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Amoureuse et perdue après une rupture récente...


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Tu diras à ton pote que je prends sa phrase qui est juste parfaite ! Ahah


Tu as raison... il faut juste que je sois patiente et que j'attende que ça passe, un peu comme quand tu arrêtes de fumer finalement. Je ne dis pas que demain je ne serais pas de nouveau ici à écrire que "c'est trop dur ouin il me manque ouin"... mais je sais que ça passera, comme tout.

Merci encore Elieza (je crois que je n'ai jamais autant remercié quelqu'un ahahah).

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Penser à soi ça peut aussi consister en ne rien faire, sinon, ça se voit que tu aimes lire car ton écriture est plaisante. Tu pourrais t’essayer à coucher sur le papier le tourbillon de sentiments que tu traverses, ça peut t’aider à prendre du champ, considères le sujet en tant qu’auteur, avec de l’ironie, de l’humour, de la tendresse.

Alors y’a des chances que ton papier il finisse bleu pastel avec des coulures, mais c’est une thérapie comme une autre. Et un exercice aussi qui ne pourra que t’apporter dans ta construction, on peut tirer du bon de chaque chose, le tout c’est de trouver sa pierre philosophale personnelle pour transformer la merde en or.

« Arthur, l'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches et j'ai ma dignité moi ! que je lui réponds.

— Parlons-en de toi ! T'es un anarchiste et puis voilà tout ! »

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In vino veritas, merci !

Chacun de tes messages (j'ai aussi lu quelques uns des sujets où tu as posté) provoque chez moi un sourire ; tu as toujours un mot/une phrase complètement atypique. Clairement, transformer de la merde en or, l'idée me plait.

Je note ton conseil et m'essaierai à cet exercice dans les prochains jours ! ☺️

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A défaut de n'écrire que quand ça ne va pas, ce soir j'ai envie d'écrire que ça va. Il y a une soudaine grosse accalmie dans mon monde. Comme un soulagement, comme une prise de conscience.


J'ai envie d'écrire que tout finit toujours par s'arranger. J'ai envie d'écrire que, ce soir, je n'espère pas, je n'attends pas et je ne suppose rien. Je me sens seulement apaisée.


Je sais très bien au fond de moi que cet homme et ce qu'il avait à m'apporter (c'est-à-dire pas grand chose) ne pourront jamais me combler de bonheur. Un ami m'a dit ; soit tu décides de tourner la page et dans quelques semaines tu vas mieux et c'est "oublié", soit tu entretiens un lien qui t'amènera à être exactement dans le même état que maintenant. Et c'est si vrai.


A tous ceux qui, souffrant, tomberont sur ce message. Je suis passé par là et j'y passe encore. D'ailleurs tous les membres de ce forum l'ont vécu, mais ce n'est pas un mythe ; vient ce jour où l'on se sent mieux et où le soleil brille de nouveau.


Je profite de ce message pour remercier, pour la 6282916ème fois, Elieza, sandstorm et in vino veritas ; les mots ont beaucoup d'impact et les votres, vous ne vous rendez pas compte d'à quel point ils m'aident et m'ont aidé ces deux derniers jours. Alors merci à vous ; vous n'étiez pas obligé de prendre du temps pour vous soucier de ma petite crise et vous l'avez fait.


Une bonne soirée/journée à ceux qui liront.

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Bonjour Elieza, tu vas bien ?


C'est exactement la question que je me pose depuis des heures "qu'est-ce qui me manque en fait?"... c'est peut-être juste mon ego qui est vexé qu'il ne me court pas après ? 🤷🏻‍♀️


Malheureusement je pense aux bons moments + qu'aux mauvais, là est tout le problème..

 

Ce qui t'arrive a une explication psychologique, tu peux d'ailleurs regarder sur le net pour avoir plus d'infos et pour approfondir.

