dans les virages.
#165721
Bon, c’était soit l’un soit l’autre :?
Je crois qu’on espérait tous que c’était l’autre. Ben oui, on en a marre de voir des gens pas heureux, alors on voudrait bien voir des gens heureux, et puis, plus égoïstement, voir un(e) JRMien(ne) basculer du côté pas obscure de la force, ça a une petite valeur prédictive légèrement euphorisante qui ne se refuserait pas.
Transition subtile, ce qui nous marque, ce que l’on trie dans ce qu’on voit de la réalité, a la fâcheuse tendance à nous ramener à nous-même si on ne fait pas attention. Plutôt que misanthropie, j’ai l’impression que tu vois surtout des personnes qui se portent de l’affection, le reste n’est qu’un symptôme de privation non et de trop plein à libérer non ?
Moi j’ai tendance à voir des fous dans les transports en communs ces derniers jours (véridique). Faut que j’aille consulter non ?
:lol:
#165737
bon ok j'arrive comme un cheveu sur la soupe ....
mais certaines phrases "m'interpellent" comme qui dirait
Puppis a écrit :Tsssss, on vous a déjà dit et répété de lâcher l'interprétation, les n'enfants....

Rien de neuf si ce n'est que presque tous les hommes qui ont croisé ma route au cours de ces derniers mois sont *in love*... avec d'autres.

Pendant que moi je me complais dans un mode Grotte ascendant Rocher-près-des-chutes-d'eau.
juste une idée comme ça... qui parle aussi de ma propre expérience .... qui est longue :mrgreen: vu mon âge canonique

quand on ne rencontre personne d'open, c'est en général qu'on ne l'est pas soi même, ce que tu sembles confirmer en expliquant que tel le philosophe platonicien tu te planques dans ta caverne, bien contente qu'on te fiche la paix...

Autre question -à laquelle tu n'es nullement obligée de répondre....- que se passerait il si tu rencontrais enfin un homme open? ne crois tu pas que tu fuirais puisque tu sembles satisfaite de la caverne....

et pour filer la métaphore jusqu'au bout... un jour le philosophe sort de la caverne ... et le monde lui paraît bien moins réel que les images en ombres chinoises vues du fond de la caverne...

la question est peut on se complaire dans la caverne sans se colleter à la réalité?
Puppis a écrit : je mets la barre haut, ça m'épargnera les boulets et autres plombés (qui ne rebondissent pas :mrgreen: )
ah la jeunesse... tu as bien raison de mettre la barre haut, même très haut... faut juste faire attention que telle la reine des abeilles les bourdons ne claquent pas en route....
Modifié en dernier par Albane le 03 nov. 2009, 13:13, modifié 2 fois.
#165738
Ma chère Puppis, tu n'a pas plutôt envie de chausser tes hauts talons et venir en safari avec moi dans la brousse ???
Tenues sexy de rigueur :ugeek: :idea:


Je veux faire des calins aux petits lions et à mes mygales chéries moi :D :D :D :idea:


En mode "Indiana Praline et la reconquête de l'ex perdu" :mrgreen: :mrgreen: :idea: tadaaaaaaaaaaaaaaaaam
#165743
Puppis, je te comprends, et en plus tu racontes bien, comme toujours...
Tu trouveras tu trouveras tu trouveras le chemin hors de la caverne...
Je viens d'apprendre que l'homme que j'aime depuis 7 mois et qui brise mon coeur a rencontré quelqu'un... Je me sens comme condamnée à être moi-même, à rassembler mes pauvres force inébranlables et tremblantes... Je hais Paris en octobre.
Hauts les coeurs, dis-je à voix-basse et les yeux baissés...
On a toujours l'impression que les autres y arriveront, quoi qu'il arrive, non?
ALORS J'OSE : ON AURA DE L'AMOUR A DISTRIBUER ET PARTAGER, SUR, VITE, TOUS ET TOUTES! L'amour est contagieux.
#165970
ma chère puppis!
soit dit en passant et sans vouloir ramener ma science, je pense qu'en reine des abeilles tu n'es pas loin d'être la meilleure puisque tes bourdons ne meurent pas tous les uns après les autres mais se relèvent avec toi encore plus heureux qu'avant de te connaitre!
de plus et je parle en connaissance de cause, la caverne qui devient ta protection te permet de prendre du recul face à tous les abrutis néo branchés influencés par la culture macho féministe. et tu sais quoi? je trouve ça très bien!
take care, tu as tout pour aller mieux, poursuis ta route!

au plaisir albane!
#166001
Pfiouuuu, en effet, Mimti, ça philosophe sec sur mon fil, aujourd'hui!

@Zaphod, hummmmm :lol: Nan nan t'inquiète!
Bah, tu sais, je suis pas pressée. Je reste persuadée qu'être heureuse seule est un préalable indispensable à être heureuse en couple. Alors inutile de précipiter les choses, le + euphorisant est déjà dans le fait de réaliser qu'on n'a pas besoin de quelqu'un pour être complet.
Ensuite, c'est simplement que plusieurs renversements de situations se sont télescopés et que sur le coup ça m'a fait un mélange d'émotions...étranges pour le moins. Aller, rapide mise à jour Netnovelesque:

- ex-DDM est luvluvluv et même si j'en suis très heureuse pour lui, j'ai un pincement au cœur. Et par un pur hasard, cela coïncide avec mon rapprochement inattendu d'avec d'autres de la bande...

- mon Pote-De-Galère - et ex-soutien indéfectible au cours de ces derniers mois - est lui aussi repassé du côté "jeunes amoureux"

Bref, tu as sûrement raison, Zaph', c'est sans doute rien de plus que l'expression de contradictions enfouies.

