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rupture apres un an pour absence de libido


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bonjour , son ego est blesse a mort dis tu ? mais le mien d'ego ? tu crois qu il en a pas pris un cou aussi ? je lui ai dit ça car il me disait ne plus avoir de libido et je me demandais si inconsciemment il n avait pas senti cette infidélité d'un soir ? moi je l avais sur la conscience alors comme il m avait tellement fait mal je le lui ai aussi peut etre lance pour pas passer pour la pauvre fille qu on laisse sur le chemin
Moi aussi je suis divorcée au bout de 25 ans de vie commune..moi aussi j ai du mal a me reconstruire....il m avait fait des promesses il aurait du se taire .
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[quote="abysses"]bonjour , son ego est blesse a mort dis tu ? mais le mien d'ego ? tu crois qu il en a pas pris un cou aussi ? je lui ai dit ça car il me disait ne plus avoir de libido et je me demandais si inconsciemment il n avait pas senti cette infidélité d'un soir ? moi je l avais sur la conscience alors comme il m avait tellement fait mal je le lui ai aussi peut etre lance pour pas passer pour la pauvre fille qu on laisse sur le chemin
Moi aussi je suis divorcée au bout de 25 ans de vie commune..moi aussi j ai du mal a me reconstruire....il m avait fait des promesses il aurait du se taire .[/quote]
personne n est ici pour juger et je m excuse si je t ai énervée c'était pas le but évidemment je ne sais pas tout donc....mille excuses
par contre si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi 90 % des gens sur ce site recouche avec leurs ex qui les ont largués surtout les dames ....CHEZ les hommes c'est mécanique mais chez vous mesdames ayez un peu de fierté et surtout ca n arrange rien meme si ca peux etre tentant et certaines ont des excuses comme abysses que je peux comprendre mais la plupart svp arretez de coucher avec votre ex c'est la pire des choses si vous voulez qu'il vous aime un jour
moi homme j'en meurs d'envie mais meme par respect de mon ex et surtout de moi meme il m est impensable de le faire sauf dans mes reves suis je normal ? messieurs répondez ....
j'attend des réactions et surtout abysse reconstruit toi encore un peu et ne crois jamais quelq un qui te fait des promesses comme ca s il ne les tient pas tu ne seras pas décue dans le cas contraire tu auras tout a y gagner et ce sera meilleur courage on est la pour se soutenir
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je sais qu une personne devrait etre heureuse par elle même, que nul ne devrait avoir le pouvoir de rendre quelqu un heureux ou malheureux ....je sais tout ca...mais les tripes font différemment. je souffre. D'autant plus que j'ai le sentiment d'avoir tout raté dans ma vie affective...et d'en etre la seule responsable . car mes tripes prennent le dessus sur mon cerveau.
J'ai quitte mon ex mari pour un coup de foudre. Pourtant j avais eu ce coup de foudre pour lui, 25 ans auparavant.....nous avions 19 ans, il était le premier garcon que je connaissais. 15 ans plus tard nous avions une petite fille. Six ans plus tard nous nous sommes mariés car nous voulions changer de region pour aller plus au sud et aupres de la famille . je suis partie seule pendant trois ans en attendant qu il puisse nous rejoindre.J'avais trouve du travail.
Jamais nous n avons eu de disputes. Nous etions différents, lui renfermé et casanier, moi jalouse et entreprenante.Mais je l aimais tellement .
Pourtant....un an apres le déménagement....je suis tombée amoureuse d'un autre homme.
Et la tout a bascule. Au debut nous nous voyions platoniquement puis un soir six mois apres notre rencontre nous avons eu une relation. etre amoureux ca devrait etre le nirvana, la j 'ai connu l enfer. j attendais pour parler a mon mari je me disais que je ne pouvais pas faire ca mais c'etait plus fort que moi, j avais l impression d etre aux commandes d'une voiture sans frein. j avais perdu 8 kilos je ne mangeais plus je ne dormais plus j avais l impression de ne plus etre dans la vie mais de la regarder s'écouler derriere une fenetre.
Mais j'aimais mon mari. je n'avais plus pour lui cette passion des premiers jours mais je l aimais. Et la passion me tenait le corps, je me sentais vivre, je sentais ces auts de dopamine puis cette descente vertigineuse qui me creusait un vide.....c 'aurait ete enivrant si j avais eu 18 ans.
