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C'est décidé, ça sera SR


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Well … je dois confesser ( :oops: ) que j'attendais le récit de l'entrevue …

Là, tout de suite, à chaud et de mémoire, je pense à [i]un amour de Swann[/i], lorsque Swann qui fut amoureux fou d'Odette pendant des années, qui fut donc, comme il se doit, heureux et léger, puis jaloux et souffrant, traînant son spleen et ses sentiments élevés (les moins élevés le traînant parfois) finit par constater des années plus tard :

"[i]Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre ![/i]"

Et puis Goethe, [i]oeuf corse[/i] :mrgreen: : "[i]erst das Auge schafft die Welt[/i]" seul un regard peut créer le monde.

JoliDragon, tu m'as l'air très sensible au parfum. Les phéromones, damned. Ton cerveau reptilien joue des tours à ton neocortex, mais ce coup ci c'était bien fait pour le neocortex :roll:

Tu as eu le sentiment … de ne plus l'aimer ?
Et aujourd'hui, le lendemain donc, tu ressens encore la même chose ? Parce que, secondaire que je suis (et intéressée par la chose dans le cas, improbable pour l'heure, où j'envisagerais de revoir l'ex un jour), je tends à me méfier des lendemains, et aussi des jours d'après les lendemains. Bon, après quelques jours, je m'autorise à penser que c'est peut-être gagné … mais rarement avant, car il arrive que les sentiments me rattrapent. Bêtement, je te l'accorde, mais ils le font parfois. :evil:

Si le mieux persiste, en revanche … Superbe reconquête … de toi.

I'm impressed … :D

And HAPPY for you, Girl. :D
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Il n'y a rien à confesser, il était entendu d'avance que vous auriez droit à la suite de mes (mes)aventures.
Pour le parfum, je n'y avait pas pensé avant. Mais lorsqu'il est arrivé et que j'ai eu droit à la première "salve" d'une longue série du parfum dont il s'était aspergé, j'ai réalisé que j'avais échappé "au pire" :mrgreen: .
J'adorerais annoncer sans le moindre doute que je ne l'aime plus, hélas, les choses sont comme souvent plus subtiles que cela. Mais je continue de penser que cette soirée à marqué pour moi un cap important.
J'ai passé tellement de temps à trouver que les heures défilaient bien trop lentement, avec cette impression que les choses n'évoluaient pas, que j'expérimentais toutes les nuances "d'aller mal", sans jamais pouvoir me satisfaire des "mieux" à cause des rechutes à venir. Désormais, j'ai un nouveau point de référence, un jalon qui me permet de mesurer l'étendue du chemin accompli.
Il y a eu une époque où la simple idée de le voir "en ami" suffisait à me renvoyer au plus profond de mon gouffre. Puis, l'idée me semblant "acceptable", j'ai tenté l'expérience, bien trop tôt. Je n'ai gagné qu'un moment atroce, l'avoir en face de moi, les tripes retournées par l'envie de lui prendre la main, de lui dire que je l'aime encore, que je refuse cette séparation. Le cœur en lambeaux de ne recevoir aucun signe d'espoir, malade à l'idée de devoir continuer à exister en trainant toute cette douleur. Puis le dernier repas fait avec lui, rendu un peu moins pénible par ma décision que ce serait le dernier avant d'entrer en SR. J'étais au moins prête à "affronter la réalité de ma rupture" les yeux dans les yeux.
Jeudi, j'ai enfin pu aller manger en sa compagnie et [b]simplement[/b] passer un moment agréable avec lui, sans plus penser ni à ce défunt nous ni même à un moyen de le ramener à la vie. Pouvoir faire avec lui ce que je fais naturellement avec [b]n'importe qui[/b]! J'ai été bien le lendemain, même bien tout le week-end. En fait, dimanche soir à la partie, j'ai même eu l'impression que "l'ambiance" entre nous était un peu moins "plombée". Même si aujourd'hui mes émotions sont venues frapper un instant à ma porte, je suis mieux équipée pour ne pas les laisser s'installer.
J'ai encore des sentiments pour ce petit bonhomme, de la curiosité, de la tendresse, de la colère parfois, peut-être est-ce encore de l'amour, mais ce n'est plus cette espèce de rage aveugle et incontrôlable qui me dévorait il n'y a pas si longtemps que ça.
Quelle drôle de course, les émotions championnes du sprint, la raison qui fini par reprendre l'avance car plus endurante, mais qui ne se méfie pas assez des sentiments qui attendent au tournant :lol: .

