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L'histoire compliquée d'un homme triste, mais lucide


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Tu auras beau te poser toutes les questions du monde, ça ne changera rien pour l'instant.

 

Le problème c'est que je ne me pose aucune question, (Ok j'anticipe un peu sur le comment réagir), j'accepte le constat, je sais qu'il faut me reconstruire, je n'écris pas, j'ai enlevé et effacé tous les souvenirs.. Je n'exprime aucune incompréhension, j'avance et j'oublie, mais cela ne me suffit pas..


Un peu à l'image de qqun qui s'est suicidé, elle a laissé un grand vide dont je ne peut que constater l'immensité et la profondeur..

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Ben si , je pense que tu t'en pose :

J'appréhende seulement le moment ou elle va me recontacter: que va-t-elle me dire? Comment devrai-je réagir? Durement, en étant à son écoute, en lui disant que j'ai besoin de temps pour me reconstruire?

... Je suis perdu.. Je me demande aussi si elle sera capable de faire le nécessaire si elle souhaite revenir un jour? Etc


Plus toutes ces questions qui affleurent mais ne veulent pas (encore) sortir...et c'est dans le process normal des choses...


La seule chose qui me déplait légèrement, c'est que tu compares ceci à un suicide et ça me gêne car moi j'ai vécu le cas lors d'une de mes précédentes relations....Et ça n'a vraiment aucune commune mesure...les personnes sont toujours bien vivantes ici alors ne mélange pas tout stp...


Et au lieu de contempler le vide et sa profondeur, relève plutôt la tête... tu es loin d'être le dernier sur Terre à qui ça arrive et dis toi juste qu'il vaut mieux que ça se passe comme ça...

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La seule chose qui me déplait légèrement, c'est que tu compares ceci à un suicide et ça me gêne car moi j'ai vécu le cas lors d'une de mes précédentes relations....Et ça n'a vraiment aucune commune mesure...les personnes sont toujours bien vivantes ici alors ne mélange pas tout stp...

 

Ok je déraille complétement sur ce point là...


Elle m'a quitté il y a plus d'une semaine, j'ai encore l'impression que c'était hier... Je dors 2h par nuit en espérant chaque matin me réveiller d'un mauvais rêve.. En plus de ça je bosse à l'école et je côtoie des enfants toutes la journée. Ils m'épuisent et je n'arrive plus à être celui que j'étais, je sature.


La vérité et les faits sont là, je mets tout en oeuvre pour accepter ce qu'il se passe, mais rien n'y fait.. Putain secouez-moi!


La seule chose qui me fait du bien c'est d'être fataliste et de me dire qu'elle a pris la bonne décision quelle que soit l'issue de tout ce calvaire..

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Normal que tu sois un peu chamboulé, c'est un big changement dans la vie...


Maintenant, poses toi les questions suivantes :

- Est ce que tu aurais pu continuer à "supporter" (dans le sens "être un support") ton amie sans que cela, à terme, n' impacte pas directement ta santé (mentale et physique) ?

- Est ce que, dans le cas où les choses se seraient légèrement "arrangées", aurais-tu pu vivre avec la boule dans le ventre en te demandant tous les jours "Est-ce qu'aujourd'hui tout va bien se passer"?

Bref aurais-tu été prêt à perdre ta "personne" dans une relation toxique ? (ce qui serait le comble de la bêtise mais que bon nombre accepteraient de faire pour récupérer une personne alors que c'est foutu).


Dis toi également qu'une semaine c'est l'aiguille dans la botte de foin .... :) ça peut durer des mois et des mois.... mais une chose est certaine, à la fin, on n'en sort que grandit parce qu'on a appris !!! (mais ça, on le sait à postériori).


Enfin je répèterai ce qui est ma façon de voir les choses .... si une relation s'arrête, il ne sert à rien de s'échiner à vouloir la récupérer ... ça veut dire qu'il y a eu tout de même des problèmes (même si on pense que tout se passe bien) et que des choses sont soit incompatibles soit irrésolues...

Et dans le meilleur des cas, il vaut mieux laisser filer la personne pour pouvoir enfin vivre sa vie...

ALors on peut dire que "c'est la femme/homme de ma vie" mais je vous assure que des femmes/hommes de nos vies, il y en a plusieurs :)

Alors courage et la meilleure personne pour te mettre un coup de pied au Kiou, c'est toi-même (bon ok faut être souple) et c'est uniquement quand ton mental aura bien débrayé que tu le ressentira...

