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Mon ex me fatigue mais je l''aime toujours – Que faire ?


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De ta longue réponse, ceci :"un rapport de force égalitaire" m'a fait bondir.

Un couple ce n'est PAS un rapport de force, et un rapport de force égalitaire ça n'a pas de sens, on est encore dans la bataille d'égo, ce n'est pas de l'amour.

Comme Allys j'ai eu un peu l'impression que tu réponds a coté: si il t'a quittée, même au bout de 3 ans, c'est que la relation n'était pas simple et douce, sinon il ne serait pas parti. Il est parti parce que déja, tu étais jalouse et tu faisais des crises si je comprends bien.

il y a aussi un autre aspect qui moi m'a fait rebondir. Lola a incité son ex à aller dans la filière bancaire d'affaires alors même qu'il avait l'air ne pas vouloir le faire (c'était pas adapté à lui) elle l'a aidé à bosser ses entretiens, et ensuite le monsieur a pété un plomb (chose qui finalement vu que le milieu n'était pas pour lui, était prévisible). Donc il n'y a pas que la jalousie là dedans.

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De ta longue réponse, ceci :"un rapport de force égalitaire" m'a fait bondir.

Un couple ce n'est PAS un rapport de force, et un rapport de force égalitaire ça n'a pas de sens, on est encore dans la bataille d'égo, ce n'est pas de l'amour.

Comme Allys j'ai eu un peu l'impression que tu réponds a coté: si il t'a quittée, même au bout de 3 ans, c'est que la relation n'était pas simple et douce, sinon il ne serait pas parti. Il est parti parce que déja, tu étais jalouse et tu faisais des crises si je comprends bien.

il y a aussi un autre aspect qui moi m'a fait rebondir. Lola a incité son ex à aller dans la filière bancaire d'affaires alors même qu'il avait l'air ne pas vouloir le faire (c'était pas adapté à lui) elle l'a aidé à bosser ses entretiens, et ensuite le monsieur a pété un plomb (chose qui finalement vu que le milieu n'était pas pour lui, était prévisible). Donc il n'y a pas que la jalousie là dedans.

J' y vois un besoin de contrôle, un besoin de façonner l'autre pour qu'il la mette en valeur. J'y vois ce toujours plus, cette image de perfection qu'il faut contre raison garder. Aux yeux du monde, il est plus valorisant d'avoir à son bras un banquier d'affaire qu'un éboueur, même si la profession que l'on exerce ne présume en rien de nos qualités humaine, tout comme être aimé d'un homme riche ne veux pas dire que l'on est mieux que les autres.

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J' y vois un besoin de contrôle, un besoin de façonner l'autre pour qu'il la mette en valeur. J'y vois ce toujours plus, cette image de perfection qu'il faut contre raison garder. Aux yeux du monde, il est plus valorisant d'avoir à son bras un banquier d'affaire qu'un éboueur, même si la profession que l'on exerce ne présume en rien de nos qualités humaine, tout comme être aimé d'un homme riche ne veux pas dire que l'on est mieux que les autres.

 

pour être honnête Allys moi je vois un peu plus que ça, si on reprend l'hypothèse de la relation sadomasochiste (qui à mon humble avis mérite d'être creuser) ça peut aller plus lui et rentrer dans le cadre de la destruction (inconsciente) de l'autre pour dominer d'autant plus que cet homme était considérait comme un modèle dans la famille...

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J' y vois un besoin de contrôle, un besoin de façonner l'autre pour qu'il la mette en valeur. J'y vois ce toujours plus, cette image de perfection qu'il faut contre raison garder. Aux yeux du monde, il est plus valorisant d'avoir à son bras un banquier d'affaire qu'un éboueur, même si la profession que l'on exerce ne présume en rien de nos qualités humaine, tout comme être aimé d'un homme riche ne veux pas dire que l'on est mieux que les autres.

 

pour être honnête Allys moi je vois un peu plus que ça, si on reprend l'hypothèse de la relation sadomasochiste (qui à mon humble avis mérite d'être creuser) ça peut aller plus lui et rentrer dans le cadre de la destruction (inconsciente) de l'autre pour dominer d'autant plus que cet homme était considérait comme un modèle dans la famille...

