Bill Posté(e) le 19 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 19 janvier 2020 Bonjour BillJ'entends beaucoup de déception, mais surtout de rage dans tes propos. Oui c'est un constat amer que finalement, le naturel revient au galop... Que faire alors avec tout ça ? D'abord et même si ce n'est pas simple, finir de "laver" cette expérience, en lui rendant définitivement ses affaires. Et en le faisant toi-même sans attendre qu'elle te le demande. Aujourd'hui tu dis "nan, elle se démerde, je ne bougerai pas", parce qu'il y a de la haine en toi, et de l'égo, oeil pour oeil, dent pour dent. Mais dépasse ça, fais tout ça pour toi. Ce qu'elle ressentira par rapport à ça, c'est son problème, et pas le tien. Oui, fais le pour toi, parce que c'est bon pour toi, c'est un geste symbolique mais plein de sens pour toi, puisqu'il signifie que cette fois tu fermes la porte définitivement à cette personne. Prend bien conscience de l'importance de ce geste, vis le comme un nouveau départ pour toi. Je te rends tes clés, je te rends avec tes clés tout ce dont je n'ai plus besoin, matériellement et surtout émotionnellement. C'est un bateau qui s'en va emportant avec lui tout ce qui ne te servira plus. Le passé reste, dans ta mémoire, mais les émotions qui y sont rattachés s'en vont. Tu es une personne entière, ta vie est faite de belles choses et de choses plus difficiles, mais accepte le, sans regrets, et surtout sans te juger. Des relations foireuses ? c'est comme ça, c'est du passé, ce n'est plus dans ta réalité d'aujourd'hui. Ce qui est dans ta réalité d'aujourd'hui, c'est que tu es en vie, entier, et que chaque chose que tu fais dans le sens de l'apaisement intérieur est un immense pas en avant. J'oserais même dire: profite de ce moment où tu rends les affaires, vis le comme une liberté retrouvée, comme une porte qui s'ouvre pour toi et toi seul. Bon courage à toi ! Merci de tes mots pleins de sagesse. Je te relis souvent. Surtout ces derniers jours où je m'accroche pour garder la tête hors de l'eau. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 21 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 21 janvier 2020 Qu'est-ce qu'elle me manque putain ! Je pense à elle non-stop. J'ai envie de lui écrire. J'ai envie qu'elle le sache. J'ai envie qu'elle me le dise aussi. J'ai envie qu'on partage encore des moments ensemble.Et quand je retrouve un soupçon d'instant présent, je chasse ces pensées toxiques : elle n'est pas là, elle ne donne aucun signe de vie, avance !Et c'est là que je coince. J'ai l'impression de ne pas avancer. J'ai l'impression que ma vie est un grand vide. J'ai envie d'appuyer sur Avance Rapide >>. Être à la sortie du tunnel. Être heureux bordel. Ça fait à peine plus d'un mois que le pont s'est effondré. J'ai l'impression que ça fait des mois et des mois... Je n'arrive pas à m'intéresser aux autres, trop embourbé dans mes propres pensées. Je dois dégager une énergie bien dégueulasse...Et tout ceci est d'autant plus difficile à vivre pour moi parce que je me sens seul. Comme je le disais précédemment, je réussis dans la vie (études, argent). J'ai réussi à me construire une vie dont beaucoup rêvent (attention, je ne l'ai pas fait pour impressionner qui que ce soit, mais j'ai réussi à me créer la vie que je voulais). Intellectuellement, physiquement, je correspond au stéréotype du mec attirant. Même ma psy m'a avoué ne pas du tout s'attendre à entendre mon histoire le jour où elle m'a vu débarquer pour la première fois dans son cabinet.Est-ce que cette image du mec qui réussit, qui plait, qui n'a jamais de problème n'est pas en train de me desservir aujourd'hui !? Je me fous de l'image (avec laquelle je ne joue pas d'ailleurs). Je suis quelqu'un de terre à terre et spirituel. Pas un m'as-tu vu, coureur. Sur le papier, j'ai tout. À l'intérieur, j'ai l'impression de ne plus rien avoir.Je pars dans deux jours. J'ai l'impression de sauter dans un vide immense. