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Elle a changé ma vie en 4 ans et demi


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Bonjour à tous,


Merci pour ce forum qui permet de s'exprimer sur un sujet difficile à encaisser en plein confinement. Et même si les amis sont présents, parfois on a besoin de points de vu extérieurs pour changer de perspectives.


J'ai 29 ans et je sors d'une relation de 4 ans et demi. Pour résumer, on s'est rencontrés pendant nos études, elle avait 20 ans et j'en avais 24 ans. Je n'ai jamais eu avant elle de relations longues, seulement quelques jours, semaines, parfois quelques mois. Au moment où on s'est rencontrés, elle avait quelqu'un et j'avais une aventure avec une étrangère que je n'allais plus revoir. Je ne voulais pas spécialement aller avec quelqu'un à ce moment, mais la magie a opéré et je l'ai trouvé magnifique, intelligente, et douce. Et puis, elle voulait vraiment que nous apprenions à nous connaitre.






Voilà une histoire de plus. On apprend de la souffrance et c'est un tremplin vers des relations plus saines.

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Salut 12345!

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La clé ici aurait été de parler, d'échanger sincèrement sur toutes ces transformations, mais je crois qu'on a eu peur...


Je dis cela car en parcourant le forum, je vois beaucoup de réactions qui peuvent être "attaquantes" sur cet aspect paternel ou de rapport dominant/dominé, haut/bas et je comprends car c'est un modèle dominant (enfin plus tant que ça...) mais après avoir compris pas mal de chose, je crois que malheureusement les hommes sont en train de chèrement payer ce modèle transmis au fil des générations, et qu'on est pour la plupart en train de se réveiller d'une grosse gueule de bois et va falloir une bonne douche froide pour apprendre à voir différemment et à ne plus se mettre dans ce rôle qu'on a vu chez papa ou grand papa. Que les femmes ne sont pas des petits bijoux à protéger... bien au contraire. L'homme doit lui aussi vivre son émancipation et c'est perso ce que je ressens avec ce qui m'arrive; je pensais vraiment pas en arriver là un jour.

 

Salut camarade dominant,


Avec toute ma subjectivité actuelle, j'ai à peu de choses près le même ressenti. Malgré les efforts de compréhension et d'intériorisation de la possibilité pour l'homme comme pour la femme d'endosser dans l'intimité sociale du couple d'autres rôles que les archétypes classiques, on se sent vite rattrapé. En lisant ton anecdote c'est évidemment l'instinct qui ressort, cette réaction du mental, le mode survie de notre inconscient (difficilement identifiable et saisissable) qui prend le dessus.


J'aimerai croire qu'effectivement la communication soit une solution, mais je ne suis pas sur que nous puissions consciemment briser les programmes, les habitudes mentales, dans lesquels une relation s'est installée. Peut-être dans le cadre d'une thérapie de couple, autrement seul, chacun de son côté pour avoir l'espace et le temps de travailler sur soi.


J'ai aussi parfois ce sentiment de payer pour le modèle transmis par les générations qui nous ont précédés (et pas que par nos géniteurs) mais quelque part c'est heureux, nous sommes les acteurs de ce changement et de sa direction. Il nous appartient donc de définir personnellement, chacun à notre niveau, l'idéal que nous souhaitons pour nos relations à venir. Une utopie, peut-être jamais complètement réalisée mais qui tend vers ce qui semble juste selon nos représentations. Un extrême n'en appelant pas un autre, il doit falloir distinguer dans chaque situation ce qui rélève d'un enrichissement ou au contraire d'une privation de l'autre de sa propre personne.


J'aimerai personnellement revenir là-dessus plus tard, avec plus de matière, plus de vécu et de recul quant à l'expérience que nous traversons. Une chose est certaine de mon côté, je porterai un regard plus averti sur ces schémas qui nous enferment encore trop souvent, malgré toute l'information dont nous disposons à leur sujet. Plus averti donc, et je crois que je reprends sensiblement ton expression, car nous aurons pleinement traversée et intégrée l'expérience et l'issue de ces modèles, plus solidemment ancrés que la connaissance que nous pouvions en avoir ne nous le laissait croire.