Je ne peux que plussoyer même si au départ je n'avais pas pousser mon raisonnement jusque là...
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Allys : C'est réellement une illusion ? Je n'ai donné que quelques faits mais je doute que les autres hommes soient dans une attention telle qu'ils en sont soumis, c'était trop extrême, aujourd'hui, justement mon ex me dit "j'étais trop soumis je ne suis plus cet homme là, je veux une relation égalitaire". Il faisait absolument tout à ma place, il était en admiration constante, tout ça m'a donné confiance et je l'ai aimé. Mais là où ton message m'a fait réfléchir c'est quand tu dis qu'une âme soeur ne déchire pas l'autre, ne fait pas souffrir tout en rejetant la théorie métaphysique de l'être semblable. Peut être que tu as raison, mais je ne peux pas remettre en cause ma compatibilité parfaite avec lui. Je ne peux pas non plus penser de manière plus rationnelle, qu'un couple qui n'a pas réussi à passer le cap de la fusion, et qui s'est coincé à une étape de sa vie puisse être un ramassis d'illusions. Pourquoi ne pas simplement penser qu'il a mûri et que je suis restée dans l'idéalisation d'un couple qui ne pourra jamais se reconstituer dans la même histoire, à moins de créer une histoire nouvelle plus mature, à moins d'accepter que la fusion c'est fini.
.Bonjour lola,


Quitte a construire un argumentaire pour me montrer a quel point je me trompe, essaye au moins, de ne pas tout mélanger et de ne pas déformer mes propos.


Tu as affirmé que cet homme était « sensationnel », et que ta relation était « exceptionnelle » parce que je cite il est un homme « qui finit nos phrases, qui nous appelle quand on pense à lui, qui nous envoie un message quand ça va pas en disant "je sens que tu es triste tout va bien ?", que l'on croise par hasard au moment de passer à autre chose, quelqu'un qui a les même idéologies, les même gouts littéraires philosophiques, la même vision de la vie, la même ambition, les même projets »

Et je t’ai répondu que tout cela n’avais absolument rien de sensationnel ou d’exceptionnel, que c’était le quotidien et la normalité pour la majorité des couples, et ton histoire d’âme sœur c’est donc dans ta tête, et c’est une illusion que tu entretien pour te positionner en victime.


A aucun moment je n’ai évoqué, sa soumission envers toi, ou je n’ai dit que sa soumission était une illusion…


Mais puisque tu mets ça sur le tapis, allons-y… Tu semble confondre soumission aux désirs de l’autre/adulation par l’autre et amour réciproque. Comme si le seul véritable amour était une relation maitresse/chien. C’est une vision très sadomasochiste et toxique de ce que peut être l’amour. Et en tout cas, si on demandait à des couples si une relation, maitre/esclave est un conte de fée, je pense que la réponse serait non. Je maintient donc qu’il n’y a que dans ton imagination, que cette histoire est belle et transcende la métaphysique. Pour le commun des mortel, une relation, telle que la tienne est simplement une relation toxique, inégalitaire et n'a rien à voir avec une histoire d'amour.


En revanche je ne nie pas, que la compatibilité existe. Elle se place exactement à l’endroit ou sa névrose masochiste rencontre ta névrose sadique…

Après tu peux appeler cela comme tu veux, amour, fusion, âme sœur, idéaliser cette compatibilité, et te bercer d’illusions métaphysique sur l’éternité de votre relation, moi je n’y vois qu’une pathologie, qui mériterait d’ailleurs une consultation chez le psy.


Sur ce je vais cesser d’intervenir sur ton post. Ne le prends pas mal, mais ce coté spirituel des âmes sœur auquel tu t’accroches sans aucune rationalité, a tendance a me faciliter le transit et a me fatiguer. Si tu ne peux remettre en cause ce présupposé sur lequel repose ton illusion qui t’empêche d’avancer, je ne peux pas faire grand-chose pour t’aider.


Edit:

et si il m'avait réellement aimé, et que je ne l'ai aimé que parce qu'il m'a donné l'attention utlime ? Et si au fond je ne l'avais jamais aimé lui ?(…) je l'ai aimé à travers le miroir qu'il me renvoyait de moi, si ça se trouve je ne l'ai jamais vu tel qu'il était lui ou pas entièrement.

C’est ce que je pense, oui, que tu ne l'a jamais aimé, et que donc cette histoire d’âme sœur c'est bullshit.

