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Il ne m''a pas répondu, je souffre encore


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Hello les girls !


@sandstorm Tu as raison pour l'espoir, c'est clair.


Et oui, j'ai écrit et réécrit beaucoup depuis la rupture. Moins ces derniers mois... J'en ai peut-être encore besoin. Je ne suis pas allée voir ma psy depuis plus d'un mois également. Et j'en ai peut-être aussi encore besoin. J'envisage d'écrire un livre, sous une forme fictionnelle, mais partant de cette histoire... Écrire me libère souvent... Peut-être que ça m'aidera ;)


Et après ça, j'aimerais que mon cerveau arrête de turbiner, retrouver une certaine légèreté en Amour et cesser d'être dans le rationnel, même si je ne peux rien faire contre ma nature cérébrale... ;)


@alicia Tu as tout à fait raison, je crois ! Et merci pour tes mots, ils me rassurent un peu quant à mon obsession. De ton côté, tu as totalement cessé de lui parler ?

En revanche, à te lire, j'ai le sentiment que si cet homme t'obsède encore, car il t'a fait vibrer, la relation en elle-même et son échec (que tu ne t'attribues pas, à raison d'ailleurs ;)), ne t'obsèdent pas... Ou je me trompe ? De mon côté, c'est surtout cette seconde partie de mon obsession qui me rend le plus dingo ! Grrr ! Mais elle remonte à plus profond que cette histoire, sans nul doute... Bref, je vais tenter de mettre mon cerveau en mode off ;) Et plein de courage et de bises à toi aussi ! ;)



Et merci pour tout, depuis le début. Je pense que je vais m'éloigner du forum aussi quelque temps, je me demande s'il n'entretient pas d'une certaine façon ma dépendance à cette histoire... Je verrais en fonction de mes ressentis. Merci encore en tout cas ! Bises

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Bonjour Capucine,


J'ai lu ton histoire, ton message de retour et la suite mais pas vraiment les commentaires des autres.


Et ton histoire m'a touché.


J'ai vécu il y a peu une histoire courte aussi, avec un contact de sa part après 6 mois de SR strict et j'avoue avoir eu du mal à m'en remettre mais je suis enfin sur la bonne voie.


Bref, je peux comprendre ce que tu ressens.


Tu me parais hypersensible, comme je peux l'être à ma manière. Dans ma bouche, ça ne signifie pas spécialement prompt à la sensiblerie ou vulnérable mais simplement ressentir de manière plus intense les sentiments qui nous entourent ou nous animent. Moi, par exemple, si une personne est triste à mes côtés, je le ressens très fort dans une empathie limite indécente et, quand je suis amoureux, ça me foudroie littéralement. Donc, les ruptures sont logiquement plus longues.


Ce qui m'a d'abord frappé dans ton récit c'est l'effet "montagne russe" : ça monte vite dans les tours et puis ça redescend sèchement. Et ça c'est très destructeur. On s'accroche, on se décroche sans avoir pu digérer le flot de sentiments, ce qui a souvent pour effet de laisser un goût d'inachevé et invite à l'idéalisation. C'est un élément important dans ton histoire, selon moi. De mon côté, en tout cas, c'est l'élément qui m'a laissé comme sidéré, bouche bée et bras ballants un long moment


Une autre chose aussi. A un moment donné, tu as ressenti une crainte liée à votre histoire ; crainte que tu lui as formulé clairement et tu nourris, à présent, des regrets par rapport à ton attitude.

Je ne vois pas les choses de la même manière. Si une force t'a poussé à exprimer ton ressenti auprès de lui, c'est qu'il y avait une bonne raison. Tu ne parviens plus à présent à la rationaliser parce que tu es dans un autre contexte, où tu idéalises votre relation. Mais dis-toi une chose : c'est que si ton esprit t'a poussé à le faire, c'est que c'était nécessaire. C'est qu'il y avait danger. Tu n'as pas à avoir de regret et surtout éviter de rentrer dans un biais cognitif, en réécrivant l'histoire.

Ce n'est pas simple mais nous devons apprendre à nous faire confiance.


Plus j'avance en expériences, plus je me dis que rien n'est réellement anodin et que les choses se passent comme elles doivent se passer et, enfin, que le sens de nos paroles et de nos actes se révèlent toujours, tôt ou tard.


Le monde est parfait, a écrit Nietzsche. Je ne comprenais pas à 20 ans cette affirmation provocante. Je la comprends bien mieux maintenant.


En toute bienveillance, Capucine.


Courage.

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