Paige Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 je doute de pouvoir le changer et en fait je ne le souhaite pas. Je me suis mal exprimée, mon exemple de fondre en larmes, était un exemple...ta sincérité à toi peut passer par la colère "va te faire foutre connard" ou par le mépris , par le silence, par la joie même, peu importe, mais sûrement pas par continuer à lui faire ses repas, sa lessive et lui offrir ta compagnietu te rends compte quand même qu'il t'a quittée, qu'il t'a trompée, qu'il est revenu sans revenir et qu'au bout du bout, c'est TOI qui vas dormir ailleurs :shock: :shock: tu crois que c'est "sain" pour la reconquête de toi-même? là j'oscille entre "vivement que ce boulet dégage" sans pour autant faire quoi que ce soit pour que ça arrive, et "quand même, je l'aime sans doute encore". Ce qui de toute façon ne change rien à la situation.Parce que, à mon avis toujours, tu es trop dans le "comment je dois me comporter POUR le toucher lui?" tu n'es pas du tout dans le "bon qu'est-ce que je veux moi?" mais toujours dans le contrôle de la situation, de votre famille, de l'équilibre qu'il y avait. Tu passes toute ton energie à cela, et pas du tout à réflechir sur toi et ce que tu voudrais. A mon avis toujoursIl y a une part de mesquinerie et de dérisoire vengeance dans mon attitude, ce qui est bête mais voilà.Alors ça c'est "rigolo" que tu dises ça, car encore une fois, si tu te dis ça , toi, dans ta tête pour sauver ta propre image auprès de toi-même, moi je ne vois pas ça du tout dans l'attitude que tu renvoies icimoi une nana qui reprend un mec qui l'a trompée, quittée, sans aucune contrepartie, qui continue pour le même prix à lui dire que "si si il va divorcer" avant de la prendre en levrette 1h plus tard et de lui envoyer des sms 2h après, je la perçois complètement sous emprise , et pas du tout dans la vengeance et la mesquinerie....peut-être que dans ta tête, quitter toi, le lit à 6h du matin, tu trouves que tu te venges, mais extérieurement, je vois ça comme un abandon total à ton marisi tu me disais que tu le sortais de ton lit à coup de battes à 20h quand il va se coucher, là, oui, je pourrais te parler de vengeance ou même de respect de toi-même, tout simplement, là, désolée, je ne vois que du "subissement" (c'est quoi le mot?^^)et bien entendu (ça va de soi mais ça va encore mieux en le disant) je ne te dis pas ça pour t'enfoncer, mais pour déchirer ce voile de déni que tu te poses toi pour t'empêcher d'agir. Pour t'empêcher de te persuader que oui tu resistes et pour t'empêcher aussi de croire que c'est ainsi que tout va s'arranger...je ne le crois pas du tout, comme je t'ai dit, je pense juste qu'on va te récupérer, façon puzzle :( :( Courage Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 On est globalement d'accord Paige. :) et tu peux y aller franco avec moi, je sais que tu es toujours dans la bienveillance, donc quand tu me secoues il n'y a aucun malaise pour moi, je sais que tu ne veux pas m'enfoncer. Bon déjà, ne plus coucher avec lui me semblait au-dessus de mes forces. Là j'y suis arrivée, et c'est un effort énorme pour moi. Je n'arrive pas à aller au-delà pour le moment. Et en effet, j'agis encore dans l'objectif de l'impacter. Si j'étais motivée par moi et pas par lui, ce serait vachement mieux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 (modifié) Pour le quotidien, le mieux que j'ai réussi à faire, c'est : - ne plus lui parler et ne plus l'écouter (c'est pour ça qu'il rumine seul maintenant)- être le moins possible dans la même pièce (effet : il me suit dans les pièces mais je tiens bon comme je peux)- la lessive et bouffe, pour ça de toute façon il se débrouille- afficher une attitude zen, plutôt souriante mais sobrement.Mais effectivement, je crois que tout ça je ne le fais pas pour moi, c'est une représentation, genre kermesse de fin d'année. ;) Modifié le 12 février 2017 par Flora43333 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paige Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 je crois que tout ça je ne le fais pas pour moi, c'est une représentation, genre kermesse de fin d'année. Voui, on est d'accord :) écoute, en avoir conscience est déjà ça hein! on fait tous comme on peut! je te remercie pour ta propre bienveillance et n'hésiterai pas alors à te faire un petit "tststs" quand tu te mentiras à toi-même ;) (comme nous le faisons tous, moi la première bien sûr!!) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
