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Il m’a quitté après 6 mois intenses, pourquoi ?


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Absolument. Je vise ! Non je pensais répondre à la partie sur « celui là peut-être qu’il quittera sa femme pour moi ». Et en effet je suis lost in sentiments, ce que je relève c’est pas tellement sa connerie, à lui, désormais, c’est la mienne ! Coincée dans la boucle infinie du « mais pourtant t’es pas débile, et tu sens les choses, comment ça se fait que tu finis toujours par te retrouver dans ce genre de plan foireux ?! », du coup j’ecoute / regarde et inspecte ce que vous dites, dans l’espoir de trouver une réponse au moins temporaire à mon état (qui est somme toute un peu normal, même si j’ai tendance à gratter gratter gratter et me remettre en question de tous les côtés pour vérifier si je tiens toujours la route...). Sûrement encore une nouvelle phase ?
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etpourtant, je suis encore plus conne que ce que tu crois

 

Mais je ne crois rien du tout, gente dame, et justement ce qui m'interpèle (du verbe inter peler: se gratter la peau à plusieurs endroits) un peu c'est peut être cette tendance que tu aurais à te dire que puisque je crois que tu crois, et que toi tu crois que je crois, alors sachant que je sais que tu sais que je sais, je fais bien de penser ce que peut-être tu penserais que je pense, quand j'y pense... Mhmmm tu vises le schéma ? ;)

 

Avoue, t’envie pas mon cerveau là :lol:

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Non mais en vrai je m’auto épuise... ça tourne tellement là-dedans que je suis arrêtée parce que j’en dors carrément plus. Le médecin m’a dit que c’est normal et que ça va se calmer, mais je me traîne une migraine permanente et j’arrive pas à arrêter de penser ou à focaliser mon attention sur autre chose. C’est INFERNAL.
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C'est bien ce que je lis :)


Et pour arrêter de penser, la première chose à faire c'est de ne pas essayer d'arrêter de penser... Tu sais, comme quand tu n'arrives pas à dormir et que tu te dis sans cesse "il faut que je dorme"...

Ben laisse penser, et regarde tes pensées comme des nuages qui passent... sans être actrice de ce qui se joue dans tes pensées... Comme si tu regardais un film . Essaie de voir avec curiosité comment elles s'enchaînent, ce qu'elles te font ressentir, physiquement et émotionnellement. Et ressens tout ça, plutôt que d'essayer de l'occulter. Elles ont le droit d'être là tes pensées, et ne te juge pas pour avoir des pensées...

Voilà, l'idée là maintenant c'est de revenir dans le réel, dans ce qui est, et de laisser tourner ce qui n'est pas réel, et que de toutes manières tu ne peux pas empêcher de tourner.


Qu'en penses-tu ?

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message d’adieu auquel il a répondu (par un truc totalement neutre d’ailleurs, mais qui m’avait déjà bien secouée parce que je pensais qu’il respecterait mon souhait : « ne réponds pas stp car tu ne peux rien pour m’aider »).

je vais te paraître dure Lea mais quand on ne veut pas de réponse :

1 - on n'écrit pas

2- au pire on bloque

 

Et là son excuse avait été « qu’il voulait être gentil ». C’était pas gentil...

à nouveau, un "largueur" ne parait jamais gentil quand la volonté de rupture n'est pas partagée ; quoi qu'il dise et quoi qu'il fasse.

 

En vrai, si je lui ai posé la question c’est que j’étais capable et prête à entendre sa réponse (quelle qu’elle soit), dans l’optique d’avancer en ayant toutes les clés en mains parce que là ça fait un mois que je suis bloquée et que j’en ai ras le’ bol. Et j'étais aussi prête à ne pas avoir une réponse qui me satisfasse, mais au moins j’aurais eu l’impression de clore un truc.

alors déjà, tu fais une erreur si tu crois qu'il va te débloquer .(ça c'est ton boulot, pas le sien)

et je me permets de douter très fortement que ses réponses, quelles qu'elles soient t'auraient aidé à clore ; en général , ça ne génère que frustration, chagrin et questions supplémentaires (parce que le fond du problème ,c'est ce quelqu'un qui ne partage pas ton envie d'être ensemble, on aura beau l'accompagner de tous les discours du monde, ça fait mal et la blessure met du temps à se refermer ).

y a que le recul qui permet ça ; là par exemple (après 18 mois :D ) je pourrais discuter calmement avec mon ex de ce qui a foiré , de nos erreurs etc..le truc c'est qu'évidemment , je n'en ai plus spécialement envie maintenant , je n'en vois plus l'utilité car il ne m'intéresse plus, je n'ai plus mal , et je n'attends plus de lui qu'il me répare.