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clover Posté(e) le 21 janvier 2020 Partager Posté(e) le 21 janvier 2020 Qu'est-ce qu'elle me manque putain ! Je pense à elle non-stop. J'ai envie de lui écrire. J'ai envie qu'elle le sache. J'ai envie qu'elle me le dise aussi. J'ai envie qu'on partage encore des moments ensemble.Et quand je retrouve un soupçon d'instant présent, je chasse ces pensées toxiques : elle n'est pas là, elle ne donne aucun signe de vie, avance ! Hello Bill.Je crois que tu as ce besoin de lui écrire parce-que tu ne veux pas qu'elle oublie que tu existes. Mais ouvre les yeux : elle sait que tu existes, c'est juste que là, elle s'en fout. Alors je sais, ça fait mal de lire ce genre de choses, ou pire encore de réaliser ce genre de choses, moi la première d'ailleurs ça m'a défoncé le coeur. Et pourtant ...N'oublie pas : "Celui qui a besoin de toi te contactera. Celui qui veut te voir aura du temps pour toi. Celui qui te veut te trouvera. Le reste n'est qu'une excuse."Courage, courage, courage, je sais à quel point c'est difficile. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
etpourtant Posté(e) le 21 janvier 2020 Partager Posté(e) le 21 janvier 2020 Yes Bill, ça tourne et ça mouline, ça travaille dans tous les sens, ça pique, mais ça avance. Faut que ça pique, faut que tu le sente, que tu le ressente, et que tu laisse passer doucement. N'essaie pas de refouler tout ça, surtout pas, parce que sinon ça va te pousser à agir (et donc contact etc...). Non, profite (je pèse mes mots) de ces moments de merder pour bien les vivre, une bonne fois. Fous toi sur ton canapé et chiale, crie, hurle, fais sortir tout ça. Tu as le droit d'être en mauvais état, et tu l'es, et ce sont ces moments que tu vis. Pas ceux du passé ni ceux du futur quand ça ira mieux. Non, c'est là, tu es tel que tu es, avec tes forces et tes faiblesses, tes craintes, tes qualités et tes défauts, et tout ça est unique et c'est toi; Alors met tout ça à ton service et laisse s'exprimer ces moments, ce que tu ressens, sans bloquer, sans te juger. Recentre tout sur toi, quand tu penses à elle, pense à toi, sans refouler la pensée que tu as pour elle, mais pense à ce que tu ressens, tristesse etc... et elle passera au second plan.Tu nous tiens au courant ? Plein de courage à toi ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 N'oublie pas : "Celui qui a besoin de toi te contactera. Celui qui veut te voir aura du temps pour toi. Celui qui te veut te trouvera. Le reste n'est qu'une excuse." Merci. Je m'accroche à ça. Mais en même temps, je la connais par coeur. En me quittant, elle m'a dit « je sais qu'en prenant cette décision, je n'ai plus le droit de te contacter ».Cette histoire d'avoir le droit est son interprétation de ma façon de penser sur les fins de relation : lorsque c'est terminé, je coupe les ponts. Pas par rancoeur ou colère mais pour passer à autre chose. Mais elle, en position de victime/soumise, elle est convaincue que je lui interdis de me parler. Tout ça pour dire que, même si elle mourrait d'envie de me parler, sa gêne maladive, son manque de confiance en elle et cette fausse croyance que je lui interdis/autorise de faire les choses l'empêcherait de le faire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Yes Bill, ça tourne et ça mouline, ça travaille dans tous les sens, ça pique, mais ça avance. Faut que ça pique, faut que tu le sente, que tu le ressente, et que tu laisse passer doucement. N'essaie pas de refouler tout ça, surtout pas, parce que sinon ça va te pousser à agir (et donc contact etc...). Non, profite (je pèse mes mots) de ces moments de merder pour bien les vivre, une bonne fois. Fous toi sur ton canapé et chiale, crie, hurle, fais sortir tout ça. Tu as le droit d'être en mauvais état, et tu l'es, et ce