Oh et ne consulte pas, je me rappelle avoir lu une étude très sérieuse corrélant transports en commun et bouffées délirantes. Sisi, véridique, je te jure!
:idea:

@Albane, 1, tu es la bienvenue, et 2, oh la la! :shock: Que de réflexions! Mais oui, je vois très bien où tu veux en venir....
Albane a écrit : quand on ne rencontre personne d'open, c'est en général qu'on ne l'est pas soi même, ce que tu sembles confirmer en expliquant que tel le philosophe platonicien tu te planques dans ta caverne, bien contente qu'on te fiche la paix...
Mmmh, il y a là deux points très différents. D'abord, je ne cherche pas à rencontrer quelqu'un, je mise sur l'optique serendipity. Ensuite, oui, caverne parce qu'en ce moment c'est ce dont j'ai besoin. Mais c'est un courte phase, histoire de quelques jours et en aucun cas un état qui dure. D'ailleurs tout ceux qui suivent ce fil savent querien ne m'abat et que je reste une indécrottable optimiste!

Si je rencontre quelqu'un? Je ne prévois simplement rien... :D Qui vivra verra, c'est tellement mieux ainsi!

Quant à mettre la barre haut, rien à voir avec une quelconque jeunesse ou immaturité, au contraire! Je trouve plutôt sain de savoir enfin ce que je veux et de refuser de brader mes valeurs comme mes désirs... :ugeek: 8-)

@Praline.... :twisted: Bon ben pourquoi pas? J'irai bien voir ailleurs si j'y suis, Indiana Puppis n'a pas peur des gros matous ni des mignonnes n'araignées... Et les stilettos, je gèèèèère!

@Petitsyeux, je sais à quel point c'est dur. Mais aussi libérateur! Cela signifie que de 1 tu est libre à présent de faire des choix en fonction de toi seule et de 2 que tu as beaucoup à donner et à recevoir. Et oui l'amour est contagieux, tes espoirs aussi et me donnent le sourire: on est les NEXT!!! :mrgreen: ;)

@Mimti, toujours le mot juste, rien à ajouter! :D ;)
mimti a écrit :Mais avant tout je pense qu'il faut se reconstruire pour pouvoir construire une nouvelle relation.Les relations pansements, c'est autre chose ...
@Fig', ouaaaah, bah merci :oops: :oops: :D
Toujours là pour le soutien version 200%, j'en suis toute émue! Bizzzzzzzzzzzz ma belle!!

@Coco bah bizzzzzzzzzzzzzzzzzzz aussi ma belle aussi et oui, on trie on range on jette et on se fait un nid tout douillet!!!

Aller, on vise UP, confiance, patience et - héhé - fatalisation. Oh, et Champ' bien entendu! :mrgreen:
#167517
analyser et comprendre ce qui en nous est la cause de l'échec, en quoi nous sommes à la base de notre propre incapacité de vivre une histoire sereine, quels sont nos cadavres dans les placards .... fait non seulement guérir, mais évite les récidives...

@Puppis

au fait en parlant de jeunesse, je ne visais pas une quelconque immaturité - que je me garderai bien d'estimer, ne te connaissant pas- même si je sous marine pas mal sur ton post depuis quelques temps... non il s'agissait plutôt du sentiment que tu étais entrain de confondre exigence pour soi, et exigence envers les autres....

Je crois que la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est celle vis à vis de soi même, vis à vis des autres ma foi, seuls le respect et la tolérance sont encore le meilleur moyen de les fréquenter...une fois sortie de la caverne s'entend... ;)


bonne journée à tous
#168099
Franck92 a écrit :Alors ici c'est donc le topic de ceux qui ont décidé de ne pas se laisser abattre et de prendre un nouveau départ?
Oui, Franck, entre autres posts... Ici aussi qu'on y mêle champagne, bières, musique, délires et réflexions philosophiques. Qu'on va de l'avant quoi qu'il arrive, au fond! Sans pour autant oublier ce par quoi nous sommes passé.
Franck92 a écrit :Espérer fait mal, ne plus rien espérer fait guérir plus vite.
Ce n'est pas une question d'espoir, mais - on le répète souvent et pourtant pas suffisamment- de lâcher-prise. Accepter la rupture, accepter ce qui est et non ce qu'on voudrait qui soit. L'espoir (de s'en sortir, de redevenir heureux) est essentiel mais il ne faut pas le confondre avec le déni. Et apprendre aussi à laisser son libre arbitre à l'autre...

Je rejoins Albane sur le reste, l'indispensable travail d'introspection à faire lors de la rupture.

Albane, je vais tenter de te répondre le plus sincèrement possible.
Albane a écrit :il s'agissait plutôt du sentiment que tu étais entrain de confondre exigence pour soi, et exigence envers les autres...
En effet, c'est un point sur lequel je médite pas mal ces derniers temps. Et non, en fait je ne crois pas que je les confonde, en réalité, je ne les confonds plus. Longtemps je crois, j'ai attendu des autres ce que j'étais incapable de faire pour moi. Par là je parle de domaines de l'égo, de l'amour propre, de l'autonomie. J'exigeais des autres ce que j'étais incapable d'exiger de moi (et c'est incroyable le nombre de gens tout prêts à satisfaire ceci, je crois que tout arrivant sur JRME est à un degré ou à un autre impliqué dans ce schéma).

Ensuite, et ça a été tout le boulot abattu dans les 2 premiers tiers de 2009, j'ai durement appris l'in-dépendance. Et même, l'a-dépendance... A découvrir puis à tant en devenir ma propre aune que j'ai purement et simplement cessé d'attendre quoi que ce soit... Et ne parlons même pas d'exiger. Ce qui m'a sans doute joué quelques mauvais tours, mais passons.