comeonhey Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Je ne suis pas tout à fait d'accord tu fais de trucs pour toi. Ok ce n'est pas autant que tu voudrais mais tu fais aussi des trucs pour toi (avocate psy venir ici prendre de la distance) pas seulement pour lui.La question qui reste c'est : " quand vas tu le plaquer et demander le divorce toi sans attendre que ce soit lui qui le demande?"C'est peut-être pas possible maintenant parce que les forces de la raison trainent mais il me semble que c'est un 'objectif sain pour toi et que tout ce qui pourrait t'aider à atteindre cet objectif (comme sortir du déni) est le bienvenu! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 La réponse à ta dernière question est simple : je n'ai jamais eu l'intention de demander le divorce et je ne le ferai pas. Pour des raisons financières et logistiques d'une part mais ce n'est pas le plus important. Le truc c'est : il veut divorcer ? Qu'il le fasse, qu'il gère les démarches, et qu'il paie pour ça. Il assumera au moins ça. Et mon psy est dans la même optique. En terme de cheminement mental et de process de mainmise, lui accorder à ce stade un consentement mutuel vite fait reviendrait à lui tenir la main pour divorcer et à faire la moitié du boulot. Ca reviendrait aussi à feindre de consentir à un truc que je ne souhaite pas. Et l'avocate a été super aidante là-dessus, me disant "vous ne souhaitez pas divorcer, c'est votre droit. Ne culpabilisez pas pour ça, dans cette situation c'est normal". Ce divorce sera le sien. Je ne suis pas sûre de grand chose mais ça au moins, c'est posé dans ma tête. C'est bien le seul truc où je suis en harmonie avec moi-même. C'est déjà ça ;) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
comeonhey Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 La je t'avoue que je ne te suis plus mais si tu te suis cnest le principal ;) Bonne chance alors! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Allys Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Flora,Je suis ton post depuis le début, mais jusqu'a présent je n'étais pas intervenue. Mais ce dernier post me laisse perplexe...Il est bien sûr convenue par avance, que c'est ta vie, et que tu la mène comme bon te semble. et que au bout du compte c'est toi qui prendra les décisions.Se battre, pour ce qui nous semble juste, est une bonne chose.Mais je ne vois rien dans ce dernier post qui ressemble à une bataille... J'y vois une obstination à "gagner", envers et contre le minimum de bon sens... Le truc c'est : il veut divorcer ? Qu'il le fasse, qu'il gère les démarches, et qu'il paie pour ça. Il assumera au moins çaEt s'il ne faisait JAMAIS le nécessaire? Et si au moment ou il faisait le nécessaire, c'était un moment ou toi tu étais dans une situation encore plus désastreuse?Et si tu rencontrait quelqu'un d'autre, et qu'il profitait de cela pour divorcer, en t'accablant de toutes les responsabilités? Et mon psy est dans la même optiqueHeu...les psy ne prennent pas partie normalement... Le psy ne t'aurait t'il pas dit quelque chose du genre "Si vous pensez que c'est ce qu'il faut faire, faites le"? Ce qui ne veut pas dire qu'il cautionne hein... En terme de cheminement mental et de process de mainmise, lui accorder à ce stade un consentement mutuel vite fait reviendrait à lui tenir la main pour divorcer et à faire la moitié du boulotOui.Mais également à te permettre de passer à autre chose... Ca reviendrait