sont ces moments que tu vis. Pas ceux du passé ni ceux du futur quand ça ira mieux. Non, c'est là, tu es tel que tu es, avec tes forces et tes faiblesses, tes craintes, tes qualités et tes défauts, et tout ça est unique et c'est toi; Alors met tout ça à ton service et laisse s'exprimer ces moments, ce que tu ressens, sans bloquer, sans te juger. Recentre tout sur toi, quand tu penses à elle, pense à toi, sans refouler la pensée que tu as pour elle, mais pense à ce que tu ressens, tristesse etc... et elle passera au second plan.Tu nous tiens au courant ? Plein de courage à toi ! Merci etpourtant. C'est juste cette impression de ne pas avancer qui me tétanise. Comme si j'allais être dans cet état pour toujours... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Premier signe de vie (indirect).On a des documents de travail partagés. Et je reçois des notifications par email lorsqu'elle y ajoute des commentaires. C'est ce qui s'est produit hier soir. Pincement au coeur.Pour la faire courte, c'est elle qui a la main là-dessus. Je n'ai pas besoin du document en question. Et c'est elle qui doit en désactiver le partage pour ne plus que je reçoive quoi que ce soit.Ma première réaction : lui répondre par email. Mais je me suis ravisé. J'aurais été assez cash et ce sont mes émotions qui auraient parlé. À froid, je pense lui demander dans deux semaines lorsqu'on se verra pour le travail et que je lui rendrai ses affaires. Une manière de clore TOUS les dossiers une bonne fois pour toutes. Qu'en pensez-vous ?Il y a autre chose qui me titille. Une partie de mon activité (antérieure à notre rencontre) passe par les réseaux sociaux. Mais j'ai mis cette partie en pause depuis plusieurs mois. Là aussi, pour la faire courte, elle m'a reproché de nombreuses fois qu'elle n'était pas dans la lumière (ses mots), que les gens ne savaient pas qu'elle existait etc. J'ai tenté de lui expliquer que les réseaux sociaux n'étaient pas la vraie vie et que justement, les gens dans ma vraie vie savaient très bien qu'elle existait : ma famille l'a toujours considérée comme l'une des leurs (ce qui n'a jamais été le cas pour moi avec la sienne, bien au contraire), mes amis prenaient systématiquement de ses nouvelles etc. J'ai même été jusqu'à concevoir un projet vraiment cool pour la faire exister en ligne (elle n'en a jamais rien fait...). Bref. J'aimerais reprendre mon activité, mais je suis en plein doute. Quelque part, j'ai peur de sa réaction. J'ai peur qu'elle me fasse passer pour le mauvais dans l'histoire. J'ai peur de lui faire du mal. J'ai peur qu'elle interprète à tort (« maintenant que je ne suis plus là, il en profite bien, avec moi il ne faisait rien »). Que faire ?Je me relis et ça peut paraître super incohérent tout ce que je dis ici. Vous allez me répondre « ce qu'elle pense aujourd'hui, ce n'est plus ton problème ». Et vous auriez raison. Mais aussi incohérent que ça puisse paraître, je ressens une énergie intense qui nous lie. Je n'arrive pas à m'en détacher. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Agatheyzac Posté(e) le 22 janvier 2020 Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 (je n'ai pas vu le message que tu viens de poster, celui ci répond au précédent)Il ne faut pas te focaliser dessus, sinon tu ne laisses pas l'opportunité à ce sentiment de s'en aller. Si toute la journée tu te dis "je suis mal, je suis mal, et là ? oh, je suis mal", forcément... Tu seras mal.Si tu t’occupes à autre chose (travail, sport, art, activités, entouré ou non) tu focaliseras ton attention ailleurs et un jour justement tu te diras "tiens ! je vais mieux !". Et je ne dis pas par là de t'interdire de ressentir la douleur parce que ça aussi, c'est mauvais. Une solution parfois est de s'autoriser des plages horaires de tristesse. Style "bon là, j'ai le droit d'être triste, mais dans x heures je me prévois un truc pour