Troisième trimestre (que j'entame depuis deux mois or so), concilier les diverses légitimes exigences. Effectivement. Cette troublante inversion des rôles (tiens, me revient en tête une chanson à ce sujet: http://www.youtube.com/watch?v=Yqw043C2Usc ) qui est pourtant non seulement valable mais parfaitement fondée. Parce qu'à ne rien demander, il ne faut pas s'étonner de ne rien obtenir. Encore faut-il savoir à ce stade faire suffisamment preuve de subtilité pour faire la part des choses. Est-ce mon cas? Je n'ai pas cette prétention, mais je me reconnais l'effort de m'y essayer.
Albane a écrit :Je crois que la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est celle vis à vis de soi même, vis à vis des autres ma foi, seuls le respect et la tolérance sont encore le meilleur moyen de les fréquenter...une fois sortie de la caverne s'entend... ;)
Héhé... :mrgreen: Et bien je ne vais finalement pas abonder pleinement dans ton sens... Oui la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est envers soi, mais cela dispense-t-il de placer des frontières? Naaan, je ne crois pas. Je crois qu'il est absolument essentiel de faire primer des valeurs et de véritables principes de vie, avant même ce qu'on nomme généralement respect et tolérance et qui ne sont souvent que les pseudo-pudiques voiles qui cache nos lâchetés...

Je suis sortie de ma caverne, nul doute à avoir là-dessus.

J'ajoute, Albane, que je ne fréquente pas les gens, ceci est bon pour les tièdes et les peureux. Je les rencontre, me confronte, me livre, me dévoile et me dénude, mais quoi que je fasse je le vis entièrement. C'est ce qui me fait être sincère, et c'est sans doute ce qui fait que tant de ces gens ici et ailleurs m'apprécient (ou me détestent :twisted: ) à ma juste valeur?

Merci de ton message, qui a eu sur moi l'effet d'une secousse bienvenue afin que je me retrouve pleinement. :D :mrgreen:


Oh et puisque j'y suis, j'en profite pour faire passer un clin d'œil qui (ne) démérite (pas?) sa place ici... http://www.youtube.com/watch?v=UlyOLwfwjiQ&feature=fvw

;)
#168345
Puppis a écrit : J'exigeais des autres ce que j'étais incapable d'exiger de moi (et c'est incroyable le nombre de gens tout prêts à satisfaire ceci, je crois que tout arrivant sur JRME est à un degré ou à un autre impliqué dans ce schéma).
C'est possible que tout jrmiste débutant en soit là... pour ma part je diagnostique surtout chez nous tous en arrivant une dépendance affective... plus ou moins sévère...
De là à dire que nous exigions de l'autre ce que nous étions incapables non pas d'exiger de nous -parce qu'exiger c'est facile- :twisted:mais de nous offrir... peut être...

Il peut y avoir d'autre cause, je crois qui explique notre échouage et notre échec aussi...
Puppis a écrit :
Albane a écrit :Je crois que la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est celle vis à vis de soi même, vis à vis des autres ma foi, seuls le respect et la tolérance sont encore le meilleur moyen de les fréquenter...une fois sortie de la caverne s'entend... ;)
Héhé... :mrgreen: Et bien je ne vais finalement pas abonder pleinement dans ton sens... Oui la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est envers soi, mais cela dispense-t-il de placer des frontières? Naaan, je ne crois pas.
non cela n'empêche pas de placer des frontières.... mais tes frontières sont elles un espace schengen ? ou le mur de berlin?
de ma propre expérience... mais ce n'est que la mienne... il n'est jamais bon d'avoir des frontières trop gardées, c'est souvent le signe que le régime en place est bien vacillant...
Puppis a écrit :Je crois qu'il est absolument essentiel de faire primer des valeurs et de véritables principes de vie, avant même ce qu'on nomme généralement respect et tolérance et qui ne sont souvent que les pseudo-pudiques voiles qui cache nos lâchetés...
certes avoir des valeurs, et des principes qui gouvernent sa vie...c'est essentiel... mais dans le respect (encore ! :o ) de ceux des autres... je sais c'est le propre des tartuffes des tièdes et des mous...
Mais à défaut on est au mieux dans la dictature de la pensée, au pire dans l'autisme intellectuel...d'ailleurs tu n'es rien de tout cela... tes posts le prouvent...

Puppis a écrit :J'ajoute, Albane, que je ne fréquente pas les gens, ceci est bon pour les tièdes et les peureux. Je les rencontre, me confronte, me livre, me dévoile et me dénude, mais quoi que je fasse je le vis entièrement. C'est ce qui me fait être sincère, et c'est sans doute ce qui fait que tant de ces gens ici et ailleurs m'apprécient (ou me détestent :twisted: ) à ma juste valeur?
Sais tu que je souris en te lisant parce que tu me rappelles celle que je fut....la vie s'est chargée de m'apprendre la douceur, le respect et la tolérance...(mais j'en encore du taf... si j'en crois mes réactions) ce qui ne signifie pas de dire que tous le monde à raison et de vouloir complaire à tous... non...

mais dire on m'aime comme je suis, on me prend comme cela...ou pas c'est un discours très curieux...à -ce que j'estime être -ton âge... un peu comme si t'autorisais enfin à extérioriser une révolte que tu n'aurais pas vécue...
Nos parcours sont en sens contraire en fait... de là à se dire que la voie médiane serait celle de la sagesse... :lol: :lol: :lol:
Oh pardon c'est vrai c'est un moyen de voiler ses lâchetés

En fait tu me fais penser à Cyrano ...
réfléchis bien au prix de la liberté... un jour peut être te paraîtra - t-il excessif
Puppis a écrit :Merci de ton message, qui a eu sur moi l'effet d'une secousse bienvenue afin que je me retrouve pleinement. :D :mrgreen:
mes questions n'ont pas d'autre but...
c'est l'avantage du forum..;
rien de personnel par définition...
prends soin de toi!
Modifié en dernier par Albane le 10 nov. 2009, 19:08, modifié 1 fois.
#168407
Vos discussions sont d'un niveau intellectuel décoiffant. Je vous avoues que je n'arrive pas à tout suivre, pourtant je ne pense pas être bête ...