aussi à feindre de consentir à un truc que je ne souhaite pasEn quoi le fait de feindre que tu es d'accord, te pose problème dans ce cas précis? Et l'avocate a été super aidante là-dessus, me disant "vous ne souhaitez pas divorcer, c'est votre droit. Ne culpabilisez pas pour ça, dans cette situation c'est normal"Mais l'intérêt de ton avocate, c'est que la procédure prenne le plus de temps possible, plus de temps, plus d'argent... Elle n'a aucun intérêt à te recommander le consentement mutuel... Ce divorce sera le sien. Je ne suis pas sûre de grand chose mais ça au moins, c'est posé dans ma tête. C'est bien le seul truc où je suis en harmonie avec moi-même. C'est déjà ça ;)SoitJe te fait juste partager, mon expérience personnelle. j'ai un ami, celà fait 10 ans qu'il est dans ta situation... Toujours pas de divorce en vue...Depuis 10 ans il patauge dans sa fierté, et pour l'instant il n'a rien reconstruit avec personne, il est aigri, et triste... Mais refuse de lâcher le morceau...Mon message à pour seul but que tu ne devienne pas comme lui... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flow75 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Je suis plutôt d'accord avec Allys.... Ma tante s'est retrouvée un peu dans ta situation après 19 ans de vie commune, il est parti pour une autre, mais il revenait quand même, puis il repartait, s'est pris un appartement, lui disait qu'elle était la femme de sa vie, mais parlait divorce tout en continuant à la couvrir de cadeaux et à coucher avec elle. Elle ne voulait pas demander le divorce, cette tromperie lui est tombé dessus sans qu'elle s'y attende, elle n'était absolument pas préparée à tout ça, donc elle attendait de lui qu'il fasse toutes les démarches, elle en était incapable, et voulait aussi, tout simplement, sauver son mariage.Sauf que lui, pauvre diable perdu et dépourvu de cojonès, a fait traîner, allant de l'une à l'autre, promettant des choses, tout en continuant à prendre le chemin de sa seconde vie... Il restait tout en s'éloignant, habilement. Elle s'en est bousillé la santé. Elle a fini, elle, par demander ce putain de divorce au bout de 7 ans, et il a eu le culot de lui dire (alors qu'il vivait désormais complètement avec l'autre) "ce n'est pas grave, je sais que je te réépouserais". Dans le divorce, elle a réussi à obtenir ce qu'elle voulait financièrement parlant, et elle s'est enfin débarrassée de ce type qui aura fini par complètement entacher leur 19 ans de vie commune. A trop attendre, tout est devenu pourri. La décision était prise dès le départ, elle était irrémédiable, et ma tante, elle, a perdu du temps et beaucoup trop d'énergie. Voilà pour l'anecdote. Même si chaque situation est différente, et que chacun réagît différemment. Mais je pense que ce divorce est inévitable, et que tu gagnerais beaucoup à le prononcer rapidement. Le temps, l'énergie, la santé, ça n'a pas de prix... et ça vaut peut être de mettre sa fierté de côté.Parce qu'il y a beaucoup d'hommes qui quittent, mais qui ne rompent pas. Et malheureusement, c'est à la femme de le faire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Hello Allys :)Concernant l'avocate, elle sait que le seul recours de mon mari est un divorce pour altération définitive du lien conjugal : concrètement, faire trainer ne concerne que la période entre le dépôt de la requête et le prononcé de l'ordonnance de non conciliation. On est là sur une période de deux ou trois mois, et on peut rallonger de quelques semaines. Donc pas de gros enjeu financier. Après l'ordonnance, le processus est automatique. Ça ne peut donc durer que 24 mois après l'ordonnance. Au bout de 2 ans, l'assignation est là et le prononcé du divorce est automatique.Quant au fait de feindre un consentement, je ne peux pas. Quel que soit le domaine. C'est contre tout ce en quoi je crois. Et en l'occurrence, mon entêtement est certainement endurci par le fait que depuis le début de ce merdier, mon mari a voulu