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[quote="Marie60"]Tu as peut-être raison Algo (tu m'as l'air bien sûr de toi), mais pour ma part j'espère que tu te plantes complètement. Chaque histoire est différente, il y arrive un moment où il faut dire stop au SR et l'envoyer boulet ne faisait pas parti de mes options de réponses, sachant que je suis ici, bel et bien pour le récupérer. Et mon égo n'a rien à faire dans cette histoire, car je préfere encore la position de "largué" que celle de "largueuse"..

Je suis surement naïve mais j'y crois encore et je pense que cette "reconquête" est plutôt bien parti.

Je vous remercie tous pour vos conseils et votre solidarité dans cette épreuve qui est loin d'être évidante... Je vous souhaite beaucoup de courage dans votre reconquête.

Au revoir et merciiii encore pour votre aide. (Je n'oublie rien de vos conseils.)[/quote]
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C'est parfait! Il fallait que tu le reconnaisse POUR TOI POUR AVANCER...
Je t'ai suivi de A à Z Marie, j'ai pris le temps de t'accompagner durand tout ton séjour sur le forum donc je te connais bien, il fallait que tu le fasse Marie... Maintenant, je te laisse entre les mains des Forumeurs, pour ma part, je me retire définitivement de ton topic, parce-que j'estime que je ne mérite pas le ton que tu emploi avec une personne qui beaucoup donné pour toi, et qui à tenter de tout son coeur de t'aider, puis de te protéger...

Bonne chance pour la suite...
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Salut Marie

ça va pas te plaire, mais tu dois couper les ponts avec lui et le temps de faire ça, surtout ne pas le revoir ni chez toi ni chez lui et ne pas recoucher avec lui.
Il faut absolument que tu fasses d'autres activités avec lui, car je suis sûre que ça doit dater la dernière fois que vous êtes allé au ciné, ou au resto...

tu es devenue son plan cul.

désolée Marie.
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Re UneFemme,

Oh oui ça date de debut décembre...

Il m'a contacté ce midi pour prendre de mes nouvelles, j'ai pas repondu et j'en ai pas l'intention non plus. Je ferais le point en fin de semaine car il était prévu qu'on passe la semaine prochaine ensemble...
C'est bien ce que je pense aussi mais lui me dit que c'est faux car il a des sentiments pour moi...

Merci pour ta réponse !
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Vis ce que tu as à vivre, j'avoue ne pas avoir lu les 35 pages.
Mais si j'ai bien compris, il te prenait plutot pour le plaisir, ca a cass", et tu es retombée.
Tu es consentente; Alors le profil "profite du jour sans se soucier de demain" te vas bien... pour le moment.
C'est difficile, ca fais souffrir, mais tu est la seule à avoir la clef. Penses tu qu'il t'aime vraiment (c'est ma question pour toi)
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Bonjour Juliazen,

Honnêtement je suis assez mitigé sur la question.
D'un sens je me dis que oui car c'est toujours lui qui fait le premier pas, qui revient vers moi après les disputes, il reste possessif, il m'a présenté à sa famille dernièrement, il réagit plus ou moins quand je lui fais des reproches en essayant de faire des efforts (même s'ils ne sont qu'à court terme) et puis surtout il continue de me le dire alors que moi je ne le lui dis plus...

Mais de l'autre côté je me dis aussi que non car il n'a pas toujours des mots tendres avec moi, il n'est plus attentionné et surtout il est incapable de se poser avec moi ! Enfin, je lui demande pas une demande de me faire une demande en mariage, mais juste qu'on officialise notre relation.
C'est ce blocage que je comprends pas et qui me fait douter, car il me dit qu'il ne va voir aucune autre femme et m'interdit d'aller voir d'autre homme. De plus, ce week-end il m'a dit que si je voulais, on pouvait se voir pour autre chose que le sexe (alors que la semaine d'avant il venait de me dire le contraire...). Donc qu'est-ce qu'il y a de diffèrent entre nous et un autre couple ? Je vois pas ce qui lui fait peur...

