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SR entamé le 25 juin


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Bon, je sais que c'est pas évident, mais il fut que vous arriviez a trouver un terrain d'entente "entre adultes"....même si la discussion n'est pas aisée, essaye de lui faire comprendre que pour l'instant aucune décision de justice n'a été rendue, et que le fait de garder les filles contre ta volonté ne va vraiment pas l'avantager devant un juge....ne fais pas passer ça pour une menace ou du chantage, mais quand il te dit il n'y a pas de négociation, et bien si. Il n'a pas le monopole des décisions, surtout en ce qui concerne vos enfants...

Il faut que vous puissiez vous mettre d'accord rapidement sur la logistique en attendant la décision du juge, mais il faut que vous preniez les décisions a deux. Les adultes, c'est vous, vous n'êtes pas des chiffonniers, ou des enfants qui vous battez pour un jouet.

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Mais tu penses qu'une reconquête est toujours possible après de nombreux mois dans notre situation ? En fait j'ai trouvé des textes qu'il a écrit qui montrent dans quelle mauvaise passe professionnelle, physique, psychique, il était des derniers mois. Je pense que malgré sa légèreté apparente mon projet de maison le renvoyait à ses échecs mais qu'il était trop fière pour l'avouer. Là il a dit que l'ironie de notre situation c'est qu'il allait sans doute de voir se mettre à bosser (je pense que c'est son avocate qui lui a conseillé pour mettre toutes les chances de son côté, mais n'ayant jamais travaillé (au sens, horaire de travail, patron, etc...) à 40 ans, je ne sais pas ce qu'il pourrait trouver). Mais au fond de moi, je veux croire que cette passe pourrait lui ouvrir les yeux.
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En fait, je pense que la com n'a jamais été notre fort. Cf mon roman dans « votre histoire », je tombe enceinte fin 2007, jamais on n'a évoqué la question du mode de garde. C'était tacite entre nous. La normalité aurait voulu qu'on en parle, même si c'était pour en arriver à la conclusion qu'on a appliqué. Et je trouve que cette "anecdote" est à l'image de ce que fut notre mode de communication.

Et là ben le système trouve ses limites :\

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Ah je resitue...c'est vous qui êtes entassés dans un petit appart du centre ville ok ok....


Ecoute, je vais peut être être un peu cash, mais tu as déja été très très très patiente...je en doute aps que cette situation te convenait sinon tu ne l'aurais aps acceptée, mais tu penses vraiment que tu ne mérites pas mieux qu'un ado attardé qui vit sa ptite vie tranquille sans trop se soucier d'autre chose que sa ptite personne au final?


Même si une rupture n'est jamais facile a vivre, ca peut être aussi le début d'autre chose...pour toi, pour lui....quand a se remettre ensemble après de nombreux mois...mon père et ma mère se sont remis ensembles après.....24 ans de séparation, pendant lesquels il a fait totalement le mort....donc rien n'est impossible. Mais vraiment, essaie de te concentrer un peu sur toi. je pense qua là, c'est le plus important. Et vivre une rupture dans le conflit n'est pas indiqué pour se remettre sur pied. Alors oui, c'est pas facile d'éviter les conflits, mais il faut que ca reste...décent on va dire.

Il y a des mots, des actes, qui font qu'on atteint le point de non retour, et il ne faudrait pas que vous en arriviez là.

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C'est clair que la situation me convenait dans une certaine mesure... Je ne demandais qu'une chose exporter notre vie à 10km de là, en trouvant un endroit proche des écoles/commerces/etc... Finalement, dans nos grande ville, une vie de quartier se rapproche beaucoup d'une vie dans une commune de l'agglomération. Ses déplacements étaient concentrés, une boulangerie, une moyenne surface, l'école à proximité... Alors certes pour se faire une toile, il aurait dû prendre les transport en commun, mais c'était selon moi une concession réalisable. Professionnellement, il restait à domicile, j'assurais déjà la logistique pour transporter les cartons de livres depuis l'imprimerie, et je le conduisais quand il fallait faire un dépôt dans une librairie ou la logistique des grosses courses. J'avais alors aussi du temps pour moi, pour mes loisirs. Il existe bien des couples où monsieur travaille et madame est à la maison, nous c'était l'inverse, mais ça pouvait fonctionner.
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coucou, j'ai 42ans, dépacsée du père de ma fille, il n'y a pas eu de juge familial, nous nous entendons bien certes depuis la séparation et avons mis en place une garde alternée (chacun son tour 1 semaine sur 2), d'après ce que j'ai compris tu veux le récupérer mais là il me semble essentiel de veiller au bien être des filles, ce que tu fais probablement, lui a déjà quelqu'un dans sa vie, alors il est impératif de mettre l'organisation des enfants en place avec ton "ex", c'est entre toi et lui je ne vois pas en quoi sa mère intervient, ne laisse pas faire cela, c'est lui qui a fauté et le boss c'est toi, le fait de vouloir le récupérer : c'est autre chose il faut te montrer forte et ne lui montres pas que tu es mal en point il pourrait s'en servir pour les filles, ne te laisse pas faire je sais c'est pas facile courage
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Il a récupéré les filles ce soir à la crèche et à l'école avec sa mère. Je ne les ai pas vus. Je croise les doigts pour qu'ils les ramènent dimanche soir. Pour la suite, je suis encore incertaine. J'ai téléphoné à mon avocate, et voilà ce qu'elle me dit : "ben si vous ne voulez pas lui les donner, vous ne lui donnez pas, c'est aussi simple que ça". Je suis restée scotchée... Comme je l'avais été lors de notre 1ère entrevue. C'était le 12 juin, je voulais m'assurer que j'avais bien le droit de réintégrer le domicile ou déménager, et elle m'avait dit "booo, mais vous pouvez aller où bon vous semble, ya pas problème". Je lui ai donc demandé si je ne risque pas d'en subir le préjudice après, mais selon elle, il n'y a pas de décision de justice à ce jour, je n'enfreins rien donc, et je peux ne pas lui laisser les filles. Mais je sais alors que sa colère sera monstre !
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Je te recopie ici ce que j'ai écrit dans l'autre post à propos de ses parents