 

Et le flou qui règne sur le pourquoi du comment, bin ça l’arrange bien. Manière de me garder sous le coude.

là encore , je ne le pense pas.

c'est toi qui te places sous son coude, lui il veut juste ne pas trop s'emmerder et éviter les situations pas agréables pour lui.


petit edit Lea, après avoir lu tes échanges avec Etpourtant (coucou ;) ) : tu ne t'autorises pas beaucoup de répit je trouve ; là tu es en train d'analyser tes ruptures passées, d'"anticiper ta propension à tomber amoureuse malgré tout" , tu penses au futur garçon gentil, tu es persuadée que ton ex va revenir (ah bon ?), tu attends quand même de lui qu'il t'aide à clore le chapitre ,tu en veux à tes ex passés de revenir sur le tard , ...OUAH OUAH OUAH je suis épuisée et au bord de la méningite rien qu'à te lire (et je comprends pourquoi j'ai fait des maths et pas de la philo :lol: );


Et si tu t'autorisais du rien et du vide ?

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C'est bien ce que je lis :)


Et pour arrêter de penser, la première chose à faire c'est de ne pas essayer d'arrêter de penser... Tu sais, comme quand tu n'arrives pas à dormir et que tu te dis sans cesse "il faut que je dorme"...

Ben laisse penser, et regarde tes pensées comme des nuages qui passent... sans être actrice de ce qui se joue dans tes pensées... Comme si tu regardais un film . Essaie de voir avec curiosité comment elles s'enchaînent, ce qu'elles te font ressentir, physiquement et émotionnellement. Et ressens tout ça, plutôt que d'essayer de l'occulter. Elles ont le droit d'être là tes pensées, et ne te juge pas pour avoir des pensées...

Voilà, l'idée là maintenant c'est de revenir dans le réel, dans ce qui est, et de laisser tourner ce qui n'est pas réel, et que de toutes manières tu ne peux pas empêcher de tourner.


Qu'en penses-tu ?

 

C’est précisément ce que vient de me dire ma psy, merci etpourtant. Oui en effet faut que j’accepte qu’elles tournent, il parait que c’est constructif. Elle m’a fait pleurer en une seule phrase (que je ne répéterai pas en public), m’enfin je ressors plus sereine.


Je ne vais pas retourner dans mes justifications d’interpretations et de gentillesse / non gentillesse, pardon. Et c’est de ma faute parce que c’était pas le lieu pour CE débat là. Moi je sais ce qu’il en est, en vrai. Par contre ce qui fait que j’en suis arrivée là, je commence à le comprendre, et ça je pense que c’est bien. Je sais ce qu’il fait / pourquoi il le fait / ce que ça me fait depuis le début. Maintenant je commence à voir ce que ça induit, surtout, pour moi et moi toute seule.


Etpourtant merci, si t’es pas psy t’as du potentiel ;)

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pardon. Et c’est de ma faute

Avec les pensées que tu vas laisser tourner, tu vas aussi progressivement laisser tomber l'autojugement "pardon, c'est de ma faute, je n'aurais pas du, il aurait fallu que". Tout ça aussi contribue à faire tourner les petits vélos qui n'attendent que ça pour mouliner.

Ce qui est super important un peu ce que tu dis: je sais ce que ça me fait, et je vais apprendre, comprendre pourquoi. En effet tout ça va contribuer à conscientiser ces émotions, ces sentiments qui viennent automatiquement et directement de ton inconscient, de ton passé.


Et c'est la bonne démarche, c'est ça la véritable reconstruction. Ce n'est pas d'essayer d'oublier (pas possible), de se forcer à ne pas penser (pas possible non plus). Non, c'est bien ce que tu fais en ce moment: je vais apprendre et comprendre ce qui fait mes actions d'aujourd'hui, parce que j'ai compris que mon passé me dicte encore trop de choses, qu'il se projette encore trop dans le présent, et même dans le futur. Et tout ça ce n'est juste pas réel.


Je te souhaite de belles découvertes sur les pensées, reste curieuse et ouverte à tout ce que tu ressens, en positif comme en négatif, c'est comme ça que l'on trouve la paix.