[i]Bon à mon tour de me confesser... je crois que mes coups de blues sont de moins en moins dus au fait de ne plus être avec lui, mais à l'idée d'être seule dans des moments pas toujours faciles, thérapie oblige... difficile parfois de ne pas laisser son esprit s'accrocher à l'image la plus "proche" d'un autre dont on ressent le besoin...[/i]
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Je comprends, et je retiens, l'idée de "cap important".
Effectivement, même si les sentiments en dînant à nouveau avec celui qu'on a aimé (ou qu'on aime encore, va savoir … :? ) sont forcément plus complexes qu'on ne le voudrait, mettre quelques "caps" sur le chemin qu'on est en train de parcourir est une bonne idée.

Une sorte de matérialisation du temps qui passe. Une chronologisation (ça existe ? :D ) périodique du parcours. Une vérification de l'évolution. Ma foi … peut-être devrais-je, à l'occasion y penser.

La seule chose qui m'arrête, pour ma part, dans l'idée de recontacter mon ex, pour lui proposer un RV, c'est que j'éprouve encore pas mal de rancune contre lui. La colère a, je crois, disparu (en tout cas pour le moment), mais je conserve au coeur du ressentiment. Il a dynamité ma vie (bon la sienne aussi, mais c'est la sienne, hein), et détruit ce qui fut, pendant si longtemps, "nous". Et tout ça pour … une bimbo qui ne sait parler que de fringues et de soirées. :shock:

Je pense donc plus sage d'attendre (extrêmement sagement, donc :mrgreen: ) que cette rancune s'estompe. Le détachement commence, et franchement, ça fait tellement du bien que par moment j'ai l'impression d'être en vacances, mais … je ne veux pas risquer, en le revoyant, de dire des choses que je regretterais ensuite. Parce qu'elles seraient forcément inférieures à l'idée que je me fais de moi-même … Vanité, quand tu nous tiens … :mrgreen:

Pourtant, vérifier l'évolution des sentiments peut aussi aider à avancer. Et rien de tel pour cela que d'avoir l'être infâme … oups, pardon … l'ex aimé en face de soi.

Félicitation, en tout cas, pour ta gestion de la soirée. Et pour la qualité d'analyse ensuite !

Et les émotions versus le mental (la raison) … oui, c'est le truc qui me surprend le plus tout au long de cette période. Le contraste. Par moment, je trouve la vie triste, par moment je trouve la vie gaie, mais quoi qu'il en soit, je la trouve toujours intéressante. :D C'est déjà ça.
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Coucou vous tous,
je ressors (enfin) de ma tanière pour quelques nouvelles.
Sortie de ma tanière donc, dans laquelle je m'étais un peu retirée pour méditer encore. Des questions, des meta-questions mêmes, la valse de idées a battu son plein ces derniers jours. A ce sujet, merci Puppis, je n'ai pas fini de me triturer les méninges sur les hexagrammes, mais en attendant, grâce au yi-king, une chose importante m'est revenue à l'esprit: poser les bonnes questions est au moins aussi important que les réponses que l'on peut obtenir.
Retirée aussi sans doute pour passé un autre cap important dans le calme, celui des six mois sans lui. Cela commence à faire long, mais "paradoxalement", il a été bien moins douloureux que certains de ces prédécesseurs. L'impression que nos contactes sont plus simples au club s'est confirmée dimanche dernier. Lentement mes blessures guérissent.
Il y a bien eu quelques bas, mais c'est un peu comme s'ils trouvaient de moins en moins prise sur moi. Mercredi dernier, soirée voiture en panne dans un parking, à attendre le dépanneur dans un Kébab pendant presque deux heures. Le comble dans tout ça, l'accélérateur à mauvais filme, penser qu'au même moment, mister mon ex était dans la salle de spectacle située à moins de 500m de là. J'aurais peut-être du profiter de l'occasion pour lui crever les pneus finalement... Ce qui est étonnant, c'est que ce petit nuage de morosité s'est évaporé le lendemain soir aussi subitement qu'il était apparu.
Sinon, un peu d'anxiété à l'approche des vacances, peur qu'elles se déroulent comme les dernières, d'une effroyable rechute. Elles aussi balayées à une vitesse surprenante.
Arrivent donc mes premières vacances de Pâques sans lui, peut-être aussi mes premières vraies vacances "de lui". Deux semaines sans contacte, puisqu'il n'y aura pas de partie ce dimanche. Deux semaines de ce qui ressemble de moins en moins à un SR. Un peu de nostalgie à cette idée, mais surtout le constat surprenant que je ne me souvenais plus de ce que nous avions fait l'année passée à cette occasion, que j'ai même oublié le goût de ses lèvres...
Mon premier anniversaire sans lui, mes premières vacances d'été sans lui, puis la boucle sera bouclée, la page peut-être définitivement tournée...
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  • 2 semaines après...
Bonjour Dragon Joli,