Mais juste une précision : ses parents donc, enfin surtout sa mère, car je n'ai que très peu d'écho du fond de la pensée de son père, le soutienne mordicus ! J'avoue que je ne comprends pas bien comment des gens qui ont bossé dur toute leur vie pour acquérir ce qu'ils ont aujourd'hui, peuvent cautionner un tel mode de vie, mais c'est ainsi.


En fait, ces gens ont accumulé presque une dizaine d'appartements au fil des années. Le fils ainé débute des études dans notre ville (~1990) hop ils investissent dans un premier T1 pour lui, trois ans plus tard C. débarque à son tour pour les études, hop ils investissent dans un autre T1, l'appartement sur le même palier que le premier est en vente, hop ils achètent, 10 ans plus tard, le dernier rejeton arrive à son tour, hop ils lui refilent l'appart de C. et achètent un bien plus grand pour C. et sa copine de l'époque, je tombe enceinte, hop ils achètent cet appart pour nous, etc... Tous ces achats sont en fait effectués sous forme de SCI, sociétés civiles immobilières constituées des cinq membres de la famille (et hop bye bye les frais de succession le jour où ils ne seront plus là, mais tout ça englobé dans un bon discours de syndicalistes de gauche). C'est donc à ma demande, que nous avons trouvé cet arrangement : ils m'ont fait signé un bail à mon nom exclusif, et je leur versais un loyer équivalent à celui que je percevais de mon locataire.


Donc au fil des années, tout ça a commencé à me peser. D'autant plus que qui dit SCI dit déclaration fiscale, que seule madame maitrise. Donc depuis notre PACS signé en 2009, chaque année, on avait droit à des chiffres sortis du chapeau, dont je ne comprenais ni les tenants, ni les aboutissants. En gros, c'est belle-maman qui gérait sa partie de notre feuille de déclaration commune. J'ai donc commencé à émettre des réserves sur le sujet, à vouloir notre indépendance vis-à-vis de ça. Mais personne n'a jamais voulu me comprendre, ni C., ni ses parents. Même le fait de les mettre face à leurs incohérences politico-fiscales ne les ébranlait pas. C'était donc très tendus entre eux et moi aussi.


Quand, j'ai décidé de stopper le payement du loyer en septembre 2012, je n'ai pas averti C. Je suis donc restée des mois dans le questionnement : savait-il que je ne payais plus ses parents ? Le lui ont-il dit ? Je n'ai eu la réponse qu'en février 2013, lorsqu'au détour d'un mail, sa mère me glisse "par ailleurs nous n'avons pas reçu de loyer de ta part depuis le mois de septembre, nous te demandons de bien vouloir régulariser la situation, en plusieurs mensualités si ça t'arrange". Tu, tu, tu ! Et C. dans tout ça ? Je lui ai donc répondu que c'était de question, je lui ai rappelé que cette décision était motivée par le fait que je les rendais responsable d'avoir ainsi déresponsabilisé leur fils, et qu'ils n'avaient qu'à demander sa part à C. Et là elle me réponds : "mais tu es l'unique titulaire du bail". En gros, c'est pas le problème de C. c'est mon problème !!! Leur fils n'a rien à voir là dedans.


Donc les derniers jours, sentant que cette histoire partait de plus en plus en eau de boudin, et repensant à cette première psy et à mon "judéo-christianisme" j'ai donc décidé de lâcher sur cette question, d'en prendre mon parti, par contre un chez nous adapté à notre famille, ça j'y tenais plus que tout. Et le samedi 1er juin, j'ai donc présenté mes excuses à sa mère... et je lui ai dit que je lâchais pour les histoires fiscales. Oui, oui, le samedi 1er juin ! Ce jour-là même où je découvrais son infidélité.