1 commentaire tout de même:
On est tous dépendant affectif à des niveaux différents, c'est humain ! L'homme est un animal fait pour vivre en société (dixit je ne sais plus quel philosophe). Le contraire, çàd de n'avoir "besoin" de personne, n'est donc pas naturel.

ET !
Ne soyons pas trop dur avec nous mêmes, nos exs s'en sont déjà bien chargés :mrgreen:
#168462
en général quand on ne comprend pas c'est que cela a été mal expliqué....

Alors, si vous voulez je peux reprendre mes explications et mon exposé en deux ou trois parties auchoix selon les formations.... :lol: :lol: :lol:
c'est selon je m'adapte!

bon bon j'ai compris vous n'en voulez pas... ok je :arrow:

@mimti voui le philosophe a bien dit que l'homme était un animal social, et il rajoutait même raisonnable... ce dont nous faisons tous magistralement la démonstration sur ce site :lol:

cela dit un autre philosophe a dit que l'homme est un loup pour l'homme....

allez les enfants petit sujet de philo pour le week end...

"l'homme est un loup pour l'homme" "l'homme est un animal social et raisonnable" laquelle de ces deux affirmations vous semble la plus proche de votre relation avant échouage sur JRME :lol: et " pataugeage" dans, le champ de navets...
bon ok je :arrow:
Modifié en dernier par Albane le 10 nov. 2009, 20:41, modifié 1 fois.
#168469
encore qui n'arrive pas à suivre
:lol: :lol: :lol: :lol:


Albane: je pense que "raisonnable" ne peut pas s'appliquer à l'amour !!!!!!!! :mrgreen:
Donc je pense que je ne me trompe pas en répondant pour tout le monde :
=> "L'homme est un loup pour l'homme" doit le mieux décrire nos relations avec nos exs avant échouage sur JRME ...
#168501
Albane a écrit : "l'homme est un loup pour l'homme" "l'homme est un animal social et raisonnable" laquelle de ces deux affirmations vous semble la plus proche de votre relation avant échouage sur JRME :lol: et " pataugeage" dans, le champ de navets...
bon ok je :arrow:
Avec honte, j'avoue ne pas avoir pris connaissance des ouvrages dans lesquels sont développées ces 2 hypothèses. N'ayant donc pas les éléments pour répondre, j'ai toujours soigneusement éviter de m'engager dans des relations amoureuses avec d'autres hommes :lol: :lol:
C'est sans doute une attitude raisonnable non? :lol:
Cela dit, l'évènement qui m'a conduit ici pourrait m'inciter à réfléchir à la question. Hummm... je ne me sens pas l'âme d'un loup, crois que je vais continuer me montrer raisonnable :mrgreen:

Par contre, il y en a un autre qui a écrit que la femme était l'avenir de l'homme. Je crois avoir une explication "pour" et une "contre" et toutes les 2 sont fausses. Et vous? ;)
#168548
ras le bol des batailles hommes/femmes ... On a tous des petits coeurs fragiles .... et y a des c... dans les 2 sexes ! Y a qu'à voir ici sur JRME
Alors la femme l'avenir de l'homme ou l'homme l'avenir de la femme ... Toute façon l'un sans l'autre y a plus d'Humanité !
#168568
puppis a écrit :Ce n'est pas une question d'espoir, mais - on le répète souvent et pourtant pas suffisamment- de lâcher-prise. Accepter la rupture, accepter ce qui est et non ce qu'on voudrait qui soit. L'espoir (de s'en sortir, de redevenir heureux) est essentiel mais il ne faut pas le confondre avec le déni. Et apprendre aussi à laisser son libre arbitre à l'autre...
Oui c'est bien dit. Mais pour lacher prise, j'ai besoin de perdre tout espoir qu'elle revienne pour ensuite entamer ma propre reconstruction. Aucun déni, aucune négation de la relation passée. Elle se fige dans le temps et on repart sur du nouveau :)

Pour ma part se travail est déjà fait et ça va bien. Je ne lui en veux en rien. Mes coups de blues proviennent simplement du manque et des habitudes. On ne se sèvre pas de 5 ans comme ça.

Bye ;)
#168573
Albane a écrit : allez les enfants petit sujet de philo pour le week end...

"l'homme est un loup pour l'homme" "l'homme est un animal social et raisonnable" laquelle de ces deux affirmations vous semble la plus proche de votre relation avant échouage sur JRME :lol: et " pataugeage" dans, le champ de navets...
bon ok je :arrow:

t'as oublié : VOUS AVEZ 4H !!!! :lol: :lol: :lol:
#168651
Bonjours tous, une aspirine avec votre coupette? :roll:

Bah oui les gens, At Pup's fait parfois aussi bar philo... :lol: :lol: :lol:

Mais bon, si vous êtes larguées, contentez-vous de siroter le champ' hips, ça y'a toujours! :mrgreen:

Albane, une fois de plus merci de ton message qui m'a à la fois intriguée, fait sourire et cogiter.