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Bonjour, et désolé pour cette période que tu traverses et qui est compliquée.


En lisant ton post et la réponse de fugit qui suit, j'ai le sentiment que tu te perds dans l'intellectualisation, et, avec tout le respect que je te dois, et en regardant le titre de ton sujet, je ne suis pas loin de penser que tu récoltes justement cette intellectualisation à outrance que tu sèmes. Je me trompe ?

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j'ai le sentiment que tu te perds dans l'intellectualisation [...] je ne suis pas loin de penser que tu récoltes justement cette intellectualisation à outrance que tu sèmes. Je me trompe ?

 

Effectivement, tu as raison, je ne fais qu'essayer de comprendre, de lire etc.. je pense que c'est ma façon de ne pas trop regarder du côté des émotions parce que c'est le gros bordel à niveau. Au début de la rupture, j'étais au plus mal et je ne veux pas retourner là dedans. Donc la tristesse, la déception, la colère, le sentiment de vide, j'essaie de les transformer parce que c'est vraiment violent et ça passe en ce moment par l'intellect c'est vrai. D'autre part, si je suivais mes émotions je lui écrirais, je la recontacterais etc... et je ne pense pas que ça nous aide. Donc l'intellect à tout va est aussi là pour temporiser un magma tonitruant. Mais comment faire autrement ? D'un autre côté, quand je suis en moi-même, je suis plutôt bien seul finalement... c'est l'intellect qui fout le bordel.


Et que veux tu dire par je récolte cette intellectualisation ? Si je le comprends, effectivement au cours de la relation je n'ai peut être pas assez su exprimer mes ressentis... C'était soit l'intellect soit l'émotion brute qui ne fait pas non plus du bien.


Et pour rebondir sur le message de Fugit sur le même sujet, effectivement la connaissance en tant que telle ne vaut pas grand chose, il va falloir pleinement digérer cette expérience pour aller vers une métamorphose. Pour cela, j'ai décidé de rester dans ma solitude un moment sans essayer de me rassurer à travers quelqu'un car j'ai observé que depuis de nombreuses années j'avais finalement toujours eu une présence féminine à mes côtés qui me faisait sentir spécial... Et après la rupture j'ai failli reproduire ce schéma, je suis parti en vacances, j'ai rencontré quelqu'un et j'étais déjà en train de penser à l'avenir, sans avoir pris de temps pour aller vers cette solitude. Comment est ce que vous gérez d'ailleurs l'après ?

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Bonjour


Je pense également qu'intellectualiser à outrance ne sert pas réellement la bonne cause.

Mais me trompes-je peut -être...

On peut rationaliser certes mais attention de ne pas sortir trop loin trop haut trop fort sinon ça fait comme un mauvais champagne...psssschht ...


Juste un petit commentaire :

je me suis rendu compte que j'étais toujours en quête, en quête de la femme parfaite qui allait combler mes peurs de gamin, en quête du métier idéal, en quête de spiritualité etc..

Je crois qu'en priorité ce sont des axes que tu dois travailler, cela ne devrait pas poser trop de problèmes tu en as les moyens.


J'avoue également que je n'ai pas réellement compris l'analyse de l'anecdote que tu nous racontes.

Quand on était en voyage dans la cambrousse, elle a rencontré un animal sauvage ... Elle a eu très peur et a couru vers la maison où nous habitions en criant mon prénom... Elle est arrivée terrorisée et je l'ai prise dans mes bras et je l'ai rassuré sur le fait qu'on était en sécurité dans la maison.

Elle y a vu sa véritable nature de femme, elle a vu cette force féminine, sauvage et indomptable.

En opposition à cela, elle y a vu aussi tout le contrôle patriarcal qui pouvait exister dans le couple malgré nous.