me bouger".C'est une décision qu'il faut prendre à chaque instant, et c'est très dur, mais c'est la seule chose à faire :)Courage Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Agatheyzac Posté(e) le 22 janvier 2020 Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Pour répondre à ton autre message :grinning: -pour les docs partagés, bon tu vois là une grosse excuse pour lui parler et c'est normal. Mais tu peux aussi lui envoyer "salut xxx, pourrais tu s'il te plaît me désactiver les notifications (ou je ne sais quoi) du dossier partager, merci et bonne journée". Ni agressif ni mielleux. Mais bon je comprends que tu y voies encore une porte ouverte, une occasion de lui parler.-si tu adores ton activité, reprend la. Elle t'a quitté, à elle d'assumer. Ca te ferait bien plaisir que ça la blesse, mais il faut penser à TOI. Qu'est ce que TOI tu veux ? reprendre ? eh bien fonce, c'est tout, pas d'autre question. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 (je n'ai pas vu le message que tu viens de poster, celui ci répond au précédent)Il ne faut pas te focaliser dessus, sinon tu ne laisses pas l'opportunité à ce sentiment de s'en aller. Si toute la journée tu te dis "je suis mal, je suis mal, et là ? oh, je suis mal", forcément... Tu seras mal.Si tu t’occupes à autre chose (travail, sport, art, activités, entouré ou non) tu focaliseras ton attention ailleurs et un jour justement tu te diras "tiens ! je vais mieux !". Et je ne dis pas par là de t'interdire de ressentir la douleur parce que ça aussi, c'est mauvais. Une solution parfois est de s'autoriser des plages horaires de tristesse. Style "bon là, j'ai le droit d'être triste, mais dans x heures je me prévois un truc pour me bouger".C'est une décision qu'il faut prendre à chaque instant, et c'est très dur, mais c'est la seule chose à faire :)Courage Merci pour les conseils. Je vais essayer de mettre en application.J'ai remarqué que lorsque je focus sur autre chose, soit j'ai conscience de le faire pour ne plus penser à elle, soit il y a toujours quelque chose qui me ramène à elle. Et c'est la merde parce que je ne vis pas le truc, j'ai conscience que c'est un masque que j'essaie de mettre sur mes pensées. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Pour répondre à ton autre message :grinning: -pour les docs partagés, bon tu vois là une grosse excuse pour lui parler et c'est normal. Mais tu peux aussi lui envoyer "salut xxx, pourrais tu s'il te plaît me désactiver les notifications (ou je ne sais quoi) du dossier partager, merci et bonne journée". Ni agressif ni mielleux. Mais bon je comprends que tu y voies encore une porte ouverte, une occasion de lui parler.-si tu adores ton activité, reprend la. Elle t'a quitté, à elle d'assumer. Ca te ferait bien plaisir que ça la blesse, mais il faut penser à TOI. Qu'est ce que TOI tu veux ? reprendre ? eh bien fonce, c'est tout, pas d'autre question. Pour les docs partagés, je ne saute pas de joie en mode « yes ! on va pouvoir se parler ». Je préférerais qu'elle soit morte pour ne plus voir aucun battement de cil de sa part ou changer de vie à l'autre bout du monde (avec un reformatage du cerveau par exemple). Mais bon... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 22 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Tiens, un nouveau truc !J'ai toujours prôné le « pour vivre heureux, vivons cachés ». D'autant plus dans notre vie professionnelle (milieu essentiellement féminin où les gens parlent beaucoup, etc.). Elle s'est retenue (à contrecoeur) pendant longtemps. Puis avec le temps, elle n'a pas pu s'empêcher de parler de nous (certainement pour flatter son ego). Si certaines fois ça a pu nous servir (nous mettre sur les mêmes contrats pour faciliter les déplacements, profiter d'un hébergement, avoir les mêmes horaires), c'est une source potentielle d'emmerdes.Je viens de