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Link et le tri-couples


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Dans mon histoire nous sommes tous un peu coupable. Nous souffrons tous beaucoup. Et il y eu beaucoup d'amour. Notre histoire ne fut pas correcte, mais j'espère ne pas être jugé.


Couple 1. Moi

Je fut longtemps en couple avec une jeune femme. J'avais acheté un appartement avec elle, on avait plein de projet. Elle manquait de confiance en elle au niveau de la séduction, elle me trompait. J'ai beaucoup pardonné jusqu'au moment où j'ai du fuir. J'ai énormément souffert de cette rupture, j'ai aussi perdu l'appartement.


Quelques années plus tard, j'ai essayé des sites de rencontre, sans succès. Finalement, j'ai rencontré une femme de mon age (pas via un site). Ce n'est pas le grand amour, nous sommes plus amis qu'autre choses, mais c'est tranquille, on s'entend bien, on ne se dispute pas. Je ne croyais plus en l'amour et ça me convenait. Elle aussi. Nous avons 35 ans.


Couple 2. Elle

Beaucoup de cour dur l'on détruite. Heureusement, elle fut entouré de ses deux meilleurs amis. Et elle est sortie avec l'un des deux depuis l'age de 15 ans. Ado, leur relation étaient extra. Adulte, alors qu'ils ont commencé à vivre ensemble, il a changé. Il n'était plus le gentil garçon qu'elle avait aimé. Parfois le gentil garçon refaisait surface pour redevenir rapidement l'homme qu'il est devenu qu'elle n'aimait pas.


Elle l'a quitté, il a énormément souffert. Elle eu pitié et est revenue. Puis, elle tomba enceinte. Il changeait à nouveau, elle retrouvait le gentil garçon doux et prévenant. Peut-être que la paternité le transformait. Confiante, ils se sont marié. Mais après le mariage, il est redevenu cet homme qu'elle n'aimait pas.


Il n'est pas méchant. En fait, il a tout d'un ado égoïste qui refuse de grandir. Il l'a délaisse complètement. Et elle fait tout, comme une nouvelle mère. Leur enfant? Il ne s'en occupe pas d'avantage.


Les années ont passé, elle a rencontré un garçon. Celui çi est devenu un très bon ami, et même plus... Ils sont devenu amant, des sex-friend. Elle qui n'avait jamais trouvé aucun plaisir dans le sexe, découvrait sa sexualité. Chaque fois, qu'il rencontrait une jeune femme, ils arrêtait leur relation. Mais lorsqu'il était célibataire, elle retombait dans ses bras s'échappant de son quotidien. Il lui proposa de quitter son mari et leur enfant, car lui n'en voulait pas. Pour rien au monde, elle quitterait son enfant, alors elle mit fin à leur relation. C'est là qu'elle retomba enceinte de son mari. Ils ont acheté alors une maison. Elle s'était faite une raison, sa vie étaient tracée.


Quand a lui, rien ne changeait. Il fut licencier à cause de la crise. Mais rester à la maison lui convient. Il ne cherche pas de travail, il regarde la télé ou joue aux jeux vidéos. Il ne participe pas aux tâches ménagères (même si dans son discourt, il trouve cela important). Et elle fait tout, s'occuper des enfants, elle travaille, fait les courses, à manger, nettoyage, lessive,... Bref tout... De temps en temps, il désire (excusez moi) tirer son cou. Bien entendu, il ne se préoccupe que de son plaisir puis il lui demande si c'était bien.


Mais c'est son mari, son meilleur ami d'enfance ce garçon qui était si gentil à 15 ans. C'est le père de ses enfants. Et le co-propriétaire de leur maison. Sans elle, il ne sait rien faire. Et maintenant qu'il n'a plus de travail, les problèmes d'argent les bloques (même si ça ne le gène pas d'acheter une nouvelle console ou un nouvel ordi). Ils ont 30 ans.


