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Autre possibilité: ma fille est restée très proche de moi hier, assez loin de Mme.
Mme a dû se rendre compte de ça, et espérait peut-être être accueillie en "reine du jour".
Ce qui a dû la blesser. Et pas qu'un peu.
Qu'elle souffre un peu, va. Ca lui fera peut-être comprendre que je DOIS protéger mes enfants.
Elle a répondu à mon sms et propose un rdv devant un café pour en discuter. Je maintien ma ligne de conduite. Mes enfants et moi d'abord. Elle veut les voir? PAs de souci, mais il faudra me passer sur le corps. Si je l'accepte. Et pour le moment, c'est "va c..."; de ma part.
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J'hallucine, elle vient de me dire qu'elel ne comprenait pas pourquoi ma fille pleurait, et qu'elle ne s'estimait pas responsable de ça.
Egocentrisme à outrance. Elle marque de spoints pour mon détachement. Des gros. Belgium one point!
JE la vois samedi pour régler de spapiers, et elle souhaite qu'on parle de ma fille avant. Elle va en entendre.... Puisque c'est mort de toute mani§re...
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JE la vois demain, pour régler les dernières formalités administratives.
Il est prévu, à sa demande (qu'on ne dis epas que je harcèle :lol: ) de discuter de samedi dernier.
JE vais savoir pourquoi elle a dit ne plus vouloir renouveler l'expérience.
De mon côté, comme tu le dis, d'ailleurs, je lui signifierai ma volonté de préserver les enfants, de l'empêcher de les rencontrer.
Cela risque de mal se passer vu qu'elle a toujours décidé de tout et obtenu ce qu'elle voulait.
Mais içi, elle sera face à un roc. Imperturbable. Je m econditionne depuis quelques jours. Et suis sûr de moi. Mes enfants d'abord.
En ce qui me concerne, j'ai eu quelques jours difficiles, après quelques jours de moral haut.
C'est normal; je suis déjà passé par là.
Mais je sens, peu à peu, que je me fais à cette déparation, que je me détache, que je ne suis plus dans l'attente, à tout bout de champ.
Il faudra encore quelques temps, mais je suis sur le bon chemin.
Ma psy m'a dit que j'avais fini mon travail. Je ne le pense pas, j'ai encore besoin de vider, gérer.
Et quelques dérives récentes: une soirée emplie d'alccol, alors que je ne bois jamais, reprise d ela vitesse sur route, alors que je ne dépassais plus jamais les limitations, inscription sur Meetic. Et sincèrement, je me demande encore pourquoi: je n'ai pas envie de quoi que ce soit.
Je sais que ça peut rassurer, mais j'y perd mon temps, et refuse de laisser croire quoi que ce soit à ces charmantes personnes, qui ne demandent pas à jouer au pansement...
Je provoque le destin, pourquoi?
JEne le sais pas, mais j'ai encore du travail.
Cela fait trois mois que tout a éclaté. C'est loin, et c'était hier.

Demain ne la fera pas revenir, au contraire. Mais ça la fera peut-être réfléchir. C apasse ou ça casse. Les dés sont jetés.
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Merci. Franchement, ma seule preoccupation de demain: mes enfants. Qu'elle déguste ou pas, je dirai posément ce que j"ai à dire. Et je poserai une question, une seule: Pourquoi veux-tu toujours voir les enfants? La vie de famille te manque?" Diabolique, et (la connaissant), elle va cogiter, mais cogiter...
Je sais même pas si je veux son retour. J'ai été trop déçu.
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Deux heures d'entrevue.
Au début, très tendu, de part et d'aure? J'ai exposé mon point de vue, elle le sien. Nous nous sommes écoutés, et avons argumenté nos idées.
Au fil d el adiscussion, nous nous sommes détendus.
Je lui ai fait part de ma psychothérapie, d emes changements, exemples à l'appui, san slui dire "tu vois, j'ai changé".
Elle était sur la défensive car elle craignait que je l'agresse verbalement. Ce qu eje me sui bien gardé de faire. Je n'en avais de toute façon pas l'intention, ni l'envie. Nous avons rigolés, "comme au bon vieux temps".
Elle va écrire aux enfants, pour leur expliquer son choix. Et elle eccepte que e senfants auront le dernier mot.
Je lui ai demandé si elle voilait me revoir.
"Je ne sais pas" Avant, c'était "NON!"
J'ai proposé d'aller manger un bout à l'occasion.
Pourquoi pas, mais dans quel but? Pour me montrer comme tu as changé?
Ma réponse, honnêe et franche: Oui. PArceque tu as quitté un homm edifférent, totalement, de celui qui est là.
Au cours de l adiscussion, elle m'a dit: "quel gachis".
Oui, c'est un gachis, mais la sauce est rattrapable.
Elle me dit ne pas voulor ré-essayer "pour voir".
Entièrement d'accord, pour préserver les enfants en premier.
JE lui ai doit toujours l'aimer.
Et quand nous nous somme squittés, son regard exprimer la tendresse...et le doute.
Je replonge en SR.
On verra.
J'espère, même si je dois me résoudre.
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