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Plan d'un soir ou plan d'une vie


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A chaque fois qu'un sujet part en couille comme ça, je pense au créateur du fil qui est soit un mec qui cherche juste à baiser, soit une fille qui en a marre qu'on ne la cherche que pour baiser, et qui voit que ça se met à parler anthropologie, Shoah, viol, exhibitionnisme, pédophilie...

 

hahahahaha

(tjrs et encore +1)

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Ah, cool. Après la pitchoune antropolologue, la pitchounne-avocate. Je sens qu'on va encore bien rigoler. Tu me montres un texte allant dans le sens où une proposition sexuelle non-injurieuse et unique constituerait une agression ?

Oui choupinet, un exemple, pour reprendre tes propres termes, l'exhibition sexuelle, est une proposition sexuelle (visuelle, que l'on peut accompagner de mots), non injurieuse, et qui peut être unique, et qui constitue une agression sexuelle, Article 222-32 du code pénal. Autre chose?

 

Je dois dire que c'est bien joué. On pourrait jouer sur les mots et tirer le truc par les cheveux.


Même si c'est davantage le fait d'imposer son intimité à la vue d'autrui dans un espace accessible au public qui est réprimé (cf. ancien délit d'outrage public à la pudeur, article 330 du Code pénal de 1810).


C'est pourquoi certains arrêtés interdisent de se balader torse nu durant une certaine période, par exemple. Pourtant, tu conviendras que le fait de se balader torse nu (surtout pour un mec) ne constitue pas une proposition sexuelle au sens où on l'entend dans ce thread.


En fait, l'exhibition sexuelle constitue bien plus qu'une proposition sexuelle (au sens où on l'entend sur ce fil). Déjà, tu ne proposes pas, tu imposes. Tu imposes ton intimité à la vue d'autrui dans un lieu accessible au public. Je ne te propose pas spécialement de coucher avec moi, je t'impose la vue de mon intimité dans un lieu accessible au public ; voilà la définition exacte de l'infraction.


Ce faisant, dit comme ça, c'est bien joué, mais l'esprit du texte est bien différent ; le législateur souhaitait surtout protéger la pudeur publique.


Quoi qu'il en soit, un exhibitionniste ne cherche pas forcément à coucher avec quelqu'un.


Et si on joue encore sur les mots, ce comportement est injurieux (d'ailleurs, l'ancien délit contenait le mot "outrage"), dans l'esprit du Législateur.

Oh oui on peut interpréter et tirer les choses par les cheveux, toutefois j'ai répondu à Mox, en fonction des éléments donnés , il a de lui même fermer le contexte, et si le gars se contente de sortir son service 3 pièces en disant " Tu veux goûter ma frite" (Ça c'est une spéciale dédicace pour toi) les faits sont bien caractérisés selon ses critères. Et je pense d'ailleurs qu'il sera assez intelligent pour trouver tout seul les arguments pour me contrer.

Maintenant si tous les fan de Mox veulent jouer avec moi, je n'y vois pas d'inconvénient, je ne suis pas celles qui se laissent impressionner par la rhétorique, et les goguenards en tout genre.

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Maintenant si tous les fan de Mox veulent jouer avec moi, je n'y vois pas d'inconvénient, je ne suis pas celles qui se laissent impressionner par la rhétorique, et les goguenards en tout genre.

 

Belle interprétation pour les 'fans' mais ce n'est pas le cas (tu perds ton sang-froid ?)

Si ça c'est pas être sur la défensive.. Perso je ne lis rien de très constructif dans cette invitation à "jouer". A part sceller des équipes, les rouges contre les bleus, je passe très volontiers (:

Si tu veux te considérer "contre" les autres, ça te regarde mais dans ce cas il n'y aura que très peu d'ouverture et d'échos réels possible.

Bonne baston !

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Oui choupinet, un exemple, pour reprendre tes propres termes, l'exhibition sexuelle, est une proposition sexuelle (visuelle, que l'on peut accompagner de mots), non injurieuse, et qui peut être unique, et qui constitue une agression sexuelle, Article 222-32 du code pénal. Autre chose?

