Octavia Posté(e) le 3 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Une campagne toute récente en Belgique: Fred et Marie.Peut-être t'y retrouveras-tu et peut-être que ça t'aidera à pleinement conscientiser et accepter ton status de victimehttp://www.fredetmarie.beUn peu de lecture (y en a 10.000 sur Internet).http://beyourselves.canalblog.com/archives/2013/08/23/27878499.html Le petit film fait froid dans le dos.. Je m'y retrouve totalement, surtout le début... Ça m'a vachement touché. C'est fou d'avoir une telle influence sur quelqu'un, c'est ce que j'ai vécu... Le coup de la robe qui n'est pas jolie, le coup de ne pas inviter telle amie... C'est arrivé plusieurs fois pour moi... C'est dur de voir tout ça, mais ça m'ouvre aussi un peu les yeux malgré tout... J'ai aussi lu l'article qui est intéressant, assez représentatif de sa personnalité malheureusement... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 3 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Haha, Octavia quand je te dis que c'est malgré moi et j'aurais du le préciser, c'est qu'en fait mon ex et moi sommes dans la meme classe 😂 le fuir, j'aurais bien voulu mais faute de grives on mange des merles et on ronge son frein 😂Je suis allée jusqu'au bout de ma volonté de me rétablir seule (avec l'aide de mes prochesheureusement) mais aujourd'hui je stagne (je suis pas au fond du puit hein c'est juste que je sens le besoin d'un pro pour m'aider un peu parce que je n'ai pas assez d'expérience ni de nouveaux repères pour continuer sinonje vais régresser ^^).Tu sais que la tablette de chocolat et le pot de glace devant les séries cucu sont tout aussi appréciables même après des mois, on va pas se priver sous le prétexte que ce sont des actes de vieille fille celib 😂 Ah oui c'est sûr que ça risque d'être compliquée pour ne pas le voir du coup :lol:Ça va t'aider je pense, j'en suis qu'à ma première séance de psy, mais elle m'aide à trouver le fond du problème, et ça fait du bien de se sentir écouter par quelqu'un qui est totalement extérieure à la chose. C'est un autre regard qu'elle te donne sur ton ex.Ah bah c'est clair, je le faisais pas souvent avant, mais c'est tellement bien :D Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 3 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Bonjour Octavia, Juste pour te dire qu’il y a 3 ans (déjà...), je vivais également la fin d’une relation importante pour moi (je n’en dirai pas plus) - pile au moment où j’étais censée réviser pour mes examens de fin d’études (M2).Tout ça pour te dire que tu as raison : ne le laisse pas foutre ton année en l’air ; ne fous pas ton année en l’air. Concentre-toi sur toi.Tu peux encore te rattraper, rien n'est joué. Puise au plus profond de toi-même.Courage ! Tu as pu réussir et valider ton année ? Ça paraît tellement évident pour mon entourage (mes amies principalement) qu'il faut que je travaille, que je devrais être un minimum 'remise' après un mois, mais non. Chacun réagit différemment, même en y mettant de la bonne volonté, soit mon cerveau est ailleurs, soit j'ai envie d'aller sur mon téléphone. Même si je m'interdis de toucher à mon téléphone par exemple, je travaille pas énormément, ou du moins je ne suis pas efficace... J'ai passé un autre oral aujourd'hui, je n'ai pas pleuré, j'ai eu 10. C'est pas folichon mais bon. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bibo Posté(e) le 3 mai 2017 Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Courage Octavia ! 