Couple 3. Nous

Pour nous évader de notre quotidien, nous écrivons; Et sur un forum, nous nous rencontrons. Au travers ses textes, je devine les métaphores, je comprend sa vie, je la comprends elle. Je lui laisse un commentaire qui l'a bouleverse. Elle me contacte en privé, nous commençons à nous écrire. On le sens tout de suite, mais nous n’osons nous l'avouez à nous même c'est un coup de foudre platonique.


Plus nous apprenons à nous connaitre, plus notre amour est une évidence. Nous ne savons même pas à quoi nous ressemblons, mais nous sommes amoureux des nos âmes et de nos esprits. Je lui envois une photo, je lui plais. Elle m'envoie une photo, elle me plait. Finalement nous décidons de nous rencontrer en secret. Nous nous rencontrons dans une ville à mis-chemin entre nos lieux de résidence. Nous étions persuadé que nos fantasmes tomberait et... Non. Face à face, ce fut mieux et plus beau que dans nos rêves. Dans un hôtel, nous faisons l'amour. Ce fut merveilleux. Pour elle comme pour moi. Nos corps se sont choisi eux aussi. Je n'ai jamais connu autant de plaisir et de bonheur que dans ses bras. Elle me dit la même chose. Et elle me dit que je suis l'homme fait pour elle et qu'elle est la femme faite pour moi. Nous sommes des âmes sœurs. Pourtant romantique, je n'y ai jamais cru. Mais là... J'y crois.


Le retour dans nos quotidiens est cruel. Et nous passons chaqu'un de notre côté, des journées épouvantable à nous cacher dans la salle de bain à pleurer toutes les larmes de nos corps. Nous comprenons que nous nous sommes face à une réalité et que de nombreux obstacle se dresse entre nous. Je venais de m'installé avec ma petite-amie. Et elle, divorce, maison, enfants,... Et là on se déchire, ont trouve le moindre prétexte pour se disputer, pour ne plus se comprendre. Inconsciemment, on a peur et on s'éloigne. Mais nous le comprenons et enrayons le processus.


Moi, je comprend, je ne veux pas d'autre femme qu'elle. Je veux quitter ma copine. Elle me supplie de ne pas le faire. Car elle, elle a trop peur de quitter le père de ses enfants. Si il n'y avait pas ses enfants, elle l'aurait fait, mais là... Elle a trop peur qu'ils souffrent comme elle a, elle même, souffert du divorce de ses parents. Bloqué, nous décidons chaqu'un d'allez voir une psy.


Chez moi, elle me dit qu'elle quittera son mari, un jour, mais pas tout de suite... Et pas tout de suite, cela signifie, peut-être dans 10 ans, peut-être dans 20 ans.


Chez elle, sa psy croit en nous, mais elle veux qu'elle soit certaine qu'elle ne regrettera pas. Elle demande de laisser une dernière chance à son maris, elle lui propose de faire une thérapie de couple. Où au minimum qu'ils fassent une thérapie chaqu'un de leur côté. Celui çi accepte, mais refuse au denier moment. Pour les deux. Bref, rien ne change. Moi, j'accepte d'attendre. Je respecte cela. Je trouve ça plus "sain". Je vit très mal de vivre dans l'adultère, surtout après ce que j'ai vécu. Elle aussi. Mais je me dis que si elle le quitte, elle le quittera à cause de lui et pas pour moi.


Toute fois, nous nous écrivons tout les jours. Beaucoup... Plus de 70 messages par jour. Rarement, nous nous retrouvons physiquement. Et réunis, notre amour rayonne de bonheur. Les gens dans la rue nous appellent les amoureux.


Mais comme elle se refuse désormais à lui sexuellement, son mari cherche malgré tout à faire des efforts. Il va chercher leur aîné à l'école. Il s'occupe rarement de leur bébé. Même changer un couche par semaine, c'est déjà mieux que rien. Mais ils se disputent souvent. Et ses efforts ne durent jamais longtemps...


Et moi, j'attends. J'ai peur de la perdre. Elle pleure beaucoup. Elle souffre beaucoup. Mais nous nous aimons... Si fort! Parfois, nous nous déchirons, puis nous enrayons à nouveau le processus. Elle sait tout de moi. Je sais tout d'elle. Cela fait bientôt huit mois.


