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Il est revenu - Comment renouer après nos erreurs?


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Bonjour @ymatt31 je pense que nos histoires sont différentes.


Je n'ai jamais empêché mon ex de voir sa famille, ses amis, de penser ou respirer de lui-même.

Au contraire je l'ai toujours encouragé à profiter et à ce que nos vies ne tournent pas uniquement autour de l'un ou l'autre.


Le problème avec ma mère venait surtout du fait qu'elle n'avait jamais accepté que je parte de la maison. Selon ses propres mots, elle "n'était pas prête". J'ai toujours eu le rôle de mère avec elle, elle n'a jamais eu d'exemple et n'a pas su comment en être une. En prenant mon indépendance officiellement (car depuis 1 an je l'avais déjà plus ou moins prise) elle a vécu comme un 2ème "abandon".


Je n'ai aussi jamais insulté ou rabaissé mon ex...

Dans un contexte comme celui-ci il est normal que tu sois parti. (même mon ex après tout, si il n'était pas heureux à quoi bon rester).


Je t'envoi de la force également ! :)

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  • 1 mois après...
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Pendant une période j’ai vraiment cru que j’allais mieux, que je sortais petit à petit de ce tunnel sombre et interminable mais j’ai l’impression qu’il fait partie de moi désormais.


En presque 7 mois ma vie est complètement différente, aucun paramètre n’est le même et pourtant il est toujours là quelque part. Je n’arrive pas à me résoudre que la fin a été actée depuis bien longtemps, qu’il n’est qu’une simple leçon.


Je me surprends encore à visualiser son visage, son sourire et l’espace d’un instant je me sens comme apaisée, un sourire béa se dessine et ce vide dans mon cœur se referme le temps d’1 seconde.


J’essaye tant bien que mal de rationaliser mes sentiments, l’amour n’est qu’une réaction chimique. Rien n’est vraiment concret là-dedans. Donc je me force à me demander pourquoi, qu’est-ce qui fait qu’encore aujourd’hui je reste à ce point accrocher à lui.


Pendant quelques temps je pensais que je l’idéalisais, alors maintenant dès que je pense à lui je me remémore ses défauts, les choses qui me déplaisaient chez lui.

Le problème c’est que même ça j’ai tendance à le rationaliser. Bien sûr il avait des défauts, mais je l’ai toujours pleinement accepté comme il était, jamais je n’ai voulu qu’il change.


Je n’arrive pas à lui en vouloir pour quoi que ce soit, même les choses dures qu’il a pu me dire. Objectivement ces choses me permettent de me poser les bonnes questions et d’être meilleure que je ne l’étais hier.


Il y avait un certain décalage entre lui et moi, il avait tout construit. Il ne lui manquait que la cerise sur son gâteau (construire sa propre famille)

Je suis encore au point de construire mon gâteau, il prend doucement forme et commence à ressembler à quelque chose.


Ma vie me plaît en soi. Je ne ressens pas le besoin d’être en couple, j’ai beaucoup à construire encore et ca me prendra sûrement des années. Il y a quelques mois lorsque je regardais mon entourage je me posais des questions. Ces personnes étaient toxiques et beaucoup trop brisées par la vie, elles se complaisaient dans leur déboires sans jamais se remettre en question ou vouloir changer les choses.


Aujourd’hui mon entourage est composé de personnes différentes. On dit souvent que l’on est la moyenne des personnes qui nous entoure, pendant longtemps j’ai voulu aider les personnes à aller mieux, aujourd’hui je décide d’être égoïste, de m’entourer de personnes avec qui je peux m’élever et de fuir les personnes qui vont au contraire me plomber.


Malheureusement cette constatation vaut aussi pour ma famille, à ce niveau là je suis vraiment seule. J’essaye de prendre la chose du bon côté en me disant que cela va me responsabiliser, en ne pouvant compter que sur moi-même je n’ai pas le choix d’assurer.