Bon courage

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- Est ce que tu aurais pu continuer à "supporter" (dans le sens "être un support") ton amie sans que cela, à terme, n' impacte pas directement ta santé (mentale et physique) ?

 

Bah disons que ça c'est un peu elle qui me l'a sorti. J'ai trouvé qu'elle se permettait un peu de réfléchir à ma place, mais bon si tu le dis, si tout le monde me le dit, c'est que ça doit être vrai. J'ai un peu de peine avec ça parce que sincèrement j'étais pas malheureux.

 

Dis toi également qu'une semaine c'est l'aiguille dans la botte de foin .... :) ça peut durer des mois et des mois.... mais une chose est certaine, à la fin, on n'en sort que grandit parce qu'on a appris !!! (mais ça, on le sait à postériori).

 

Je connais malheureusement la musique par coeur...

 

Alors courage et la meilleure personne pour te mettre un coup de pied au Kiou, c'est toi-même (bon ok faut être souple) et c'est uniquement quand ton mental aura bien débrayé que tu le ressentira...

Bon courage

 

Ca va venir promis.. C'est juste mon cerveau qui fonctionne bizarrement. Je sais que je dois l'oublier, mais j'ai peur de l'oublier... Pourquoi? Parce que je serais triste qu'on "se loupe"



Arf... Aujourd'hui ma pensée, c'est de savoir si elle se sent mieux depuis qu'elle a rompu".. Mon inconscient me dit que de savoir, ça me ferait avancer

- Si c'est le cas "tant mieux pour elle, j'ai pas le choix je vais de l'avant"

- Si ce n'est pas le cas... "OK, bon bah j'avance quand même"

Et ma conscience me dit que je me prends la tête pour rien


Et vous? Bon ok je connais déjà la réponse, mais derrière moi, il y a cette petit voix qui me dit que cela me ferait du bien..



Et il y a encore ces vacances et notre meilleure pote en commun.. Je sais qu'elles sont en contact et je n'arrive rien à lui raconter. Et cerise sur le gâteau elle a aussi ses billets pour partir avec nous (et d'autres gens).. J'ai l'impression de vraiment tout perdre, ça craint.

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Un peu à l'image d'un journal intime, je me permets de commenter et d'utiliser mon topic à des fins personnelles et réflexives. Si l'un ou l'une d'entre vous souhaite s'inviter (publiquement ou par MP) ou alors me faire part de ses remarques je suis preneur avec plaisir.


Je suis sur mon balcon et à coup de grandes bouffées d'oxygène, je savoure le coucher du soleil... C'est bizarre je me sens léger et mieux... Parfois la raison s'empare de moi, je me dis qu'il était inutile de continuer si elle n'arrivait pas à m'aimer et à s'aimer. L'espace d'un instant, je me sens mieux, presque coupable de ne pas me morfondre.


Et puis des fois c'est la rechute ou la chute vertigineuse...


Pas plus tard qu'hier soir, en rentrant de soirée (je me suis forcé à voir des gens) j'ai vécu l'un des moment les pires de ma vie. Je me suis trouvé dans un état second.. Inexplicable, comme si ma vie n'avait plus aucun sens, comme si jamais je ne pourrai surmonter cette épreuve... Pour tout vous dire, je me suis fait peur: une perte de lucidité totale, l'impression d'être condamné à mort et de ne plus jamais pouvoir avancer. Je tremblais et j'ai du m'arrêter et me calmer en bas de mon immeuble.


Et puis des fois j'ai des délires, un peu comme aujourd'hui.


Soucieux de me prendre en main, je me suis rendu à la librairie afin de trouver un livre ou une thérapie manuscrite pour guérir et avancer dans mes problèmes. Je lis, je feuillette, je trouve, je n'achète pas. Puis je tourne la tête et découvre un livre intitulé "être son propre coach", je lis je feuillette, j'achète parce que je me dis que c'est le livre parfait pour mon ex. En effet, il serait judicieux et nécessaire qu'elle se prenne en main. Je pense dès lors aller le déposer dans sa boîte aux lettres.


Puis la raison revient...


Je questionne mes potes, ma famille... Les avis sont mitigés, certains me disent qu'il s'agit d'une idée sympathique qui peut la faire sourire, d'autres de ne pas écrire parce "qu'elle a décidé qu'elle n'avait pas besoin de moi pour aller mieux", d'autres ne savent pas ou encore me diront de suivre mon instinct. Je décide finalement de ne rien faire et de ne pas déposer le livre. Après tout, ce n'est pas à moi de revenir..


