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une façon de voir la rupture et de la (re)vivre


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Oui ça se passe toujours bien, on progresse. Je n'ai pas remarqué de changement dans son comportement, c'est toujours le même, il est plus à l'écoute c'est sur. Il a envie que ça marche je le sens. C'est surtout moi qui ait changé. Mais au final, je n'avais rien à lui reprocher. Il sait où il a merdé, mais ce n'etait pas dans son comportement quotidien. On s'est toujours bien entendu, et on s'entend toujours bien. Je l'ai retrouvé comme il était, et comme je l'ai aimé, je ne voulais pas de quelqu'un d'autre.

 

Comme c'est beau à lire Flow, bonne chance

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C'est super si vous progressez, j'imagine que tu dois faire preuve de beaucoup de patience encore.

Le mien a souhaité que l'on se donne une autre chance,il a refusé que je coupe le contact... depuis j'accepte de lui parler, on a même passé une bonne soirée ensemble depuis .... mais son mal être, ses peurs font qu'il reste encore très distant, bref des paroles et pas vraiment d'attention mais je n'espere plus rien comparé à avant et essaye de vivre les instants. c'est pas évident...

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Ah j'ai vécu ça Féria, on s'est remis ensemble une 1ere fois, au bout d'un mois de rupture... Il était distant, passif, "j'ai peur de te refaire du mal" etc... J'essayais de prendre sur moi, mais au bout d'un moment ça a été plus fort que moi j'ai craqué, et je lui ai dis "bon dis moi ce qu'il se passe, parce que là ca sert à rien". Et il a rompu, pour de bon cette fois ci...
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  • 2 semaines après...

tu as vu juste Flow75!! j ai craquer hier soir... j ai essayé de prendre sur moi pour vivre l instant present, on a passer de super moment mais evidemment toujours des questions en tete qui me bouffe la cervelle je crois... je n'arrive pas a comprendre pourquoi il veut une chance, me dit qu'il a des sentiments et reste si distant, il ne m a meme pas rajouter sur fb mais ne se gene pas pour aimer les photos d autre fille, c est futile et ca ne prouve en rien qu il est mal intentionnee mais voila je doute... donc hier soir je lui est signifié que je n'allais pas trop bien et je lui est demandé ce qu'il ressentais ou il en était... sa réponse : il a de l'affection mais a du mal a l exprimer, qu il ne veut pas se precipiter, prendre son temps et pas se sentir oppressé, il m'a demandé si je pouvais pas simplement vivre le moment présent sans me prendre la tete ? Il ressens des choses pour moi mais ne pas me promettre que ca va evoluer, qu il est plus certain de rien et veut laisser le temps faire son oeuvre, qu il est toujours désolée mais qu'il ne peut pas faire mieux pour l'instant...

Breff je sais vraiment plus quoi faire... j'en ai marre de le quitter car je tiens à lui et n'accepte jamais vraiment ma rupture et moi non plus d'ailleurs...

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Le début de reprise d'une histoire aprés rupture ne doit pas être évident à gérer.

Certainement autant voire plus que la rupture en elle-même.


C'est clair que pendant un certain temps, ce sera fragile, il faudra être patient, attentionné sans en faire trop.

Tout ne peut pas repartir comme avant. Chacun restant sur la défensive.

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@ kikette

 

un jour j'ai lu ceci ici et sa ma donner les larmes aux yeux :::


""""on aime sans doute quelqu'un parce qu'il nous renvoie quelque chose qui nous parle de nous.Quelque chose d'enfoui que cette personne vient réveiller.Quelque chose qui nous sort de l'anonymat,qui nous révèle unique,puisqu'on pense l'être pour cet autre qui paraît avoir cheminé vers nous,et nous seule."""


voila pourquoi on arrive pas à tourner d'une histoire sans nuage qui à beaucoup compter à notre coeur

 

Badidon, c'est de moi ça !!


je vais demander des droits d'auteur, ça arrangera bien ma situation financière...



