- 24 oct. 2009, 23:36
#162220
Je vais surtout aller sous la couette..enfin, je vais ramper jusque sous ma couette pour être plus exact !


blackspiritual a écrit :n'empèche ... elle a l'art de ménager le suspens la puppQUEL SUSPENNNNNNNNNNNNNNNNS???????????????
Puppis a écrit :Tsssss, on vous a déjà dit et répété de lâcher l'interprétation, les n'enfants....juste une idée comme ça... qui parle aussi de ma propre expérience .... qui est longue
Rien de neuf si ce n'est que presque tous les hommes qui ont croisé ma route au cours de ces derniers mois sont *in love*... avec d'autres.
Pendant que moi je me complais dans un mode Grotte ascendant Rocher-près-des-chutes-d'eau.
Puppis a écrit : je mets la barre haut, ça m'épargnera les boulets et autres plombés (qui ne rebondissent pasah la jeunesse... tu as bien raison de mettre la barre haut, même très haut... faut juste faire attention que telle la reine des abeilles les bourdons ne claquent pas en route....)
Albane a écrit : quand on ne rencontre personne d'open, c'est en général qu'on ne l'est pas soi même, ce que tu sembles confirmer en expliquant que tel le philosophe platonicien tu te planques dans ta caverne, bien contente qu'on te fiche la paix...Mmmh, il y a là deux points très différents. D'abord, je ne cherche pas à rencontrer quelqu'un, je mise sur l'optique serendipity. Ensuite, oui, caverne parce qu'en ce moment c'est ce dont j'ai besoin. Mais c'est un courte phase, histoire de quelques jours et en aucun cas un état qui dure. D'ailleurs tout ceux qui suivent ce fil savent querien ne m'abat et que je reste une indécrottable optimiste!
mimti a écrit :Mais avant tout je pense qu'il faut se reconstruire pour pouvoir construire une nouvelle relation.Les relations pansements, c'est autre chose ...@Fig', ouaaaah, bah merci
Franck92 a écrit :Alors ici c'est donc le topic de ceux qui ont décidé de ne pas se laisser abattre et de prendre un nouveau départ?Oui, Franck, entre autres posts... Ici aussi qu'on y mêle champagne, bières, musique, délires et réflexions philosophiques. Qu'on va de l'avant quoi qu'il arrive, au fond! Sans pour autant oublier ce par quoi nous sommes passé.
Franck92 a écrit :Espérer fait mal, ne plus rien espérer fait guérir plus vite.Ce n'est pas une question d'espoir, mais - on le répète souvent et pourtant pas suffisamment- de lâcher-prise. Accepter la rupture, accepter ce qui est et non ce qu'on voudrait qui soit. L'espoir (de s'en sortir, de redevenir heureux) est essentiel mais il ne faut pas le confondre avec le déni. Et apprendre aussi à laisser son libre arbitre à l'autre...
Albane a écrit :il s'agissait plutôt du sentiment que tu étais entrain de confondre exigence pour soi, et exigence envers les autres...En effet, c'est un point sur lequel je médite pas mal ces derniers temps. Et non, en fait je ne crois pas que je les confonde, en réalité, je ne les confonds plus. Longtemps je crois, j'ai attendu des autres ce que j'étais incapable de faire pour moi. Par là je parle de domaines de l'égo, de l'amour propre, de l'autonomie. J'exigeais des autres ce que j'étais incapable d'exiger de moi (et c'est incroyable le nombre de gens tout prêts à satisfaire ceci, je crois que tout arrivant sur JRME est à un degré ou à un autre impliqué dans ce schéma).
Albane a écrit :Je crois que la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est celle vis à vis de soi même, vis à vis des autres ma foi, seuls le respect et la tolérance sont encore le meilleur moyen de les fréquenter...une fois sortie de la caverne s'entend...Héhé...![]()
Puppis a écrit : J'exigeais des autres ce que j'étais incapable d'exiger de moi (et c'est incroyable le nombre de gens tout prêts à satisfaire ceci, je crois que tout arrivant sur JRME est à un degré ou à un autre impliqué dans ce schéma).C'est possible que tout jrmiste débutant en soit là... pour ma part je diagnostique surtout chez nous tous en arrivant une dépendance affective... plus ou moins sévère...
Puppis a écrit :non cela n'empêche pas de placer des frontières.... mais tes frontières sont elles un espace schengen ? ou le mur de berlin?Albane a écrit :Je crois que la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est celle vis à vis de soi même, vis à vis des autres ma foi, seuls le respect et la tolérance sont encore le meilleur moyen de les fréquenter...une fois sortie de la caverne s'entend...Héhé...![]()
Et bien je ne vais finalement pas abonder pleinement dans ton sens... Oui la seule vraie exigence que l'on est en droit d'avoir est envers soi, mais cela dispense-t-il de placer des frontières? Naaan, je ne crois pas.