Oui, parmi les multiples (et majoritairement indéterminables) causes de la rupture, le déséquilibre entre ce qu'on donne et ce qu'on reçoit me semble presque être une constante. La dépendance affective, c'est bien ce que je veux dire par "exiger de l'autre", quelque chose qui coince au niveau de l'autonomie. Maintenant je vois très bien la distinction que tu places entre "s'offrir" et "exiger de", sauf qu'en bon toxicos que nous sommes/avons été, cette subtilité est à première vue à des années-lumières de notre champ de perception.

Ce qui coince vraiment, à mon sens, c'est qu'avant la rupture brutale de ce schéma (hyper déséquilibré, of course) chacun y trouve quand-même d'une certaine façon son compte: le "demandeur" qui est auto-nourri dans son schéma d'angoisse (parce que c'est ça au fond) et le "donneur" qui en bon dealer a son égo perpétuellement passé à la brosse à reluire. Mais. Les guillemets sont là parce qu'en réalité, c'est le demandeur qui se saigne aux quatre veines pour combler de potentiels autant qu'éventuels besoins avant même qu'il n'apparaissent, et le"donneur"qui reçoit remerciements, gratitude, excuses, etc. ad nauséam, un rendu pour un jamais prêté.

Et si je peux parler de tout ça ainsi, c'est parce que j'ai incarné les deux rôles entre ex et ex-ex... J'en suis pas fière, bien au contraire, mais je sais à quel point ce "besoin" peut être autant flatteur que destructeur. Et là je m'exprime au nom des deux.
Albane a écrit :mais tes frontières sont elles un espace schengen ? ou le mur de berlin?
de ma propre expérience... mais ce n'est que la mienne... il n'est jamais bon d'avoir des frontières trop gardées, c'est souvent le signe que le régime en place est bien vacillant...
Tu sais parfaitement viser là où ça "travaille"... Auparavant - avant Mr.Ex je veux dire - le Mur de Berlin aurait été de la rigolade en comparaison de mes murailles, à peine une bordure de plate-bande. Puis j'ai choisi pour Ex d'y percer une ouverture, sauf que... Mouaip', on sait ce que ça a donné. :? Et là, au fond de mon gouffre, mon meilleur ami m'a offert un conseil, presque un ordre, ceci (je le cite mot pour mot, il ne mérite pas moins): Alors s'il le faut, fais sauter toutes les limites, une à une. Et ne pense pas à autre chose. Que tu as aimé, que tu as su aimé. Que tu es sortie de toi. Que le reste, pour l'instant, ne compte plus.

Et c'est ce que j'ai fait, sagement. 2009, j'aurai passé mon temps à abattre les limites et à réécrire les règles du Jeu: plus de barrière - à bas les non-dits et les mensonges cousus de fil blanc - rien que moi, là, ici & maintenant. Les seules frontières que je place désormais Albane, en vérité, ne tiennent pas à grand chose de plus que la légitime bulle de l'individualité revendiquée.

Et ce régime là - loin d'être vacillant - est au final d'une bienveillance tant envers soi-même qu'envers les autres que je suis la première à en être surprise! :shock: :D

(Je réserve ma réponse en ce qui concerne le respect, dans le sens où je crois qu'on est déjà tombées d'accord - si je me trompe, par contre, n'hésite pas!)
Albane a écrit :mais dire on m'aime comme je suis, on me prend comme cela...ou pas c'est un discours très curieux...à -ce que j'estime être -ton âge... un peu comme si t'autorisais enfin à extérioriser une révolte que tu n'aurais pas vécue...
Ah naaaan, je n'ai pas dit ça. Ce serait d'un narcissisme et d'une arrogance extrêmes: j'ai raison et si vous n'êtes pas d'accord avec c'est vous qui avez tort (Ex, si tu me lis: ;) ). Chercher la véracité et l'authenticité dans mes relation est exactement le contraire, tout simplement. Par contre, là où tu tombe pile, c'est que je m'autorise enfin à déplaire sans en ressentir de la culpabilité...

Et je comprends très bien ta mise en garde au sujet de la liberté et t'en remercie, mais il se trouve que ce prix proprement démesuré, je l'ai déjà payé. Ce qui serait stupide, c'est de ne pas désormais bénéficier de cette ruineuse et néanmoins édifiante leçon.


Mimti, pour répondre à ceci:
mimti a écrit :On est tous dépendant affectif à des niveaux différents, c'est humain ! L'homme est un animal fait pour vivre en société (dixit je ne sais plus quel philosophe). Le contraire, çàd de n'avoir "besoin" de personne, n'est donc pas naturel.
Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...


Je garde les sujets philo pour la phase post-cafés... :ugeek: :mrgreen:
#168661
Puppis a écrit : Oui, parmi les multiples (et majoritairement indéterminables) causes de la rupture, le déséquilibre entre ce qu'on donne et ce qu'on reçoit me semble presque être une constante.
Tout à fait d'accord, déséquilibre affectif donc rupture ....
Puppis a écrit : Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...
En effet ...
#168920
Pup'... Quand tu parles de toutes tes barrières que tu as appris à faire tomber au fur et à mesure... évoques-tu aussi celle de la peur de refaire un jour confiance ? J'ai un gros souci à ce sujet, depuis quelques jours, et j'avoue que ça me prend bien le chou... J'en perds mon verbe facile, c'est pour dire !