Autant la seconde option, je prends et je rajouterai que tu avais un côté paternaliste qui a dû jouer sur votre relation déséquilibrée, le côté "My name is Bond, James Bond" que je ressens un peu en te lisant (sans offense aucune)

Autant la première, il faut m'expliquer (ouaip, suis un peu dur de la feuille)

Donc elle était terrorisée et cela démontre sa force féminine?

 

Bref, finalement quand elle a couru pour échapper l'animal (l'animal ne l'avait pas pister heureusement !), elle s'est rendu compte qu'elle pouvait très bien gérer la situation par elle même, que je pouvais être défaillant. Et elle a vu sa force vitale.

Pas compris (faut vraiment que je me nettoie les esgourdes, moi)...

Elle, terrorisée, a bien gérée la situation en se réfugiant dans tes bras, c'est ça?

 

Je dis cela car en parcourant le forum, je vois beaucoup de réactions qui peuvent être "attaquantes" sur cet aspect paternel ou de rapport dominant/dominé, haut/bas et je comprends car c'est un modèle dominant (enfin plus tant que ça...)

Bien moins que tu ne le penses à mon avis.

 

mais après avoir compris pas mal de chose, je crois que malheureusement les hommes sont en train de chèrement payer ce modèle transmis au fil des générations, et qu'on est pour la plupart en train de se réveiller d'une grosse gueule de bois et va falloir une bonne douche froide pour apprendre à voir différemment et à ne plus se mettre dans ce rôle qu'on a vu chez papa ou grand papa. Que les femmes ne sont pas des petits bijoux à protéger... bien au contraire. L'homme doit lui aussi vivre son émancipation et c'est perso ce que je ressens avec ce qui m'arrive; je pensais vraiment pas en arriver là un jour.

Tu vois, pour moi, c'est du blabla (désolé)

C'est toujours après coup, comme par hasard, que "l'on se rend compte de..."

Je crois qu'il est un petit peu trop facile (n'en déplaise à certains) de faire porter toute la misère du monde sur les générations précédentes. Bien entendu, nous avons des failles, certes et de belles même, mais l'évolution nous prodigue plusieurs enseignements dont le principal est l'adaptation... à son époque, à son milieu, à la société en général.

Si on reste engoncé dans les préceptes des siècles précédents (même inconsciemment) c'est qu'on a loupé une marche...

Je ne dis pas que c'est facile, bien entendu, mais c'est tellement plus simple de se dire "on est des chasseurs/cueilleurs et on n'y peut rien", nan ?

M'enfin bref, ce n'est que mon point de vue (en image^^)


Bonne journée et bon courage car je sais que c'est une période difficile à traverser ...

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Donc la tristesse, la déception, la colère, le sentiment de vide, j'essaie de les transformer parce que c'est vraiment violent et ça passe en ce moment par l'intellect c'est vrai. D'autre part, si je suivais mes émotions je lui écrirais, je la recontacterais etc... et je ne pense pas que ça nous aide. Donc l'intellect à tout va est aussi là pour temporiser un magma tonitruant. Mais comment faire autrement ? D'un autre côté, quand je suis en moi-même, je suis plutôt bien seul finalement... c'est l'intellect qui fout le bordel.

 

Il est là le noeud en fait. Tu as peur de tes émotions (et c'est bien humain), et tu fais tout pour les contrôler, dans le sens de les étouffer. Tu mets du mental dans tout ça.

Le magma est tonitruant ? eh bien laisse le tonitruer. Mais activement. Ressens le au fond de toi, regarde où il te fait mal physiquement, ressens cette boule au ventre, ces mains moites, cette gorge qui se serre. Sans pour autant intellectualiser, disséquer, juger, met des mots sur ce que tu ressens, juste des mots, des couleurs, des textures. Juste pour conscientiser tes émotions. Regarde les avec curiosité puisque c'est ton corps qui te les envoie.


Mes mains sont moites, je sens une boule ronde et grise qui a une odeur de bitume dans ma poitrine. Cette émotion, cette tristesse/colère/xyz je la regarde, elle vient de moi, elle est là, et je la laisse vivre, j'observe ses effets, je la vis.