J'ai suivi ce fil jusqu'à aujourd'hui (j'avais un peu de retard)... je n'ai rien à ajouter à la sagesse de vos dialogues et analyses qui m'amènent à penser pour ma propre situation. Je partage cette idée que se poser les bonnes questions est essentiel. Pour l'anectode... sentir un parfum familier (ayant appartenu à une demoiselle chère) dans le métro par exemple me trouble toujours autant. Aussi je comprends que l'on mette en exergue toute la dimension de l'olfaction. ;)

Es-tu retournée dans ta caverne chaude et protectrice, ou as-tu volé par dessus les montagnes depuis ton dernier message ?
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Coucou Spirit, Theo, Karen, Puppis et tous les autres...
[quote="Spirit"]Es-tu retournée dans ta caverne chaude et protectrice, ou as-tu volé par dessus les montagnes depuis ton dernier message ?[/quote] En bon petit dragon, mes vacances m'auront servi à faire les deux, ça et aussi (surtout) me ressourcer un grand coup. Rien de vraiment extraordinaire, le calme, le temps de vivre, le soleil, les amis... quelques jours de bonheur paisible. Pas mal de repos aussi, dont j'avais visiblement bien besoin, une cure de sommeil à donner des complexes à une marmotte en hibernation! Après des mois de sommeil perturbé, cela a été plus que salutaire.
Mon fil rouge aura vraiment été des vacances "de lui", je m'y suis tenue. A grand coups de pieds dans le derrière parfois, dans les moments d'une humeur délicieusement cyclothymique, avec la joie de constater que j'en était à nouveau pleinement capable. Je crois que j'ai retrouvé la recette qui chasse sanglots et larmes avec des formules magiques toutes simples, même toute seule chez moi.
Du temps pour moi, pour les autres, pour me retrouver et commencer à me trouver tout court peut-être. Plus les jours passent, plus je goute à la saveur divine de la liberté. Les souvenirs se font plus doux, la douleur, la colère, le maque, ces sentiments asservissants s'estompent de plus en plus. En bon petit reptile, j'ai parfois besoin d'une bonne mue.
Pourtant, je ne l'oublie pas, même dans les moments de bonheur sans lui. Chaque individu est unique, il est des moments où personne ne le remplacera jamais... Difficile toujours d'envisager une suite dans laquelle il aurait définitivement disparu de ma vie, alors même que je semble avoir bien avancé dans le deuil de notre histoire. En fait, je me demande si l'erreur, ce n'était pas ce "nous" finalement, si nous n'aurions pas du simplement en rester à cette belle amitié des débuts. Je m'attendais à ce que certaines de nos différences ne nous rendent pas la vie facile, mais au final, je crois que c'est certains de nos ressemblances qui ont eu raison de nous, drôle d'ironie. le prochain chapitre se dessine lentement, pas forcement simple, mais définitivement moins tourmenté. Une idée au fond de moi qui semble plus importante que la reconquête (au sens JRMiste): le dialogue. Sortir enfin des échanges polis et détachés du SR, (re)trouver le chemin de la communication...
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Hello, JoliDragon !