10 c'est mieux que rien et des pleures.Un minimum remise ? C'est pas des encouragements ça, c'est juste quelqu'un qui en a marre de t'entendre être mal et que ça dérange: elle ne fait pas preuve d'empathie vis-à-vis de toi. Une rupture dans les conditions que tu vis, en plus, n'a rien de simple et va dépendre de ton état. ça dépend d'une personne à l'autre, il faut respecter ça. Dommage qu'elles n'en soient pas conscientes.Aller, keep going on ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 3 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Après je peux parfaitement comprendre que je dois être saoulante à la longue, je suis un peu lunatique, un coup ça va, un coup ça va pas. Puis je parle quand même mine de rien beaucoup de tout ça, surtout à mon amie d'enfance. Je pense qu'elle en a ras la casquette de m'entendre me plaindre mais surtout parler de lui, mais ça m'aide à aller mieux, ça me soulage. Tu vois là par exemple, ça ne va pas. Indirectement, sur Facebook, j'ai pu voir des commentaires qu'il a mis sur des publications d'amis en commun. Ça m'a sappé le moral. C'est quand même grave d'être mal parce qu'il commente quelque chose, charrie son pote et met un smiley. Du coup après ma tête part dans des délires du genre "il est trop bien sans moi" "il a son harem de filles" et puis c'est reparti. Du coup, j'ai craqué. J'ai fouillé et j'aurais pas dû. Une trentaine de nanas ajoutées, pour la plupart des anciennes conquêtes et sûrement quelques nouvelles des sites de rencontre. Ça me dégoûte, ça me blesse. Il me disait en parlant de certaines : "elle elle était moche" "je m'en fous de toutes ces filles c'etait parce que je me sentais seul, j'aime que toi" et au final, il fait comme lors de la première rupture. Il les rajoute toutes une par une à chaque fois et elles le reprennent. Je peux m'en prendre qu'à moi-même d'avoir regardé, je le sais... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 3 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Oui - même si je faisais déjà une overdose de travail. Si je me souviens bien, cette année-là, j’avais moins révisé que les années précédentes (quoique j’aie toujours beaucoup *trop* travaillé - durant mes études supérieures) ; je n’avais plus la même motivation, du moins – c’était compliqué. Maintenant, le programme de révisions était très large (et donc, interminable – en si peu de temps ; c’est probablement la raison pour laquelle je n’étais pas satisfaite de mes révisions, aussi), puisqu’il s’agissait de réviser les 4 années précédentes – entre autres (en fait, c’était une sorte de « prépa publique » qui n’en avait pas le nom - à ce stade-là, tes notes sont divisées par 2, et tu apprends à être « content » ; pourtant, ça fait mal aux fesses : ils nous mettaient dans les conditions des concours : mêmes épreuves, etc.).En fait, je me suis dit : « c’est la dernière ligne droite, donne tout ce qu’il te reste ; tu lâcheras après ». Et puis, j’abhorre l’échec. Il faut donc essayer de faire abstraction de tout le reste. Dans ces moments-là, tu es en mode *machine/zombie*. (Sincèrement, si j’avais pu y aller en pyjama, j’y serais allée ; c’était presque ça, d’ailleurs. ^^)Je ne sais pas ce qu’il en sera pour toi, mais de notre côté, l’admission en M2 se faisait sur dossier + entretien. Donc les résultats obtenus en M1 avaient leur importance. Dans mon M2, tous (ou presque) - sauf moi (entre autres), ont tenté un concours très difficile (dont je tairai le nom) à l’issue du M2 ; 1 seul l’a eu du premier coup…La dernière fois, 3 ans après la fin de mes études, j’ai essayé de me remettre (toute seule, à domicile) aux révisions. Des milliers de pages à apprendre ? (et ce n’est pas une hyperbole) Pas grave, je vais les assimiler une par une… Néanmoins, vers la 100ème page du premier manuel, je me suis rendu compte que ça ne rentrait plus ; mon cerveau n’assimilait plus comme avant… Après 3 ans de « pause », je suppose que la mémoire - entre autres - a besoin d’une bonne rééducation… Tous mes anciens cours/bouquins sont périmés ; entre-temps, beaucoup de réformes sont passées… Ce faisant, il faut tout recommencer (c’est simple : j’ai moins d’1 an pour réassimiler 5 ans d’études + 3 ans de retard, en gros). Vive l’actualité ! En effet tu avais une énorme masse de travail. Réviser quatre années de cours, c'est quand même énorme, c'est vraiment beaucoup de travail ! C'est une question de mental aussi, je pense. Quand j'étais encore avec mon ex, j'avais déjà du mal à m'y mettre, je suis un peu longue à la détente. Alors là, autant te dire que c'est compliqué ! Puis c'est aussi la deuxième fois qu'il me quitte peu de temps avant mes examens (trois jours avant mes examens