Ce fameux week-end du 1er juin, alors que ni C. ni "sophie" ne décrochait leur portable, pas plus que le téléphone de la chambre d'hôtel, c'est peut-être con, mais j'ai rappelé sa mère pour lui faire part de l'ironie de la situation, à savoir que le jour même où je me décide à leur présenter mes excuses, j'apprends qu'il est en train de s'envoyer en l'air avec une autre. Passé la surprise, parce qu'elle se demandait quand même si j'avais des preuves de ce que j’avançais, et semblait fortement en douter, elle a fini par me dire que je l'avais bien cherché, que j'avais mené C. à bout ses deux dernières années, et que pour la tromperie, je pouvais m'assoir dessus comme nous étions simplement pacsés. Elle m'a aussi dit que C. obtiendrait la garde de ses filles, qu'il n'y avait pas de raison, lorsque dans un couple, c'est monsieur qui travaille et madame qui est au foyer, on donne bien la garde à la maman et le papa verse une pension alimentaire, donc selon elle, c'est ce qui va arriver dans l'autre sens. Voilà pour la mentalité de la belle-mère !


Quand j'ai eu accès aux mails de C. j'ai pu d'ailleurs lire un échange entre eux, où sa mère certes se désolaient de la situation pour nous et les petites, mais où elle écrivait que quelque soit sa décision, elle et son père le soutiendront jusqu'au bout.


Aujourd'hui, je sais qu'il est à la recherche d'un appart dans le quartier pour pouvoir exercer pleinement son droit de garde. Je ne sais pas s'il cherche une location ou un achat, mais dans tous les cas, il ne peut pas se payer ni un loyer, ni un prêt. C'est donc ses parents qui vont payer pour lui.


Donc bon, trouver un terrain d'entente avec ses parents est très compromis !

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T'es sure ? Parce que par exemple ma belle-mère n'est pas foutue aujourd'hui de reconnaitre que c'était à mon initiative qu'un loyer a été mis en place. Elle ment comme elle respire. Elle ne reconnait pas une seule seconde qu'elle a pu me dire un jour ou l'autre : par exemple que les filles n'avaient en rien besoin d'une chambre, ou qu'elle me traitait d'enfant gâtée, etc... Donc ça sera parole contre parole, et je n'ai malheureusement pas de preuves écrites :\
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Non, mais devant le juge ca se joue entre lui et toi, pas entre toi, et lui et ses parents...et la réalité, c'est que lui ne travaille pas,n'a pas de revenus alors que toi oui...et puis les juges sont plus enclins a laisser la garde a la maman...donc ne te fais pas trop de soucis la dessus...et tu as bien quelques échanges de mails comme tu le relates dans ton message!
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Ah je resitue...c'est vous qui êtes entassés dans un petit appart du centre ville ok ok....


Ecoute, je vais peut être être un peu cash, mais tu as déja été très très très patiente...je en doute aps que cette situation te convenait sinon tu ne l'aurais aps acceptée, mais tu penses vraiment que tu ne mérites pas mieux qu'un ado attardé qui vit sa ptite vie tranquille sans trop se soucier d'autre chose que sa ptite personne au final?


Même si une rupture n'est jamais facile a vivre, ca peut être aussi le début d'autre chose...pour toi, pour lui....quand a se remettre ensemble après de nombreux mois...mon père et ma mère se sont remis ensembles après.....24 ans de séparation, pendant lesquels il a fait totalement le mort....donc rien n'est impossible. Mais vraiment, essaie de te concentrer un peu sur toi. je pense qua là, c'est le plus important. Et vivre une rupture dans le conflit n'est pas indiqué pour se remettre sur pied. Alors oui, c'est pas facile d'éviter les conflits, mais il faut que ca reste...décent on va dire.

Il y a des mots, des actes, qui font qu'on atteint le point de non retour, et il ne faudrait pas que vous en arriviez là.

 


Whou 24 ans ?! J'avais jamais vu ça !


Quand a ababdge, je suis loin de connaitre ta situation ayant 20 ans également... Je ne sais pas si mes conseils seront pertinents, vraiment, mais en lisant tout ça il semble que tu aies d'abord surtout besoin de réorganiser ta vie. Il faudrait vous voir et parler d'un mode de garde, en attendant une vrai décision du JAF. Parler calmement, entre adultes, pour le bien être de vos filles, et éviter qu'il les prennent les week end où tu avais prévu un truc. Ce qui fait qu'en plus tu avais des projets et tu te retrouves des week end entiers toute seule ,un peu normal de craquer le dimanche soir ensuite. Donc voila une discution et une mise en place de qques règles s'imposent, en effet t'as été assez gentille comme ça.


C'est normal de penser à une reconquête, mais désolée de ma franchise, dans ces conditions ce n'est pas possible. D'abord vous devez vous organiser pour les filles, et ensuite grace a cette organisation tu auras moins de contact avec, tu pourras t'organiser pour que qqun, ta maman par exemple, les récupère ou vienne quand il vient les chercher pour que tu n'aies pas a le voir. Et vous arreterez les engueulades succesives et les prises de tete. Un total silence radio n'est pas vraiment envisageable dans le cas des enfants et de la garde partagée... Mais comme je le dis, quand les chses seront en place vous aurez moins/peu de contacts, et la tu pourras te reconstruire, prendre de la distance et aller mieux.. Et si il doit y avoir reconquête ce sera la...

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