Plus sérieusement moi ce qui me fait pleurer, c'est que ça t'ait fait pleurer, parce que je me dis que merde, mon ex devrait quand même lui aussi être bouleversé...



D'ailleurs, lui non plus ne rompt pas le lien, même si c'est plus subtil que vous, mais c'est un fait, et on en est à R+7 (en mois)...


En fait, quand je raconte mon histoire que je n'ai pas postée tout le monde, sans exception me dit qu'il m'aime toujours...


C'est bien ça l'horreur...

Et il a 53 ans !!

Et il a vécu 30 ans avec la même...

Alors, vous voyez, tout se voit, c'est pas une question de peur de l'engagement, c'est plus la peur de souffrir chez lui, tout en ne concevant l'amour que dans la souffrance... je le sens je le sais...

En fait, ses références, c'est Jeux d'enfants ou les enfants terribles...

Un peu incestueux, mais surtout, la souffrance qui exalte les sentiments...


Pourtant, on allait aussi faire nos courses au supermarché, on est abonnés au gaz et à l'électricité, et il peut pisser devant moi...

Donc, pas toujours des amants magnifiques.

Et on n'a pas d'enfants à fabriquer, c'est déjà fait ( pas ensemble).


Donc, l'enjeu, c'est juste de nous aimer...


Il me reproche qu'on se déchire, mais en fait, ça fait partie de son trip...


Bref, bravo Flow...


Quelque chose en moi, mais pas que en moi, des faits, me dit que c'est pas fini. Mais moi aussi je ne fais plus d'efforts...

Qui vivra verra...

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Et ce qui est bien avec l'amour c'est qu'il est fait de plein de choses !


Mon ex parle d'amitié, de complicité : c'est une excellente base pour un amour.


Elle dit qu'elle a l'impression de m'abandonner comme un enfant (rapport à mon passé): c'est aussi un lien.


Un peu de fraternité, de séduction, de sexe... ben ça donne de l'amour.


Et puis la peur de l'engagement... dingue comme c'est répandu !

 


NON !!


L'amour c'est aussi ça, mais ce n'est pas ça.

Ce n'est pas amitié + sexe.

Ni tendresse + sexe

Ni temps passé ensemble, épreuve ensemble, + sexe.


Ni séduction + tendresse...



C'est tout ça... et d'autres encore, PLUS le truc complètement irrationnel, souvent totalement insignifiant pour les autres, mais qui fait écho en nous et en l'autre.

Et c'est ça qui nous fait mal quand on perd l'autre.


Ce n'est pas se sentir abandonné, ça c'est de la dépendance affective.

Non, c'est une impression de perte. Ce qui est différent.



Je vais me reciter moi-même, mais pour que ça soit aussi fort que même les saloperies objectives qu'on se fait ne parviennent pas à faire passer l'autre à la trappe, c'est qu'il existe un quelque chose inconscient qui, oui, nous parle de nous, résonne en nous.

Ca nous ramène à l'enfance, à l'adolescence, à nos douleurs, nos joies, mais ce n'est pas analysable rationnellement...


Je ne suis pas complètement d'accord avec ce que Pascale Piquet cite aujourd'hui sur le blog du site.


L'amour, ce n'est pas deux personnes heureuses seules qui se joignent pour l'être encore plus.

L'amour, c'est bien deux névroses compatibles, sinon, ça s'appelle une union de raison.

Or, justement l'amour ce n'est pas du domaine de la raison, sinon, on resterait seul, puisque objectivement, à partir du moment où nous savons nous nourrir seul, soit environ vers 7 ans (et chez les Spartiates, c'est à cet âge que les citoyens confiaient leurs enfants à la Cité), comme par hasard, "l'âge de raison", ou celui de la scolarité obligatoire à un an près selon le pays...



Et ce n'est pas seulement le besoin de se reproduire et d'élever les jeunes, sinon, on n'aimerait plus passé la ménopause, ou en n'ayant pas ou plus envie d'enfant...


Pascale Piquet dit des choses intéressantes, beaucoup même, mais elle est humaine elle aussi. Et penser qu'elle détient la vérité de 6 milliards d'individus sur des millénaires d'histoire de l'humanité...

