- 16 mars 2009, 20:03
#81189
Je ne sais si ce sont les beaux jours, Tapioca et Albane, ou bien la constatation quelque peu desabusée … qu'une reconquête ne sert à rien, même si elle débouche sur un second premier baiser, si l'autre n'a pas changé.
Pour espérer qu'une deuxième première relation (ou plutôt une première seconde
) fonctionne un tant soit peu, il faut … deux évolutions et pas une.
Faute de quoi …
Nous avons tellement morflé nous, les quittés, mais tellement … et nous morflons encore, que nous avons été obligés d'évoluer. C'était ça ou se désintégrer dans le vortex des émotions, ou bien renoncer au monde et partir ermites dans le désert, ou bien traîner une vie d'ennui et de larmes, en restant fixés sur nos blessures.
On a vécu un gigantesque tsunami émotionnel, suivi du Cap Horn des sentiments dans les 40e rugissants et les 50° hurlants, on a vécu, on vit encore souvent l'expérience du vide. Ce vide en soi qu'on tente de remplir le mieux que l'on peut.
Je me demande bien comment l'autre peut seulement imaginer qu'on est restés les mêmes, tiens. Même pas en rêve !
Moi qui suis aussi dans ma période "à quoi bon ? sur fond de "vis ta vie à présent" et de tristesse lourde, je me dis souvent que si M. l'ex repointe un jour son nez … pas grand chose ne sera possible.
En tout cas, il n'y a pas de marche arrière possible dans cette voiture.
Courage à vous deux.
En attendant, j'aimerais drôlement voir un trou en forme de Tapioca.
Ça me fait penser à Will Coyote !
Pour espérer qu'une deuxième première relation (ou plutôt une première seconde

Faute de quoi …
Nous avons tellement morflé nous, les quittés, mais tellement … et nous morflons encore, que nous avons été obligés d'évoluer. C'était ça ou se désintégrer dans le vortex des émotions, ou bien renoncer au monde et partir ermites dans le désert, ou bien traîner une vie d'ennui et de larmes, en restant fixés sur nos blessures.
On a vécu un gigantesque tsunami émotionnel, suivi du Cap Horn des sentiments dans les 40e rugissants et les 50° hurlants, on a vécu, on vit encore souvent l'expérience du vide. Ce vide en soi qu'on tente de remplir le mieux que l'on peut.
Je me demande bien comment l'autre peut seulement imaginer qu'on est restés les mêmes, tiens. Même pas en rêve !

Moi qui suis aussi dans ma période "à quoi bon ? sur fond de "vis ta vie à présent" et de tristesse lourde, je me dis souvent que si M. l'ex repointe un jour son nez … pas grand chose ne sera possible.
En tout cas, il n'y a pas de marche arrière possible dans cette voiture.
Courage à vous deux.
En attendant, j'aimerais drôlement voir un trou en forme de Tapioca.