 

Bonjour Allys,


Tu as le droit d'avoir ton opinion, et j'y ai même en partie adhéré, d'ailleurs je me re-cite "Mais là où ton message m'a fait réfléchir c'est quand tu dis qu'une âme soeur ne déchire pas l'autre, ne fait pas souffrir tout en rejetant la théorie métaphysique de l'être semblable. Peut être que tu as raison, mais je ne peux pas remettre en cause ma compatibilité parfaite avec lui."


J'ai dis que tu avais raison que le côté métaphysique de l'être semblable est peut être une illusion, mais que je ne remets pas en question ma compatibilité avec lui à d'autres niveau. On peut avoir une névrose compatible (et tu as vu juste, et cela veut dire que lui aussi n'est pas net d'avoir accepté ça...), mais on peut aussi avoir des intérêts communs dans d'autres domaines, le monde n'est pas blanc ou noir, il y a tout un tas de nuances.


Il y a des gens névrosés des tas que j'ai rencontré, des névroses toutes aussi compatibles, mais il n'y avait pas le reste, le même sens de l'humour, la même vision de la vie, les mêmes intérêts.


Je ne reste pas accroché à l'illusion, si tu me lis tu vois bien que je suis moins certaine, et depuis hier je suis entrain de réfléchir, un cheminement a commencé. Je comprends si tu ne veux plus débattre mais je pense que le curseur à placer n'est pas sur la croyance métaphysique, je me doute bien que tu ne dois pas être très portée religion et que cela t'agace, mais cela te regarde je ne souhaite pas non plus débattre sur le religieux, la métaphysique et les théories de l'âme soeur.


Merci pour le temps que tu as passé à me fournir des conseils, tous les messages et les tiens en particulier m'ont un peu chamboulée et c'est vraiment la première fois que je me mets à "nue" face à des inconnus, prête à me remettre en question, mais ça fonctionne par étape, avant d'adhérer à l'idée, on s'étonne, on réfléchit, on refuse, et puis on finit par accepter.

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De ta longue réponse, ceci :"un rapport de force égalitaire" m'a fait bondir.

Un couple ce n'est PAS un rapport de force, et un rapport de force égalitaire ça n'a pas de sens, on est encore dans la bataille d'égo, ce n'est pas de l'amour.

Comme Allys j'ai eu un peu l'impression que tu réponds a coté: si il t'a quittée, même au bout de 3 ans, c'est que la relation n'était pas simple et douce, sinon il ne serait pas parti. Il est parti parce que déja, tu étais jalouse et tu faisais des crises si je comprends bien.

 


Bonjour Elieza,


La relation était douce au moment où j'ai commencé à faire des compromis, au départ j'étais infernale et il faisait tout pour me garder. Il était tellement parfait que je n'y croyais pas. Je n'étais pas jalouse à l'époque, mais je le suis devenue quand il a eu de moins en moins de temps pour moi à cause de son travail qui rassemble en général des gens sadiques et masos à la fois, on n'évolue pas dans la banque d'affaires sans accepter de se faire exploiter, ou de tyranniser les autres... c'est un monde particulier. Je ne m'en rendais pas compte à l'époque, je ne connaissais pas ce monde.


Je lui avais dit "Avec moi tu réaliseras tous tes rêves, de quoi rêves tu" et il m'avait répondu, "j'ai toujours voulu travailler dans la banque d'affaires, mais j'ai peur de pas avoir les épaules, mais si tu m'aides et que tu es là je pourrai y arriver". Je l'ai aidé à accéder à son rêve et aujourd'hui je m'en mords les doigts. Et moi je lui ai dit ce que je voulais être et il m'a dit on y arrivera ensemble. Il est devenu banquier et moi je vais bientôt devenir ce que je m'étais fixée.


Oui ce n'est pas un rapport de force, ce n'est pas une question de pouvoir, mais qui ose dire que dans les couples l'un n'a pas toujours un peu l'ascendant sur l'autre, ne serait-ce qu'un infime petit pouvoir ? S'aimer de la même manière n'existe pas, parfois l'un aime plus parfois l'autre aime plus mais c'est normal, l'est l'être humain.

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J' y vois un besoin de contrôle, un besoin de façonner l'autre pour qu'il la mette en valeur. J'y vois ce toujours plus, cette image de perfection qu'il faut contre raison garder. Aux yeux du monde, il est plus valorisant d'avoir à son bras un banquier d'affaire qu'un éboueur, même si la profession que l'on exerce ne présume en rien de nos qualités humaine, tout comme être aimé d'un homme riche ne veux pas dire que l'on est mieux que les autres.