Non.

Avouer qu'on ne sait pas, tout simplement...

Et arrêter de tout vouloir psychologiser et rationaliser.


On ne peut que faire des constats, essayer de limiter les dégâts, mais ça fait partie des questions existentielles, pas des réponses...


Pourquoi vit-on finalement, c'est si absurde...

Que sont nos existence,s l'univers, la vie et la mort des galaxies ?

(Et Dieu dans tout cela ?)




Deux petits textes


Ça ressemble à la Toscane douce et belle de Vinci

Les sages et beaux paysages font les hommes sages aussi

Ça ressemble à des images, aux saisons tièdes, aux beaux jours

Au silence après l´orage, au doux toucher du velours


C´est un peu comme ces musiques qu´on entend sans écouter

Ces choses qui n´existent jamais tant que le manque qu´elles ont laissé

Ça ressemble à ces grands-routes, sans virages, sans détour

La dolce vita sans doute

Mais en tout cas, c´est pas d´l´amour


Ça ressemble à la sagesse, à ces paix qu´on signe un jour

Juste au prix de nos jeunesses, sans trompette ni tambour

C´est plein de baisers caresses, plein de mots sucrés d´enfants

Attestation de tendresse, rituel rassurant

Harmonie, intelligence et raison ou sérénité

Complice connivence, autant de mots pour exprimer tout ce que c´est


C´est un peu tout ça tour à tour

Mais en tout cas, c´est pas d´l´amour


Sans peur et sans solitude, le bonheur à ce qu´on dit

Y a bien des vies sans Beethoven et sans avis

Pourquoi pas des vies sans cri


Mais qu´on soit contre ou qu´on soit pour

Et en tout cas, c´est pas d´l´amour


C´est pas d´l´amour

C´est plus d´l´amour




Et celle-ci :



Comme un fil entre l´autre et l´un

Invisible, il pose ses liens

Dans les méandres des inconscients

Il se promène impunément


Et tout un peu tremble

Et le reste s´éteint

Juste dans nos ventres

Un nœud, une faim


Il fait roi l´esclave

Et peut damner les saints

L´honnête ou le sage

Et l´on n´y peut rien


Et l´on résiste on bâtit des murs

Des bonheurs, photos bien rangées

Terroriste, il fend les armures,

Un instant tout est balayé


Tu rampes et tu guettes

Et tu mendies des mots

Tu lis ses poètes

Aimes ses tableaux


Et tu cherches à la croiser

T´as quinze ans soudain

Tout change de base

Et l´on n´y peut rien


Il s´invite quand on ne l´attend pas

Quand on y croit, il s´enfuit déjà

Frère qui un jour y goûta

Jamais plus tu ne guériras


Il nous laisse vide

Et plus mort que vivant

C´est lui qui décide

On ne fait que semblant

Lui, choisit ses tours

Et ses va et ses vient

Ainsi fait l´amour

Et l´on n´y peut rien

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Oh moi aussi Ranya, je me suis fait incendiée par pas mal de gens ici. "Tu te fais marcher dessus" "il joue avec toi, il se fout de ta gueule", "tu es ridicule" etc... Que des gentillesses ! Le SR tu le fais quand tu n'as plus rien à dire, et plus la force de continuer à te battre, tu le fais seulement pour te proteger toi et pas pour attendre que l'autre réagisse.


Mes peurs commencent à se dissiper, il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs, le temps est un allié

 


Pffff...


Bien sûr que tu as eu raison !!


On confond deux notions : l'orgueil et la dignité.

En amour, l'orgueil n'a pas sa place.

La dignité en revanche, oui.


Dire les non dits, tenter de lever les malentendus, à partir du moment où ce ne sont pas des suppliques, c'est juste digne.


Au moins, on ne reste pas (trop) avec cette impression que la rupture vient d'une incompréhension qui n'a pas pu être levée.

Ca met la balle dans le camp de l'autre, et ça permet de se dire sereinement ou presque, que s'il ne revient pas, c'est que l'amour n'était pas là, ou pas assez fort, ou que l'autre est un tocard...