Je t'embrasse (et les autres aussi ^^)
#168945
Puppis a écrit : Ce qui coince vraiment, à mon sens, c'est qu'avant la rupture brutale de ce schéma (hyper déséquilibré, of course) chacun y trouve quand-même d'une certaine façon son compte: le "demandeur" qui est auto-nourri dans son schéma d'angoisse (parce que c'est ça au fond) et le "donneur" qui en bon dealer a son égo perpétuellement passé à la brosse à reluire. Mais. Les guillemets sont là parce qu'en réalité, c'est le demandeur qui se saigne aux quatre veines pour combler de potentiels autant qu'éventuels besoins avant même qu'il n'apparaissent, et le"donneur"qui reçoit remerciements, gratitude, excuses, etc. ad nauséam, un rendu pour un jamais prêté.
Puppis a écrit :Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...
Je me suis permis de rapprocher ces 2 paragraphes.
Il y a de la matière pour tout nouvel arrivant sur le forum!
J'ai une proposition pour clarifier la différence entre "besoin affectif" et "dépendance affective". Le besoin affectif sous-tendrait qu'il doit être assumé , donc exprimé au risque d'un refus :? (plus qu'à trouver un autre moyen). La dépendance affective, au contraire, serait le refus d'assumer ce besoin mais en tentant d'y répondre tout de même. Là c'est le cortège de toutes les tentatives indirectes qui arrivent, dont celle de tout donner en espérant un hypothétique retour.

Autre remarque, la cible du (de la) dépendant(e) affectif(ve) se montre soit immature, soit manipulatrice si elle entretien ce schéma.
Cassandra a écrit :Pup'... Quand tu parles de toutes tes barrières que tu as appris à faire tomber au fur et à mesure... évoques-tu aussi celle de la peur de refaire un jour confiance ?
Est-ce que c'est débile de dire que plutôt que de faire tomber les barrières, il vaudrait peut-être mieux les rendre mobiles et apprendre à les utiliser avec discernement? (j'en sais rien :? :| , les 2 options avec/sans ne m'ont pas tellement réussi).
#168999
Cassandra a écrit :Pup'... Quand tu parles de toutes tes barrières que tu as appris à faire tomber au fur et à mesure... évoques-tu aussi celle de la peur de refaire un jour confiance ?
Oui Cassandra, entre autres. Déjà mini-réponse ici en ce qui me concerne personnellement, ensuite je tenterai de te rédiger un truc plus complet en réponse à la discussion que tu as lancé (oui z'ai vu!).

On est des accidentés de la vie, Cass'. On a pris un mur avec une violence inouïe, on a mis des mois à se rétablir et maintenant qu'il est temps de reprendre la route, bah on a beau être retapés, le cicatrices sont toujours là pour nous rappeler les souffrances passées. Au passage, on a perdu pas mal de morceaux, dont une certaine candeur.

Beaucoup de ce qui va advenir se joue dans l'axe confiance-défiance-méfiance, il me semble. Un réflexe pavlovien nous pousserai sans aucun doute à nous protéger à outrance, bardés de certitudes, confinés au fond dans la crainte.

Mais on est capable de raisonner, et dans les luttes internes qui se sont jouées on a aussi glané quelques capacités assez formidables pour bannir la peur.
-Savoir que les coups durs de la vie, on peut s'en relever, on a développé une sacrée résilience et testé d'excellentes tactiques de guérison (confiance en soi, le premier pas)
-Ensuite réaliser que ce chemin là on ne l'a pas parcouru seul, qu'en cas de coup dur ou même de simples questionnements, un élan communautaire et solidaire peut toujours spontanément se former. Au passage, on a aussi pu faire le tri dans nos proches sur qui était digne de confiance ou non, n'est-ce pas? (confiance en l'Autre au sens large, deuxième pas)

Reste le point crucial, la confiance en l'autre à un niveau plus intime. On en est là, toi et moi. Et c'est là qu'un autre outil acquis ces derniers mois se révèle formidablement utile: Le lâcher-prise. Non, on n'a pas de contrôle sur les événements externes et on peut à nouveau être blessé à n'importe quel instant. La peur n'éloigne pas le danger, ça on commence à le savoir par cœur. Autant cesser d'antéflipper tout de suite, autant prendre le parti de la confiance, non pas aveugle, simplement modérée par une lichette de vigilance (tant envers soi qu'envers l'autre, bien entendu).

Pis zut alors, qui a envie de faire partie de ces aigris qui des années plus tard ressassent encore le même échec? Pas moi en tout cas...

Zaphod, oui, c'est tout à fait ça!
zaphod a écrit :'ai une proposition pour clarifier la différence entre "besoin affectif" et "dépendance affective". Le besoin affectif sous-tendrait qu'il doit être assumé , donc exprimé au risque d'un refus :? (plus qu'à trouver un autre moyen). La dépendance affective, au contraire, serait le refus d'assumer ce besoin mais en tentant d'y répondre tout de même.
Tout est dans le respect du libre-arbitre de l'autre - et par là, à terme, le respect de son propre libre-arbitre aussi puisqu'on est sur un plan d'équité... Et en (s')autorisant à dire non, on (s')autorise aussi à dire véritablement oui

C'est quand-même plus agréable que ces pseudo-messages brouillés et parasités qui plongent l'un et l'autre dans la perplexité d'abord, puis dans l'impossibilité d'une véritable communication ensuite.
zaphod a écrit :Autre remarque, la cible du (de la) dépendant(e) affectif(ve) se montre soit immature, soit manipulatrice si elle entretien ce schéma.
Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.

On est loin d'une situation bourreau/victime, et je crois qu'essayer de le considérer sous cet angle est l'un des principal frein à la guérison: sa propre responsabilisation (oui, on y revient encore).
zaphod a écrit :Est-ce que c'est débile de dire que plutôt que de faire tomber les barrières, il vaudrait peut-être mieux les rendre mobiles et apprendre à les utiliser avec discernement?
Tout dépend ce qu'on appelle barrières. Moi, par là, j'entends les peurs obscures, les freins que l'on se met par confort ou par facilité, les dénis, les attitudes troupeau, le socialement conforme, etc. Ce qui n'empêche pas en parallèle de conserver un minimum de bon sens...
#169012
Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.