Et puis c'est la rechute...


J'écris à sa soeur pour lui demander conseil. Et oui je commets peut-être une erreur, mais à vrai dire, sur le moment je m'en fous. J'y vais et je fais ce que me dicte mon instinct. Elle me rappelle deux heures après: on discute tranquillement et me conseille de suivre mon instinct et de ne le déposer que si cela me fait du bien... Je n'ai pas trop la réponse à cette question. Je n'ai pas envie de passer pour un faible ni d'être celui qui revient: je ne le déposerai donc pas: du moins pas pour le moment.

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Gros craquage sur mon lieu de travail (école) aujourd'hui.


J'ai fondu en larme, incapable d'enseigner je me suis réfugié chez la psychologue scolaire à qui j'ai pu tout déballer. Elle m'a conseillé de lui écrire, j'ai préparé une lettre, mais pour l'instant elle est encore chez moi. La psychologue la trouve magnifique, mais moi je ne sais pas s'il faut que je l'envoie...


Pouvez-vous me dire sincèrement ce que vous en pensez svp?

 

Lettre confuse, lettre inutile, lettre arrachée, lettre à S…..


Je ne sais pas par où commencer, si ce n’est de te dire que j’ai besoin de t’écrire, besoin de me faire du bien et besoin d’extérioriser tout le mal interne qui me ronge depuis deux semaines.

J’ai beau me préserver, penser à moi et aller de l’avant… Je me sens dévasté, perdu, sans repère devant un immense vide. Prisonnier de mon corps, prisonnier de mon cœur, devant un gouffre infranchissable. Je pleure tous les jours, je n’arrive pas à avancer et l’école et ses tracas ne m’aident pas. Je me surprends souvent à vouloir m’endormir et ne plus jamais me réveiller. Aujourd’hui, je ne sais plus de quoi j’ai besoin… Besoin de toi ? Besoin de me préserver ? Besoin des deux je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis dans un tunnel obscur dont je ne vois pas la lumière.


En revanche je sais que je n’arrive pas à tourner la page aussi brusquement après deux ans. C’est trop dur, cela m’enfonce, me paralyse et me submerge. Plus les jours passent et plus je me rends compte qu’il est impossible pour moi de passer du tout à rien. Je me sens comme une fleur dont on aurait sectionné la tige. Cela me fait trop mal. J’ai beau me changer les idées, me persuader que je vais oublier et passer au dessus de tout ça. Je n’arrive pas à m’extirper de la douleur. La fleur agonise, se fane, puis sèche.


Dans ces situations, on cherche souvent des explications, mais tu m’as déjà donné la meilleure justification. En effet, j’admets qu’il est inutile de prolonger une relation dans laquelle les doutes submergent les sentiments. Je ne te donnerai donc pas 2'000 raisons de s’aimer et je te dirai que tu as fait le bon choix au bon moment. Les sentiments n’appartiennent qu’à celui qui les ressent et nul ne peut forcer quiconque à aimer. C’est un fait.


Pour le moment, il me semble donc impossible d’envisager une relation amoureuse, tout comme il est impossible d’envisager une relation amicale. Tu es mal dans ta peau, submergée par les doutes et pas prête pour une relation alors que je suis profondément blessé dans l’amour que je te porte. Triste constat d’échec, mais je te propose de lire la suite.


Si je t’ai toujours dit que je ne croyais pas aux pauses, c’est que dans les pauses il y a toujours celui qui attend et celui qui fait attendre. C’est souvent vrai, mais lorsque je reconsidère notre rupture, j’aimerais te demander qu’on fasse « une pause » : non pas pour que l’un attende l’autre, mais pour qu’on s’attende mutuellement en se reconstruisant chacun à notre rythme vers une issue positive. Se reconstruire et s’aimer pour toujours ou se reconstruire et tourner définitivement la page de l’amour.


Pour le moment, de ton côté tu as besoin de temps pour penser à toi et réfléchir à tes sentiments et de mon côté, j’ai besoin de temps pour tourner la page. Inutile de se voiler la face, il s’agit de deux réflexions incompatibles qui s’opposent. On ne participe donc pas au même combat, mais j’aime à croire que cela peut marcher comme dans les films.


