Aller au contenu

Il se détache, comment raviver la flamme?


Messages recommandés

  • Réponses 131
  • Créé
  • Dernière réponse

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Bonjour Stéphanie,


Tu écris ça lundi:

 

Allez, je vais commencer par faire un SR pour arrêter de l'emmerder d'une part, et de replonger de l'autre. Parce que j'ai quand même le chic pour envoyer des messages relous, m'excuser par la suite et me sentir comme une merde pour finir...

 

Ce matin, tu écris que tu lui as écrit ça mardi:

 

Ma petite victoire de fin : il m'a annoncée hier qu'il avait pris un RDV chez un psychiatre.

Suite à cela, je lui ai envoyé un message pour lui dire que j'étais contente qu'il se prenne en mains pour avancer et que je pouvais donc "partir" tranquille (ou plutôt "le laisser partir"). C'était un message un peu romantico-sensible dans lequel je lui ai expliqué que j'avais essayé de m'accrocher à des illusions, de me battre pour avancer en semble mais qu'il n'avait pas ressenti la même chose et que ce n'était pas grave. Que j'avais besoin d'aller au bout de l'histoire, et qu'une belle fin était de savoir qu'il commençait à guérir et que donc, tout ça n'avait pas servi à rien. Que le meilleur était à venir pour lui. Message auquel il n'a pas répondu.

 

Alors je sais que tu n'as fait "que" répondre à un message qu'il t'envoyait mais peut-être commenceras-tu à retrouver de la dignité en évitant de répondre à ses messages, même par simple gentillesse ou courtoisie. Car, réellement, il n'y a ni gentillesse ni courtoisie... La preuve, tu attendais qu'il te réponde et il ne l'a pas fait. Donc tu es déçue (et/ou en colère, et/ou dans l'incompréhension). Mais je pense, de mon point de vue, qu'il n'y avait rien à répondre (ni de ton côté à la base, ni du sien). Qu'il consulte, c'est bien, il le fait pour lui, mais attendons de voir s'il consulte régulièrement ou si c'est juste pour l'esbrouffe.


A la lecture de tes messages, j'ai l'impression que tu veux le sauver. C'est une mission bien trop ambitieuse et inutile qui plus est. On ne sauve personne de lui-même.

Je pense, peut-être à tort, tu me le diras, que tu attends qu'il aille "mieux" pour se rendre compte de la femme merveilleuse que tu es.


De un, tu n'as pas besoin de lui pour savoir que tu es une femme merveilleuse :) (avec ses qualités et ses défauts).

De deux, lorsqu'il ira "mieux", il y a de fortes probabilités que sentimentalement parlant il se tourne vers quelqu'un d'autre. Parce que tu l'auras connu avant et aussi parce qu'il aura pris conscience du mal qu'il t'avait fait et du doudou que tu étais devenue.


Si je suis bien, tu dis ici que tu sais que c'est fini avec lui, etc... Permets-moi d'en douter ;) (et ce n'est aucunement une critique, je n'ai pas mieux fait à une époque). Il faut peut-être que tu commences à t'avouer à toi-même que cet homme n'était tout simplement pas amoureux (et ça tu n'y es pour rien, cela ne remet pas en cause ta valeur) et que tu as servi de soupape à un moment où il en avait besoin.

 

On peut imaginer pleins d'hyopthèses :

- Pas de réponse car il doute (si il répond "merci, toi aussi je te souhaite le meilleur" alors il ne peut pas revenir en arrière. Si il répond "non, ne pars pas", il s'engage". Ne pas répondre c'est se laisser la porte ouverte...),

- Pas de réponse car il ne sait pas quoi dire (il n'y avait pas de question...),

- Pas de réponse parce qu'il est saoulé de recevoir ce genre de pavés qui tournent en rond,

- Pas de réponse car il est libéré et donc accepte la décision,

- Pas de réponse pour me protéger (bienveillance silencieuse),

- Pas de réponse...


Alors, à ce rythme là, on n'est pas prêt de savoir !

Tu vois, cette partie me gêne car cela ne sert strictement à rien de partir en conjectures.


Et ta première hypothèse me fait dire que tu es encore dans un beau déni. Mais ce n'est pas très grave, il te faut encore du temps pour assimiler la fin de cette histoire. Le déni sert aussi à ça, se protéger quelques temps. Mais il ne faudrait pas qu'il dure trop longtemps non plus.