Mais au moins, nous, on s'ôte un énorme poids, celui de la culpabilité...


Et ensuite, le SR se fait tout seul, ou presque...

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Sincèrement, comment faire un silence radio alors qu'on a le crâne bourré de question et d'incompréhension ? Comment fermer le livre ? Il y manquera toujours la fin, et on en aura pas terminé avec l'autre ni avec soi même !

C'est peut être égoiste de vouloir mettre la balle dans le camp de l'autre, mais ça nous permet à nous de se décharger d'un poids, et d'avancer le coeur plus léger. La décision ne nous appartient définitivement plus, et on ne peut pas forcer quelqu'un à choisir. Et la raison prend la place des sentiments.


Le silence radio s'impose tout seul, parce qu'on a plus rien à dire tout simplement. Et c'est presque, un soulagement !

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J'ai l'impression d'avoir toujours quelquechose à dire, de toujours en vouloir plus, je n'arrive pas à faire confiance, j'ai besoin d'être rassurée... à outrance... C'est usant pour moi comme pour lui, alors je me tais, et parfois je me ferme sans raison. Mon entourage est là pour me rappeler mes peurs constamment, j'ai l'impression de ne pas pouvoir vivre mon histoire sereinement. Alors oui il est là, me parle d'avenir, me dit des choses, je n'arrive pas à m'en contenter. J'ai toujours ce sentiment intense de le perdre à nouveau et de revivre ça, je n'ai pas la sensation que ça lui traverse l'esprit. Il sait que je suis là, je suis trop là, mais pourquoi je devrais faire semblant ? Pourquoi je devrais me forcer à imposer des distances ? J'aimerais pouvoir être sincère dans mes sentiments et ma façon d'être. Je ne sais pas si on en est au même point, j'ai l'impression de l'aimer plus qu'il ne m'aime, j'ai l'impression de mal l'aimer. De vouloir le posséder. Sans confiance tout est biaisé de toute façon. Quand je lui demande, il me répond souvent "sinon je ne serais pas là", malheureusement, ça ne suffit pas. Comment lui faire comprendre ? Sans aucun effort de sa part, je ne peux pas reprendre confiance en lui, et si je ne lui fais pas confiance, c'est moi qui vait le payer. Il fuit les conversations, et refoule un tas de questions qu'il a peur de se poser.

Est ce que j'en demande trop ? Est ce que je ne devrais pas laisser le temps recoller les morceaux, panser les blessures afin que les questions s'envolent et que la confiance gagne du terrain.


J'ai besoin de preuves, alors souvent il me rassure par un geste, un mot, où je sens qu'il est là, vraiment. J'en veux quand même plus, pourquoi est ce qu'il ne me parle pas plus de ses sentiments ? Parfois j'ai envie de tout plaquer plutot que de prendre le risque de revivre tout ça, parfois je me dis que s'il n'était pas revenu aujourd'hui je serais reconstruite et plus sereine. J'ai voulu récuperer un handicapé affectif, à moi d'en assumer les conséquences...

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La peur de l'abandon... Ça vaut bien la peur de l'engagement!

=> Il faut que tu surmontes ça! Tu vas tout gâcher si tu te focalise sur l'éventualité que ça ne marche pas...


Trouve un moyen d'améliorer la communication avec lui.


Pourquoi pas un journal intime "de couple"? L'écrit permet parfois de mieux travailler les mots, d'exprimer sans risque d'interruption ses pensées, ses envies. Vous laissez à tour de rôle votre ressenti dans ce journal, et l'autre peut lire ça à loisir. Ou alors commencer une correspondance email? Les moyens de communiquer ne manquent pas à notre époque, et si le dialogue face à face ne fonctionne pas très bien pour parler de certains sujets, d'autres médias peuvent se révéler plus faciles à appréhender pour lui?