recevoir un appel pro : « ça fait plusieurs fois qu'on essaie de joindre Karine, sans succès. On s'inquiète. On s'est dit qu'en passant par toi, on aurait plus de chance. »Mais qu'est-ce que ça peut me foutre aujourd'hui !?? Recevoir des messages du genre, ça fait 2-3 fois que ça se produit ces derniers jours. J'ai pas envie de faire le gamin en lui reprochant à elle « tu vois, je t'avais dit, avec tes conneries... t'as plus qu'à prévenir tous les gens à qui tu avais parlé de NOUS que NOUS n'existe plus. » En même temps, « pour vivre heureux, vivons cachés », donc moi je n'ai toujours pas envie de parler de NOUS même aujourd'hui. Alors quoi ? Ignorer ce genre de messages ? Faire comme si de rien n'était ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kakahuet Posté(e) le 22 janvier 2020 Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Grandir, peut-être ?L'adage « pour vivre heureux, vivons cachés », semble prometteur mais dans la réalité il ne peut jamais s'appliquer sur le long terme (et c'est une grosse bouse quand même).Peut-être que par là,'on touche au concret de la relation et on l'expose en pleine lumière, ... ? et donc cela induit des responsabilités auxquelles il faut faire face... ?Quant à ces coups de téléphones, il suffit juste de répondre que "non malheureusement, je n'ai pas de nouvelles et aucun moyen de la joindre"Bref, it's up to you de faire en sorte que les choses évoluent... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clover Posté(e) le 22 janvier 2020 Partager Posté(e) le 22 janvier 2020 Merci. Je m'accroche à ça. Mais en même temps, je la connais par coeur. En me quittant, elle m'a dit « je sais qu'en prenant cette décision, je n'ai plus le droit de te contacter ».Cette histoire d'avoir le droit est son interprétation de ma façon de penser sur les fins de relation : lorsque c'est terminé, je coupe les ponts. Pas par rancoeur ou colère mais pour passer à autre chose. Mais elle, en position de victime/soumise, elle est convaincue que je lui interdis de me parler. Tout ça pour dire que, même si elle mourrait d'envie de me parler, sa gêne maladive, son manque de confiance en elle et cette fausse croyance que je lui interdis/autorise de faire les choses l'empêcherait de le faire. Bill, on avait la même.Avec du recul, je te dirais d'arrêter de te poser 1654897365654 questions. Facile à dire je sais, quand on a envie de se claquer la tête contre un mur tellement ça rend fou. "Et si, et si et si ???"... "Et si rien du tout" (avec des scies on coupe du bois). Ce qui est fait, est fait, tu pourras ressasser autant que tu veux ça changera que dalle. Si elle a réellement envie d'avoir un contact avec toi et qu'elle a pas les c***lles de le faire par crainte d'être mal reçue ou parce-que tu lui as dit ceci, ou cela, ou je ne sais quoi ... ben c'est qu'elle en vaut pas la peine. Je crois que quand on tient réellement à quelqu'un, quelle que soit la relation d'ailleurs, on s'inquiète pour elle/lui, et on se bouge le cul, point barre. Le reste je me répète, c'est des excuses. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bill Posté(e) le 23 janvier 2020 Auteur Partager Posté(e) le 23 janvier 2020 Grandir, peut-être ?L'adage « pour vivre heureux, vivons cachés », semble prometteur mais dans la réalité il ne peut jamais s'appliquer sur le long terme (et c'est une grosse bouse quand même).Peut-être que par là,'on touche au concret de la relation et on l'expose en pleine lumière, ... ? et donc cela induit des responsabilités auxquelles il faut faire face... ?Quant à ces coups de téléphones, il suffit juste de répondre que "non malheureusement, je n'ai pas de nouvelles et aucun moyen de la joindre"Bref, it's up to you de faire en sorte que les choses évoluent... Merci Kakahuet. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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