 

Je dois dire que c'est bien joué. On pourrait jouer sur les mots et tirer le truc par les cheveux.


Même si c'est davantage le fait d'imposer son intimité à la vue d'autrui dans un espace accessible au public qui est réprimé (cf. ancien délit d'outrage public à la pudeur, article 330 du Code pénal de 1810).


C'est pourquoi certains arrêtés interdisent de se balader torse nu durant une certaine période, par exemple. Pourtant, tu conviendras que le fait de se balader torse nu (surtout pour un mec) ne constitue pas une proposition sexuelle au sens où on l'entend dans ce thread.


En fait, l'exhibition sexuelle constitue bien plus qu'une proposition sexuelle (au sens où on l'entend sur ce fil). Déjà, tu ne proposes pas, tu imposes. Tu imposes ton intimité à la vue d'autrui dans un lieu accessible au public. Je ne te propose pas spécialement de coucher avec moi, je t'impose la vue de mon intimité dans un lieu accessible au public ; voilà la définition exacte de l'infraction.


Ce faisant, dit comme ça, c'est bien joué, mais l'esprit du texte est bien différent ; le législateur souhaitait surtout protéger la pudeur publique.


Quoi qu'il en soit, un exhibitionniste ne cherche pas forcément à coucher avec quelqu'un.


Et si on joue encore sur les mots, ce comportement est injurieux (d'ailleurs, l'ancien délit contenait le mot "outrage"), dans l'esprit du Législateur.

Oh oui on peut interpréter et tirer les choses par les cheveux, toutefois j'ai répondu à Mox, en fonction des éléments donnés , il a de lui même fermer le contexte, et si le gars se contente de sortir son service 3 pièces en disant " Tu veux goûter ma frite" (Ça c'est une spéciale dédicace pour toi) les faits sont bien caractérisés selon ses critères. Et je pense d'ailleurs qu'il sera assez intelligent pour trouver tout seul les arguments pour me contrer.

Maintenant si tous les fan de Mox veulent jouer avec moi, je n'y vois pas d'inconvénient, je ne suis pas celles qui se laissent impressionner par la rhétorique, et les goguenards en tout genre.

Héhé ça nous fait deux points communs! ^^

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Maintenant si tous les fan de Mox veulent jouer avec moi, je n'y vois pas d'inconvénient, je ne suis pas celles qui se laissent impressionner par la rhétorique, et les goguenards en tout genre.

 

Belle interprétation pour les 'fans' mais ce n'est pas le cas (tu perds ton sang-froid ?)

Si ça c'est pas être sur la défensive.. Perso je ne lis rien de très constructif dans cette invitation à "jouer". A part sceller des équipes, les rouges contre les bleus, je passe très volontiers (:

Si tu veux te considérer "contre" les autres, ça te regarde mais dans ce cas il n'y aura que très peu d'ouverture et d'échos réels possible.

Bonne baston !

Haha, il ne s'agit nullement de baston, et non je ne perds pas mon sang froid (c'est ce qu'il aurait fallut que je fasse?).

Non, moi je jouais tranquillement une partie de ping-pong (très sympathique au demeurant), et tout à coup en face de moi, les joueurs sont de plus en plus nombreux à m'envoyer des balles, cela ne me mets pas sur la défensive, mais m'oblige quelque peu à m'adapter, afin de rattraper toutes les balles envoyées...

En revanche pourquoi toi, à qui je n'ai nullement envoyé de balle, te sens-tu pris dans un combat? C'est le terme "fan de mox" qui pose problème? Il ne s'adressait pas à toi, et ne représentait qu'une boutade. Et tu vois Pof tu m’envoies une balle...

On se détend! C'est qu'une partie de ping pong... :roll:

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Raté, je suis musicophile , et contrairement à la mélomanie je n'ai besoin ni d'arrogance, ni de gramophone.
Bonne blague. Je ne connais pas un seul musicophile qui écrirait "gramophone". Ne serait-ce qu'à cause de la Deutsche. Je crois que je te préfère en "antropolologue" qu'en amie des arts, tu fais plus crédible.

