François_Villon Posté(e) le 19 janvier 2011 Auteur Partager Posté(e) le 19 janvier 2011 Non ce n'est pas facile. À plusieurs reprises j'ai essaye d'étouffer cette voix, mais en effet je ne veux pas. Et essayer de parler à quelque un qui ne veut pas entendre, n'est pas disponible pour écouter, ça ne sert à rien. Lutter alors. Savoir ce que on veut, même ça c'est pas facile. Sinon, j'ai parcouru ton histoire Dana, et elle me laisse perplexe, ce le moins que je puisse dire. Je sais que je ne peux personne changer, et c'est pénible d'être en contradiction de penser que je puisse changer l'opinion ou les modes de fonctionnement de mon ex. Je pense que ton ex est un peu pareil. Il ne peut pas vraiment changer ses modes de fonctionnement, car il ne perçoit pas ses actions comme inadéquates. C'est un problème récurent dans la société de la consommation, nos propres opinions et idées sont très prenantes à un point de perdre totalement de la considération pour le fait que les opinions des autres peuvent différer. Alors, mercredi... nous sommes collectivement de plus en plus nombrilistes, égoïstes, centrés sur soi... comment accepter des points de vue qui proposent un compromis qui va à l'encontre de nos intérêts individuels? Justement, parfois j'ai l'impression qu'il y a de plus en plus de gens qui veulent une relation sans qu'ils ont des compromis à faire. Évidemment, ça craque... ou sinon il y a quelqu'un dans la relation qui souffre et idem ça craque, quand il en peut plus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rabelais Posté(e) le 9 février 2011 Partager Posté(e) le 9 février 2011 (modifié) La solution : Effexor ou Anafranil pour la dépression ( moi je préfère l'effexor, ça a moins d'effets secondaires ) + un bon somnifère genre zopiclone pour dormir la nuit... Le tout sur deux mois. Avec ça du sport presque tous les jours. Ca c'est pour le physique. Pour le moral, il n'y a rien de mieux que les groupes. Faire partie d'un groupe quelconque, ( danse, culture, musique, jeux, sport, etc ) et mener une activité avec le groupe. Moi c'est Tango et Salsa. Avantages : tu peux discuter, recevoir des "caresses narcissiques" venant des autres, et t'occuper d'autre chose que de tes problèmes sentimentaux. Voilà quelques pistes pour sortir de ton obsession. Un an, c'est long pour en arriver où tu en es... Bon courage Modifié le 10 février 2011 par rabelais Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DANA Posté(e) le 10 février 2011 Partager Posté(e) le 10 février 2011 [quote="François_Villon"] Je pense que ton ex est un peu pareil. Il ne peut pas vraiment changer ses modes de fonctionnement, car il ne perçoit pas ses actions comme inadéquates. .[/quote] Exact Francois!!!!!!! "Il ne perçoit pas ses actions comme inadéquates" sinon il aurait changé il y a x temps! J'ai l'impression qu'il refuse de se remettre en question...il se dit etre parfait .Il est centré sur lui mm et n'arrive pas à me voir !!!!!!!! l'égoisme quoi!!!!!! mais bon il y a qq temps ou je constate qu'il cogite sur qq points et qu'il se corrige mais c'est fait à un rythme d'éscargot...je veux le brusquer mais je sais plus comment! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
François_Villon Posté(e) le 11 février 2011 Auteur Partager Posté(e) le 11 février 2011 @DANA: à quoi ça te servira à le brusquer? Personnellement, mon expérience à été toujours mauvaise quand je brusque une situation ou quelqu'un. C'est très dure, de renoncer à agir, car malgré tout, la tentation de vouloir interférer avec la course des évènements est très grande. D'autre part, on se dit tant pis, mais je ne crois pas qu'on s'en fout en effet. Juste on espère, le meilleur pour nous. L'égoïsme, on y peut rien à part l'accepter, en plus nous vivons dans un monde où à la limité il faut cultiver son égoïsme, et il ne serait pas faux de dire que certains y réussissent mieux que d'autres. Tu dis qu'il cogité déjà, c'est mieux que rien. Laisse-le cogiter à un rythme d'escargot. On ne peux pas demander, à un escargot de courir, non? Je ne sais même pas s'il lui arrivé à mon ex de cogiter sur ce. Elle à peur de moi, peur de soi, et peur tout court. Grand brun ténébreux, à tendances sociopathes que je suis, je suis assez doué pour faire peur aux gens, et surtout quand je ne veux pas induire la peur chez quelqu'un. Exemple tout bête, j'aime pas faire de bruit en marchant ou en me déplaçant. Du coup, souvent les gens n'aperçoivent pas mon présence et sursautent. Mais c'est plus grave chez mon ex, elle me craint...