Tu vois le truc ?

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Merci de vos remarques, ça vient bien pointer là où le bât blesse.


Pour répondre à Kakahuet :

Concernant l'anectode, ça a beaucoup joué chez elle. Elle m'a beaucoup parlé de cet animal par la suite et m'a dit que cette rencontre avait été pour elle une prise de conscience de sa force vitale, de sa liberté de femme et après ça elle s'est beaucoup penché sur les livres traitant des sorcières d'autrefois (énergie féminine libre et puissant qui faisait peur aux hommes du clergé). Ce n'est pas le fait qu'elle fut terrorisée qui a fait émerger chez elle cette volonté de liberté, mais plutôt le fait qu'elle a senti qu'elle pouvait seule affronter une peur extrême, sans l'aide quelconque d'un gars costaud. Et je crois ça a fait un Eurêka !

Bref je continue à analyser... Enfin bon tout ça pour dire qu'il a fallu cette rencontre pour créer une rupture psychique vis à vis du modèle qu'on avait créé et que moi j'ai rampé pendant 3 mois pour lui montrer que je pouvais changer mais que ça n'a rien changé. Et que j'ai balancé cette bague dans un tiroir sans plus jamais la ressortir tellement ça a été violent.


Et effectivement c'est "après coup" , "si j'avais su", mais tu conviendras que pour changer ça se passe souvent comme ça ; il faut une "catastrophe" (dans le sens de ce qui dérange) pour modifier des schémas qui coulaient tout seul. J'ai du mal à imaginer quelqu'un qui se lève un matin alors que tout va bien dans sa vie et qui se dit "tiens, j'aimerais bien changer toutes mes croyances même si jusque ici tout allait bien.." , la force de l'adaptation est toujours dans l'opposition, dans la confrontation. Bref, je continue à analyser, décidément... et tu as totalement raison ce que je dis par rapport au schéma c'est une forme de blabla littéraire qui sort de mon intellect, va falloir que je le vive vraiment.



Pour répondre à etpourtant

Je comprends ce que tu veux dire. Arrêter d'analyser l'émotion en la liant à des représentations, en l'associant ou encore en lui donnant du sens, mais juste l'observer, l'accueillir pour ce qu'elle est. Gros travail et c'est d'ailleurs pour ça que je sens que je dois être seul, accueillir cette solitude, arrêter de poursuivre une chimère et accepter cette rupture. Y'a plus qu'à... !

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Ah et bien c'est beaucoup plus clair comme cela, j'avais des doutes sur mon intégrité psychologique (faut dire que la situation actuelle est propice au dérèglement psy ^^).

Juste une petite remarque (ou deux tiens^^) sur le "une prise de conscience de sa force vitale... elle s'est beaucoup penché sur les livres traitant des sorcières d'autrefois"

Y'a quelque chose qui me gêne mais je n'arrive pas à saisir quoi encore (ben oui mononeuronal on a dit!) , celui soulignerait-il qu'elle avait de sacrés carences (car dans ce cas, votre relation aurait été de toutes façons vouée à l'échec) et pourquoi les "livres de sorcières" parce que je ne vois pas vraiment le rapport, il y a pléthore d'autres "exemples" bien plus accessibles et contemporains, donc se confronter à une "marge" de la société médiévale et l'adapter à nos jours me semble une hérésie (pour rester dans le thème).


Deuxième point, certes, modifier nos schémas nécessite une alerte, mais sachant qu'on ne peut pas changer fondamentalement ce qu'on est , ne vaut-il pas mieux, encore une fois, s'adapter et plutôt que dire "si j'avais su", dire "la prochaine fois je ferai autrement maintenant que j'ai compris", c'est bien plus positif et permet d'avoir un objectif pour avancer?