PS: je ne suis pas psy (ni papy quoi que...) , mais la vie a fait qu'il y a quelques années, suite à une rupture, j'ai pu m'offrir l'immense cadeau d'avoir compris beaucoup de choses sur les relations humaines, sur mon fonctionnement. Il y a eu des hauts et des bas, des milliards de pensées, de moments pas cool du tout. Et aujourd'hui, parfois, quand viennent les pensées sur un sujet quelconque, je me pose quelques instant et je leur dis "allez y les pensées, faites vous plaisir, je vous regarde". Alors je les regarde, comme si j'étais un spectateur dans un cinéma. Et puis le film s'arrête, je me lève et je me fais un grand sourire intérieur. Et puis ça roule comme ça peut. Et si un jour je me sens triste, eh bien je me sens triste, et je contemple ma tristesse, je la laisse s'exprimer, épicétou ! ;)

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Je ne vais pas retourner dans mes justifications d’interpretations et de gentillesse / non gentillesse, pardon. Et c’est de ma faute parce que c’était pas le lieu pour CE débat là. Moi je sais ce qu’il en est, en vrai. Par contre ce qui fait que j’en suis arrivée là, je commence à le comprendre, et ça je pense que c’est bien. Je sais ce qu’il fait / pourquoi il le fait / ce que ça me fait depuis le début. Maintenant je commence à voir ce que ça induit, surtout, pour moi et moi toute seule.

 

Ok bonne continuation :roll:

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Bonsoir à tous,

Ce petit message pour vous dire que ça va un peu mieux. J’ai enfin compris ce qui me suffoquait depuis un mois, et bon... ça y est, je suis en colère. Très en colère. Et cette fois : contre lui.


J’ai observé ma détresse, le poids sur ma poitrine et j’ai pensé’ à tout ce qui me mettait dans cet état, au lieu de l'éviter. J’ai suivi tes conseils etpourtant, je les ai regardé, ces émotions là, et j’ai trouvé la force de les regarder d’un peu plus loin encore, de chercher le point de convergence. Ça m’a fait mal, très mal, mais je l’ai trouvé. J’ai compris ce qui différencie cette histoires des autres. J’ai compris et pourtant je crois que tout le monde me l’avait dit, mais je ne regardais pas d’assez loin, je ne pouvais pas le voir encore en moi... je ne regardais pas pour les bonnes raisons, surtout.


J’ai compris qu’il ne m’a pas vraiment quittée. Pas entièrement. Pas complètement. Et que ça faisait trois semaines que j'étais en attente de son retour, mon portable à la main. J’ai compris que je n’avais pas osé demander des réponses, j’ai observé que cette rupture là était différente : après autant de temps ensemble, je n’ai même pas eu droit à une explication, ni à une confrontation, mais juste à une fuite. Il a refusé qu’on en parle sur le moment, alors je me suis mise en attente. Et puis j’ai décidé de provoquer cette confrontation, j’ai décidé que je méritais une vraie rupture, avec tout ce que ça implique en perte d’espoir, en mur en face, en « c’est comme ça et puis c’est tout », comme ça a toujours été dans ma vie avant. Et ça aussi, il l’a fuit (et de manière vraiment ridicule et naze, lâche comme pas permis). J’ai écouté mes émotions et j’ai compris que j'étais une amoureuse sans amoureux, une amoureuse mise en attente, de miettes, d’un possible retour « où et quand il veut ». Que j’étais coincée, suffoquée dans une bulle d’angoisse liée au fait qu’il m’a « presque quittée » très exactement comme il m’a « presque aimée ».


Ma question est toujours sans réponse. Mais il a pris soin de faire « passer des messages » : « je ne répondrais pas, parce que bon hein, ça m’énerve. » et puis « bon, je vais répondre. Mais plus j’y pense et plus c’est une mauvaise idée. ». Voilà c’est tout.


Alors j’ai écouté mes émotions, et là j’ai... explosé. De colère. ENFIN. « Il m’a « presque » quittée, ce con là ! » a explosé dans ma poitrine. Je mérite qu’on m’aime vraiment et qu’on me quitte vraiment. Je mérite que les histoires commencent, avancent et/ou terminent, je ne suis pas un chien à qui on file des restes ou encore un robot à qui on demande d’etre « Intense » que quand et où on veut. Mon histoire était vraie et sincère, je mérite une clôture vraie et sincère !


Et là depuis que ma colère gronde, devant mes yeux défilent les reproches qu’il m’a servi pendant 18 mois « trop intense (super quand j’ai envie, mais ingérable quand j’ai pas envie !) », « trop d’émotions », se serait-il en plus permis de critiquer ce que JE suis ? Ai-je demandé une seule fois qu’il gère MES émotions à ma place ? Être un couple c’est être capable d’accepter que l’autre soit ce qu’il est, non ? Être capable d’entendre que l’on n’est pas CONSTAMMENT en phase et que ce n’est pas grave ? Moi j’acceptais bien qu’il soit plus distant par moments, pourquoi est-ce que j’ai accepté aussi de me prendre dans la gueule que ça serait bien plus « confortable » si j’étais « à fond » que quand LUI en avait envie ?? Et comble du comble, lui qui m’a quitté « par respect pour notre histoire vraie et sincère », par TEXTO (!!!), est INCAPABLE de rompre VRAIMENT sans simplement dire « on verra plus tard ! » ??? Je suis furieuse, et je sens cette colère saine en moi libérer mon thorax de la pression incompréhensible qu’il comprimait depuis des semaines.