Son mari se doute, il l'observe, il cherche. Alors nous nous téléphonons en cachette vite vite. Nous nous écrivons dès que nous avons l’occasion, mais celles-çi se font rare. Surveillés, nos messages se font plus cours et moins nombreux. Pour en devenir à trois ou quatre maximum par jour. Elle travaille à domicile donc elle l'a tout le temps sur le dos.


Et puis depuis un mois, il maintient ses efforts. Enfin, il y a du progrès. Ils se disputent toujours beaucoup. Il est toujours égoïste. Mais il y a du progrès. Et moi, j'ai peur. Je suis près à tout quitter pour elle. Elle le sait.


Mais elle, elle a trop peur pour ses enfants (avant tout). Elle a trop peur pour son mari, sans emplois, incapable de prendre soin de lui. Elle a trop peur de perdre cette complicité qu'elle a malgré tout avec lui (il reste son meilleur ami d'enfance et elle n'a connu la vie de couple qu'avec lui pratiquement). Elle a peur de décevoir sa famille. Elle a peur de perdre sa maison. ... Elle se confie. On lui dit que ses enfants seront plus heureux avec des parents heureux mais séparé, que réuni mais qui se disputent sans arrêt. Mais sa propre expérience la retiens.


Elle ne sait plus où elle en est. Je le sens. Je panique. Je lui dis que j'ai peur. J'ai peur de la perdre. J'ai besoin d'être rassuré. Elle le sait. Nous sommes interrompu par l'arrivé de son maris. Puis, les événements s’enchaînent et le temps passe. Nous continuons comme toujours. Mais j'ai besoin de savoir où elle en est. Alors je lui refait par de mes craintes. Hier, elle me dit qu'elle est amoureuse de moi. Mais elle reste attachée à lui aussi. C'est quelque part ce garçon qu'elle a aimé il y a 15 ans. C'est le père de ses enfants. Même si elle avoue ne pas être amoureuse de lui. Et que coucher avec lui la dégoutte. "On ne couche pas avec son meilleur ami". Elle est perdue. Elle a rendez-vous avec sa psy. A sa sortie, elle me téléphone. Elle me sait en attente, elle sait que je souffre de son absence. Elle a tellement peur de faire le pas. Et elle n'arrive toujours pas choisir. Surtout qu'il fait enfin des efforts. Alors elle décide de me "libéré" de mon attente; Elle me quitte.


Je pleure. Je ne l'entend pas pleurer. Mais alors qu'elle se déplace pour son bébé, j'entend leur aîné qui voit sa mère et lui dit : "Maman, mais tu pleures? Pourquoi tu pleures?" Puis nous devons raccrocher.


Je lui écris ma douleur. Elle m'envois sans cesses des "pardons", des "Par la peur et mon indécision je gâche l'amour de ma vie". Je pleure malgré des calmants. Elle aussi. Mais je sais, je le sens dans sa manière d'écrire, malgré cela, elle a fait son choix. Elle n'y reviendra pas.


Il est 3h du matin. Je n'arrive pas à dormir. Je suis désolé. Ceci est très résumé et je suis sous-calmant. Mais j'espère avoir restituer notre histoire...

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Salut Link!

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Avant ma journée ne commençais pas vraiment sans son "Bonjour" et ne se terminait pas sans son "Bonne nuit". si hier nous nous sommes souhaité la bonne nuit. Ce matin, ma boite restait vide. Que ce fut difficile. Jusqu'à 11h, elle désirait prendre de mes nouvelles et si j'avais réussi à dormir. J'ai été honnête. Pourquoi mentir? Je ne vais pas lui dire que je pète la forme dès le lendemain.


J'ai commencé par lui écrire une dernière lettre. Proprement. Mais à tête reposée, je ne l'enverrais pas. C'est une erreur. L'idéal c'est de commencer une forme de SR tout de suite. Et pourtant, j'ai encore tellement de chose à lui dire.