Je te propose donc une solution saine qui nous permette de suivre l’une ou l’autre de ces routes : ne plus se voir, mais correspondre par écrit jusqu’à pouvoir se retrouver sur le même chemin dans une même direction. Je te rejoindrai lorsque mes sentiments amoureux auront disparu ou tu me rejoindras avant que mes sentiments amoureux ne disparaissent. Inch Allah comme on dit.


Tu me manques et je t’aime.


 

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Salut!


Merci de faire remonter mon topic!


Je n'ai pas envoyé la lettre et je suis toujours sans nouvelle et je n'en ai toujours pas donné. Cela fait maintenant deux semaines qu'on ne s'est pas reparlé, ni écrit, ni téléphoné. Deux semaines c'est exactement le jour de la rupture, il y a donc un SR strict sans interdit (plutôt bien quand je lis d'autres sujets ^^). Mais bon je le vis assez mal, je craque complétement à mon boulot et j'ai du aller voir une psy qui m'a justement conseiller d'écrire pour me sentir mieux (chose que j'ai faite à travers cette lettre).


Je suis OK pour le début trop larmoyant, mais c'était vraiment l'état dans lequel de me sentais au moment ou j'ai écrit. J'avais trop de peine, je tremblais et je me sentais réellement prisonnier de moi-même. Du coup que me conseilles-tu? De changer un peu? De faire plus soft? C'est vraiment dur parce que sur le moment j'avais vraiment besoin qu'elle sente mon désarroi.


Et pour tout te dire, c'est plutôt la fin que j'ai changé (mais j'ai aussi changé quelques intitulés au début). Je me permets donc de re poster la lettre en entier pour avoir vos avis.


Finalement, ses proches (qui sont aussi mes proches) m'ont dit qu'elle n'allait pas très bien et qu'elle ne récrirait pas avant de "vraiment" savoir. Mais bon... Comment savoir? De mon point de vue c'est du bullsh**, je ne vois pas comment on peut se réveiller un matin en se disant "piouf je l'aime" ou "ah en fait je ne l'aime pas". Je pense plutôt que lorsqu'on se pose la question c'est que c'est mal engagé.. Fin bref voilà pour le topo, je m'interroge surtout sur ma lettre: faut-il ou non l'envoyer? Pourrait-elle compromettre mes chances? Le SR est-il plus rentable? Etc... Voilà


La lettre:

 

Lettre confuse, lettre inutile, lettre arrachée, lettre à S…..


Je ne sais pas par où commencer, si ce n’est de te dire que j’ai besoin de t’écrire, besoin de me faire du bien et besoin d’extérioriser tout le mal interne qui me ronge depuis deux semaines.

J’ai beau me préserver, penser à moi et aller de l’avant… Je me sens dévasté, perdu, sans repère devant un immense vide. Prisonnier de mon corps, prisonnier de mon cœur, je n’arrive pas à avancer et l’école et ses tracas ne m’aident pas. Je me surprends souvent à vouloir m’endormir et ne plus jamais me réveiller. Aujourd’hui, je ne sais plus de quoi j’ai besoin… Besoin de toi ? Besoin de me préserver ? Besoin des deux je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis dans un tunnel obscur sans lumière.


En revanche je sais que je n’arrive pas à tourner la page aussi brusquement après deux ans. C’est trop dur, cela m’enfonce, me paralyse et me submerge. Plus les jours passent et plus je me rends compte que ne peux pas passer du tout à rien. Je me sens comme une fleur dont on aurait sectionné la tige. Cela me fait trop mal. J’ai beau me changer les idées, me persuader que je vais oublier et passer au dessus de tout ça. Je n’arrive pas à m’extirper de la douleur. La fleur agonise, se fane, puis sèche.


Dans ces situations, on cherche souvent des explications, mais tu m’as déjà donné la meilleure d’entre elles. En effet, il est inutile de prolonger une relation dans laquelle les doutes submergent les sentiments. Je ne te donnerai donc pas 2'000 raisons de s’aimer et je te dirai que tu as fait le bon choix au bon moment. Les sentiments n’appartiennent qu’à celui qui les ressent et nul ne peut forcer quiconque à aimer. C’est un fait.


Pour le moment, il me semble donc impossible d’envisager une relation amoureuse, tout comme il est impossible d’envisager une relation amicale. Tu es mal dans ta peau, submergée par les doutes et pas prête pour une relation alors que je souffre de l’amour que je te porte. Triste constat d’échec, mais je te propose de lire la suite.