De plus, il existe bien des warning qu'il faut apprendre à écouter/ressentir (ce que l'on fait trop peu à mon goût) qui permettent de rectifier le tir avant que le chat devienne poète (oui, je sais, je sors, le cat à strophe...c'est nul)

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Un peu comme l'ami caouette, y'a un je ne sais pas trop quoi qui me chatouille et qui me gratouille (mais ça ne me donne pas des idées) dans ce que tu racontes.

Un je ne sais quoi qui me fait penser à une sorte de relation dans laquelle ça décortique le moindre pet, ça analyse le moindre poil qui dépasse, en bref ça tresse du neurone à n'en plus pouvoir.


Et ce qui me chatouille (et me gratouille), c'est que j'ai l'impression que ça:

Elle m'a beaucoup parlé de cet animal par la suite et m'a dit que cette rencontre avait été pour elle une prise de conscience de sa force vitale, de sa liberté de femme

 

c'est en fait une analyse qui vient de toi. Genre la nana t'a dit "oh pinaise de vingu d'bois j'ai eu la trouille, ah ça fait du bien que cette sale bête (laquelle ? une musaraigne ? un éléphant en rut ?) m'ait foutu la paix", et toi, tu en as fait une moulinée royale sauce psychotomoplatique, en te servant à toi-même un boniment monumental qui te rassure dans ta capacité à tout analyser et donc à te sortir de toutes les situations (que tu crois).


Attention, je me trompe peut-être complètement, ce que je dis là est complètement suppositoire, et pur fruit de mon bulbe de cinquantenaire pas très frais, mais dans tout ce que tu racontes, en le relisant, j'ai un poil qui se hérisse, ça fait "touinnnggggg", ça sent l'autoenfumage, le selfmystificator. Ce n'est pas un jugement, loin de là, c'est un ressenti que je te livre.


Mais je le redis, je suis peut-être complètement à côté de la plaque et je compte sur toi pour me le dire si c'est le cas.

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* mode j'déconne/On*

Elle était peut être tellement terrorisée qu'elle a réussi à faire pipi debout? ce qui expliquerait sa prise de conscience?

*mode déconne/Off*


[ ° ] <== oui je sais la porte est ouverte...ça tombe bien il fait super chaud dehors :)

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c'est en fait une analyse qui vient de toi. Genre la nana t'a dit "oh pinaise de vingu d'bois j'ai eu la trouille, ah ça fait du bien que cette sale bête (laquelle ? une musaraigne ? un éléphant en rut ?) m'ait foutu la paix", et toi, tu en as fait une moulinée royale sauce psychotomoplatique, en te servant à toi-même un boniment monumental qui te rassure dans ta capacité à tout analyser et donc à te sortir de toutes les situations (que tu crois).

 


Et oui il y avait de toute façon des carences des deux côtés puisque je ne pouvais pas rester seul sans qu'elle se sente abandonnée. Peut être qu'effectivement c'était de toute façon vouée à l'échec.


Et non, je ne crois pas qu'on décortiquait tout, mais oui bordel ça manquait d'une spontanéité de vie, d'un vrai souffle à deux vers la fin. Comme tu dis, péter un bon coup.

Modifié par 12345
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Bonsoir Askhenazy,


Quand tu évoques les livres de "sorcière" de ton amie, si tu parles de force vitale, je pense que ce n'est pas la version maléfique/diabolique de la sorcière, mais la guérisseuse (improprement appelée sorcière par les inquisiteurs, contents de bruler ces femmes qui effrayaient car elles avaient un contact profond avec la nature, avec ce qui est sauvage, en contradiction -pour eux- avec le christianisme) , la guérisseuse, c'est à dire la femme reconnectée avec ses instincts, avec le lien à la nature, avec les rythmes naturels, l'acceptation de sa féminité (ni douce, ni pas douce, ni faible, ni forte, féminine ) , les rituels des saisons etc.. Personnellement, je ne trouve pas çà loufoque, bien au contraire. Ca s'inscrit parfois dans une mouvance de retour au lien à la nature, du vegan , du non au tout matérialisme

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