J'ai tout dit a mon mari. il a fait une déprime. je n'ai pas pu renoncer . nous avons fait une cohabitation pendant trois ans a la maison....je vivais chez nous quand il etait au travail, car il a un logement de fonction, il venait chez nous et je partais quand il etait en repos. nous avions l impression de protéger notre fille . en fait de cette facon je n'ai pas été confrontée à la conséquence de mes actes. mon ex mari en ne partant pas ne m a pas permis de réaliser la séparation. ce n'est qu apres le divorce que j ai realise...surtout que la personne de qui j etais amoureuse etait separée mais pas divorcée et que nous nous voyions quelques fois par semaine .Mais quand je sortais de chez lui...je me disais qu apres avoir vecu ce que je vivais avec lui...je pouvais mourir tranquile.
Mon mari a eu des liaisons pendant ce temps d'aveu et avant le divorce, qui m ont fait tres mal et j ai eu des acces de colere et de violence. Je sais que c'est paradoxal vu ce que je lui faisais. c'etait en fait le desespoir...je voulais lui dire sois avec moi ...laisse moi le temps que cette folie me passe reste avec moi je t aime .....
J ai fais une tentative de suicide . je n'en pouvais plus . je voulais que cette souffrance qui me rongeait s'arrete. apres ca j ai retrouve un peu de lucidite... pour ma fille...
Mon ex mari a trouve une copine qui vit dans les dom tom de ce fait il est souvent en voyages....lui qui n'aimait pas prendre l avion.....il ne me parle que peu depuis 2011....il ne veut même pas dejeuner avec moi....il a peur depuis mes acces de violence.
Chaque matin quand je me réveille il me manque, mais je ne lui dis rien car il a refait sa vie et je lui ai fait beaucoup de mal.
ma famille me manque....
Celui pour qui j ai quitte mon mari n'etant toujours pas divorce, il m intimidait et je n avais pas parle avec lui de mes peurs de ma peur qu il revienne avec sa femme ..de ses voyages ou je me demandais s'il restait chaste...de cette impression que j avais de ne vivre que la partie sexuelle de son amour.. on ne se voyait que le soir chez lui....cela faisait 5 ans qu on etait ensemble...c'estait pour moi comme une addiction....plusieurs fois j ai essaye de rompre car je lui disais qu il ne me donnait pas la possibilite de vivre completement cet amour pour lui et qu il etait fuyant...mais chaque fois je suis revenue tant unabime souvrait devant moi impossible a appréhender.
C'est la l an dernier que j ai rencontre celui pour qui je suis ici sur le forum....son enthousiasme, la vie sociale qu il me proposait, la presentation qu il a impulse de nos enfants respectifs, les je t aime et textos tous les jours ...bonjour mon amour ...bonne nuit mon amour.....on fait que je suis tombee dans un amour profond...trop ...car je me suis oubliée en chemin...et je crois que c'est ce qui a etouffe son amour car comment désirer ce que l on a déjà,?? Il représentait pour moi l issue, le myen de quitter celui qui ne voulait pas s engager et avec qui je n'avais pas la force de rompre.
J ai donc vecu cet amour pour le troisieme, mais le second l apprenant m a fait comprendre qu il souffrait qu il ne comprenait pas ...que bien que nous ne vivions pas ensemble et qu il n ait pas acheve son divorce il me considerait comme sa femme...et c'est la que j ai passe une nuit avec lui, car nous avons enormement parles, je lui ai dit tout ce que je ne lui avais jamais dit et lui a pu me repondre et me parler aussi ...
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[quote="entero"]moi homme j'en meurs d'envie mais meme par respect de mon ex et surtout de moi meme il m est impensable de le faire sauf dans mes reves suis je normal ? messieurs répondez ....[/quote]Je ne sais pas si tu es normal, faute de l'être moi-même. Mais en ce qui me concerne, j'adore coucher avec mes ex, avec mes amies, avec des embryons de relations qui auraient pu marcher et que j'ai laissées pourrir (et maintiens en vie artificiellement, malgré tout) ... Avec tout ce qui n'est pas une copine fixe, en fait. J'aime bien sauter des inconnues, mais je préfère avec une ex, ou une amie. Une fille avec laquelle il reste quelque chose d'inachevé, une tension, une gêne, une culpabilité, un regret, un simple souvenir un peu encombrant ou mystérieux.

