Avis aux hommes de ce forum

[pluslà]

: C'est un neurone qui arrive dans un cerveau masculin, événement très rare mais ça arrive !!!

Bref, ce pauvre neurone se retrouve tout seul dans une grande boîte vide et noire.

Hou hou " crie ce petit neurone. Misère, pauvre petit neurone, personne ne lui répond...

Hou hou " crie encore le petit neurone et il n'entend que l'écho de sa voix.

Alors, désespéré, notre pauvre et brave petit neurone masculin s'installe dans un coin et se met à pleurer.

Soudain, un autre petit neurone arrive tout essoufflé dans le cerveau masculin et crie à notre petit neurone en pleurs : "Hé bé ! Qu'est-ce que tu fous ? On est tous en bas... "

 

excellent! en plus court:

C'est un petit garçon qui regarde entre ses jambes et qui demande à sa maman:

"- dis maman, c'est mon cerveau que j'ai là?"

-" non, pas encore, mon fils " !! :D

[pluslà]

je sais très bien que mon ex accepterait tout de suite que l'on se revoit pour faire l'amour. C'est moi qui ne voudrait pas. Je suis un sentimental, c'est comme çà.

effectivement, être en confiance absolue, c'est primordial en amour. Et c'est une question de personne aussi. Mon ex n'a accepté que de moi certaines choses (rien de rare pourtant), elle ne s'est jamais donnée à aucun homme, comme à moi, ni même à son mari. De même, elle a été la seule à pouvoir me faire ce qu'elle voulait. Restons soft (dsl les filles ! :lol: ); lui prendre le visage dans les mains, avec moi elle adore: personne n'a le droit de faire çà, même ses enfants.

Je déteste que l'on me touche les cheveux, qu'on me tripotte, avec elle j'adorais.

Pour les filles :D ;

elle n'aimait pas ses fesses, elle me le montrait sans complexe. personne n'avait eu le droit de la caresser ou de l'embrasser en son intimité, à moi elle me demandait direct un cuni (elle a découvert çà à 43 ans, une révélation pour elle!)

Avec ma femme, c'était pas top non plus, pendant 27 ans. Pas de dialogue, elle était coincée.

C'est donc bien une question d'affinité, de dialogue, de confiance et de sensualité commune ou non.

Mais sans amour véritable, je n'irais plus vers elle.