la première fois, j'ai redoublé à cause de lui), et là une vingtaine de jours avant. Je m'en sors déjà mieux que la première fois mais bon... Je ne compte pas faire de M2 mais une année de césure alors l'enjeu est peut être un peu moins important pour moi contrairement à toi, même si je tiens tout de même à valider mon M1 pour reprendre une M2 dans un an. C'est sûr que c'est davantage compliqué de s'y remettre trois ans après. Le cerveau n'est plus conditionné à ingurgiter autant de pages de cours. L'on a été conditionné depuis tout petit à apprendre par coeur nos cours, une fois que c'est fini, le cerveau n'y est plus habitué. Ça n'a pas du être évident pour toi du coup. Je sais que pour moi personnellement, après une journée à travailler, à apprendre et à réfléchir, ma tête est usée, j'ai mal à la tête et je n'ai qu'une envie c'est de dormir ! Bien sûr, ce n’est vraiment pas évident. Je te comprends totalement. 1 mois, c’est super court. Et oui, on ne réagit pas tous de la même façon. La concentration, c’est primordial. Or, quand tu es préoccupée (par ta rupture, en l’espèce), tu es dispersée. Du coup, tu es moins efficace. Il faut essayer de faire abstraction (le temps des examens), mais ce n’est pas toujours facile ; loin s’en faut. Fais de ton mieux, tu verras bien. Vu les circonstances, dis-toi que ce n’est pas si mal : tu as sauvé les meubles. (C’est « marrant », ils vous donnent directement votre note ; nous, on devait attendre.)S’il y a une matière qui te plaît beaucoup, essaye de la gérer un max’. Courage, courage. Comme je te le disais plus haut, la concentration et moi on est pas très copains ! J'avais de la facilité pendant mes deux premières années de licence parce que c'était pas très très compliqué, et je pense que je suis aussi fatiguée d'apprendre bêtement par coeur une soixantaine de pages par matière sachant que j'en ai à peu près sept à passer par semestre. Je fais toujours un peu tout au dernier moment donc forcément... Je déteste cette période des partiels, vivement la fin. Mais il faut que je sois forte, si je valide mon M1 ce sera une énorme victoire pour moi après cette période hyper difficile...Non, aucune matière me plaît. Je n'ai pas choisi le M1 qui me plaisait au final... Merci de ton soutien Kalinka :D Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Albane06 Posté(e) le 3 mai 2017 Partager Posté(e) le 3 mai 2017 Kalinka,Je me trompe peut être mais tu ne preparerais pas le concours de la magistrature ? Parce que les 4 années à revoir.... ça me rappelle qqch... tu as raison, tout est dans le raisonnement. Je te parle en tant que correctrice de concours et d'examen, passé un certain niveau, tout est dans la démonstration. Je me rappelle d'un 19,5 donné à une etudiante dont la copie etait en totalité contraire au corrigé type mais dont la démonstration argumentée et intelligente était tout à fait pertinenteOctavia,Je sais c'est que c'est dur, mais vraiment concentre toi sur tes partiels.Tu dois te battre. Ce sera ta première victoire sur toi.Cesse de penser à lui et à ce qu'il fait, tu as ton avenir à construire. Et il nen fait pas parti. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 4 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2017 (modifié) Tu adoptes une autre stratégie. Personnellement, j'ai préféré effectuer cette fameuse césure après le M2 (d'ailleurs, beaucoup hésitaient entre "après le M1" et "après le M2"). Pourquoi ? Pour aller au bout de mon diplôme, me reposer et réviser tranquillement. Bon, je ne pensais pas qu'elle allait durer aussi longtemps... Du coup, j'espère que tu ne tomberas pas dans les mêmes travers : 1 an, c'est 1 an ; pas 3 ans... Lorsque tu perds un cadre/ton repère, tu es quelque peu perdu... En fait si tu veux, j'ai pas les meilleurs résultats du monde. Je suis pas une 'bonne' élève. Mes résultats sont justes. Je n'aurais pas le master que je veux. Du coup, je comptais faire une année de césure afin de trouver des stages, d'enrichir mon CV et mes expériences en la matière ; pour ensuite postuler l'année prochaine dans un bon M2. J'aurais