On est loin d'une situation bourreau/victime, et je crois qu'essayer de le considérer sous cet angle est l'un des principal frein à la guérison: sa propre responsabilisation (oui, on y revient encore).
Tout à fait, Puppis... Et comme dans mon cas, je crois même qu'il s'agit, en plus du rôle immature / manipulateur que je découvre de plus en plus chez mon ex (même si je le devinait latent) d'une double dépendance sur certains aspects :? :idea: A savoir qu'il avait et a toujours besoin de moi, peut-être même encore plus que l'inverse, pour supporter moralement ce que je vois être de plus en plus une VDM :? :roll: :idea: ... Pour cristaliser ses rêve en en parlant à quelqu'un qui y croit aussi...

Et je crois que finalement je dois couper cette dépendance de mon côté si je veux lui ôter toute possibilité d'avoir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la Praline en prime :roll: :idea: Quitte à ce que son monde bien rodé des Bisounours s'effondre :| :geek:
#169039
At' Pupp's!
The place ou les considérations philosophiques pétillent au moins autant que le champagne.
Puppis a écrit :Beaucoup de ce qui va advenir se joue dans l'axe confiance-défiance-méfiance
...et expérience faite, tant que cet axe là n'est pas résolu, il est bien difficile de trouver l'épanouissement dans une relation. Enfin, avoir cet axe là bien clair à l'esprit, c'est le point de départ nécessaire pour pouvoir un jour résoudre "ce nœud". Prochaine étape de la guérison, trouver un intime avec qui valider nos acquis?!?
Puppis a écrit :
zaphod a écrit : 'ai une proposition pour clarifier la différence entre "besoin affectif" et "dépendance affective". Le besoin affectif sous-tendrait qu'il doit être assumé , donc exprimé au risque d'un refus :? (plus qu'à trouver un autre moyen). La dépendance affective, au contraire, serait le refus d'assumer ce besoin mais en tentant d'y répondre tout de même.
Tout est dans le respect du libre-arbitre de l'autre - et par là, à terme, le respect de son propre libre-arbitre aussi puisqu'on est sur un plan d'équité... Et en (s')autorisant à dire non, on (s')autorise aussi à dire véritablement oui
De par chez moi, on appellerait ça un "spoiler" (document ou texte qui dévoile tout ou partie de l'intrigue).

Bon, en fait, au lieu de rajouter d'avantage de citations, je vais simplement vous renvoyer aux posts précédents, tant leur contenu me semble important.
La rupture, ou plus précisément la façon dont nous l'avons vécu, dont nous y avons réagi aura au moins eu un grand "mérite". Celui de nous permettre de nous pencher sur nous, non-seulement sur ce que l'on sait, mais aussi (peut-être au bénéfice de la déconstruction interne qui a eu lieu), sur le facettes plus "sombres". Une porte ouverte vers l'inconscient, vers tous ces mécanismes bien ancrés qui régissent nos actions "à l'insu de notre plein gré".
#169054
Puppis a écrit :
zaphod a écrit :Autre remarque, la cible du (de la) dépendant(e) affectif(ve) se montre soit immature, soit manipulatrice si elle entretien ce schéma.
Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.
Ce que tu décris là traduit bien ce que je voulais tenter (maladroitement) d'exprimer sous le terme d'immaturité. Ce n'est pas à visée rancunière ou quoi. Je reconnais avoir été largement dans le rôle du dépendant et par là même mon immaturité. Je veux juste dire que le dépendant en convalescence à aussi le droit de se dire qu'il n'était pas le seul immature des 2, et que par voix de conséquence, la décision de rupture était probablement le fait de quelqu'un de pas clair avec lui-même (donc pas grand chose de rationnel à comprendre dans sa décision, cqfd).
Puppis a écrit : On est loin d'une situation bourreau/victime, et je crois qu'essayer de le considérer sous cet angle est l'un des principal frein à la guérison: sa propre responsabilisation (oui, on y revient encore).
Hmmmm, j'espère que ma précision précédente lève toute ambigüité concernant ceci en ce qui me concerne? (si toutefois il y en avait)
Puppis a écrit : Tout dépend ce qu'on appelle barrières. Moi, par là, j'entends les peurs obscures, les freins que l'on se met par confort ou par facilité, les dénis, les attitudes troupeau, le socialement conforme, etc. Ce qui n'empêche pas en parallèle de conserver un minimum de bon sens...
Merci de ces précisions, je m'étais mis autre chose en tête et je n'arrivais plus à suivre vraiment (les masques qu'on porte pour en pas se laisser voir).

@Praline: fais-le peut-être d'abord pour toi non? Et puis une histoire dans laquelle de la dépendance affective naît, même si elle a commencé le plus sainement possible, a toutes les chances de finir mal.
#169071
zaphod a écrit : @Praline: fais-le peut-être d'abord pour toi non? Et puis une histoire dans laquelle de la dépendance affective naît, même si elle a commencé le plus sainement possible, a toutes les chances de finir mal.
:roll: :roll: :idea: Oui... Je ne crois pas avoir envie de continuer là-dedans... Cela me fait juste bizarre son comportement... Il est presque en manque de pouvoir me raconter sa vie :? :idea:
Il est là-bas que depuis 2 semaines et il m'a déjà tél 3 fois....