Hier soir, elle m’écrivait qu'elle souffrait. Qu'elle se sentait triste et vide. Qu'elle pleurait. Je sais qu'elle n'arrive pas à quitter son maris. Elle a trop peur. Elle me disait dans la passé qu'elle ne vivait plus qu'en étant mère. Ses enfants étaient sa seule source de joie. Je lui aurais appris qu'elle pouvait aussi être heureuse en étant femme. Étrangement, j'espère qu'elle arrivera à être heureuse même avec lui.


En réalité, c'est la deuxième fois que cela arrive. Mais elle était revenue très rapidement. Il nous était insupportable de faire une croix sur nous. Mais cette fois çi, je sens tellement de détermination dans son choix. Comme si elle désirait vraiment donner une dernière chance à son maris. Mais comment lui demander de faire un effort, si elle même me garde sous le coude? Enfin, c'est ce que je me dis.


Pour se changer les idées hier soir, elle a regardé un film... L'histoire d'amour lui aurait fait penser à nous.


J'essaye de me faire plus rare, de ne pas lui répondre directement. Forcément, j'ai pas tenu longtemps...


Mais cet après midi, plus de message. Je résistes... J'essaye de ne pas le lui envoyer.

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Bonjour Link,


J'ai presque eu l'impression de relire un peu mon histoire à travers la tienne. Que te dire, à part que tu n'es maitre que d'un destin : le tien. Qu'elle a besoin de temps, d'atteindre les limites de son union avec son mari pour passer à autre chose... Et ça ne se fera pas en un jour. Ni même en une année, voire peut être en plus. Et tu n'y peux rien, c'est son évolution, c'est son histoire...


C'est compliqué lorsqu'on est déjà lié par ailleurs, que ce soit sur une histoire d'amour ou un lien qu'on pensait à l'épreuve du temps, parce que dénué de passion.


Si la relation n'est qu'épistolaire, alors elle peut n'être qu'un leurre pour échapper à un quotidien qui n'a plus rien de palpitant. J'ai vécu cette histoire épistolaire aussi pendant presque deux ans, avec des interruptions, des crises de rage. Rien ne peut se faire en dehors du réel : il ne faut pas se raconter d'histoire.


Vivez le truc réellement ou passez à autre chose, tous les deux. En te disant ça, je souris, car il y a deux ans, ça serait tombé dans l'oreille d'une sourde, mais maintenant je sais qu'une histoire s'accroche au réel, pas à des claviers ou des écrans. Disons, pour résumer, que le virtuel conduit à tout, à condition d'en sortir.

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C'est vrai... Nous avions bien conscience. C'est pourquoi nous étions persuadé que ce ne sera pas aussi bien lorsque nous nous rencontrerions. Mais ce fut... Waouh! Et a chaque fois... Même de mieux en mieux. Plus nous nous connaissions, mieux c'était. C'est aussi pourquoi nous essayons de communiquer oralement et si possible avec une webcam. Réduire au maximum le fantasme épistolaire.


Je pense aussi qu'elle doit vivre son histoire avec son mari jusqu'au bout. Mais j'ai peur pour elle. Ce n'est pas la première fois qu'il fait des efforts. Cela dur deux semaines puis leur quotidien revient vite. J'ai peur que ses efforts ne persistent pas. Et elle a tellement tendance à vouloir se sacrifier pour le bien des autres.


Elle m'écrit toujours. Matin et soir. Elle me souhaite la bonne journée ou la bonne nuit et me demande comment je vais.

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Pas facile d'imposer un SR. Elle m'écrit en moyenne trois fois par jour. Pour me souhaite une bonne journée, une bonne nuit et sans raison particulière. Elle me demande à chaque fois comment je vais. Bien entendu, je regarde toutes les minutes si elle m'a écrit. Bien entendu ses mots doux me manques. Et j'essaye de ne pas répondre tout de suite. Aujourd'hui j'ai réussis à attendre 5 heures avant de lui répondre. Elle y a répondu presque aussitôt.