eu des bons résultats tout au long de mes années de droit, je n'aurais pas fait cette année de césure. Je compte ne parallèle tenter le concours de police, mais il faut que je me renseigne sur le sujet. J'hésitais avec le CRFPA, mais au fond, j'ai toujours voulu être policière. Je me privais parce qu'il ne voulait pas que je fasse ce métier là. C'était soit ce métier soit lui. J'ai connu (et connais encore) ce problème, surtout quand j'étais plus jeune. J'avais beaucoup de mal à rester concentrée. Disons que mon cerveau enregistrait un peu tout seul ; mais moi, je faisais un peu n'importe quoi. Si je m'ennuyais (par exemple), je me dispersais rapidement (et je gigotais tout le temps).Ce n'est qu'à l'entrée des études supérieures que j'ai vraiment mis toute mon énergie dans le travail (pas forcément pour les bonnes raisons). Je me suis canalisée comme ça (j'ai mis mon énergie ailleurs). Du coup, j'étais plus "sage". Bon, je révise toujours en gigotant ; mais ça m'aide à me concentrer (paradoxalement). Quand un truc me passionne (ou lorsque j'ai un objectif à accomplir), je peux y passer des heures... Reste à trouver le juste-milieu. C'est là-dessus qu'il s'agit de travailler, pour pallier l'excès/le "tout ou rien". Tout ça pour dire que la concentration requiert un certain nombre d'efforts. Chantonne ton cours, ça pourrait peut-être t'aider... ^^ Ma façon d'apprendre fait beaucoup rire mon entourage (il faut dire qu'on m'entend de loin... : je répète la même phrase en boucle, je me balance et je donne dans les variations de voix --> oui, c'est très bizarre ; mais ça rentre mieux comme ça). Quand tu commences à fatiguer, change d'intonation ; ça revigore. Rires. C'est bien d'avoir eu ce déclic. Je ne l'ai pas moi. Je suis tout le temps occupée à faire autre chose, alors que quand je reste concentrée, je retiens vite en plus. Même si tu révises en gigotant au moins tu es efficace ! Chacun a sa manière de réviser. Je parle beaucoup aussi, je répète et répète 40 fois la même chose. Je me sens bête de parler toute seule, mais au moins ça rentre. Il est vrai qu'au début, c'est plus facile. Et il y a beaucoup de "par cœur". Après, ça se corse, et c'est la capacité d'analyse (et de réflexion) qui prend le dessus. Dans un commentaire ou une dissertation, si tu te contentes de recracher ton cours, la note ne vole pas très haut. Parce que commenter et disserter, ce n'est pas "répéter bêtement son cours" (un plan répond à une problématique, et il doit contenir des idées). D'ailleurs, ceux qui réussissent le mieux aux concours, ce ne sont pas forcément ceux qui étaient les plus scolaires. De toute façon, aux concours, tu tombes parfois sur des sujets inconnus (je pense notamment à l'interminable Culture G).Quoi qu'il en soit, mieux vaut comprendre ce qu'on apprend, dans un premier temps ; ce sont les bases. Si tu n'y bittes rien, tu ne pourras pas aller très loin. C'est sûr, il y a énormément de réflexion quand il s'agit de commenter ou de disserter. J'ai un bon exemple sur le sujet. En L3, je détestais le droit des sociétés. Je comprenais pas grand chose, c'était pas clair du tout. J'avais la matière en TD. J'avais juste relu mon cours une ou deux fois avant de passer l'examen final. Je savais que j'allais complètement me craquer. C'était un commentaire. J'ai du avoir une bonne capacité d'analyse car j'ai eu 14,5. Comme quoi. Modifié le 4 mai 2017 par Octavia Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 4 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2017 Octavia,Je sais c'est que c'est dur, mais vraiment concentre toi sur tes partiels.Tu dois te battre. Ce sera ta première victoire sur toi.Cesse de penser à lui et à ce qu'il fait, tu as ton avenir à construire. Et il nen fait pas parti. J'essaye de me concentrer sur les révisions. C'est duuuuuuuuuur. Je suis pas bien. Je commence à ressentir le manque, un gros manque. Ne pas avoir de nouvelles, ça me tue. J'essaye de ne pas penser à lui mais je suis pas assez forte mentalement pour ça. J'ai sans cesse son visage en tête, j'ai parfois l'impression de ressentir son