Après je sais pas, peut-être que le problème vient de moi et que je suis trop exigeante... Dites-moi ce que vous en pensez.
J'ai conscient que je suis loin d'être facile à vivre. On a des caractères assez forts et explosifs tous les deux, et j'ai deux gros défauts, celui d'être bornée et boudeuse ce qui n'arrange pas du tout l'affaire...
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[quote="Marie60"] J'ai conscient que je suis loin d'être facile à vivre. On a des caractères assez forts et explosifs tous les deux, et j'ai deux gros défauts, celui d'être bornée et boudeuse ce qui n'arrange pas du tout l'affaire...[/quote] Ce qui me met sur une piste... qui ne reste qu'une piste évidement...
Dis-mois si tu y vois des similitudes ou non dans ton caractère?

[b][u][size=150]Borderline : des clés pour comprendre[/size][/u][/b]

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité borderline – ou état limite – luttent au quotidien contre une hyperémotivité envahissante. Retour sur une maladie psy imprévisible, tant pour la personne atteinte que son entourage.

Véronique Deiller

Sommaire
Identifier le trouble Borderline
Expliquer ses origines
Soigner le trouble de l'état limite
Vivre avec un proche Borderline
Pour aller plus loin
Ils nous ressemblent, nous semblent parfois un peu puérils, égoïstes, puis vient une

situation de stress où tout s’enchaine : crise de colère, comportements dangereux, tendance à la manipulation, idée suicidaire. Les personnes atteintes du trouble borderline sont, selon le psychothérapeute Alain Tortosa, « des Cocotte-Minute, toujours sur le point d’exploser ».

[b][u]Identifier le trouble Borderline[/u][/b]

Mais qui sont vraiment les borderline ? Difficile de répondre tant ce trouble est multiple, comme en témoigne une psychonaute sur les forums : « ils sont des êtres humains, de chair, d'âme et d'émotions. Pour ma part, j'ai le sentiment d'être un élastique. Je tends vers la lumière, je me charge en tension, je me projette et je rencontre soit un mur, soit le vide. Je lutte pour ne pas me charger... »



La difficulté de gérer ses émotions est le leitmotiv de cette maladie psy, à mi-chemin entre névrose et psychose. Ses manifestations : l’hyperémotivité, des réactions excessives à la moindre contrariété. S’ajoutent à ces traits communs des symptômes caractéristiques sur lesquels se base le diagnostic médical de la maladie (au nombre de 5 ou plus chez chaque personne) :

des sentiments chroniques de vide
une difficulté à gérer la colère
une capacité réduite à prévoir les conséquences de ses actes
une perturbation de l’identité (remise en question de projets ou de sentiments certains, questionnement sur soi, difficultés à analyser son ressenti)
une tendance à idéaliser puis à dévaloriser l’autre
une instabilité dans les relations interpersonnelles (changements fréquents d’amis, de partenaire, de milieux professionnels, tendance à la manipulation, etc.)
des efforts effrénés pour éviter les abandons (crainte excessive des ruptures, de l’éloignement)
des symptômes dissociatifs et une idéation persécutoire (impression de sortir de son corps, d’être victime d’un complot)
des comportements impulsifs, dangereux, d’auto-mutilation (crises de boulimie, tendance au jeu, consommation abusive d’alcool ou de drogues)
des idées et des gestes suicidaires
L’état de personnalité limite est donc difficile à cerner, d’autant qu’il est souvent accompagné d'un autre trouble de la personnalité, à l'image de la dépendance affective.

[b][u]Expliquer ses origines[/u][/b]

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, près de 2 % de la population mondiale (1) seraient touchés par le trouble de la personnalité borderline, à commencer par les femmes qui représentent près de trois cas de maladie sur quatre.



A l'image de ses symptômes, les causes du trouble borderline sont multiples. Si des causes biologiques, chimiques (dérèglement de la production de sérotonine) et des prédispositions génétiques sont manifestes, la maladie se déclare d'avantage chez des personnes ayant subies des abus, des carences affectives ou des séparations difficiles dans leur enfance.