Ce qui te manque c'est pas lui, mais les sentiments positifs que tu as pu ressentir en sa compagnie. Ces stimuli positifs sont enregistrés par le cerveau, et ça explique aussi pourquoi tu "oublie" tous les moments où les choses n'allaient pas bien, et où tu as ressentis des sentiments négatifs.

Penser à tous les moments où tu as ressenti des sentiments négatifs peut t'aider mais aussi ce qui peut t'aider c'est de penser que c'est les moments, pas lui, qui te manquent...

“What we find in a soul mate is not something wild to tame, but something wild to run with.”


― Robert Brault

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Hello sandstorm, j'espère que tu vas bien !


C'est exactement ça, c'est complètement psychologique. Je sais très bien au fond de moi que ce qui me manque sont surtout les moments et SURTOUT le fait que ça remplissait mon quotidien ; j'avais quelqu'un à qui penser, à qui parler, à "aimer", à voir le week-end, ça me faisait une sorte de but quoi. Là c'est le néant. L'ennui n'aide en rien même si j'essaie de remplir mes journées du mieux que je peux (ballades solo, lecture, écriture).

Aujourd'hui c'était plus dur qu'hier soir, ça a sonné deux fois chez moi (j'étais sous la douche) et j'ai cru que c'était lui ; au final je ne sais pas qui c'était, il n'y avait aucun mot rien, je sais très bien qu'il bosse à cette heure là et qu'il n'aurait jamais les co**les de se pointer chez moi pour me sortir quoi que ce soit. Mais du coup ça m'a plongé dans une grosse tristesse ; il ne se bat pas pour me garder. J'ai essayé d'analyser ça et je réalise que ça n'est jamais arrivé dans mes relations, que quelqu'un se "batte" pour me garder, me récupérer. J'veux dire, il n'est pas sur ce forum à pleurer que je lui manque, ni aucun de mes exs par exemple. Forcément et à tort je remets ma valeur en question, et c'est une lutte constante dans ma tête avec mes pensées a la con. Pas terrible quoi.

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Hello Lara ,


Les commentaires précédents sont très clairvoyants , et toi même je trouve que tu as un recul assez rare à ce stade de la rupture , qui me fait dire que tout va se bien passer pour toi.


Parfois les " petites "attentions que l'on veut signifiantes , les projets d'avenir beaucoup trop tôt ( trouver du boulot dans la ville que tu envisages) flattent en nous un besoin d'absolu( l'homme idéal après qqc semaines , vraiment ? )Surtout quand on est en période de fragilité soi même ( donc tu as du revenir vivre chez ta mère et tu ne bosses pas avant septembre ) ....Et plus dure est la chute quand le blabla s'efface au profit de la prosaïque réalité ( récurer sa salle de bains pour avoir zéro soutien quand tu es malade quoi ) .


Cette piste que tu évoques ( " personne ne s'est jamais battu pour moi " ) est très intéressante, à creuser vraiment . Pourquoi ce besoin de bataille , de combat ? Qu'est que ça comble chez toi ?


Je pense profondément pour ma part que l'amour ne devrait pas être un combat . L'amour durable en tout cas , qui n'est pas forcement aussi spectaculaire qu'un combat ( et du coup, plus prosaïque, plus ennuyeux peut être ...à ce sujet , tu ne dis pas grand chose de cette rupture d'un-commun-accord d'avril , et de la relation qui a précédé ;) )

Édit j'ai relu : ton ex ( n°1) était donc pathologiquement jaloux . J'imagine qu'il l'était déjà au début de votre relation , est ce que ça flatttait qque chose en toi ?

Et ton ex n°2 incrimait ses ex ( ce qui pour moi est un red flag majeur , plus encore que des poils de luc de 2019 dans la douche et de la moisissure dans le frigo )

Modifié par Selmasultane
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Parfaitement d'accord avec Selma: une piste intéressante ce besoin de combat, et de l'autre cette rupture prosaïque récente en plus, J'ajouterais aussi que dans les deux cas tu donnes beaucoup : tu dis pour la première relation que tu t'es retrouvée après la rupture dans un mauvais état matériellement/financièrement parlant, et dans le second cas, l'exemple du ménage que tu as fait pour ensuite avoir zéro soutien quand t'es tombée malade montrent probablement qu'il y a aussi un truc à creuser ici...