odeur quand je suis posée dans le canapé. J'y pensais pas à tout ça avant. Je suis malheureuse qu'il ne s'intéresse plus à moi, qu'il s'intéresse aux autres, qu'il fasse sa vie comme si je n'avais jamais existé. Il ne se soucie même pas de moi, de savoir comment se passe mes examens, il ne m'a jamais demandé comment j'allais. J'ai l'impression d'avoir été une fille comme les autres alors qu'il m'a dit que non la semaine dernière. Je suis vraiment la dernière sur sa liste. Il retourne vers toutes ses anciennes conquêtes, quand il se sent seul, c'est toujours vers elles qu'il va, mais jamais vers moi. Je lui avais demandé pourquoi la première fois, il m'avait dit qu'il avait trop de fierté, que c'était tellement facile avec les autres, que même si je lui manquais, il pouvait pas revenir (il a quand même fini par revenir mais bon).Ça me rend malade de ne pas arriver à la détester après tout ce qu'il m'a fait. Ma haine est retombée. C'est dingue de changer totalement d'état d'esprit suivant les jours. Je suis blessée dans mon égo du fait qu'il ne me porte plus d'intérêt je crois. J'essaye de parler avec d'autres mecs, mais ça m'apporte rien. Je m'en contrefiche, je les trouve inintéressant. Alors que mon ex était inintéressant. C'est n'importe quoi d'être comme ça. Je devrais le détester rien que pour le fait qu'à cause de lui, je ne voyais quasiment plus ma famille. La sienne et la mienne habitent à l'opposé du département. Il fallait toujours aller chez les siens tous les week end, parce qu'il joue au foot dans la ville ou habite ses parents. Quand on allait chez les miens (une fois tous les un mois et demi environ), il amenait sa console de jeu et il y jouait toute la journée dans le salon. Mes parents étaient ahuris de voir son comportement. Il parlait un peu au repas mais c'est tout. Il s'intéressait à rien hormis le foot et la console de jeu. Il m'apportait rien au final. On avait des instants de complicité, mais dès qu'il rentrait du boulot, que ce soit le midi ou le soir, il jouait à la console. Il voulait rien faire. Aujourd'hui, il sort, il va boire des verres avec ses copains, il fait tout ce qu'il ne faisait pas avec moi. Je suis si mal. Je l'ai jamais empêché de rien, mais il voulait rien faire de tout ça avec moi. Il ne pensait qu'à lui. Je faisais toujours les courses. Il voulait pas les faire, je m'occupais de faire à manger, d'acheter ce qu'il faut quand ses copains venaient à l'appartement pour regarder les matchs de foot. Il insultait mes copines en disant qu'elles servaient à rien, que c'était des salopes, et aujourd'hui il passe tout son temps avec elles. J'arrive même plus à décrire ce que je ressens là. J'ai tellement tout accepté, j'étais la binoche de service. Je lui ai tout donné, j'ai plus rien aujourd'hui, je suis une serpillère comme vous dites. Se reconstruire seule, c'est dur. Ma famille est tellement contente de me revoir et me retrouver aujourd'hui, ça me fait du bien, mais c'est tout. Il me manque lui. Désolée pour le roman. Ça me soulage d'écrire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bibo Posté(e) le 4 mai 2017 Partager Posté(e) le 4 mai 2017 Octavia, Il te manquera, il a été ta drogue pendant des années, il t'a vampirisé, c’est donc bien "normal" ce que tu ressens. ça passera ! Du temps et de l'éloignement coute que coute. A tout prix. Il y a un état de manque, de dépendance affective desquels il faut se désintoxiquer en compensant très positivement par un regain de confiance et d' estime de soi. Se positionner non plus en "victime" permet de se réapproprier son propre pouvoir et de réaffirmer son Soi, son Être, sa propre valeur. Se faire accompagner est essentiel pour se reconstruire et pour suppléer à cet isolement insidieusement créé.Ne reste pas trop seule, pas trop dans le silence. La famille est un atout. Encore une fois, courage ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 4 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2017 Bonjour Bibo,Le temps me paraît une éternité Bibo. Une journée c'est bien trop long. Je regarde sans cesse mon téléphone, dans