tout imposer. Aucun échange équitable, que de la menace et des pressions. Là il est calmé mais pour aller vers un consentement mutuel il aurait fallu se mettre en position de consentir. Peut-être serai-je prête à un moment, là ce n'est pas le cas. Quant au fait d'entendre un homme de 46 ans affirmer que ce bout de papier résoudra tous les problèmes dans sa tête, ça me rend encore moins encline à le prendre au sérieux : qu'il fasse ce qu'il a à faire mais ce n'est pas à moi de cautionner ses délires et illusions. Ce qui ne veut pas dire que la séparation en elle-même est un truc que je méprise. ;)Dans mon esprit un divorce est une chose sérieuse, grave, qui ne se lance pas dans une période de crise, dans l'émotion. Même si j'ai conscience du fait que le divorce est devenu quelque chose de banal à notre époque. On doit à mon sens concevoir une séparation en prenant en amont des dispositions raisonnables, pragmatiques, en veillant à la préservation d'un maximum de choses. Là, ce n'est pas le cas. Et mon mari le sait car concrètement, personne dans cette maison n'a les moyens de l'opération pour l'instant, comme on dit. Et tant que je ne consens pas, pas de consentement mutuel. Le divorce pour altération du lien conjugal est une excellente voie médiane, qui relève des procédures dites contentieuses mais qui n'est pas conflictuelle en réalité. D'autant que l'avocate est, comme tous les avocats qui pratiquent le droit de la famille, tenue/encline à une résolution amiable de tout conflit, encourageant à l'utilisation des passerelles (possibles à tout moment de la procédure). L'objectif est toujours de rechercher le consensus, elle est même formée au droit collaboratif, une procédure qui fait partie des MRAC (mode de règlement alternatif des conflits) et qui rend possible une convention qu'on peut ensuite faire homologuer. Et là, elle a plutôt encouragé à ce qu'il n'y ait pas de procédure du tout. Et ne m'a pas fait payer la consultation, alors que son cabinet fait payer chaque consultation y compris la première. ;)Après, ne serait-ce que financièrement, dans le consentement mutuel, on ne passe plus devant le juge, pas d'audience, pas de mesures provisoires, et donc pas de fixation de devoir de secours. Ce qui n'est pas anodin dans ma situation actuelle. En plus de ça, plus longtemps je traine jusqu'à l'audience, plus longtemps je maintiens la solidarité financière. Et administrative. Et fiscale. Mais fondamentalement la raison profonde est celle que j'ai exprimée plus haut, la paperasse et le fric viennent ensuite. :(Du côté du psy : il ne prend pas parti (il est psychiatre, pas coach) mais decortique bien les schémas globaux. Assumer une décision et ne pas m'instrumentaliser en me harcelant pour obtenir un consentement mutuel est normal. Il a été très clair : "Un consentement vicié par des pressions n'est pas un consentement. Qu'il assume son souhait en adulte si vous refusez le consentement mutuel, et qu'il fasse le chemin vers ce divorce qu'il affirme souhaiter. Vous n'avez pas à lui mâcher le boulot si vous ne le souhaitez pas."Quant à rencontrer quelqu'un d'autre : je suis mariée à ce stade, il n'est donc pas question pour moi de vivre une liaison. Mon mari n'aura pas matière à invoquer une faute contre moi. Le jour où je serai divorcée je verrai si ça me tente ou pas. J'ai 43 ans, je suis encore jeune. Si j'ai besoin de sexe je saurai trouver de quoi me satisfaire. J'ai également deux enfants, des soucis matériels, donc la romance n'est pas une priorité à ce stade. :) Et si mon mari ne lance aucune démarche, ce qui signifie concrètement que : - il restera tenu de la contribution aux charges- du devoir d'assistance et de secours (la fidélité on s'en fout, ça ne paie pas le loyer)- il restera marié en somme.Ben s'il reste marié alors qu'il est libre de lancer la procédure (son ordonnance, il pourrait déjà l'avoir, la procédure aurait pu être lancée début octobre dernier), ça mettra en évidence