“What we find in a soul mate is not something wild to tame, but something wild to run with.”


― Robert Brault

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Hello Selmasultane !

Merci pour ton retour et ton temps.


En effet c'est une piste que j'ai également découverte aujourd'hui et que j'essaie d'approfondir pour comprendre. Je pense que mon passé y est pour beaucoup ; il est plutôt sombre et je pense me sentir ""mieux"" et plus ""heureuse"" dans des situations finalement malsaines pour moi car c'est comme une sorte d'endroit où j'ai l'habitude d'être et dans lequel je me sens plutôt rassurée. Pourtant j'aspire au fond de moi (mais alors vraiment très au fond :lol: ) a découvrir l'amour sain. Je pense que je ne suis pas prête pour ça, l'ayant connu pendant six ans avec mon ex...


Et oui cette rupture j'évite d'en parler comme la peste. J'en ai beaucoup souffert tant ça a chamboulé ma vie, mes repères, mon quotidien et j'en souffre encore même si la douleur est moindre. La vraie raison de cette rupture, même si elle était réellement commune, c'est moi. Mon petit frère s'est suicidé l'an dernier et c'est quelque chose que j'ai et que je vis toujours très mal. Après ça j'ai beaucoup changé, ça m'a transformé on va dire en une sorte de fantôme rempli que par la colère et j'ai participé grandement à ce que notre couple tourne mal. J'essaie encore de me pardonner pour ça, mais contrairement à ce que disait in vino veritas (transformer la merde en or), j'ai plutôt fait complètement l'inverse et j'ai absolument bousillé tout ce qu'il y avait de bien autour de moi. Mais je pense très sincèrement que l'énergie que j'accorde à souffrir pour ce mec qui ne sait pas se servir d'un balai est un faux prétexte pour pleurer encore mon ex auquel je serais, je pense, éternellement attachée et liée. Mais même en ayant conscience de ça, ce n'est pas lui que j'attends devant la porte mais bien l'homme sans balai.


J'suis une nana très mal foutue psychologiquement, sans parler de maladie ou de trouble, mon cerveau est un bordel très difficile à suivre, même pour moi.


En tout cas je te remercie pour ton message. J'espère que tu vas bien.


Édit ; merci sandstorm pour ton retour, encore une fois. Du coup cette réponse t'est dédiée aussi.


Selmasultane, c'était pas spécialement un "trait de caractère" qu'il avait au début de notre relation justement, plutôt quelque chose qui s'est manifesté au fur et à mesure de la relation et j'en ai vu les couleurs qu'à partir de là 2 où 3eme année je dirais.

Quant à l'homme sans balai, oui le fait qu'il incriminait autant toutes ses exs ça m'a posé problème et j'ai fortement essayé de le faire se remettre en question (vainement)

Modifié par LaraTRPN
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Salut Lara,


J'ai lu ton dernier message dans le train et je voulais rebondir en rentrant chez moi, Selma l'a fait avant !


De ce que tu décris de cet homme, il ne te bat pas pour te garder, et tant mieux pour toi ma foi ! Imagine s'il était revenu, que tu l'avais repris... Tu serais de nouveau à genoux à récurer sa cuisine, sa salle de bain, pendant qu'il en fout pas une devant la télé ? Jusqu'à la prochaine rupture... Il a, pourrait-on presque dire, la décence de te foutre la paix, c'est une aubaine pour toi.


Je rejoins les questions soulevées par Selma : qu'est-ce que ça vient combler chez toi ? Est-ce qu'un homme qui se battrait pour toi viendrait valider ton existence ? Te donner de la valeur en tant qu'individu ?