Je sais que je ne suis pas sortie d’affaire, mais pour une fois, j’ai écouté ma colère, j’ai laissé couler mes larmes, j’ai serré dans mes bras ceux qui sont LÀ et qui m’aiment, qui ne me jugent pas même d’être malheureuse là maintenant / en colère depuis quelques heures. Et j’ai enfin posé mon téléphone.

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J’ai eu envie de le dire ici pour vous remercier d’avoir été capables de me lire. Parce que c’est une étape que j’attendais avec impatience. Maintenant je sais que je ne resterai pas comme cela, que ça descendra et que potentiellement d’autres problématiques apparaîtront. Mais là je récupère mon corps, je récupère mes billes et j’en suis fière.


Il faut que je rompe seule, d’une relation que je ne souhaitais pas quitter et pour l’instant ça me met en colère. Noire. Rouge. Sang. Je sens que c’est là, à l'intérieur, et grâce à ces émotions justement que je vais trouver le courage de m’en sortir (dans moi, pour moi, casser le lien pour être libre enfin).

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Edit: Selmasultane, j’espère que je ne t’ai pas parue trop mal élevée. Je n’ai pas lu tes mots sur le moment parce que j’ai eu besoin de « couper », après tant de questions. Tes réponses sont vraiment pertinentes et tu as totalement raison quant au fait que je me garde moi-même sous son coude. Par ailleurs je sais qu’il n’est pas innocent, c’est même un spécialiste de la pratique, plutôt doué pour se rendre extrêmement présent / absent (pas par stratégie cela dit, je ne le crois pas, en tout cas consciemment). Mais notre lien n’aurait jamais dû être, ne serait-ce parce qu’on appuie sur des boutons ingérables l’un pour l’autre. C’est un lien qu’il ne cassera pas parce qu’il n’a pas « envie » de le casser, et que je me dois de découper à la hache de mon côté, pour moi. Et c’est compliqué de se défaire de quelqu’un que l’on aime, parce que oui, je l’aime comme il est, mais je m’aime encore plus.
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  • 2 semaines après...

Bonsoir à tous,


J’espere que vous allez bien.

Voilà ça fait plusieurs semaines maintenant qu’il est parti et nous avons eu notre dernier échange il y a 10 jours. Il m’a expliqué qu’il m’avait quitté parce que, selon lui, je suis une « tornade ». Alors je ne sais pas ce que ça veut dire. Et qu’il y avait vraiment cru mais que tout était de ma faute, parce que je suis vraiment trop émotive, que ça lui mettait trop de pression au quotidien. Comme si je lui avais demandé de gérer mes émotions à ma place... Je ne suis pas rentrée dans le débat d’ailleurs, j’ai répondu que probablement que j’avais idéalisé cette relation et qu’on n’aurait sûrement pas dû se mettre ensemble. Fin de l’histoire. Il n’a pas répondu (enfin si, il a hurlé sa colère à ma meilleure amie pendant 2 jours, pourquoi j’en sais rien, et j’ai demandé à ne plus avoir de nouvelles indirectes de lui), je n’ai pas relancé. Bref, j’ai rompu, moi aussi.


Depuis ça avance, j’ai trouvé un « pansement » avec qui tout est léger léger et j’essaye de reprendre le contrôle de ma vie, de mes émotions. Mais c’est dur. Je n’espère plus, parce que j’ai bien compris qu’il avait cristallisé une image négative de moi, mais moi... bin il me manque. Je sais bien que c’est foutu, mais j’ai l’impression d’avoir perdu un proche, mon confident (c’est pas une impression) et mon partner in crimes.


Quand je pense à notre histoire, je souris, puis je me mets à pleurer en pensant que ça n’existera plus jamais. Je ne sais pas trop comment faire pour faire passer ça... C’est dur de réprimer mes larmes, vraiment. Le diaboliser à mon tour ne fonctionne pas et je me sens toujours victime de mes propres émotions, assaillie par la lassitude et l’amertume. C’est un rejet tellement brutal, que même plusieurs semaines après je suis encore sous le choc je crois. Comme un décès en fait... est-ce que quelqu’un a vécu ça ? Comment réussir à avancer avec cette sensation de manque, de perte ?


Bonne soirée à vous tous

Modifié par Lea90
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