à un point où, je dois l'admettre que je ne peux plus rien faire. C'est idiot, quand même comme situation...mais je ne peux personne forcer à faire face à ses peurs. alors voilà, n-ième SR bientôt deux mois, à tendance vers l'infini. @ Rabelais : Merci pour tes conseils. J'ai quand même du mal à prendre des médicaments, le seul cas dans le quel je ne peux pas m'en passer, c'est chez le dentiste. Je suis fondamentalement contre la prise d'anxiolytiques, antidépresseurs, et régulateurs de comportement pour plusieurs raisons; Primo: la société post-industrielle s'attaque systématiquement aux conséquences des ses modes de fonctionnement, c'est la marchandisation et la judiciarisation croissantes des rapports humains qui créent les dépressions en toutes sortes. Secundo: L'industrie pharmaceutique à trouve un bon filon à exploiter là. D'une part on nous parle d'une épidémie mondiale de maladies psychiques et de dépressions en particulier. D'autre part, le désir de résultats rapides chez l'homme moderne (gratification instantanée) le pousse à vouloir de prendre une pilule, plutôt qu'à se confronter vraiment à soi. C'est avec une facilité fascinante que nous acceptons " le bonheur, imposé, même s'ils ne le veulent pas" des compagnies pharmaceutiques dans une accablante réalité sortie tout droit d'opus de Aldous Huxley. Tertio et Avant Tout en effet: tous les médicaments énumères sont très nocifs pour la Santé. D'abord le mécanisme de la régulation nerveuse par les neurotransmetteurs (la chimie du cerveau, tel qu'il est connu) est extrêmement fin, toute ingestion systématique de produits psychoactives, y compris des "médicaments" entraine une modification de fonctionnement de hypothalamus, donc de la production des dites neurotransmetteurs; modification couplée avec une modifiaction de la manière dont les informations circulent entre les synapses. À noter, que ces médocs sont aussi incompatibles avec l’alcool, et même un verre de pinard ou une bière donnent des barbituriques, c'est d'autant plus dangereux en absence de culture générale, quant à la prise des médicaments. De surcroît, leur décomposition dans l'organisme est une charge supérieure pour les reins et le foie, qui ont déjà trop de travail avec toutes les autres produits chimiques de l'industrie agro-alimentaire, les nitrates dans les légumes, l'amidon modifie et les traces des herbicides qu'il comporté, les traces des médicaments et de hormones dans la viande, la liste n'est pas de tout exhaustive. Personnellement, je ne dis à personne de faire comme moi, mais je ne veux pas y participer à tout ça. Qu'est ce que j'aimerais être ignorant, sur tout ces points, cher Rabelais. Sinon, la thérapie de groupes c'est chaud ici. Depuis quelques mois je suis à Toronto où je ne connais vraiment personne. J'ai trouve un boulot sous-qualifié, vu ma collection de diplômes "inutiles", mais il me va très bien, car il est extrêmement physique...boulangerie industrielle, et quand tu as quatre à cinq tonnes de pain ou de la patte dans les mains toutes la journée tu ne penses pas à l'ex, en plus tu es content d'aller faire la piscine le matin après le boulot (encore heureusement l'immeuble ou j'habite dispose d'une piscine communale). Mais, trouver le temps de faire partie d'une groupe, c'est chaud...ça restera pour quand j'aurais trouve un autre boulot ou bouge ailleurs, où je connais quelqu'un. L'isolement volontaire, dans ce sens est de temps volé pour soi. Ne pas "être" pendant tout ce temps (bientôt deux ans en effet) si tu veux, c'est un luxe quelque part; d'envoyer tout paitre et avoir une trajectoire professionnelle éclatée et pas linéaire. J'ai beaucoup voyage du coup, dans le sens, aller vivre quelque part y passer de temps et travailler un peu, faire des expériences et observer surtout les gens, essayer de vivre leur vie, voir l'envers du décor et pas les monuments touristiques, les arrières cours et les coulisses de la vie des vrais gens sur place. C'est clair, des "caresses narcissiques dans tout ça, c'est zéro. Chaque chose avec son temps, si tout va bien, un jour je vais revoir la France, avant de répartir ailleurs...recommencer jusqu'à ce que j'ai plus envie de recommencer, ailleurs. À ce moment...village dans mon pays natal, et le calme de la maison rustique de mon grand père, où je dois replanter un verger à l'age de 50 ans. C'est loin, je dois errer encore pas mal, avant de pouvoir y retourner. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DANA Posté(e) le 14 février 2011 Partager Posté(e) le 14 février 2011 [quote="François_Villon Laisse-le cogiter à un rythme d'escargot. On ne peux pas demander, à un escargot de courir, non? pour quand j'aurais trouve un autre boulot ou bouge ailleurs, où je connais quelqu'un. [/quote] :D Le hic c'est que si on lui demande de le faire il peut pas donc faut pas s'amuser à le demander :lol: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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