Et je rajouterai, que d'un point vue sociologique (voire politique), l'idée de l'amour comme d'une tragédie, de quelque chose de difficile, violent, passionnant, qui suscite le déchirement, bref d'un amour malheureux sublimé, renvoie à un ensemble de représentations dont on nous gave toute notre vie : romans, séries télé, films, téléréalité, articles de presse... Tout concourt à nous inculquer la notion selon laquelle l'amour doit, effectivement, être un combat. Ce même cortège de représentations, très ancrées chez chacun et chacune d'entre nous, nous apprend aussi qu'en tant que femme, notre valeur dépend du regard masculin, de la présence masculine - que nous ne valons quelque chose qu'en tant que mère, épouse, bonniche. Ce n'est donc pas seulement en tant qu'individu que se battre pour toi te validerait, mais aussi en tant que femme... à méditer ! (J'avance dans ma lecture du dernier bouquin de Mona Chollet, de la bombe !)

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Hello Janysse et merci pour ton retour !

Ça me touche énormément de voir et lire autant de personnes bienveillantes !


Pour répondre à ta première partie je te renvoie au message posté juste avant qui y répond complètement !


Pour ta deuxième partie ; je suis carrément d'accord. Le monde dans lequel on vit nous pousse à chercher à ressentir tellement de choses qu'on pense être de l'amour ; comment imaginer un couple ennuyant et heureux ? Et qu'est-ce qu'un couple ennuyant finalement ? Je me pose bien évidemment toutes ces questions, surtout et notamment celle "d'exister" à travers la présence d'un homme comme pour finir d'être complètement. Je cherche les réponses, à l'intérieur de moi, dans des livres notamment mais c'est tellement complexe et à la fois si simple...


(Dois-je avoir honte de ne pas du tout connaître Mona Chollet ? Je me penche de ce pas sur cet auteur ! Pour ma part j'ai commencé "demain les chats" de werber que j'aime beaucoup 😉)

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L'amour sain avec ton ex qui " n'était pas pour l'amitié homme-femme " ?

À voir ...

Elieza te l' a dit : halte à la flagellation ;)


Tu as vécu qque chose de très difficile , vraiment très difficile .

Cela fait beaucoup à supporter , digérer, " processer" en une grosse année .


Janysse ( coucou ;) ) analyse ça très bien. Quand j'avais votre âge ( mode " ancienne combattante" :D ) , je ne " tombais " que sur des mecs en couple. Il m'a fallu trèèès longtemps pour comprendre qu'un amour sans obstacle n'était pas pour moi digne de ce nom, que j'avais pathologiquement besoin qu'on me " préfère " à une autre ,et que je me sentais davantage aimée, valorisée ainsi ( en vérité, ça n'aboutissait surtout qu'à des situations chaotiques , merdiques , compliquées ) . J'ai fait le lien avec mon histoire perso ( coucou papa maman :mrgreen: ) . Ça ne veut pas dire que j'ai trouvé for ever la recette de l'amour durable ( je la monnayerais très cher sinon :lol: ) mais j'arrive mieux à faire un pas de côté et a m'observer quand je sens que mes vieux démons me chatouillent .


Bon courage à toi

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Ouais, je pense que je devrais revoir ma définition d'amour sain ahah..


C'était évidemment difficile mais est-ce que j'aurais pas pu mieux le gérer afin de ne pas vomir mon mal-être et ma douleur sur les autres ? M'enfin ce qui est fait est fait et supposer n'apporte rien. Mais c'est vrai que du coup je n'en parle pas trop de cette relation et de cette rupture. Puis 6 ans, autant vous dire qu'il s'est passé tellement de choses que je ne saurais pas où commencer. Mais de toutes mes relations, elle reste la plus belle (pas compliquée cela dit quand on regarde la dernière en date -_-)


Je prends fortement en considération la deuxième partie de ton message. Ça n'a pas dû être facile du tout. Qu'est-ce qui t'a aidé à ce moment là ? Tu voyais un(e) psy ? Des livres ? Ou simplement toi avec toi même ?


Merci encore pour tes messages !