 

pour être honnête Allys moi je vois un peu plus que ça, si on reprend l'hypothèse de la relation sadomasochiste (qui à mon humble avis mérite d'être creuser) ça peut aller plus lui et rentrer dans le cadre de la destruction (inconsciente) de l'autre pour dominer d'autant plus que cet homme était considérait comme un modèle dans la famille...

 

Bonjour Sandstorm, ton hypothèse est très intéressante, toutefois je la trouve un peu extrême, je ne pense pas que j'ai voulu le détruire, d'abord parce que je ne savais pas que la banques d'affaires, était un milieu si horrible, il le savait lui pas moi, moi il m'avait simplement dit "on devra se parler le soir à 3h du matin car la journée, je ne pourrai pas à cause du travail, et j'ai complètement décalé mes horaires de sommeils pour être là pour lui dès qu'il avait besoin de m'appeler pour l'encourager. D'autre part, si tu lis le message que j'ai écrit à Elieza tu verras que je voulais juste qu'il réalise son rêve, il a toujours voulu avoir une partenaire, avec qui il pouvait réaliser ses ambitions, et j'étais tout aussi ambitieuse que lui.

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J'en veux plus pour toujours prouver que je peux faire plus. Plus de sport, plus de bonne alimentation, plus de belles tenues, plus de miroir, plus de diplômes.

 

Tu sais, je ne suis pas un expert (ami ami) mais mon expérience m'a prouvé à maintes reprises

que tout "plus" engendre un "moins" quelque part...

par exemple, plus de sport ou tout autre activité dépassant la moyenne en terme de temps passé), moins de relationnel autre

plus de "bonne" alimentation (après tout dépend de ce que l'on entend par "bonne" ^^) moins de relâchement sur des soirées u peu borderline qui sont nécessaires aussi

plus de tenues, moins de chance de toruver son style personnel

plus de miroir, moi d'ouverture sur les autres, juste un focs sur soi

plus de diplômes, moins d'ouverture ( là encore) à autre chose que l'élitisme alors que tant de personnes peuvent être enrichissantes sans être au sommet de l'échelle (d'ailleurs c'est 90% du temps le cas)...

Moi si j'étais plus jeune, je ferai de l'humanitaire, du vrai, pas du pseudo machin truc qui fait qu'on se retrouve à la tv à chaque crise sanitaire...les vraies valeurs sont là pour moi , bien entendu. Chacun a son propre curseur selon son expérience.


Ceci pour dire que vouloir toujours plus c'est symptomatique d'une peur irraisonnée de regarder la vie telle qu'elle est... c'est toujours vouloir être en mouvement de peur que si l'on stoppe, on ne puisse jamais repartir ...mais repartir pour aller où? c'est bien la question de fond..

Mais bon ça, c'est mon avis :)

 

Bonjour Kakahuet,


Je ne fais pas de l'humanitaire, mais par le biais de mon domaine d'études, j'aide les gens qui n'ont pas les moyens d'avoir accès à l'administration. Il est vrai que tout "plus" engendre un moins, je suis tout à fait d'accord, je devrais être plus modérée, moins dans le contrôle de ma personne, moins perfectionniste, plus humaine. Je suis la première à croire que l'intellect et l'enrichissement n'est pas octroyé par un diplôme je trouve d'ailleurs énormément de cons, racistes, fermés, limités et inculte dans les milieux les plus aisés. Et je parle de la jeune bourgeoisie, pas l'ancienne, où la culture générale par exemple était un code social.


Le reste, si j'ai autant besoin de réussir professionnellement, c'est pour éviter d'avoir les problèmes que j'ai rencontré plus jeune. Je ne veux pas que l'argent soit un problème, je veux offrir aux êtres chers ce qu'ils n'ont pas réussi à avoir. Notamment mes parents qui après 60 années de dur labeur et de sacrifices se retrouvent encore et encore dans les même problèmes. Alors pour eux, je suis sortie de ce déterminisme social. Si je parle autant d'élitisme, c'est que je viens de tout en bas, je fais partie des rares qui ont réussi à passer entre les mailles du filet. Ça peut rendre matérialiste, carriériste, mais c'est un cheminement comme un autre.