Si je t’ai toujours dit que je ne croyais pas aux pauses, c’est que dans les pauses il y a toujours celui qui attend et celui qui fait attendre. C’est souvent vrai, mais lorsque je reconsidère notre rupture, j’aimerais te demander qu’on fasse « une pause » : non pas pour que l’un attende l’autre, mais pour qu’on s’attende mutuellement en se reconstruisant chacun à notre rythme vers une issue positive. Se reconstruire et s’aimer pour toujours ou se reconstruire et tourner définitivement la page des sentiments.


Je vais prochainement partir seul en Grèce pour vagabonder, voir ma famille et surtout pour apprendre le grec. Cela me permettra de penser à moi, d’avancer et de peut-être de tourner la page pendant que de ton côté tu prendras du temps pour penser à toi et tes sentiments. Inutile de se voiler la face, ces réflexions risquent d’être incompatibles et de s’opposer à long terme, mais laissons nous du temps parce que je suis sûr que toi et moi on aime à croire que cela peut marcher comme dans les films. Inch’ Allah…


Tu me manques et je t’aime.

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Personnellement, je garderai cette lettre pour plus tard, un jour si tu te remet avec , limite fais lui lire plus tard.


Quand je te lis, je ne suis même pas concerné et je sens une énorme pression.


Alors imagine elle qui a eu des doutes... qui est une femme, et que tu es son Ex.


Ta lettre est magnifique et je sens qu'elle vient du fond de ton coeur, mais je le perçois comme un rouleau compresseur en tant qu'homme.


Tu lui fais partager trop de "ta" souffrance, elle va encore plus se culpabilisé.


Maintenant je ne connais pas ton Ex, mais la mienne je lui enverrai ça je sais bien que j'aurai encore bien moins de chance de la ravoir.


Maintenant je ne sais pas l'avis des autres ?

mon histoire :http://www.jerecuperemonex.com/forum/largue-pour-un-autre-t24315.html
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A tous... Et surtout a Kakakuet (qui me disait qu'elle n'écrirait que lorsqu'elle aurait mûrement réfléchi)


Bon bah elle m'a devancé.. Je viens de recevoir un sms de sa part.


"Deux semaines.. Tu savais que c'était aussi long? .. 2 semaines que je te parle et t'écris dans ma tête.. J'aimerais te voir et parler en vrai si tu as un moment ce WE et si tu le veux bien?"


Voilà...


Pff honnêtement si c'est pour me redire la même chose ou des banalité du type "tu comptes trop pour moi, je ne veux pas te perdre etc."


J'fais quoi?

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Trop tôt !


J'ai eu la même chose !


Moi elle a fondu dans mes bras, et maintenant je me bouffe les doigts car elle est partie avec un autre !!



Trop peu de temps pour changer et se remettre en question, pareillement pour toi.


Tu vas être trop sensible et réceptif a ce qu'elle va te dire.

mon histoire :http://www.jerecuperemonex.com/forum/largue-pour-un-autre-t24315.html
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Hello,

Petit passage rapide par ici ....

Alors d'un, de mon point de vue garde la lettre pour plus tard c'est clair... elle est comme elle est, perso je la trouve aussi remplie de pression et sûrement que ça la touchera mais aussi ça risque la bloquer (après on est pas dans sa tête non plus hin)...


Je crois également que tu as mis le doigt sur un point important, que je partage (pour l'avoir vécu) :

"Je pense plutôt que lorsqu'on se pose la question c'est que c'est mal engagé.. " je suis tout à fait d'accord avec ça... et même je rajouterai que si, par hasard, ça "revient" bien, arrivera un moment où ce genre de choses referont surface et ça n'en sera que plus difficile, là encore c'est du vécu..."je me pose la question".../... "ah ben non je t'aime comme une folle".../... " euh je me repose la question".../... et ça, en boucle, je peux te dire que l'on arrive à souhaiter une camisole :)


Pour ce qui est de l'éventuel rdv, tu fais comme tu le sens, mais je plussoie le posteur précédent en disant que c'est bien trop tôt... forcément ça va finir "bien" (pour l'instant) car elle est désemparée et il sera trop simple de sombrer dans la facilité...

Après c'est à toi de voir ce que tu souhaites, ce que tu peux supporter...


Tu en souffre, est ce bien raisonnable de se mettre la tête sur le billot ?

Il faut essayer de voir au delà de ce rdv, et de la suite que tu veux donner...

Soit tu dis Ok, soit tu dit non, mais tu expliques que tu es encore un peu trop fragile pour avoir une attitude neutre avec elle...

Bon courage à toi

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