Puppis a écrit :Je crois qu'il est absolument essentiel de faire primer des valeurs et de véritables principes de vie, avant même ce qu'on nomme généralement respect et tolérance et qui ne sont souvent que les pseudo-pudiques voiles qui cache nos lâchetés...certes avoir des valeurs, et des principes qui gouvernent sa vie...c'est essentiel... mais dans le respect (encore !
Puppis a écrit :J'ajoute, Albane, que je ne fréquente pas les gens, ceci est bon pour les tièdes et les peureux. Je les rencontre, me confronte, me livre, me dévoile et me dénude, mais quoi que je fasse je le vis entièrement. C'est ce qui me fait être sincère, et c'est sans doute ce qui fait que tant de ces gens ici et ailleurs m'apprécient (ou me détestentSais tu que je souris en te lisant parce que tu me rappelles celle que je fut....la vie s'est chargée de m'apprendre la douceur, le respect et la tolérance...(mais j'en encore du taf... si j'en crois mes réactions) ce qui ne signifie pas de dire que tous le monde à raison et de vouloir complaire à tous... non...) à ma juste valeur?
Puppis a écrit :Merci de ton message, qui a eu sur moi l'effet d'une secousse bienvenue afin que je me retrouve pleinement.mes questions n'ont pas d'autre but...![]()
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Albane a écrit :et " pataugeage" dans, le champ de navet...On a dit papotage et champ' ?
Albane a écrit : "l'homme est un loup pour l'homme" "l'homme est un animal social et raisonnable" laquelle de ces deux affirmations vous semble la plus proche de votre relation avant échouage sur JRMEAvec honte, j'avoue ne pas avoir pris connaissance des ouvrages dans lesquels sont développées ces 2 hypothèses. N'ayant donc pas les éléments pour répondre, j'ai toujours soigneusement éviter de m'engager dans des relations amoureuses avec d'autres hommeset " pataugeage" dans, le champ de navets...
bon ok je
puppis a écrit :Ce n'est pas une question d'espoir, mais - on le répète souvent et pourtant pas suffisamment- de lâcher-prise. Accepter la rupture, accepter ce qui est et non ce qu'on voudrait qui soit. L'espoir (de s'en sortir, de redevenir heureux) est essentiel mais il ne faut pas le confondre avec le déni. Et apprendre aussi à laisser son libre arbitre à l'autre...Oui c'est bien dit. Mais pour lacher prise, j'ai besoin de perdre tout espoir qu'elle revienne pour ensuite entamer ma propre reconstruction. Aucun déni, aucune négation de la relation passée. Elle se fige dans le temps et on repart sur du nouveau
Albane a écrit : allez les enfants petit sujet de philo pour le week end...
"l'homme est un loup pour l'homme" "l'homme est un animal social et raisonnable" laquelle de ces deux affirmations vous semble la plus proche de votre relation avant échouage sur JRMEet " pataugeage" dans, le champ de navets...
bon ok je
Albane a écrit :mais tes frontières sont elles un espace schengen ? ou le mur de berlin?Tu sais parfaitement viser là où ça "travaille"... Auparavant - avant Mr.Ex je veux dire - le Mur de Berlin aurait été de la rigolade en comparaison de mes murailles, à peine une bordure de plate-bande. Puis j'ai choisi pour Ex d'y percer une ouverture, sauf que... Mouaip', on sait ce que ça a donné.
de ma propre expérience... mais ce n'est que la mienne... il n'est jamais bon d'avoir des frontières trop gardées, c'est souvent le signe que le régime en place est bien vacillant...
Albane a écrit :mais dire on m'aime comme je suis, on me prend comme cela...ou pas c'est un discours très curieux...à -ce que j'estime être -ton âge... un peu comme si t'autorisais enfin à extérioriser une révolte que tu n'aurais pas vécue...Ah naaaan, je n'ai pas dit ça. Ce serait d'un narcissisme et d'une arrogance extrêmes: j'ai raison et si vous n'êtes pas d'accord avec c'est vous qui avez tort (Ex, si tu me lis:
mimti a écrit :On est tous dépendant affectif à des niveaux différents, c'est humain ! L'homme est un animal fait pour vivre en société (dixit je ne sais plus quel philosophe). Le contraire, çàd de n'avoir "besoin" de personne, n'est donc pas naturel.Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...
Puppis a écrit : Oui, parmi les multiples (et majoritairement indéterminables) causes de la rupture, le déséquilibre entre ce qu'on donne et ce qu'on reçoit me semble presque être une constante.Tout à fait d'accord, déséquilibre affectif donc rupture ....
Puppis a écrit : Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...En effet ...