Je doute d'être tout-à-fait normal sur ce point-là. Mais j'ai si peu d'intérêt pour les gens tels qu'ils sont, que j'aime à rêver/fantasmer/dresser les femmes. J'aime ces mélanges d'intimité physique, "évidente", et de maladresses, de craintes, d'éloignement affectifs. Je ne conçois l'érotisme que sur un mode plus ou moins transgresso, et ce qui me fait bander c'est le caractère insaisissable, doux-amer, contrasté, à géométrie variable du lien. Concrètement ? Je ne me lasse pas de me coller à des filles qui sont à des années-lumière de moi, sans s'en rendre compte. Pas plus que je ne me lasse de repousser celles qui m'importent, et doivent le sentir.

Il n'y a que dans ces moments que le sexe peut compter vraiment. Non plus comme démonstration primitive, comme gage de ce qui est. Mais sublimé, douloureux, profond, comme contre-levier du réel, comme le symbole de ce qui n'est pas ou plus, et qui aurait pu être. Je n'aime pas redire à coups de bite ce que je peux tourner plus efficacement avec mes mots ou mon regard. J'aime le sexe en cela justement qu'il me permet d'exprimer ce que je ne peux pas ou ne veux pas dire autrement. La baise ne doit pas être un "langage alternatif" mais le silence. Ou la contre-vérité. Elle n'est pas là pour répéter le sentiment, mais pour le feindre quand il n'y en a pas, ou le nier quand il y en a trop. C'est pour cela que je méprise la baise comme osmose, comme fusion, comme partage. Les grandes baises, celles qui me marquent, sont des espace-temps particuliers, des "bulles" de disjonction, de conflit, de rupture, qui viennent moduler et dégrossir le reste ... Pourquoi commettre un bête unisson quand on peut broder des contrepoints infinis ? C'est là que ça commence à devenir rigolo. A devenir significatif, cruel, psychanalytique, beau. C'est là qu'on retrouve les grandes matrices discrètes de notre paysage érotique et affectif. Elles sont toutes là, à portée de la main. L'esclave-jouet, le con denté. Maman 1 et Maman 2 Et Maman 3 ... et Maman 1000.

C'est en acceptant de dépasser un instant la vérité déclarée, qu'on accède à la vérité plus profonde, au monde discret. C'est dans cet espace brut et déconstruit que l'essentiel nous apparaît clairement. Les âmes, les choses mêmes cessent d'être des blocs d'histoire, de la donnée en tube, et redeviennent sous nos yeux ce qu'elles ont toujours été et qu'on avait perdu de vue : des avatars illimités. Innombrables, absolus, irréductibles, inconciliables. C'est là qu'on comprend que cette fille qu'on appelle "Julie, la salope du Carmen, mignonne mais con", ou "Sarah, ma meuf à moi, que j'aime depuis 4 ans et que je vais épouser", selon le cas, peut être prise totalement. Julie, Sarah ... sont nos esclaves tristes, nos chiens enjoués, les déesses inquiétantes et incomprises qui nous martyrisent quand la lumière est éteinte, des putes et des saintes, des sorcières, des monstres, des coeurs purs, les serpents du jardin d'Eden, les 4000 mères différentes qu'on a eues et qui se partageaient le même corps sans que ça choque personne d'autre que nous quand on était môme, la fille dont on a rêvé une nuit et dont on était fou amoureux (celle qu'on a perdue au réveil en essayant de la fixer dans notre mémoire, et qui nous a brisé le coeur en s'évanouissant pendant que la nostalgie nous empêchait d'apprécier nos corn flakes avant d'aller au collège). Si on veut retrouver toutes ces choses dans les femmes qu'on baise, il faut déconstruire. Sans violence, sans coups de masse. Il faut faire du contrepoint, il faut tisser le potentiel ... en détricotant le réel.