un fait étonnant, à savoir qu'il ne souhaite pas divorcer. Mais ça m'étonnerait puisque c'est son souhait le plus cher. ;)Je ne pense pas qu'il y ait de gagnant dans un divorce... En attendant le loyer est payé (par lui et moi), le frigo est plein, mon mari avait suggéré que nous lachions cette maison pour deux petits appartements, et là aussi j'ai été plutôt claire : je n'ai pas à sponsoriser son changement de vie en rognant sur la mienne. J'aurais du placer les animaux, quitter mon cadre de vie, ôter aux enfants leurs repères, tout ça pour co-financer la crise existentielle de Monsieur. S'il veut une nouvelle vie il n'a qu'à se la payer. Je suis consciente d'être une vraie tête de pioche et de paraître intransigeante. Mais comme en parallèle (et Paige l'a finement souligné), il a pu me quitter, se choper une meuf, revenir etc, pour le divorce il va se démerder comme un grand garçon ;) Et je passe ici sur le déni qui me pousse encore un peu à penser qu'il va se raviser (la réalité se chargera de me rendre la raison).Et je comprends tout à fait ton point de vue. :) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Flow : je vois ce que tu veux dire. J'ai une chance dans ce merdier : il n'est pas flottant, il n'y a pas de réconciliation envisagée. :) Donc pas d'allers retours en perspective. Si je tiens bon pour le sexe en continuant à refuser le contact (croisons les doigts), il se barrera dès qu'on aura les moyens et lancera la procédure. Ou pas. Et sincèrement : si un jour je suis prête et s'il ne l'a pas fait, je demanderai le divorce. Là je ne suis pas prête. :) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flow75 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Et sincèrement : si un jour je suis prête et s'il ne l'a pas fait, je demanderai le divorce. Là je ne suis pas prête. :) Et c'est tellement bien de le reconnaître... Dans tout ce marasme, un peu de douceur envers soi même. Tout ça est encore trop frais. Tu y viendras quoiqu'il arrive, sans y laisser trop de plumes je l'espère. En attendant, force et courage ! ;) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Oph : Oui je peux le comprendre. Sur tout ce qui est logistique et gestion du quotidien administratif je ne suis pas distrayante et globalement je prends ce divorce très au sérieux. C'est loin d'être une formalité à mes yeux. Mais comme en parallèle j'ai été plutôt souple sur adultère, retour à la maison et autres saloperies, j'arrive à me pardonner partiellement cette attitude. ;) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Le mariage est un contrat, surtout. Une preuve d'amour contractualisée. On le rompt quand on a les moyens, en dehors même de toute considération affective. Je serais tout aussi malheureuse si j'etais en période faste côté boulot, c'est sûr. Mais s'il ne lance pas cette foutue procédure, c'est parce qu'il sait que ça va être merdique à tous les niveaux.Et pour rappel : dès qu'il aura son ordonnance suite à l'audience unique chez le juge, il sera légalement séparé et libéré de la contribution aux charges. Il n'est pas en prison. Libre à lui de le faire. Ça aurait déjà pu être plié. Mais j'imagine que laisser sa femme et ses gamins dans la merde en leur lâchant 400€ grand max par mois, c'est pas simple. (D'habitude je gagne plus que lui mais là c'est période creuse et j'ai pas droit au chômage, j'exerce en profession libérale).Mais je comprends et respecte ton point de vue. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flora43333 Posté(e) le 12 février 2017 Partager Posté(e) le 12 février 2017 Si j'avais voulu faire une guerre j'aurais lancé un divorce pour faute. Et mes enfants, j'en prends grand soin, émotionnellement et matériellement. Notamment en faisant le maximum pour qu'ils gardent amour et estime pour leur père, ils vivent dans le calme, sont préservés et ils garderont leur cadre de vie, auquel ils tiennent beaucoup. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.