Je me plais à nouveau, je me trouve belle et je prends réellement plaisir à prendre soin de moi, à être coquette. J’étais arrivée au stade ou je me renfermais sur moi-même, ou j’avais le sentiment de ne pas vraiment exister, d’être spectatrice de mon propre corps tellement je me détestais. Aujourd’hui j’ai retrouvé la joie de vivre.


C’est vrai la vie est belle, j’ai soif de vivre, de découvrir le monde, de voyager, d’apprendre, de découvrir. Avec la Covid je m’étais cantonné à vivre comme une septuagénaire, à déprimer toute la journée, pleurer et dormir. Pendant quelques temps j’ai vraiment cru que je n’allais pas y arriver. Que la vie serait trop dur et que je ne sortirai jamais de cette torpeur.

Aujourd’hui je ne suis clairement pas heureuse, mais je ne suis plus désespérée non plus. Je relativise et je décide de prendre les choses en mains.



Pendant longtemps en pensant à mon avenir je n’avais qu’un brouillard épais en face de moi. A l’heure actuelle les choses se dessinent, je sais pourquoi je me lève le matin, et je sais où je veux aller. J’accepte le fait d’avoir tenté, expérimenté et qu’à chaque fois tout s’est résulté par des échecs cuisants. Mais je remonte en selle et j’ai encore la force et le courage de m’investir dans mes projets.


Au final tout devient clair et limpide, tout change… sauf lui.

Il n’est plus là mais fait malgré tout partie de ma vie, de mon quotidien et malheureusement a chaque étape de cette vie qui se créée face à moi, il a sa place.


J’ai toujours du mal à le voir comme une simple leçon, je sais que j’ai changé, que j’évolue un peu plus chaque jour et une partie de moi se dit que comme les paramètres changent, cette fois-ci les choses pourraient être différentes aussi.


Depuis ma plus tendre enfance, je me dis que si à 25 ans je suis toujours célibataire j’accepterai mon sort et deviendrais bonne soeur. Les années avançants je me rends compte que ces 25 ans ne sont pas si loin et je ressens ce poids comme une épée de Damoclès.


Pourtant je ne suis pas désespérée concernant mon célibat, je serais prête à l’être pendant des années encore et comme je ne différencie pas le sexe de l’amour une longue période sans aucun homme de quelque sorte que ce soit semble s’offrir à moi.


Mais oui, je me complais dans mon délicat, seulement lui me manque terriblement. Pas la relation que nous avions, mais lui. Me dire qu’il n’est plus qu’un mirage me brise le coeur.

Mon cœur lui appartient toujours d’une certaine manière.

J’ai toujours eu un sens démesuré pour les déclarations, mais toutes les choses folles que j’ai pu lui dire ou que j’ai pu penser sont toujours d’actualité.

Autant j’ai du mal a m’attacher et aimer. Autant une fois que j’aime une personne je ne peux me résoudre à lui dire adieu…

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Bonjour Pinkiez


il n'y a rien d'anormal à être toujours très obnubilée par son ex et la rupture 7 mois après . Inutile de te forcer ou de te flageller à ce sujet, je pense que comme en méditation, il faut accepter la pensée sans la juger ..ce qui te permet aussi de ne pas t'y accrocher.


Je rebondis juste sur une chose (et j'active le mode Daronne)

 

Depuis ma plus tendre enfance, je me dis que si à 25 ans je suis toujours célibataire j’accepterai mon sort et deviendrais bonne soeur. Les années avançants je me rends compte que ces 25 ans ne sont pas si loin et je ressens ce poids comme une épée de Damoclès.

 

ouah ouah ouah :

1 / aurait on été transportés en 1950 soudain ? qu'est ce qui peut faire à ce point croire à une jeune femme de 2021 qu’elle est incomplète si elle n'est pas en couple durable à 25 ans ? ( on n'est pas loin d'évoquer le fait de "coiffer catherinette" là :roll: )

J'ai suivi ton histoire et quelque chose m'a frappée assez constamment (que ton psy avait souligné aussi en parlant de ta "tolérance" ) : tu sembles penser qu'il faut donner à la limite du sacrifice pour être en couple . D'ailleurs quand il est revenu , tu déplorais de ne pas avoir encore assez de changements à montrer ( comme un chien savant ?)