Edit : Et je souris en me relisant, je me rends compte que je vais (encore ?) passer pour un frappadingue et un raseur. Mais je suis assez content de mon paragraphe et te remercie : sans toi, je ne me serais sans doute jamais emmerdé à mettre en forme ces idées, que j'ai toujours ressenties très viscéralement sans parvenir à les théoriser jusqu'ici. C'est mal écrit parce que je suis encore un peu bourré, mais il me semble que j'ai enfin réussi à nailer le principal. Je remettrai ce brouillon au propre quand j'aurai dormi et cuvé.
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Je ne parlais pas ici de désir au sens conventionnel du mot, chez un homme. En général, je baise "à l'industrielle", parce que c'est le volet physiologique du désir masculin. Me want hole, me get cunt. Mais parfois, rarement, je tombe sur des filles un peu spéciales. Comme les quelques "ex" que j'ai pris soin de garder sous le coude, les quelques fuckfriends qui m'ont toujours inspiré un truc un peu spécial. Et là, un nouveau besoin se fait jour en moi, celui que je décrivais plus tôt. Je ne sais pas vraiment comment classer ce truc. Parce que ça ne peut passer que par la baise, mais ce n'est pas vraiment ma libido qui parle, dans ce genre de moments. Et je ne suis pas sûr de connaître le mot français qui me permettrait d'isoler cette part de mes besoins. Une envie de rencontre "métasexuelle" ?

J'admets volontiers l'idée qu'il y a une forme de perversion là-dedans. En cela que c'est un dévoiement de ma libido standard. Mais ça ne peut pas rentrer non plus dans les paraphilies. Donc, ni du sexuel, ni du parasexuel, ni de l'antisexuel. Il faudrait créer une rubrique métasexuelle pour ce genre de sentiments.

Il existe dans le paysage de la variété française un gentil déglingué qui répond au nom de Gérard MANSET. C'est un brave flippé comme on en fait beaucoup, l'une de ces fleurs qui poussent à l'ombre des "artistes sérieux", et que certains fétichistes écouteront encore dans 60 ans en essayant d'en faire un génie méconnu, égal à Trénet ou Gainsbourg. Il est fait pour les hommages posthumes. Il a un certain style dans l'écriture, mais ne pond que des conneries, plus ou moins angoissées et paranos. C'est un fin musicologue, mais il n'a jamais su trouver un seul riff efficace. Un talent de seconde zone, pour faire court. L'un de ces "esprits supérieurs" inférieurs. Je me suis toujours beaucoup amusé de sa production, creuse et tourmentée, adolescente. Mais au détour d'une chanson, "Entrez dans le rêve", on trouve les seuls vers acceptables de ses 30 ou 40 ans de carrière :

"Découpez le monde à coups de rasoir,
Pour voir, au coeur du fruit, le noyau noir."

Depuis que je suis tombé là-dessus, j'ai développé un genre de mépris tendre pour cet énergumène. Parce que je crois qu'il a mis le doigt, de manière assez lourde et malhabile, sur le fond de mon sujet. C'est le fond de mon existence en deux lignes.

