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Je souffre seul, rejetée sans le soutien de ma famille


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Mais comment gérer le manque/l'angoisse une fois que je décide de définitivement couper les ponts?

C'est cette suite que j'ai peur d'affronter... que je recule. Mais il est temps sinon je vais en crever.

Sachant que je passe déjà mes journées dans mon lit entre angoisses et pleurs...

Puis comme j'ai dit dans un de mes premiers posts, je n'ai personne là où j'habite, je ne connais personne, pas d'amis, rien...

Je veux y arriver mais je suis au fond du trou. Je lui ai demandé de partir quand il m'a offert ces roses, il devrait ne plus revenir maintenant?

Vous allez être là pour m'aider à l'après? J'ai besoin de vous...

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Je lui ai dit de partir avec ses roses ... je pense qu'il a compris. J'espère qu'il ne viendra plus taper à ma porte.

Considérez donc que j'ai fait ce fameux premier pas... car je veux en sortir... mais:

svp, maintenant j ai vraiment besoin de vous: peur de ne pas tenir le coup et de faire une bêtise tant la douleur est forte...

je tremble à l'idée qu'il fasse l'amour avec une autre... en tant que dépendante affective diagnostiquée, mes sentiments sont décuplés... j

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Tu as bien fait de lui dire de partir avec ses roses. Déjà félicite toi pour ca. C'est très bien. Tu vois que tu sais etre forte malgré ta détresse. Et justement écoute la cette détresse. Prends soin d elle. Ce n'est pas de l amour que tu ressens c'est de la peur due à une croyance que tu t es mise dans la tête. Et les croyances seules nous les entretenons. Rien absolument rien ne prouve que c'est la réalité car c'est une croyance. Cette croyance de ne pas t'en sortir seule tu la nourris mais dans ta tete. Rien n'est vrai.

En plus ce qui est positif c'est que toi meme tu as ressenti dégoût à son egard et que les propos sonnaient faux . Souviens toi toujours de ce que tu as ressenti à ce moment pour garder la coherence avec tes actes.

Et quant à cette croyance c'est seulement là dessus qu'il faut que tu travailles. Comment la transformer en biensur que je vais m'en sortir sans lui. Quelque chose de moteur. Wemma ne se resume pas à cette relation c'est tout le contraire. Ne t oublie pas. Prends soon de toi et moi je te félicite car je vois des onces de lucidité qui te sortiront de ton trou si tu t attaches seulement à elles. Et c'est plus vivable si tu ne subis pas cette rupture et qu rlle est à ton initiative comme Paige me l'a fait observer et c'est vrai.


Courage tu as tout en main pour t'en sortir.


Et nous sommes là

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Chachmouth,

Quand je me réveille et que je te lis, je ressens un apaisement, comme ci tu avais déjà ressenti ce que je ressens ...

Je n’ai pas ouvert mon téléphone depuis hier car j’ai une peur ancrée de ne pas avoir de nouvelles de lui en allumant mon téléphone ... je ne lui réponds plus mais j’ai un soulagement quand j’ai un message de lui...comment je vais gérer cela quand je n’aurai plus de nouvelles ? Cela va être horrible pour moi...

Comment est ce possible de ressentir autant de besoin pour une personne alors que dans le fond on sait qu’elle est toxique ?

Comment accepter cette détresse comme tu le dis ? Comment ne pas prendre 10 anxiolytiques pour ne plus rien ressentir tellement ça fait mal ? J’ai envie de ne plus rien ressentir mais je n’ai pas envie de mourir car malgré cela mon âme me dit qu’un jour je pourrais être heureuse ...


Merci d’être là... me lache pas stp ...


Marion

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Je viens de recevoir cela. Je suis au fond du trou. Je ne veux pas craquer mais je vois pas comment faire autrement parce qu il est clair, il va me rayer de sa vie si je ne réponds pas ... et je ne sais pas comment je vais réussir à tenir sans ma « dope » quotidienne.

Putain je suis mal..