Pour avoir passé plus de 3 ans sur ce forum à présent, les ruptures les plus douloureuses sont souvent celles qui ont succédé à une relation déséquilibrée et pas forcément épanouissante , même si ce n'est qu'a posteriori qu'on se rend compte qu'en fait , la relatio n'était pas si parfaite


2/étant donné que je pourrais être ta mère, je me permets de te l'affirmer : non les choses ne sont jamais gravées dans le marbre, elles évoluent , changent ( pour peu qu'on accepte de lâcher prise , et on en revient à mon préambule ;) ) .


Tu es intelligente et pleine de ressources Pinkiez (et d'ailleurs ,très agréable à lire) . mais comme souvent les jeunes femmes brillantes, tu te complais un peu dans l'auto analyse intense . Essaie de lâcher un peu prise de temps : oui une rupture ça fait mal, non tu ne vas pas encore bien, c'est la réalité de ce moment ci mais pas du moment suivant ;)

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Hello Selmasultane,


Merci pour ton message :) Et meilleurs vœux en cette nouvelle année

 

1 / aurait on été transportés en 1950 soudain ? qu'est ce qui peut faire à ce point croire à une jeune femme de 2021 qu’elle est incomplète si elle n'est pas en couple durable à 25 ans ? ( on n'est pas loin d'évoquer le fait de "coiffer catherinette" là :roll: )

 

C'est vrai que j'ai grandi dans un climat familial ou la seule et unique chose que l'on attendait de moi était que je sois belle et que je me marie à un homme ayant une bonne situation. Qu'importe mon niveau d'étude ou ma réussite professionnelle.

Alors certes je suis consciente que c'est une vision moyenâgeuse et j'aspire à plus que simplement me marier. Mais il est vrai que j'ai tendance à garder ça au coin de la tête.

 

J'ai suivi ton histoire et quelque chose m'a frappée assez constamment (que ton psy avait souligné aussi en parlant de ta "tolérance" ) : tu sembles penser qu'il faut donner à la limite du sacrifice pour être en couple . D'ailleurs quand il est revenu , tu déplorais de ne pas avoir encore assez de changements à montrer ( comme un chien savant ?)


J'ai toujours crié haut et fort que j'étais une femme indépendante, je le suis, mais seulement célibataire (donc pas vraiment). J'ai découvert cet aspect de moi que j'ignorai. Quand je me suis mise en couple avec lui, j'ai comme naturellement abandonné mes projets pour rester avec lui et ai dû trouver un emploi aux antipodes de ce que j'étais et qui m'épuisait psychologiquement. La situation dans laquelle j'étais me bouffait petit à petit, rien n'allait et je sentais que je sombrais.

C'est pour ça que je me disais vouloir avoir le temps de changer, et me "retrouver" avant d'envisager un quelconque renouveau.

Je pense que j'ai du mal à faire la part des choses. Tout partait en vrille, j'étais profondément malheureuse mais dans tous les aspects de ma vie.

Professionnellement, me relation avec ma famille, mon train de vie, ma santé, la Covid … et ma relation avec lui.

Comme tout était bancal, une petite voix intérieure à tendance à me souffler que les circonstances étant différentes, les choses ne pourraient être que différentes.

J'ai du mal à poser ce point final.


Mais il est vrai que j'introspecte beaucoup, trop d'ailleurs. A tel point que parfois j'ai le sentiment que rien ne va chez moi, d'être à la limite de la folie. Je me remets beaucoup en question et je suis une éternelle insatisfaite avec moi-même.