En tout cas, évite de lui mettre la pression, cherche plutôt à lui donner un maximum envie de passer du temps avec toi ;) (surprends-le, sois aux petits oignons, mais également espace peut-être un peu plus vos moments ensemble, pour qu'ils soient plus intenses)

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Ahaha reconstruireavecelle ! Tu sais qu'après mûres réflexions je me suis demandé si le phobique de l'engagement c'était lui ou moi... Il a un gros avantage sur moi, il a une capacité à refouler qui dépasse l'entendement. Alors que moi, je me perd dans des pensées sans fin ! Je mouline, je surchauffe, je suranalyse... C'est infernal, je cherche un exutoire sinon c'est lui qui risque de le devenir et je n'ai pas envie de ça. Je te remercie de ta réponse, elle m'a fait énormement de bien, parce que je préfère savoir que le problème vient de moi et pas de lui, c'est bien plus simple à gérer.


Il faut que je trouve un moyen d'arrêter de penser à outrance, et de vivre l'instant présent sans me torturer le cerveau sans cesse. Et même lui me le dit, il faut que j'arrête, parce que je me pourris la vie.

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Flow, j'ai connu ce que tu racontes avec mon ex quand il est revenu...

Passées les premières semaines où il parlait, ensuite, j'ai eu comme toi affaire à une personne qui considérait que puisqu'il était revenu, le problème était évacué...


Mais, pendant la rupture, il a couché...

Et il a eu besoin de me le dire... il était malheureux comme tout, il a considéré qu'il me devait cet aveu... SAUF que ça a pourri la relation, parce que, comme je lui disais, c'était à moi de lui prouver deux fois plus que je l'aimais...


J'aurais voulu ne rien savoir, mais lui s'est libéré et à moi de me démerder avec cette bombe...


Et quand je lui disais "mais si moi j'avais fait pareil", il me répondait que ça serait insupportable pour lui de m'imaginer avec un autre...


Donc, parler, oui, mais à la condition que l'autre en ait envie...

Et quel que soit le media, le papier, le mail, ce qu'on veut, si l'autre ne veut pas comprendre qu'on ait besoin de sa parole pour que la peur cesse, c'est foutu.


Le problème, c'est que, moins l'autre parle, plus on prend peur, et le cercle vicieux s'amorce...


Ce n'est peut-être pas que tu sois dépendante affective ; c'est que le rapport dominant/dominé est soigneusement entretenu par l'autre, peut-être pas volontairement, enfin, je veux dire, qu'il ne le formule peut-être pas, mais comme il reste dans l'ambiguité, sans doute parce que c'est trop douloureux pour lui aussi, ça entretient ce déséquilibre...


Juste assez pour survivre et trop peu pour t'enfuir, voilà ce que te donne ton compagnon...

Donc fatalement, il entretient chez toi l’insatisfaction.


Si tu ne veux pas devenir folle, le salut ne viendra pas de lui, sois en sure.

Mais de toi-même. C'est à dire qu'il faut que tu arrives à voir son retour comme la conséquence de sa dépendance à lui, et non pas penser qu'il est revenu par dépit, ce qui te fait psychoter et penser qu'il repartira dès qu'il aura trouvé mieux.


Mieux, ou plutôt, autre chose, il y aura toujours.

Modifié par Püpschen
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Et je me réponds : pour savoir si tu es dépendante affective, demande toi si pendant la rupture tu es allée en voir un autre.

Si c'est oui, tu es peut-être dépendante affective. Si c'est non, c'est que tu ne l'es pas.


Alors, oui, peut-être que le sentiment amoureux crée une dépendance, mais dans ce cas, nous sommes tous dépendants...


C'est l'attitude de l'autre qui engendre cette dépendance la plupart du temps.


C'est comme la jalousie : sauf cas pathologiques rares, on n'est pas jaloux dans l'absolu. C'est l'attitude ambiguë de l'autre qui crée ce sentiment. L'autre qui entretient la montée des enchères, justement parce qu'il n'est pas sûr de lui, en nous montrant qu'il peut plaire à d'autres. Mais la personne qui n'a pas besoin de se prouver ça tout le temps, ou de le prouver à l'autre, est équilibrée... Non ?

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