Si tu ne peux pas couper intégralement les ponts avec lui, à cause du travail, limite au maximum les échanges, et ne réponds pas aux sollicitations autres que sur le boulot. T'en sens-tu capable? (c'est une vraie question, je précise)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce que je trouve dommage, c'est que tu passes une grande partie de ton récit à t'excuser d'être une femme passionnée, d'avoir des besoins relationnels concrets, d'être une personne sincère et engagée! Tu te sens comme une "merde", mais pourquoi? Parce que tu n'es pas une James Bond au féminin qui vit sans t'attacher à qui que ce soit? Parce que tu aimes sincèrement un homme qui ne te rend pas la pareille? Pourquoi aurais-tu à t'excuser d'être cette femme parfaitement normale qui n'a pas eu de chance en tombant sur Mr. Indécis?


Parfois à essayer de sauver quelqu'un de sa peine, de l'aider dans son deuil, d'essayer de jouer à l'infirmière, on espère devenir des femmes absolument indispensable. De façon inconsciente on espère que sur cette base, l'Homme va tomber amoureux et avoir besoin de nous à tout prix. C'est justement le piège. Ça génère de la frustration, voire de la colère, à la longue. Et c'est normal! Plus on a investi dans quelqu'un, plus on a travaillé fort pour l'entourer d'attention, des compassion, de l'ensevelir d'amour, plus on s'attend à obtenir quelque chose en retour.


À mon avis, cet homme ne t'a pas manipulé consciemment, mais il n'a pas fait le travail psychologique nécessaire pour être celui que tu mérites. Il a cherché à fuir sa peine en se lançant à corps perdu dans une relation passionnelle. Il s'est bien rendu compte que la peine l'a rattrapé quand même (si on ne vit pas un deuil, il est retardé) et qu'en plus il a entraîné la destruction de ton mariage (alors ajoutons la honte à la peine).


Si j'étais à ta place, je lui dirais que tu ne souhaites plus être celle qu'il appelle quand il a le cafard. Que tu n'es pas une infirmière. S'il veut entreprendre une relation avec toi, il peut te recontacter seulement s'il est prêt à s'investir et après avoir fini son deuil. Tu n'as pas besoin d'un déprimé qui pleure une autre femme dans ta vie. Alors, qu'il te recontacte quand le temps sera venu, quand il sera capable d'entrevoir un avenir radieux avec toi. S'il t'apprécie vraiment, il respectera le silence.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

@Carrie07 : tu m'énerves à avoir raison car force est de m'avouer que si mon cerveau SAIT et est lucide de la situation, mon cœur doute / espère. Je suis dans le déni parce que j'ai peur d'affronter tout ça mais il le faut. Il n'y a pas de bon départ dans le déni car il y a souvent de l'attente. Mais tes mots justes me font du bien. Peu importe les raisons, le résultat reste qu'il n'était pas amoureux et que donc, cette relation ne peut pas fonctionner. Je vais donc prendre mes distances pour me protéger car je suis encore trop fragile et pour le moment, pas suffisamment détachée émotionnellement pour ne pas craquer.


@Carambole : effectivement, je crois que le fond du problème c'est d'avoir voulu le sauver d'une part, et de ne pas m'aimer suffisamment pour ne pas penser qu'il puisse m'aimer uniquement pour ce que je suis sans avoir à donner plus d'autre part. Mais tu as raison sur le fait que je passe mon temps à m'excuser d'être passionnée alors qu'il y a encore peu de temps, c'était aussi sa façon de vivre notre relation. Je suis comme je suis, et je sais qu'il n'a pas cherché à me manipuler consciemment. Pour le moment, je ne vais pas lui dire quoique ce soit car ce serait remettre le couteau dans la plaie, j'en ai assez fait et mon message était clair. Si néanmoins il vient me parler trop souvent, alors je lui dirai que je préfère qu'il respecte mon silence car je ne peux pas être amie avec lui pour l'instant.


Parfois, j'aimerais accélérer le temps pour aller mieux et être détachée. Mais il faut accepter de passer par ces phases pour être plus fort. Allez, jour 1 de ma reconstruction. Merci vraiment à tous, vos mots me font du bien. Ce n'est pas de ma faute.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rien ne vous empêchera d'être amis le temps venu. Vous êtes en contact au travail, alors quand tu auras le détachement nécessaire pour que ça marche, tu pourras tout simplement l'inviter à luncher.


Pour ma part, j'ai trois conditions pour être vraiment amie avec un ex:


1) ne plus le désirer sexuellement

2) être certaine que je veux être son amie pour des raisons autres que pour entretenir l'espoir

3) assumer que si je ne suis qu'une amie, ça ne l'empêchera pas de rencontrer ou de fantasmer sur d'autres femmes car il ne me doit rien


En passant, je suis dans le même genre de situation que toi, alors je ne fais pas la leçon, hein?! Je suis tout aussi pire et j'aimerais tout autant faire des bonds dans le futur. Et parfois, je l'avoue, j'aimerais subir une lobotomie pour qu'un chirurgien m'arrache la partie du cerveau qui me rend aussi attachée aux hommes!