Le seul pouvoir que j'ai est sur moi-même. Je ne peux pas le changer lui, ni changer la situation parce que je ne suis pas la seule concernée. Donc je me change moi.


J'ai rendez-vous mercredi chez une nouvelle psychologue et j'ai fait une liste détaillée de tous les sujets que j'aimerai aborder, surement aussi pour qu'elle me rassure et me dise que non, je ne suis pas bonne à interner ou que je ne suis pas un cas désespéré.


Mais c'est vrai que je cogite sans arrêt. Lâcher prise j'aimerai y arriver, je tente la médiation, écrire mes pensées dans un journal afin de les faire sortir une bonne fois pour toute, me concentrer sur d'autres projets qui ne laissent pas la place à une quelconque relation…


Pour le moment c'est compliqué. J'ai le sentiment que je ne pourrais passer à autre chose qu'en rencontrant une nouvelle personne. Mais si ca ne fonctionne pas non plus je resterai dans ce cercle vicieux…

Mais il est vrai que 7 mois ce n'est pas si long au final. Si d'ici quelques années mon état d'esprit n'a pas changé là j'aurai de quoi me poser des questions.


Dans tous les cas ce travail avec une thérapeute ne pourra qu'être bénéfique pour moi :)

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Hello pinkiez !


 

C'est vrai que j'ai grandi dans un climat familial ou la seule et unique chose que l'on attendait de moi était que je sois belle et que je me marie à un homme ayant une bonne situation. Qu'importe mon niveau d'étude ou ma réussite professionnelle.

Alors certes je suis consciente que c'est une vision moyenâgeuse et j'aspire à plus que simplement me marier. Mais il est vrai que j'ai tendance à garder ça au coin de la tête.

oui ça transparait beaucoup dans tes écrits .

Et c'est une injonction sociétale encore assez forte, quoi qu'on en dise.

j'ai grandi dans le climat inverse , je suis assez indépendante, j'ai un chouette boulot , etc.. et pourtant cette espèce d'injonction tacite a expliqué une bonne partie de l'état déplorable dans lequel j'étais quand j'ai débarqué sur ce forum.


Selon moi tu mets en place de bonnes pistes( le cahier, la méditation , le psy ) , c'est juste que ça prend du temps de déconstruire les peurs , les croyances limitantes ( on ne déconstruit pas en qqs mois 25 ans , voire 45 ans ;) );


Et le travail que tu fais maintenant constituera tes fondations futures . De ce que tu dis de votre relation, de ta famille, ton ex t'a rendu grand service en rompant . Oui je sais que c'est hyper agaçant tous ces gens qui parlent de "mal pour un bien" etc.. (quand j'étais en PLS moi même , je ne voyais pas trop le positif de cette rupture :roll: :lol: )

Parce que serais tu restée avec lui, que tu serais allée au bout de l’épuisement à tenter de ménager la chèvre et le chou ( lui, ta famille) , sans jamais savoir ce que tu veux toi. Et je sais que la tentation est forte de retrouver une autre relation vite fait, pour éviter d'avoir à y penser , tel un cautère sur une jambe de bois


bon courage à toi, ça va aller


( et si un psy te dit "vous êtes bonne à interner, y a rien à faire" , mets lui une mauvaise note sur doctolib et change de psy :lol: )

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  • 6 mois après...

Hello,


Je me suis surprise depuis quelques jours à revenir par ici. Mon dernier message remonte un peu, nous sommes en août, mais surtout j’avais envie de nuances dans tout cela.


Déjà l’hiver a été terrible pour moi, je ne vis pas dans la région la plus ensoleillée et ce gris ambiant aura presque eu raison de moi. Mais je suis là, et j’ai retrouvé ce petit éclat d’espoir.


Premièrement j’ai renoué avec ma famille, un jour j’ai éprouvée le besoin de parler, de mettre les choses à plat et de les retrouver. C’est chose faite. D’abord avec parcimonie, et finalement avec une relativement bonne entente. Je sais que je ne peux pas les voir ni trop souvent, ni trop longtemps. Mais le pardon a été fait.