Je me suis toujours senti déconnecté, et en toute occasion, je travaille à mettre à mort et saccager le réel qui m'entoure, pour retrouver la vraie vue, la vraie vision, une nouvelle perspective plus exhaustive. Avec les femmes, en particulier, qui m'ont toujours fasciné par le fond de leur nature, sans jamais m'intéresser par la forme qu'elle pouvait prendre. Pour dire les choses comme elles sont, je crois que les femmes aussi, les femmes surtout, il faut les découper à coups de rasoir pour voir, au coeur du fruit le noyau noir. Et si je pense que mon modus operandi est personnel, il me semble qu'il est l'extension d'une préoccupation masculine fondamentale : se réconcilier avec la laideur du monde grâce à la femme.
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[quote="abysses"]si tu vois le monde laid tu soffres[/quote]Oui et non. Je souffre plus qu'un être insensible ou crétin. Mais je ne le regrette pas. Je souffre comme tout être conscient et supérieur, d'une souffrance qui humanise, qui raffermit la foi et les convictions. Rejeter la souffrance, c'est inviter la mort.
[quote="abysses"]si tu ne peux desirer sans aimer c'est triste[/quote]Je peux très bien désirer sans aimer, puisque je n'aime pas et désire.
[quote="abysses"]et si tu ne peux desirer sans perdre ton ego[/quote]Gné ?
[quote="abysses"]ni sans ne plus rien maîtriser tu n'as jamais connu le nirvana[/quote]Je ne comprends rien à ce que tu dis. Qui parle de maîtriser quoi que ce soit ?
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[quote="abysses"]c'est vrai je ndevais avoir le cerveau embrume quand j ai ecrit ca ..je voulais dire si tu ne peux que desirer sans aimer c'est triste[/quote]L'amour est une question transversale. On peut aimer en désirant, ou pas. mais en l'occurrence, je parlais d'autre chose. Par ailleurs, je pense que si l'amour n'est pas un frein au désir, la "bienveillance absolue" qu'on nous vend comme son corollaire tue tout érotisme un peu intègre. Je trouve très difficile de désirer ... sérieusement, si on commence par me couper les ailes en me disant que le deal c'est de ne vouloir que du bien à ma partenaire du début à la fin. Je vois les bonnes baises comme des expériences initiatiques intégrales, avec ce que ça comporte de souffrance, de haine pure et dure, etc ...
[quote="abysses"]et je pense que pour acceder au nirvana on perd son ego et on accepte de ne plus rien maîtriser.[/quote]J'imagine que le Nirvana, si tant est qu'il existe, n'est pas unique. Mais ça n'a pas grand rapport avec ce que j'essayais de dire. Il s'agissait de lancer l'idée d'un genre "d'intégrité sexuelle". Je veux baiser comme je parle : librement, sans concession, pour créer une interaction pleine. Je tiens pas spécialement à ce que mes échanges avec les gens soient tranquilles. Ou gentils. Ou mignons. Je tiens à ce qu'ils soient complets. Et bien sur un plan horizontal, c'est ainsi que j'aime fréquenter me amies, mes "ex" : je veux pouvoir tout dire. Et le seul moyen pour moi de rester intègre sexuellement et affectivement, d'échapper au "moule de l'amour", c'est de contredire par le geste ce que j'envoie par le verbe. Je ne connais que ce biais pour apporter la juste nuance, pour créer une expérience totale.
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Je ne suis pas capable en ce moment de reflechir ni de me poser les bonnes questions.
Je vais me griller aux examens....je n ai pas pu travailler...pourtant il savait que j allais les passer samedi 22. j en avais passe deja le 8 et le week avant encore j etais en stage....loin des yeux loin du coeur on dit...
Moi je veux desirer et peut etre aimer simplement...avec mes 5 sens.....l ouie pour sa voix, l odorat pour son parfum, le toucher pour sa peau; le gout pour ses levres.
Ne pas penser ne pas refléchir....
Me laisser aller...
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