Si tu parles anglais, je te recommande la lecture du livre d'Amir Levine "Attached". Il explique l'attachement en termes scientifiques, ce qui permet de relativiser et d'affirmer qu'on est pas des folles, biologiquement parlant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis complètement d'accord avec les conditions que tu énonces, et très clairement aujourd'hui je ne suis pas prête.

J'avais "joué" le jeu dans un premier temps mais c'était de mauvaise foi car je pensais préserver un lien en espérant qu'il "revienne".

C'est malsain d'une part, et cela me met dans une position dans laquelle je ne peux pas avancer. Laissons le temps au temps comme on dit...


Oui, on est toujours plus efficace pour donner des conseils à d'autres que se les appliquer soi-même.

Mais néanmoins, une partie de notre cerveau est quand même lucide et permet petit-à-petit de se résigner et d'avancer.

Phénomène de résilience...


Je parle anglais alors j'essayerai de lire ce livre !

Ce dont je suis sûre c'est que "non, nous ne sommes pas folles de nous attacher". Ce qui amène de l'intensité dans la Vie, c'est de s'attacher et de créer du lien. Rompre le lien fait aussi partie du processus, bien entendu.

Quoiqu'il en soit, je préfère être une passionnée en accord avec mes valeurs et qui vit ses émotions avec franchise, que faire l'éponge en permanence. Si je regrette sur le moment car j'ai peur de "déranger", au fond je retire une certaine fierté de ne pas tricher et de dire les choses.

Cela n'implique pas l'autre à ressentir la même chose, à cautionner ou à aller dans notre sens.

Mais cela amène de l'honnêteté, valeur qui à mes yeux me paraît importante pour construire même en amitié.

Je préfère être moi avec mes "trop" que jouer un jeu avec mes "pas assez".


Parfois, seul le lâcher prise, faire confiance dans le temps et être patient amène ce qu'on cherche : la sérénité émotionnelle.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui, je pense qu'il a eu de la chance de me rencontrer car outre le fait que je lui ai permis de reprendre confiance en lui, je l'ai aussi accompagné à travers nos longues discussions jusqu'à ce fameux RDV avec le psychiatre. On partait de loin quand je l'ai rencontré du déni jusqu'à l'acceptation. Je ne croit pas qu'il s'en rendra compte. Je pense qu'il s'en rend déjà compte. Mais cela ne fait pas que quelqu'un t'aime. On t'aime pour ce que tu es, pas pour ce que tu donnes...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On t'aime pour ce que tu es, pas pour ce que tu donnes...

Exactement :)


Et dans le fait de donner, il faut aussi savoir pourquoi on donne: pour un retour sur investissement? parce qu'on ne se sent pas aimable au sens premier du terme? par pur altruisme?


Quand on est engagé dans une relation (amoureuse, familiale, amicale, professionnelle), c'est faux et illusoire de croire (et/ou de dire) qu'on n'attend rien en retour. On attend forcément une certaine réciprocité (qui peut aller de la simple courtoisie à des sentiments très forts). Là où il faut apprendre à se protéger et à se retirer à temps (sans mauvais jeu de mots ;) ), c'est quand on se rend compte que la réciprocité ne nous convient pas.


Si tu attends un engagement de l'autre qui n'est pas prêt à te le donner/n'a pas envie de te le donner, il faut savoir couper court à la relation au risque d'être malheureux plus que nécessaire. Se montrer un minimum égoïste est essentiel selon moi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui, je suis tout à fait d'accord. Evidemment que j'ai donné en espérant un retour, à minima des sentiments bien sûr.

Et pour être honnête, cela fait plusieurs mois (même quand on était encore ensemble), qu'il ne donnait plus grand chose, ne s'investissait pas beaucoup.

J'aurais dû m'arrêter à temps pour éviter de souffrir trop longtemps. Etre plus égoïste. Mais je pense que je ne l'ai pas fait par altruisme mais bien parce que je pense que je ne me sens pas suffisamment aimable pour me suffire à moi-même. Axe à travailler pour l'avenir.

Bref, on ne peut pas changer le passer ni anticiper le futur. Par contre, on peut agir sur le présent donc...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tu es quand même bien lucide sur toi et la situation, ce qui est une très bonne chose.

Mais lucide ne veut pas forcément dire capable de mettre en branle ;) .