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De ta longue réponse, ceci :"un rapport de force égalitaire" m'a fait bondir.

Un couple ce n'est PAS un rapport de force, et un rapport de force égalitaire ça n'a pas de sens, on est encore dans la bataille d'égo, ce n'est pas de l'amour.

Comme Allys j'ai eu un peu l'impression que tu réponds a coté: si il t'a quittée, même au bout de 3 ans, c'est que la relation n'était pas simple et douce, sinon il ne serait pas parti. Il est parti parce que déja, tu étais jalouse et tu faisais des crises si je comprends bien.

 


Bonjour Elieza,


La relation était douce au moment où j'ai commencé à faire des compromis, au départ j'étais infernale et il faisait tout pour me garder. Il était tellement parfait que je n'y croyais pas. Je n'étais pas jalouse à l'époque, mais je le suis devenue quand il a eu de moins en moins de temps pour moi à cause de son travail qui rassemble en général des gens sadiques et masos à la fois, on n'évolue pas dans la banque d'affaires sans accepter de se faire exploiter, ou de tyranniser les autres... c'est un monde particulier. Je ne m'en rendais pas compte à l'époque, je ne connaissais pas ce monde.


Je lui avais dit "Avec moi tu réaliseras tous tes rêves, de quoi rêves tu" et il m'avait répondu, "j'ai toujours voulu travailler dans la banque d'affaires, mais j'ai peur de pas avoir les épaules, mais si tu m'aides et que tu es là je pourrai y arriver". Je l'ai aidé à accéder à son rêve et aujourd'hui je m'en mords les doigts. Et moi je lui ai dit ce que je voulais être et il m'a dit on y arrivera ensemble. Il est devenu banquier et moi je vais bientôt devenir ce que je m'étais fixée.


Oui ce n'est pas un rapport de force, ce n'est pas une question de pouvoir, mais qui ose dire que dans les couples l'un n'a pas toujours un peu l'ascendant sur l'autre, ne serait-ce qu'un infime petit pouvoir ? S'aimer de la même manière n'existe pas, parfois l'un aime plus parfois l'autre aime plus mais c'est normal, l'est l'être humain.

 

Je précise, dans ma relation, il y a eu trop de déséquilibre trop de toxicité. Mais je parlais des relations saine, là ou dans un couple l'un aime forcément plus l'autre et vice versa même si c'est infime et imperceptible. Après peut etre que je me trompe..

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Je comprends et en même temps (et j'en suis désolé) ça me fait pitié :(


J'ai connu des personnes qui étaient dans ce genre de mouvance (partant de bas et arrivant très haut) et le seul trait commun entre eux est qu'ils ont tous raté leur vie affective, ils/elles n'ont jamais été heureu(ses)x


J'espère que pour toi ce sera différent...

Je pense avoir dit tout ce que j'avais à préciser donc je laisse la parole à mes collègues :)

Je suis tellement différent de cette façon de penser/voir la vie que ça ne sert à rien pour moi de continuer à participer (et pourtant je viens de bas aussi et j'ai trouvé un sacré bon équilibre)

Oui c'est un cheminement comme un autre, mais c'est dommage d'en passer par là ... déjà que la vie n'est pas facile, se rajouter des épreuves me semble assez masochiste :) (j'entends par là qu'il n'y a guère de nécessité d'être tout en haut de l'échelle pour réussir sa vie et l'orienter vers les autres ...d'ailleurs le "tout en haut", c'est là aussi où on a le plus de chances de se casser la gueule et de se faire mal ...donc gaffe à toi côté pro aussi !

Puisses tu trouver ta voie et la sérénité dans ta vie ...

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Oui ce n'est pas un rapport de force, ce n'est pas une question de pouvoir, mais qui ose dire que dans les couples l'un n'a pas toujours un peu l'ascendant sur l'autre, ne serait-ce qu'un infime petit pouvoir ? S'aimer de la même manière n'existe pas, parfois l'un aime plus parfois l'autre aime plus mais c'est normal, l'est l'être humain.

 

Re bonjour Lola,

Je ne suis pas d'accord avec toi.

Tout comme il n'y a pas d'échelle de la souffrance, je crois qu'il n'y a pas d'échelle de l'amour.