Alors que moi, je n'ai pas du tout cette envie :?
Mais ça c'est plutôt bon signe pour moi 8-) :idea:
J'aspire à quelque chose de simple et chaleureux à présent (comme notre histoire pendant 5 ans et demi).... :roll: Vous croyez que c'est à cause du temps lol :lol: :lol: :idea:
#169240
Ah les "colipéi" ! :lol:

Sûr que le vivaneau et les lambis, par la poste, tu vas les sentir venir, Zaphod ! :lol: Nan … faudra venir les manger sur place … ;)

Pardon Puppis, d'un seul coup ton post sent le poissonc'est la faute à Camille. Et à Zaphod aussi un peu:mrgreen:
#169274
Theodora a écrit :Ah les "colipéi" ! :lol:

Sûr que le vivaneau et les lambis, par la poste, tu vas les sentir venir, Zaphod ! :lol: Nan … faudra venir les manger sur place … ;)

Pardon Puppis, d'un seul coup ton post sent le poissonc'est la faute à Camille. Et à Zaphod aussi un peu:mrgreen:
C'est dangereux de proposer ce genre de truc à quelqu'un qui a 15j de vacances à poser avant la fin de l'année :twisted:

Itadakinasu Pupp ;)
#169362
Puppis a écrit :
zaphod a écrit : Itadakinasu Pupp ;)
:shock: ??????????????
Oups, désolé :oops: j'ai écris un poil vite avant de me sauver. De retour je corrige mon erreur: Itadakimasu.
Voilà, c'est plus clair maintenant ? :lol: (google est ton ami)
#169891
Bon, aller, j'arrête de déconner, là.

A va pas ce soir. Gros down. C'est du problème de taf et aussi toujours la même chose: Je supporte plus cette superficialité, ces jeux de pouvoirs, ce radio-moquette. On me demande d'être une plante verte, et naaaaan. Pas moyen.

Me suis tirée cet après-midi, et je ne compte pas y aller demain. Va encore falloir gérer la rupture professionnelle ces prochains jours... Héhé :ugeek: :lol:

........................ :? :evil:
#169896
(putain en + va falloir ke j'apprenne le jap maintenant ????????) dur dur la 3ème année a JRME :lol:

Pupp: ce soir tu mets sur "pause"
tu decantes dans une douche , une bonne nuit et tu prendras les decisions graves demain

en attendant ?????????????????????????????*


BINOUZEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES
#169907
Ouaip', NO WAY pour la transmutation Fatale / pot de fleur

Ce soir je kedal-bonne bouffe-bon vin.

Demain je mode *OFF* et qu'ils aillent SFF. Moi j'ai sûrement pas signé pour l'interdiction de toute forme de personnalité, et ne parlons même pas du consensus: Toute initiative de rocher sera privilégiée...

Ohhhhhh :-Blue :-Blue :-Blue Nulltinationnales...... :mrgreen:

(oui, Pup' est gentille, douce et cooooooooooool. Mais faut pas la prendre pour une c**** non plus. Héhé :twisted: :twisted: )
Modifié en dernier par Puppis le 13 nov. 2009, 23:05, modifié 1 fois.
#169926
Ça resservira pour 'achtement mieux, y'a pas à tortiller. :twisted:

Merci surtout le principe consistant à traiter tout client potentiel comme un gosse de quatre ans et demi à tendances borderline.

Bah vous savez quoi? Entre mon taf et ma personne, pour une fois je choisis la seconde option... Ça vaut pas quelques magnum de champ', ça???? :-Lov

:D :D :D

oh, et :-Party
#169947
Marketing à l'ancienne: un besoin --> un produit
Marketing moderne: une frustration --> un suppositoire
(je sais pas si tu as ça chez toi mais la dernière pub pour la mini est très éloquente: une belle photo de la sus-dite camelote et un beau slogan "mieux qu'une psychothérapie").

Va faire ton chemin au milieu de tout ce merdier :?
Suis ta boussole puisqu'elle s'est remise à marcher ;)
#169954
zaphod a écrit :Marketing à l'ancienne: un besoin --> un produit
Marketing moderne: une frustration --> un suppositoire
(je sais pas si tu as ça chez toi mais la dernière pub pour la mini est très éloquente: une belle photo de la sus-dite camelote et un beau slogan "mieux qu'une psychothérapie").
J'ai pas compris. On se la met en suppo la mini ? :mrgreen:
#169987
Theodora a écrit :
zaphod a écrit :Marketing à l'ancienne: un besoin --> un produit
Marketing moderne: une frustration --> un suppositoire
(je sais pas si tu as ça chez toi mais la dernière pub pour la mini est très éloquente: une belle photo de la sus-dite camelote et un beau slogan "mieux qu'une psychothérapie").
J'ai pas compris. On se la met en suppo la mini ? :mrgreen:
Constat du jour: après 1 an, on devient légèrement taquin(e)
#170055
Bonjour tous!

Oui coco, j'ai appelé pour prévenir que je ne viendrai pas aujourd'hui - et comme l'univers conspire (ou alors c'est mon inconscient) à ne pas me faire mentir, j'ai une bonne vieille crève et un pied ensanglanté. Je suis tranquille pour les trois jours à venir, le temps de voir ce qu'indique exactement ma boussole...

Merci Zaphod pour l'image, parce que c'est exactement ça. Tout comme ce que tu dis de "tout ce merdier", je le sentais sans pouvoir le formuler. Au fond je me débecte de participer à ça... Je me suis pas torturée le cerveau depuis 9 mois afin de redevenir une personne de valeur à mes yeux pour brader tout ça au nom de l'intégration sociale et d'une paie à la fin du mois.

Bref, qu'ils gardent leurs suppos orwelliens, moi je vais voir ailleurs si j'y suis. Ha bah oui, j'y suis!
:mrgreen: :D :D :D

Oh, 'erci Praline! 'tain qu'est ce que ça fait du bien de se respecter!
  • 1
  • 11
  • 12
  • 13
  • 14
  • 15
  • 19