« la nuit t'a porté conseil ou alors tu restes sur ta position? tu m'as remis dans les doutes et suis au bord de te rayer de ma vie. tu m'as mis à la porte hier en disant d'énormes conneries . tu as très peu de temps car j'en marre que tu te caches derrière ta dépression pour me faire autant mal. bouge toi le cul aujourd'hui pour me prouver ton amour sinon c'est terminé. tu le prends comme un ultimatum si tu veux, je m'en fou, tu n'as pas le droit de te foutre de moi et de me rabaisser. marion, tu as la journée, pas une de plus pour me dire qu'hier tu as merdé et que tu me quittais pas. a toi de me prouver que je compte un peu pour toi «

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C'est comme cela que cet homme te soutien et prend soin de toi?

Ce qu'il veut ce sont tes jolies fesses et que tu sois là pour lui. Il n'a pas de respect pour toi. Tu le vois bien n'est ce pas?

Il n’existe que deux manières de gagner la partie : jouer cœur ou tricher. Tricher est difficile; un tricheur pris est battu. Jouer cœur est simple. Il faut en avoir, voilà tout. Vous vous croyez sans cœur. Vous regardez mal vos cartes. J. Cocteau
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Bonjour wemma/Marion,


Je suis désolée de ton état et, déjà, tu as reçu de très bons conseils.


Par rapport à ton dernier message, je ne te dirais qu'une chose: un homme qui aime vraiment accepte d'attendre. Il te met une pression de malade alors qu'il sait que tu es faible. Ce n'est plus tirer sur l'ambulance là, c'est achever le malade.


Par pitié, éloigne-toi de lui, s'il te plaît.

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Tu dois couper les ponts avec lui. Tu lui dit que c'est fini. Ensuite tu vas a l'hôpital. Tu es seule, vulnérable, idées noires, sous traitement AD qui les premières semaines sont très très ardues. Et envisage une hospitalisation pour te mettre en sécurité. Faire le point avec psychiatre et psychologue. Sans soutien et seule c'est dur, je l'ai vécu et c'est dur car on a plus aucune estime de soi.
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Bonsoir,


Albane:

Oui je le vois, j'en ai conscience à 1000 % qu'il ne veut que cette emprise sur moi, et des parties de jambes en l'air.

C'est comment gérer l'après, non sans douleur insupportable...


Carrie:

Ne sois pas désolée. Ton message m'apporte présence et c'est super important pour moi. Tes mots sont réels et c'est encore plus dur pour moi de me dire qu'en effet il fait pire que de tirer sur l'ambulance... J'ai conscience également que ce comportement est réfléchi pour me faire du mal, pour me plier à ses "désirs". Il n'y a pas une once d'amour.


Cubeoa:

Je garde cette solution si vraiment je n'en ai plus d'autres. J'ai peur de la douleur mentale, elle m'effraie et me met dans un état désastreux. Comme tu le dis, les premières semaines d'AD sont très ardues. Je viens de dormir 3 heures et mes angoisses sont accentuées.

J'ai au fin fond de moi une lueur d'espoir, que je peux m'en sortir sans la case hospitalisation, avec les personnes du forum... Je l'espère de tout mon coeur.


J'ai donc dormi tout l'après-midi. On oublie quand on dort mais le réveil est toujours très compliqué. Surtout le soir quand il fait noir.

Mes angoisses reviennent. J'espère qu'elles n'iront pas trop loin. J'ai peur comme tous les soirs de ne pas tenir.

Surtout le jour où il ne m'écrira plus!

Je ne réponds jamais et ses appels vont directement vers ma messagerie. Et dès que j'en reçois c'est comme un shoot de bien-être.


Aujourd'hui j'ai reçu une dizaine d'appels et quelques messages où il me supplie. Il passe devant chez moi au moins 5 fois par jour.


Il faudrait que je bloque son numéro. Je sais que vous allez me le conseiller. Mais comment je vais gérer cet absence de shoot?


Je vais me retrouver comme une droguée en manque, et c'est cela qui m'effraie le plus.