Bien entendu que tu aurais dû savoir couper au moment où tu t'es rendue compte que ses sentiments à lui/son investissement à lui n'était/ent pas à la hauteur de ce que tu espérais/voulais. Mais franchement c'est extrêmement dur à faire quand on est amoureux/se. Il y a souvent (toujours?) un petit espoir caché dans le fond à gauche du cerveau qui dit "sois patient/e, peut-être que...", espoir qui devient illusion progressivement.


Tu peux travailler sur de petites choses simples à mettre en place, par exemple, ne plus communiquer avec lui autrement que pour le travail. S'il t'écrit pour parler de foot ou autre sujet, ne pas lui répondre. Ou si tu n'y arrives pas tout de suite, répondre en fermant toute discussion possible. Vois-tu ce que je veux dire?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui, je comprends très bien.


Si il m'envoie un "ça va ?", fermer en répondant simplement "oui, merci. j'espère que toi aussi, bonne journée".

Rester sur les items du travail pour se protéger et ne pas chercher le contact.

Si il me propose une activité quelconque, décliner avec courtoisie.


Pas facile mais c'est un pli à prendre et ensuite, cela sera naturel.

Par exemple, ce matin je l'ai "ignorée" dans le sens où j'ai évité qu'on se regarde dans l'escalier comme d'habitude.

Il est parti car en RTT à midi, et je ne l'ai pas regardé partir (oui parce que j'ai oublié de vous préciser que la boîte est toute petite et que son bureau est juste à côté du mien, lui même orienté devant l'escalier / les toilettes / et la bonbonne d'eau...).

Bon, il m'a interpellé (ce qu'il ne fait pas normalement) en me disant "à demain Stéphanie !" mais j'ai répondu simplement "à demain".


Bref, je fais du mieux que je peux !

Modifié par Stéphanie Vague
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si il m'envoie un "ça va ?", fermer en répondant simplement "oui, merci. j'espère que toi aussi, bonne journée".

Grosso modo c'est ça.


Encore mieux: "oui, merci"

Et encore encore mieux: ne pas répondre (tu mérites mieux qu'un "ça va?", hein ;) ).


MAIS je sais que ce n'est pas forcément facile d'ignorer, alors ton message initial est très bien, c'est un bon point de départ :) .


 

Rester sur les items du travail pour se protéger et ne pas chercher le contact.

Si il me propose une activité quelconque, décliner avec courtoisie.

Tout à fait. Pas la peine de te montrer hargneuse si ce n'est pas ton tempérament. Le naturel est ce qu'il reste de mieux.


 

lui même orienté devant l'escalier / les toilettes / et la bonbonne d'eau...).

Une bonne raison - s'il en fallait une - pour se mettre définitivement à la bière :D .


 

Bon, il m'a interpellé (ce qu'il ne fait pas normalement) en me disant "à demain Cécile !" mais j'ai répondu simplement "à demain".


Bref, je fais du mieux que je peux !

Mais c'est très bien, vraiment!


Tu ne veux pas - et ne peux pas de toute façon - chnager du tout au tout. Reste cordiale, il reste ton collègue.


Par contre, si tu vois qu'il tente des rapprochements pour faire ami-amie, il faudra savoir te montrer claire avec lui. Mais tu aviseras en temps voulu.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui, merci pour tes conseils !


Et effectivement, chaque chose en son temps parce que trop prévoir c'est se noyer.


Si ça se trouve, je vais réécrire demain sur le forum : "aaaaah il m'a répondue" et ce sera encore plus terrible parce qu'il dira LA phrase : "merci pour tout, tu es quelqu'un d’exceptionnel et je te souhaite le meilleur pour la suite" (dis donc con*** si j'étais si exceptionnelle, je te signale que tu ne me lâcherais pas NON MAIS !). Je crois que je préfère "pas de réponse" :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai une réunion très importante ce matin (que je présente) qui concerne les deux pays dont je m'occupe. C'est un peu mon grand oral de l'année.

En sa qualité de Directeur Marketing, il devait assister à 1h de cette réunion (le reste ne lui étant pas consacré).


Il m'envoie un texto hier soir pour me dire : mon fils est malade donc pas sûr que je puisse assister à ta présentation demain. Je saurai demain matin mais je te souhaite déjà un gros MERDE pour demain !


Je n'ai pas répondu (il n'y avait pas de question).

Mais cela dit, je ne peux m'empêcher de me dire : mais il n'a pas compris mon message ? Auquel il n'a pas répondu, et ne répondra pas (pas cool).


Franchement, je n'y comprends rien.

Je veux pas qu'on soit des potes ! Il aurait pu m'envoyer le texto ce matin tout simplement, sans donner de détails. C'était histoire de me dire qu'il était présent dans les moments importants. C'est nuuuuul !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Articles du blog en lien avec ce sujet

×
×
  • Créer...