Je reste honnête, je lui dis que je vais mal sans m'etaler. Mais je lui dis aussi que je suis un grand garçon qui sait prendre soin de lui.


Mais je ne sais plus trop quoi faire... Dois je rester en contacte? Au moins un minimum. Ou lui imposer un SR strict?

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Pas mal de chose... J'ai été voir une psy que je voyais dans le passé. J'ai eu beaucoup de chose à lu dire. Selon elle tout n'est pas joué et tout pourrait basculer. Elle m'avait conseillé de garder le contacte car elle semblait toujours dans l'hésitation. Même si elle (mon "ex") essaye de se convaincre d'avoir fait le bon choix.


Mais j'ai suivit la méthode et j'ai établit le SR. Ce matin, je lui ai écris pour lui dire que certes j'allais mal, mais que j'étais capable de me prendre en main. Et pour ce faire, je lui demande qu'on fasse un break dans nos messages.


Elle a accepté en me disant qu'elle comprend ma démarche et qu'elle ne m'écrira plus jusqu'au moment où je me sentirais près à lui écrire.


Que c'est dur. Plus la journée avant, plus j'ai l'impression que mon cœur se déchire...

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Pour moi, c'est une très sage décision.


Et j'ai envie de dire prend le temps de l'oublier, de t'évader, de changer, même s'il le faut (de parfum, de style vestimentaire). Le SR s'accompagne de la recontruction de ton identité.

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J'ai passé les jours de SR. Je connais et comprend les bienfait du SR, je me demande si dans ce cas si cela est bien adapté. Ma psy, m'avait dit de garder le contacte... J'hésite vraiment... Mais je tiens bon.


C'est vraiment difficile. Je regarde sans cesse si elle m'a écrit... Comme d'habitude (lorsqu'on s'échange 60 à 70 messages par jours, j'en avais forcément un). Mais ici rien. Je ne peu faire qu'attendre... De toute façon, elle m'a écrit qu'elle ne me contactera pas sans mon consentement. Je me fixe l'objectif de tenir jusqu'au 19 juillet, j'aurais vu ma psy. Et surtout c'est la veille de son départ en vacance que je lui souhaiterais bonne. Ça fera une semaine de SR +/-. Après le SR sera forcé puisqu'elle sera injoignable.


Depuis hier soir, c'est vraiment difficile. J'ai le cœur qui se serre. Des phases de lassitudes/dégoûts et de colère. Et je ne peu rien laissé transparaître pour ma compagne. Je dois faire comme si de rien n'était. Mais elle se rend bien compte que je vais très mal depuis plusieurs jours. Idem pour une ex devenue une amie.


J'essaye de faire un peu de sport pour me défouler.


Je matin, je me suis retrouvé en contacte avec son mari (Nous avons une activité commune tout les trois). Lui aussi percevait que j'allais mal, aussi il a voulu être sympa avec moi pour me changer les idées. Tout ce que je désirais c'était fuir et il insistait. :lol: (la situation était digne d'une comédie, mais ça n'était pas vraiment amusant à vivre...)

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Woaw, c'est... bizarre.


Tu en es encore à la phase de dévastation. C'est la plus douloureuse, et malheureusement, en sortir est indépendant des effort que tu peux accomplir. On ne peut que laisser du temps au temps.

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Je suis à une réunion de notre passion commune via internet. Je dois faire comme habitude pour ma copine (officielle) qui s'inquiète beaucoup de mon mal être. J'aurais préféré éviter. Même si bien entendu, je suis content de l’entendre. Elle ne parle pas beaucoup, mais elle a l'air d'allez. Mieux que lorsqu'elle hésitait. Bien que c'est comme s'il était en colère contre moi. Peut-être à cause de mon SR imposé. Son mari se porte comme un charme par contre. J'ai l'impression d'être le seul dévasté. J'essaye de faire comme si ça allait mais c'est pas facile. Faut que j'écourte. Manque de bol, c'est aujourd'hui, qu'il ont décidé de faire une grosse réunion... :(
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