(1) J.G Gunderson, Borderline Personality Disorder. A clinical guide. American Psychiatric

[b][u]Soigner le trouble de l'état limite
[/u]
[/b]

Face à la maladie, les personnes borderline se voient proposer une double solution thérapeutique :

La prescription d'antidépresseurs et d'anxiolotiques estgénéralement préconisée pour traiter les causes biologiques de la maladie et atténuer les passages dépressifs, les crises de panique ou d'anxiété. Une première solution vers la stabilisation, comme en atteste Cuzco sur les forums : « tout le monde a des hauts et des bas. Mais chez ma fille (atteinte du trouble borderline, ndlr), ils changent en une heure et ils sont très hauts et très bas. C'est là que ses stabilisateurs d’humeur l'aident... »
Le traitement se complète toujours d'un travail de thérapie. Une approche comportementaliste (type TCC) permet d’aider les malades à corriger des schémas de pensée troublés par leurs émotions, à réapprendre des comportements sains. Egalement reconnue pour son efficacité, la thérapie comportementale dialectique (TCD) propose une approche plus complète, à la fois analytique - sur la connaissance de soi, la compréhension des émotions – et comportementale, mais reste peu dispensée en France.

[b][u]Vivre avec un proche Borderline[/u][/b]

Maladie au long court, le trouble Borderline est une toujours une épreuve de vie, tant pour la personne atteinte que pour son entourage. A l’image de Rose-Lyse, forumeuse, chaque famille doit ainsi œuvrer pour trouver un nouvel équilibre autour des aléas émotionnels du malade : « Je pense qu'il faut être à son écoute, sans juger. Etre une présence, mais aussi être discret pour lui laisser lui laisser prendre ses responsabilités. Ne pas l'infantiliser, ne pas le juger ou lui faire des remarques blessantes qu'il risque de le rabaisser. Lui montrer qu'il a tort, qu'il fait des erreurs et que nous sommes là pour le guider ».

Si l’écoute et l’échange sont souvent un moyen de faire face ensemble à la maladie, les associations de soutien aux personnes borderline conseillent également à l’entourage de :

savoir garder de justes distances pour éviter les relations fusionnelles intenses
ne pas dramatiser les accès de colère dont les malades ont souvent peu conscience
ne pas porter un jugement sur les comportements impulsifs, dangereux qui sont autant d’appel à l’aide. Les personnes borderline ont avant tout besoin que leur entourage leur rappelle leur affection et leur inquiétude.
les encourager à partager son ressenti tout en les rassurant sur leurs qualités, leur valeur, quand ils font preuve de trouble de l’identité ou d’une piètre estime d’eux-même
reconnaître le sentiment d’injustice ou de rébellion contre l’autorité dont font part les malades, tout en leur rappelant les réalités quotidiennes auxquelles chacun est confronté.
accepter une certaine forme de manipulation si celle-ci peut permettre de gagner la confiance et fixer des limites dans le cercle familial.
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Algo,

J'ai bien lu et non je ne m'identifie pas du tout à ce portrait de bordeline. Je n'ai pas de comportement dangereux ni d'envie suicidaire. Je suis une personne heureuse de vivre.

Le seul point sur lequel j'ai pu m'identifier c'est sur le questionnement sur soi, je me remets très souvent en question mais je pense que c'est plutôt dû à mon manque de confiance en moi...

Je fais pas non plus de crises de colère, c'est juste que quand il y a quelque chose qui me déplaît je suis incapable de le garder pour moi, faut que ça sorte et je le dis avec plus ou moins de tact... Avec dû reculé, je me rend compte que c'est parfois assez puéril et dans ce cas je m'excuse bien sûr, mais sinon je regrette rien et je reviens pas sur mes paroles.
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des sentiments chroniques de vide
une difficulté à gérer la colère
une capacité réduite à prévoir les conséquences de ses actes
une perturbation de l’identité (remise en question de projets ou de sentiments certains, questionnement sur soi, difficultés à analyser son ressenti)
une tendance à idéaliser puis à dévaloriser l’autre
une instabilité dans les relations interpersonnelles (changements fréquents d’amis, de partenaire, de milieux professionnels, tendance à la manipulation, etc.)
des efforts effrénés pour éviter les abandons (crainte excessive des ruptures, de l’éloignement)
des symptômes dissociatifs et une idéation persécutoire (impression de sortir de son corps, d’être victime d’un complot)
des comportements impulsifs, dangereux, d’auto-mutilation (crises de boulimie, tendance au jeu, consommation abusive d’alcool ou de drogues)
des idées et des gestes suicidaires
L’état de personnalité limite est donc difficile à cerner, d’autant qu’il est souvent accompagné d'un autre trouble de la personnalité, à l'image de la dépendance affective.

Je parlais de ses points là en faite! Quelle sont ceux qui te parlent le plus?
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