l'espoir de... Mais rien. Et je sais qu'il n'y aura plus jamais rien. C'est ça qui me fait tellement mal. Je ne sais pas si l'estime de soi et la confiance en soi est réellement le problème. Je ne pense pas manquer d'estime de moi. La confiance en revanche, j'en ai toujours un peu manqué, mais je ne pense pas que ce soit ça véritablement l'enjeu du problème.. L'état de manque est vraiment très très fort. La dépendance affective me fait énormément souffrir. Il n'y a que le temps qui me permettra réellement de me détacher de lui. J'ai peur de ne pas y arriver. La première fois, je n'ai pas réussi, j'étais toujours totalement dépendante même quatre mois après. J'ai peur, peur de mettre énormément de temps à m'en remettre. Je n'ai pas envie de souffrir pendant des mois, des années.Ma famille est un véritable atout oui, c'est tellement important. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Octavia Posté(e) le 6 mai 2017 Auteur Partager Posté(e) le 6 mai 2017 Bonjour tout le monde,J'ai des news toute fraîche. J'ai une amie en commun qui a pas mal discuté avec lui. Voilà' ce qu'il a dit en gros : qu'il avait jamais autant aimé une fille que moi, que c'était pas simple sans moi, qu'il avait essayé deux fois mais que ça marcherait pas une troisième fois, qu'il avait envie de s'amuser, qu'il ne voulait pas me respecter parce qu'il ne voulait plus être un mec bien (cette phrase m'a choqué), qu'il le regrettera sûrement plus tard mais voilà, qu'il voulait pas parler de moi, qu'elle avait pas à se mêler de ça, que je le respectais pas que je l'aimais pas comme il faut (j'ai pas compris), que ça lui faisait du bien de me faire souffrir. Elle a passé la soirée avec lui, il parlait beaucoup de moi apparemment. Beaucoup d'allusions à moi. Qu'il enchaînait les plans culs aussi. Mais voilà, il évite le sujet, il veut pas parler de ce qu'il ressent pour moi apparemment. C'est compliqué. Je le comprends pas. Je comprends pas son raisonnement.Je vais me coucher. Kalinka, je te répondrais demain :) Bonne fin de nuit à tous ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lys35 Posté(e) le 6 mai 2017 Partager Posté(e) le 6 mai 2017 Manipulateur un jour, manipulateur toujours! Il sait parfaitement que ses propos ont été rapportés hein. Et, pourquoi l'ont-ils été ? Tu ne devais pas cesser d'avoir des news via les amis communs ? Crois-moi, il n'y a rien à comprendre, et aucun intérêt autre que nocif à passer le WE en boucle sur ces paroles rapportées en essayant d'y trouver du positif et de l'espoir. Ce que tu vas faire quand même. Tu dois apprendre à te préserver. Ça commence par : ne plus recevoir de ses nouvelles par les amis communs, surtout à la veille d'un WE de 3 jours où tu risques d'être mal. Courage. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lyam92 Posté(e) le 6 mai 2017 Partager Posté(e) le 6 mai 2017 Des mecs aussi infectes existent réellement ?!Je plains également la prochaine... 🤔 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Allys Posté(e) le 6 mai 2017 Partager Posté(e) le 6 mai 2017 Octavia, J'ai des news toute fraîche. J'ai une amie en commun qui a pas mal discuté avec luiQuand j'ai lu cette phrase, à la façon dont tu l'a écrite, au ton que tu as employé (enjoué et frétillant...), je m'attendais exactement à ce que t'as dit SON amie... (oui parce que tu nous as dit que TES amis étaient avant tout SES amis...) Voilà' ce qu'il a dit en gros : qu'il avait jamais autant aimé une fille que moi, que c'était pas simple sans moi, qu'il avait essayé deux fois mais que ça marcherait pas une troisième fois, qu'il avait envie de s'amuser, qu'il ne voulait pas me respecter parce qu'il ne voulait plus être un mec bien (cette phrase m'a choqué), qu'il le regrettera sûrement plus tard mais voilà, qu'il voulait pas parler de moi, qu'elle avait pas à se mêler de ça, que je le respectais pas que je l'aimais pas comme il faut (j'ai pas compris), que ça lui faisait du bien de me faire souffrir. Elle a passé la soirée avec lui, il parlait beaucoup de moi apparemment. Beaucoup d'allusions à moi. Qu'il enchaînait les plans