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Coucou Lara,


as-tu été suivie par un·e professionnel·le lors du décès de ton frère ?


Pour le reste, tu as géré comme tu as pu, et il serait sans doute bénéfique pour toi de commencer un travail pour te pardonner d'avoir agi comme tu l'as fait. Ce qui s'est passé est un drame sans nom, et c'est tout à fait normal que tu aies eu besoin de vomir ta douleur et ton mal-être sur les autres.


Tu es bien arrivée à être compréhensive, tolérante et bienveillante envers ton ex lorsque qu'il a perdu son chien, et qu'il était super distant avec toi alors que tu récurais sa maison. Pourquoi ne pas te donner cette même douceur bienveillante à toi, par rapport à ce drame-là ?

 

Quand j'avais votre âge ( mode " ancienne combattante" ) , je ne " tombais " que sur des mecs en couple. Il m'a fallu trèèès longtemps pour comprendre qu'un amour sans obstacle n'était pas pour moi digne de ce nom, que j'avais pathologiquement besoin qu'on me " préfère " à une autre ,et que je me sentais davantage aimée, valorisée ainsi ( en vérité, ça n'aboutissait surtout qu'à des situations chaotiques , merdiques , compliquées ) .

 

Ah ben oui ça c'est typique, on nous met en concurrence les unes les autres, et il faut se battre pour être celle qui sera choisie. Mise en pratique vulgaire et bas de gamme : le Bachelor qui doit choisir entre toutes ces donzelles prêtes à se faire les pires crasses et se plier en 12 pour être l'heureuse élue...

 

(Dois-je avoir honte de ne pas du tout connaître Mona Chollet ? Je me penche de ce pas sur cet auteur ! Pour ma part j'ai commencé "demain les chats" de werber que j'aime beaucoup )

 

La honte n'a rien à faire ici ;) C'est une autrice (essayiste, journaliste) féministe dont le dernier ouvrage analyse les relations hétérosexuelles et les représentations culturelles qui les façonnent... et les sabotent ! Je trouve que le principal intérêt de ce genre d'analyses socio-politico-culturelles, c'est qu'elles nous délestent d'une part de culpabilité : JE n'ai pas assez bossé sur moi, JE suis trop exigeante dans mes relations, JE suis une dépendante affective incapable de se démerder seule et je n'arrive pas à avancer, JE rêve d'une histoire d'amour et je me trouve conne de rêver de ça, etc etc. Ben en fait tout ça c'est avant tout déterminé par quelque chose qui nous dépasse et qu'on absorbe depuis toutes petites... Le tout est d'en prendre conscience pour devenir réellement libres ! (Désolée je suis en mode compte-rendu de lecture ce soir !)

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Oui j'ai rapidement contacté une psychothérapeute 1 mois après le décès de mon frère car je sombrais fortement (j'ai fais une TS) et depuis je la vois toujours. Elle m'aide beaucoup et je me remercie de l'avoir contacté !


J'ai une tendance à offrir aux autres ce que je suis incapable de m'offrir moi, notamment cette bienveillance. J'ai beaucoup de mal à me pardonner quand je blesse les autres même si les circonstances sont atténuantes et par conséquent je m'auto-sabote constamment. J'aspire pourtant à m'apporter + d'amour et de tendresse (plutôt que d'en donner à un type pas foutu de faire sa vaisselle).


Je suis tellement d'accord avec vous. Et toutes ces émissions à la con n'aident pas à se construire sainement en tant que femme UNIQUE et à part entière ; on se sent pratiquement toujours en concurrence et si ce n'est pas en amour c'est physiquement (les réseaux sociaux, pire invention, j'suis bien contente de n'être sur aucun, même à mon jeune âge !)


Alors tu m'as super bien vendu Mona Chollet !! Ça me donne très envie de la lire, je suis persuadée que ça va me plaire. J'irais me procurer un de ces livres dès que je termine le mien !


Merci beaucoup pour ton temps et ta bienveillance Janysse. Tes mots m'apportent beaucoup.

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