Rentrée de vacances, ce truc de ouf où on n'a même pas le temps de se parler à soi-même, je viens lire le récit (qui date un peu à présent) de tes nouvelles aventures. On dirait bien que tu es passée à la saison 2 de la célèbre série "[i]l'Amour et les Dragons[/i]".

Communication … oui. Certes. Bien sûr. Evidemment.
C'est marrant, mais depuis quelques jours, comme je me sens agréablement (quoique relativement) détachée j'y pense aussi, pour mon ex qui, dans un avenir encore indéterminé (et quand MOI je l'aurais décidé, et non lui) sera mon ami pour toujours. On ne se refait pas : on peut aimer davantage, on n'aime pas autrement. Et je suis amie, profondément, avec mes deux ex-ex, avec qui j'ai partagé des années de vie. Pas de raison, donc, que cela change. A part me quitter bêtement, pour une conne qui plus est, il ne m'a pas fait de mal.

Mais ne penses-tu pas qu'il est un peu tôt (pour toi, je veux dire) ?[size=85] Es-tu bien sûre d'avoir dépassé le champ de navet ? :mrgreen: [/size] S'agirait pas de se faire du mal en se voulant du bien, tout de même, surtout après le cataclysme récent qui nous a fait nous retrouver, et nous rencontrer, ici. Moi, je suis plus prudente, pour le moment, tu vois, même si, effectivement, forte de ce que je crois être un bon début de détachement, j'éprouve par moment de grandes envies d'amitié avec M. l'Ex.
Il est vrai que le mien est avec une autre, alors forcément, je crains un peu de ne pas toujours être aussi sereine que je voudrais l'être si nous nous reparlons.

J'aime bien les dates [size=85](les dattes aussi, mais ça n'a strictement aucun rapport auquel je puisse penser d'emblée, donc je ne m'attarderai pas sur le sujet :mrgreen: )[/size]: je me fixe septembre pour le recontacter d'une manière "détendue". En attendant, j'avance d'un bon pas vers le champ de navet. ;)

J'espère que tout va bien, au pays des dragons ascendant marmottes, donc. :D
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Bonsoir tous, JoliDragon-marmotte toujours en vie...
Toujours en train de garder un oeil sur ce forum, comme s'il s'agissait de mon trésor, mais manquant un peu d'énergie et d'idée claires pour des interventions pertinentes. Sorry...
Enfin, ce soir j'ai grand besoin d'un exutoire, de rédaction thérapeutique, car hélas, je pense que je me débat encore pour trouver la sortie du champ de navets...c'est qu'ils ont des racines coriaces... Dans quelques jours les 7 mois et je suis bien loin d'avoir tout résolu. Preuve en est l'agitation que je ressens ce soir, cette sensation détestable que mon inconscient se met en branle, mais que je ne parviens même pas à comprendre quelle est l'énigme du moment. Grrr!
Derniers évènements, un sms pour lui proposer d'aller essayer une nouvelle adresse pour des sushis il y a 12 jours, sans réponse aucune... jusqu'à hier ça allait. Puis, vous connaissez la chanson, hier après-midi, le voila qui s'insinue dans mes pensées pour une fois de plus en perturber le cours...
La suite risque de ressembler à un vaste brainstorming... reflet de l'état de mes idée en ce moment. Si vous avez l'impression qu'à défaut de stagner je tourne un peu en rond, c'est normal, enfin, tout du moins j'ai aussi cette sensation. Désolée d'avance, répétition et carences d'analyse en perspective.

Collisionneur ON!!!