Puppis a écrit : Ce qui coince vraiment, à mon sens, c'est qu'avant la rupture brutale de ce schéma (hyper déséquilibré, of course) chacun y trouve quand-même d'une certaine façon son compte: le "demandeur" qui est auto-nourri dans son schéma d'angoisse (parce que c'est ça au fond) et le "donneur" qui en bon dealer a son égo perpétuellement passé à la brosse à reluire. Mais. Les guillemets sont là parce qu'en réalité, c'est le demandeur qui se saigne aux quatre veines pour combler de potentiels autant qu'éventuels besoins avant même qu'il n'apparaissent, et le"donneur"qui reçoit remerciements, gratitude, excuses, etc. ad nauséam, un rendu pour un jamais prêté.
Puppis a écrit :Encore faut-il, comme tu le soulignes, faire la différence entre "besoin affectif" - parfaitement naturel et même indispensable - et "dépendance affective", qui dans ce second cas confine au pathologique. Sans trop verser dans la psycho de bas étage, on sent bien que là on entre dans le même type de schéma que le verre de vin hédoniste vs. les bouteilles planquées derrière les meubles...Je me suis permis de rapprocher ces 2 paragraphes.
Cassandra a écrit :Pup'... Quand tu parles de toutes tes barrières que tu as appris à faire tomber au fur et à mesure... évoques-tu aussi celle de la peur de refaire un jour confiance ?Est-ce que c'est débile de dire que plutôt que de faire tomber les barrières, il vaudrait peut-être mieux les rendre mobiles et apprendre à les utiliser avec discernement? (j'en sais rien
Cassandra a écrit :Pup'... Quand tu parles de toutes tes barrières que tu as appris à faire tomber au fur et à mesure... évoques-tu aussi celle de la peur de refaire un jour confiance ?Oui Cassandra, entre autres. Déjà mini-réponse ici en ce qui me concerne personnellement, ensuite je tenterai de te rédiger un truc plus complet en réponse à la discussion que tu as lancé (oui z'ai vu!).
zaphod a écrit :'ai une proposition pour clarifier la différence entre "besoin affectif" et "dépendance affective". Le besoin affectif sous-tendrait qu'il doit être assumé , donc exprimé au risque d'un refusTout est dans le respect du libre-arbitre de l'autre - et par là, à terme, le respect de son propre libre-arbitre aussi puisqu'on est sur un plan d'équité... Et en (s')autorisant à dire non, on (s')autorise aussi à dire véritablement oui(plus qu'à trouver un autre moyen). La dépendance affective, au contraire, serait le refus d'assumer ce besoin mais en tentant d'y répondre tout de même.
zaphod a écrit :Autre remarque, la cible du (de la) dépendant(e) affectif(ve) se montre soit immature, soit manipulatrice si elle entretien ce schéma.Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.
zaphod a écrit :Est-ce que c'est débile de dire que plutôt que de faire tomber les barrières, il vaudrait peut-être mieux les rendre mobiles et apprendre à les utiliser avec discernement?Tout dépend ce qu'on appelle barrières. Moi, par là, j'entends les peurs obscures, les freins que l'on se met par confort ou par facilité, les dénis, les attitudes troupeau, le socialement conforme, etc. Ce qui n'empêche pas en parallèle de conserver un minimum de bon sens...
Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.Tout à fait, Puppis... Et comme dans mon cas, je crois même qu'il s'agit, en plus du rôle immature / manipulateur que je découvre de plus en plus chez mon ex (même si je le devinait latent) d'une double dépendance sur certains aspects
On est loin d'une situation bourreau/victime, et je crois qu'essayer de le considérer sous cet angle est l'un des principal frein à la guérison: sa propre responsabilisation (oui, on y revient encore).
Puppis a écrit :Beaucoup de ce qui va advenir se joue dans l'axe confiance-défiance-méfiance...et expérience faite, tant que cet axe là n'est pas résolu, il est bien difficile de trouver l'épanouissement dans une relation. Enfin, avoir cet axe là bien clair à l'esprit, c'est le point de départ nécessaire pour pouvoir un jour résoudre "ce nœud". Prochaine étape de la guérison, trouver un intime avec qui valider nos acquis?!?
Puppis a écrit :De par chez moi, on appellerait ça un "spoiler" (document ou texte qui dévoile tout ou partie de l'intrigue).zaphod a écrit : 'ai une proposition pour clarifier la différence entre "besoin affectif" et "dépendance affective". Le besoin affectif sous-tendrait qu'il doit être assumé , donc exprimé au risque d'un refusTout est dans le respect du libre-arbitre de l'autre - et par là, à terme, le respect de son propre libre-arbitre aussi puisqu'on est sur un plan d'équité... Et en (s')autorisant à dire non, on (s')autorise aussi à dire véritablement oui(plus qu'à trouver un autre moyen). La dépendance affective, au contraire, serait le refus d'assumer ce besoin mais en tentant d'y répondre tout de même.