Ensuite, après quelques recherches sans trop de convictions, j’ai eu un coup de coeur. J’emménage l’année prochaine dans mon propre logement. Je suis propriétaire !


Côté voyage, j’ai pu redécouvrir Paris et confirmer que cette ville n’est plus pour moi, j’y ai vécu et ai adoré l’expérience, mais aujourd’hui je rêve de tranquillité. J’ai pu refaire d’autres voyages, dans des villes que j’avais adoré histoire de me les approprier à nouveau. A moi, et plus à ce nous qui n’est pas.


Professionnellement parlant, je me suis enfin trouvée. Après toutes ces années brumeuses, je pense être prête à passer mes 40 prochaines années dans ce secteur. Ça aura mis du temps, mais ça y est.


Et finalement côté sentimental. Ça reste la part un peu plus sombre du tableau. Mon ex m’a recontacté le 14 février, me souhaitant une « bonne saint Valentin ». Puis à nouveau quelques semaines plus tard, prétextant avoir retrouvé des affaires m’appartenait en me proposant de se revoir pour le récupérer. J’ai longuement hésité, et j’ai finalement accepté. J’avais tendance à l’idéaliser, à le mettre sur un piédestal, le revoir après 6 mois était donc un moyen de « l’humaniser ».

C’était une rencontre assez brève, 1 ou 2 heures tout au plus. Il m’a pris dans ses bras, il semblait heureux de me revoir, peut être un peu nostalgique. Je ne suis pas sure.

Nous nous sommes revu une nouvelle fois après cela, il m’a proposé d’aller boire un verre. À nouveau il était très à l’aise, moi toujours dans la retenue à départ. Puis bientôt presque aussi détachée que lui. Un peu comme un second rendez-vous qui essaie de confirmer le ressenti du premier. Durant ces 6 mois, on s’est rendu compte qu’on avait fait et découvert les mêmes choses, ça m’a semblait assez fou.

Ca peut sembler mégalo mais ce que j’aimais avant tout chez lui, c’était les similitudes qu’il avait avec moi. Comme si c’était mon double. Par sur tout bien sur. Mais j’avais l’impression qu’on se complétait à nouveau.

Il a insisté pour me serrer à nouveau dans ses bras, et à nouveau je me suis sentie « chez moi », je me suis laissée allée et je l’ai embrassé. Je suis rentrée chez moi, et sur la route je l’ai bloquée. Ça semble absurde parce qu’il semblait vouloir renouer, mais c’était beaucoup trop tôt. Je refusais de me torturer l’esprit à nouveau. J’ignorai ses intentions, mais je savais dans quoi je ne voulais surtout pas retomber.


Je n’ai pas fait d’autres rencontres. La dernière remontait à janvier, et a chaque nouvelle déception je sombrais un peu plus. Je suis restée amie avec ce dernier homme rencontré, depuis 8 mois je me doute que lui espère plus. J’ai beau lui répéter qu’il ne se passera jamais rien, il est là. J’apprécie son amitié même si j’ai le sentiment de profiter de lui d’une certaine manière, bien que j’ai été honnête avec lui des le début.


J’ai toujours peur de faire de nouvelles rencontres, mais surtout de ne jamais retrouver cette innocence. Je crains tellement de sombrer à nouveau que je refuse de m’attacher à un homme qui ne coche pas mes cases. Je refuse qu’une quelconque magie opère, je cherche le concret, le binaire. Je ne laisse pas la place à un « potentiel ».


Je ne suis toujours pas guérie finalement, une part de moi a envie d’aimer. De construire un avenir commun. Mais j’ai peur de laisser un homme m’approcher, que ce soit physiquement ou émotionnellement.


Bien sûr, j’ignore quelle sera la destination. Mais doucement j’avance. Peut être pas sentimentalement parlant, mais la vie a bien plus à offrir que ça.

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