Le manque n'a pas disparu. Il se manifeste "simplement" dans des circonstances différentes et se fait vraiment inopportun. C'est quand je sens que je vais bien, quand je vis des choses agréables, lorsque je fais des projets de sorties avec les amis... Comme si je ne pouvais pas juste en profiter pleinement. Une partie de moi souhaiterait qu'il soit là pour les partager avec lui. Ceci engendre un coup de cafard, accentue le manque, alors même que me connaissant, s'il était effectivement là, je claquerais sans doute la porte par besoin de m'isoler. Pas chiante la dragonne...

Je ne regrette pas d'avoir entrepris une thérapie. Je sais au fond de moi qu'il n'y a qu'à ce prix que je débarrasserais de certaines de mes entraves. Pas de regret mais parfois beaucoup d'abattement, c'est tout sauf une partie de plaisirs croyez moi. Si je n'étais pas un peu masochiste, je ne suis pas certaine que j'aurais continué :lol:... L'un des soucis avec la thérapie, c'est que la fuite est impossible. Les mécanismes qui m'ont permis de passer les épreuves, je n'y ai plus le droit. Deux fois par semaine, accepter de les désamorcer, de mettre mes émotions à nu, de m'exposer dans toute ma vulnérabilité... Moi qui "cultive" sans effort l'art d'être un énigme vivante, non pas un mais tout un éventail de masques pour ne jamais totalement révéler qui je suis... A moins simplement que je ne le sache justement plus... Je pensais qu'au bout de quelques semaines les séances deviendraient plus simples, mais en réalité c'est tout le contraire. Au quotidien, se blinder, remettre ma carapace pour me protéger (cancer que voulez vous...). A chaque séance, vaincre l'inconscient qui refuse de s'en défaire. J'ai l'impression que si je me sens globalement mieux, la résistance de "l'ennemi" se fait de plus en plus forte... C'est tellement absurde, je me rends là-bas sans la moindre hésitation, mais dès que je prends place sur le siège, je n'ai plus rien à dire. Chaque avancé se paie pas un déluge de larmes et parfois je me suis même surprise ces derniers temps à ne pas pouvoir dire certaines choses à ma thérapeute. Un numéro de jonglerie en équilibre sur un fil, qui risque de durer à cette cadence pendant encore de longs mois. Ma seule consolation rationnelle est de penser que j'en avais donc VRAIMENT besoin et que je n'aurais jamais pu m'en sortir seule...

Que mon inconscient se manifeste pour me dire que le dossier n'est pas classé en le faisant encore figurer régulièrement au générique de mes rêves, passe encore, je crois comprendre où il veut en venir. Mais alors pourquoi diable fait-il ressurgir un passé bien plus lointain? Pourquoi me fait-il le retrouver LUI? Le deuil est fait depuis longtemps, alors pourquoi ais-je du LE retrouver plusieurs fois ces dernières nuits?
Modifié par JoliDragon
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Je comprends tout a fait ton etat d'esprit. Oui 7 mois mais quand on a mal par amour, le temps ne se compte pas toujours en mois. Pour moi ca fait 3 mois, et je peux te dire qu'il ne se passe pas une heure sans que je ne pense a lui.
Tu ne tourne pas en rond, tu essaies d'avancer a ta vitesse et de temps a autre une petite tempete se met sur ton chemin et il faut attendre que la pluie s'arrete de tomber pour pouvoir reprendre la route.
Il n'y a pas d'echelle pour tourner la page et ca m'enerve les gens qui disent qu'on aurait deja du tourner la page parce que ca fait x mois... Chacun va a son rythme, c'est un marathon et non un sprint que l'on fait la. Un jour tous les JRMeistes, on franchira la ligne d'arrivee. certains l'ont deja fait d'ailleurs.
Courage jolidragon, viens nous parler quand ca va pas.
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Merci beaucoup pour tes encouragements.
Je fulmine contre moi-même ce soir, il y a tellement de choses que je sais déjà, mais j'ai encore besoin de mettre mes émotions "chéries" au diapason, pour mieux passer les avis de tempête... Quand ces dernières ne mènent pas le bal, ma patience est immense. Je SAIS qu'avec le temps, ils sont mes meilleurs alliés...
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