Puppis a écrit :Ce que tu décris là traduit bien ce que je voulais tenter (maladroitement) d'exprimer sous le terme d'immaturité. Ce n'est pas à visée rancunière ou quoi. Je reconnais avoir été largement dans le rôle du dépendant et par là même mon immaturité. Je veux juste dire que le dépendant en convalescence à aussi le droit de se dire qu'il n'était pas le seul immature des 2, et que par voix de conséquence, la décision de rupture était probablement le fait de quelqu'un de pas clair avec lui-même (donc pas grand chose de rationnel à comprendre dans sa décision, cqfd).zaphod a écrit :Autre remarque, la cible du (de la) dépendant(e) affectif(ve) se montre soit immature, soit manipulatrice si elle entretien ce schéma.Mmmmh, nan, je ne serais pas si affirmative. Je crois que quand le couple est en plein dans ce schéma, aucun des deux protagonistes n'a vraiment conscience du "rôle" qu'il joue. Parce que c'est une névrose qui répond à une autre névrose qui crée l'engrenage. Dans mon propre cas, plutôt éloquent, ma dépendance affective "flattait" sans aucun doute le narcissisme en rade de Mr.Ex... Et c'est comme ça que l'un entretenait le problème de l'autre et vice-versa. Parce que, soyons franc, si la situation perdure des mois ou des années, c'est bien parce qu'à un certain niveau, chacun y trouve d'une certaine manière son compte.
Puppis a écrit : On est loin d'une situation bourreau/victime, et je crois qu'essayer de le considérer sous cet angle est l'un des principal frein à la guérison: sa propre responsabilisation (oui, on y revient encore).Hmmmm, j'espère que ma précision précédente lève toute ambigüité concernant ceci en ce qui me concerne? (si toutefois il y en avait)
Puppis a écrit : Tout dépend ce qu'on appelle barrières. Moi, par là, j'entends les peurs obscures, les freins que l'on se met par confort ou par facilité, les dénis, les attitudes troupeau, le socialement conforme, etc. Ce qui n'empêche pas en parallèle de conserver un minimum de bon sens...Merci de ces précisions, je m'étais mis autre chose en tête et je n'arrivais plus à suivre vraiment (les masques qu'on porte pour en pas se laisser voir).
zaphod a écrit : @Praline: fais-le peut-être d'abord pour toi non? Et puis une histoire dans laquelle de la dépendance affective naît, même si elle a commencé le plus sainement possible, a toutes les chances de finir mal.
Albane a écrit :vi vi... c'est le temps on a envie de polaire....Ah ben ça dépend, hein !
Theodora a écrit :Ah les "colipéi" !C'est dangereux de proposer ce genre de truc à quelqu'un qui a 15j de vacances à poser avant la fin de l'année![]()
Sûr que le vivaneau et les lambis, par la poste, tu vas les sentir venir, Zaphod !Nan … faudra venir les manger sur place …
Pardon Puppis, d'un seul coup ton post sent le poisson …c'est la faute à Camille. Et à Zaphod aussi un peu …
Puppis a écrit :Oups, désolézaphod a écrit : Itadakinasu Pupp??????????????
Puppis a écrit : Edit: Zaphod, Praline, heu....................Indice: l'un(e) des 2 écrit des choses qui ont du sens (enfin je crois???
Puppis a écrit :Miam, à tester lors d'un prochain resto japonais (je fais assez phare, là?)Je t'en préparerai si tu veux ^^
zaphod a écrit :Ca marche les colipéis depuis la Belgique ?si tu paye en massages(quoi je bouffe à tous les rateliers ?
)
frogger a écrit :J'te sers une Roukitoune Pup?héhé, une demoiselle qui jette son tailleur et on lui propose un verre. C'est du propre hein
zaphod a écrit :Marketing à l'ancienne: un besoin --> un produitJ'ai pas compris. On se la met en suppo la mini ?
Marketing moderne: une frustration --> un suppositoire
(je sais pas si tu as ça chez toi mais la dernière pub pour la mini est très éloquente: une belle photo de la sus-dite camelote et un beau slogan "mieux qu'une psychothérapie").
Theodora a écrit :Constat du jour: après 1 an, on devient légèrement taquin(e)zaphod a écrit :Marketing à l'ancienne: un besoin --> un produitJ'ai pas compris. On se la met en suppo la mini ?
Marketing moderne: une frustration --> un suppositoire
(je sais pas si tu as ça chez toi mais la dernière pub pour la mini est très éloquente: une belle photo de la sus-dite camelote et un beau slogan "mieux qu'une psychothérapie").
Puppis a écrit : Oh, 'erci Praline! 'tain qu'est ce que ça fait du bien de se respecter!