culs aussi. Mais voilà, il évite le sujet, il veut pas parler de ce qu'il ressent pour moi apparemment.Et je vois bien ta dépendance derrière cette simple description... Ce qui te fais du bien c'est que tu ne sois pas "rien" à ces yeux...Alors d'une part, ce sont les dires d'une tierce personne, pas du tout neutre dans l'histoire. Et c'est important de le garder en tête. Et entre ce qu'il lui a dit, ce qu'elle en a compris, ce qu'elle en a retenu, ce qu'elle a modifier (inconsciemment) par rapport à sa propre vision de la situation, ce qu'elle t'as dit, ce que tu as compris, ce que tu en a retenu, et la façon dont tu nous l'écrit, il peut y avoir tout un désert d'incompréhension, et de fausse idées...Mais en plus quand moi je lis ce qu'il (semble) lui avoir dit, je ne vois rien, qui mérite que tu y prête une attention particulière... laisse moi te dire ce que moi je vois entre les lignes... qu'il avait jamais autant aimé une fille que moiBlablabla... que c'était pas simple sans moi,Tu m'étonne, quand on a plus de serpillère on ne peut plus laver par terre qu'il avait essayé deux fois mais que ça marcherait pas une troisième foisTraduction: "non mais en fait je l'aime plus hein..." qu'il avait envie de s'amuserTraduction "je veux pouvoir baiser qui je veux, quand je veux sans avoir de comptes à rendre"qu'il ne voulait pas me respecter parce qu'il ne voulait plus être un mec bien (cette phrase m'a choqué)taratata cette phrase ne t'as pas choquée, elle t'as faite extrèmement plaisir au fonc, parce que ça veux dire selon toi, qu'en fait il fait exprès d'être méchant, et de faire semblant de ne plus t'aimer, alors qu'il n'en pense pas moins, et que c'est un mec bien (et donc que NON tu n'as pas pu te tromper à ce point, tout cela est un malentendu... etc...).Mais, c'est faux, tout ce que je vois dans cette phrase c'est qu'il tente de redorer son image, auprès de lui même. qu'il le regrettera sûrement plus tard mais voilà,Blablabla, Ouin ouin ouin, traduction "et si quand j'ai envie de revenir tu peux être là ce serait cool!"qu'il voulait pas parler de moi, qu'elle avait pas à se mêler de çaBin soit c'est la copine qui l'a harcelé pour extorquer ces informations, soit elle cherche à nouveau à le faire passer pour un type bien (genre c'est moi qui l'ai forcé à me parler...). Quoique ce soit, ce qui est sûr c'est qu'elle a un intérêt dans l'histoire... que je le respectais pas que je l'aimais pas comme il faut (j'ai pas compris), que ça lui faisait du bien de me faire souffrir.de tout ce que j'ai lu, c'est le seul truc sincère que je vois, c'est la seule vérité qui ressort de ça. Et à partir du moment ou tu n'accepte pas de souffrir toute ta vie (donc d'être son paillasson), rien n'est possible (c'est celà que ça veut que tu ne l'aime pas comme il faut)Elle a passé la soirée avec lui, il parlait beaucoup de moi apparemment. Beaucoup d'allusions à moi. Blablabla...Qu'il enchaînait les plans culs aussi.ce qui rejoint le "je veux baiser avec qui je veux quand je veux", et ne vois pas dans le fait qu'il ne veuille pas de relation sérieuse, le moindre attachement pour toi... Mais voilà, il évite le sujet, il veut pas parler de ce qu'il ressent pour moi apparemmentEt bien surtout il veut pas parler de son coté pervers (ça lui donne une mauvaise image de lui...)Donc ce que ça veut dire c'est, je ne l'aime plus, mais je voudrait que elle m'aime, parce que j'ai besoin d'avoir quelqu'un a humilier pour me sentir bien. Ca fait de moi, une personne pas très sympa, mais comme je veux avoir une bonne image de moi, je ne veux plus trop parler de ça...Tant qu'il ne diras pas un trucs du genre "je me suis comporté comme un salopard, parce que j'ai un problème, mais il est temps que je regarde ce problème en face, que je me fasse soigner pour devenir quelqu'un de meilleur", tout le reste n'est que blablabla stérile, qui te font perdre ton temps et ton énergie... C'est compliqué. Je le comprends pas. Je comprends pas son raisonnementSon raisonnement est t'il plus clair maintenant.Courage! 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