Chacun aime a sa façon, ca ne veut pas dire qu'on aime plus ou moins. L'amour c'est protéiforme, fluctuant, parfois instable. Et ce n'est pas un rapport de force, sinon c'est une bataille, et ce n'est pas non plus de l'amour.

Le curseur se place plutôt a mon sens dans comment toi, tu accueilles l'amour de l'autre dans la relation.

Quand tu nous expliques que dès qu'il a eu moins de temps à te consacrer tu es devenue jalouse alors même qu'il a tout fait pour te rassurer pendant des années, montre bien selon moi que ce que tu aimes chez lui, ce n'est pas lui mais l'amour qu'il te porte.

Et que dès que tu as la sensation qu'il te "retire" cet amour, et bien tu flippes.

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Elieza,


Tu as réellement saisi la chose, c'est tout à fait ça, et c'est en particulier sur ce point que je médite depuis hier. Je n'ai pas su aimer, je ne sais pas aimer. Comment j'accueille l'amour de l'autre ? Je crois ne pas savoir faire. Des qu'une relation débute, je suis directement dans le rapport de force, comme si l'amour était un jeu de pouvoir, pourtant j'ai l'impression d'aimer, mais je crois que j'aime l'amour que l'autre me porte. Comme disait sandstorm, aimer être aimée n'est pas de l'amour. Je pense que le seul moyen de savoir si je l'aime vraiment, c'est de faire une réelle introspection sur moi, d'apprendre à me connaitre, à m'accepter, à me donner ce regard que mes parents ne m'ont pas donné et que j'ai cherché chez les hommes. Là je saurai si malgré mon "handicap" j'avais au moins quelque chose de réel, enfoui, solide, pour mon ex, ou si ce n'était que des yeux apaisants.

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Bonjour Kylian,


Merci pour ton message.


Nouvelle claque... je ne peux que m'étonner et finalement comprendre, ce que tu dis est tout à fait logique.


Quand tu as cité ce que j'ai écrit, j'ai eu du mal à me lire, comme si je ne voulais pas accepter de le voir en face. Les citations placée à la fin ont corroboré tout ton texte de départ et surtout eu plus de "force" que si elles avaient étaient mêlées dans le texte. Que veux tu que je te dise, si ce n'est que je ne veux plus de ça, dans le fond, je reste en dehors de moi même comme si j'étais un personnage que je me suis crée et qui ne me ressemble pas, je ne me sens pas superficielle, j'aime la nature, j'adore prendre un thé seule dans un café et lire, je n'aime pas les réseaux sociaux, car montrer sa vie aux autres ne m'intéresse pas, je me cultive je trouve les histoires enrichissantes. Je n'aime pas particulièrement les marques tant que ça me va bien, je n'aime pas les sacs à mains, les bijoux, j'aime le minimalisme, l'élégance. Les seuls choses un peu superficielles que j'ai c'est d'aimer les belles maisons et les voitures de sport. C'est tout.


Mais en même temps, j'ai cette tare de penser que mon identité se résume à mon physique et à un statut social, comme si le reste ne valait pas autant, comme si sans ça on ne pouvait pas m'aimer...

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Elieza,


Tu as réellement saisi la chose, c'est tout à fait ça, et c'est en particulier sur ce point que je médite depuis hier. Je n'ai pas su aimer, je ne sais pas aimer. Comment j'accueille l'amour de l'autre ? Je crois ne pas savoir faire. Des qu'une relation débute, je suis directement dans le rapport de force, comme si l'amour était un jeu de pouvoir, pourtant j'ai l'impression d'aimer, mais je crois que j'aime l'amour que l'autre me porte. Comme disait sandstorm, aimer être aimée n'est pas de l'amour. Je pense que le seul moyen de savoir si je l'aime vraiment, c'est de faire une réelle introspection sur moi, d'apprendre à me connaitre, à m'accepter, à me donner ce regard que mes parents ne m'ont pas donné et que j'ai cherché chez les hommes. Là je saurai si malgré mon "handicap" j'avais au moins quelque chose de réel, enfoui, solide, pour mon ex, ou si ce n'était que des yeux apaisants.

 

J'ai fonctionné comme toi pendant des années.

Et je me suis absolument bien débrouillée a saboter de jolies histoires.

La confiance en soi participe, je crois, de ce genre de comportements.


La bonne nouvelle c'est que ça se travaille, et que ce n'est pas gravé dans le marbre :)

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