Au grand loto de l'univers j'ai pas tiré le bon numéro. Dépendance affective de merde. J'ai rien fait pour mériter cela!

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Coucou Wemma


Je persiste à dire que tu es forte vue les ressources que tu arrives à mobiliser en toi pour eviter de lui repondre. Cela prouve aussi qu au fond tu as conscience de sa nocivité.


Je rebondis sur ta derniere phrase. Et bien justement figure toi au contraire que tu es maitre de tes actes et de ta vie et cest tant mieux. Au meme titre qu'il l'est de la sienne et que tu n'as aucun pouvoir de le faire changer. Par contre tu as le pouvoir de changer toi, ta facon de voir les choses et travailler sur cette croyance que je transforme pour toi «biensur wemma a la capacité à aller de l avant maintenant qu'elle est libre» le champ des possibles est ouvert, quelle chance tu as maintenant l opportunité de trouver quelqu'un de bon pour toi. N est ce pas vachement mieux ? . Donc tu as le pouvoir de changer ta facon de voir les choses et de faire, ce qui est top car ca n implique personne d autre à part toi et que c'est CA la clé pour aller mieux...


Je ne me souviens plus. As tu un job?


Bises

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N'attends pas trop pour prendre soin de toi, il n'y a rien de honteux à se faire aider. Tu es seule et en dépression, n'attends pas trop, vraiment.

Comment tu va faire sans ton shoot? Comme tous les dependants... un sevrage est douloureux... mais moins que cette destruction à petit feu. Tu es consciente de son caractère toxique... il suffit de te rappeler combien tu etais mal au point de le quitter... c'est cette souffrance insupportable sui doit te revenir. Tu verras tu y parviendras.

Maintenant pour couper cette dependance affective tu dois identifier d'où cela te viens.

Travailler avec un psy. Vraiment...

Allez courage

Il n’existe que deux manières de gagner la partie : jouer cœur ou tricher. Tricher est difficile; un tricheur pris est battu. Jouer cœur est simple. Il faut en avoir, voilà tout. Vous vous croyez sans cœur. Vous regardez mal vos cartes. J. Cocteau
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Bonjour Chachmouth, Bonjour Albane


J’ai parfaitement conscience de sa nocivité. Je ne l'étais Pas avant, persuadée qu’il pouvait changer, persuadée qu’il avait des circonstances atténuantes l’ayant rendu un temps ainsi...


Plus personne ne va vouloir me répondre parce que hier soir j’ai craqué : j’ai répondu à quelques SMS mais uniquement pour lui dire que lui devait se faire aider, que s’il m’avait aimé comme il le dit, il ne serait pas venu alcoolisé ce fameux soir ou les AD m’avait mise KO, ni ne m’aurait proposé de boire de la bière, ni n’aurait fouillé mon intimité pendant que je dormais et surtout il ne m’aurait pas envoyé cet immonde message où il me mettait une pression d’enfer et m’accablait assez brusquement de me cacher derrière ma dépression ... beurk


J’ai honte! Honte aussi parce que je ne trouve pas les ressources en moi pour lui dire, lui écrire noir sur Blanc que « c’est terminé » .

Par peur de la douleur que cela va engendrer ...

Le pire dans tout cela c’est que je commence à me rendre compte (je crois) qu’il n’y a plus d’amour venant de moi, juste cette fichue dépendance: parce que quand je le vois, je ne ressens aucun apaisement, aucun bien-être, aucun désir... au contraire je ressens de l’oppression... envie qu’il s’en aille...


Mais put*** j’ai ce besoin qu’il soit « présent » qu’il me « courtise », qu’il soit encore là...


Je ne suis vraiment Pas normale. Et pourtant Dieu seul le sait à quel point (et paradoxalement je vous l’accorde) j’ai envie qu’il sorte de ma vie, que je retrouve ma liberté, ma vie... sans ce fléau...


J’ai honte !


Et pourtant j’y crois. J’ai le sentiment d’avancer mais de reculer trop vite facilement ...


Chachmouth, je suis pharmacien(ne)


😢😢😢


Marion

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