 

Ah, cool. Après la pitchoune antropolologue, la pitchounne-avocate. Je sens qu'on va encore bien rigoler. Tu me montres un texte allant dans le sens où une proposition sexuelle non-injurieuse et unique constituerait une agression ?
Oui choupinet, un exemple, pour reprendre tes propres termes, l'exhibition sexuelle, est une proposition sexuelle
En aucune façon. En quoi montrer sa teub serait une proposition ? C'est très certainement ton intégration des normes culturelles qui t'a mis ça en tête. Après tout, si une nana peut se mettre une jupe ras-la-touffe, non pas pour installer une tension sexuelle mais pour mettre en avant le fait qu'elle souhaite parler des options de son DESS, comment exclure la possibilité que celui qui flashe ses couilles tente par là de communiquer son goût pour le rafting ?


Le problème de la mauvaise foi, vois-tu, est qu'elle exige un haut degré d'attention et une excellente mémoire pour ne pas se retourner comme une barque. Quand on arrive à des arguments suffisamment déconnants (type : "l'exhibition par une femme de ses formes et de son corps n'a rien de sexuel, sauf dans le cerveau malade des drones que cette société machiste et hypersexualisée aliène à leur propre désir biologique"), ça empêche, par exemple, d'avoir l'air bien sérieux quand on explique que la seule exposition du corps de l'homme constitue une proposition sexuelle.

 

(visuelle, que l'on peut accompagner de mots), non injurieuse, et qui peut être unique, et qui constitue une agression sexuelle, Article 222-32 du code pénal. Autre chose?
Non, toujours la même : j'attends une proposition sexuelle unique qui constitue un délit. Pour l'instant tu me parles d'exhibition, ce qui n'a aucun rapport. Montrer sa bite, c'est une imposition visuelle. On parlait de proposition verbale. Tu penses arriver à te souvenir, mignonne, ou tu veux te le marquer sur un post-it ? Modifié par Mox Nox
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Pourtant ça me semble étroitement lié dans plusieurs domaines. Un homme peut difficilement penser à ce qu'est la maternité par exemple, à ce qu'elle implique moralement, vu qu'il n'est pas une femme.
Ah ? Alors ce doit être vrai dans tous les domaines. Du coup, on fait comment pour les tribunaux et les psychiatres ? On prend des criminels et des schizophrènes, afin qu'ils puissent juger finement des implications morales et psychotechniques du parcours des prévenus et des patients ? Si seule une mère peut penser la maternité, comment un être sain d'esprit pourrait-il parler de la psychose ?


Il m'apparaît que le tragique de cette association entre l'expérience directe et la "légitimité", outre la stupidité patente de son axiome, c'est qu'elle ramène tout débat intellectuel à un enchevêtrement inextricable et oiseux de "témoignages". C'est effectivement la culture dans laquelle nous vivons depuis quelques temps. Une culture sans idée, sans valeur, sans concept, mais pleine de "sentiments" et de "tranches de vie". Une culture qui classe "Tellement vrai" dans la rubrique "Documentaires et reportages" de ses programmes TV. Une culture qui demande à des ministres des affaires étrangères si tel heurt ethnique "les choque", comme si ça pouvait nous apporter quelque chose de savoir que nos représentants, les gestionnaires de notre politique extérieure, sont choqués. Toute cette non-pensée dégoulinante, viscérale, compulsive, immédiate, c'est de la bite en sachet. Et notre civilisation mourra de son monopole. Quand les gens se demandent s'ils ont bien le droit de penser tel truc ou de parler de tel autre, le bon sens se tait.

 

Il pourra s'en faire une vague idée, mais ne pourra jamais la penser entièrement.
Je ne sais pas. J'entends des féministes parler des côtés problématiques de la virilité à l'envi. Tu proposes qu'on les censure parce qu'elles n'ont pas de bite ?
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Pourtant ça me semble étroitement lié dans plusieurs domaines. Un homme peut difficilement penser à ce qu'est la maternité par exemple, à ce qu'elle implique moralement, vu qu'il n'est pas une femme. Il pourra s'en faire une vague idée, mais ne pourra jamais la penser entièrement.

 

Un homme est souvent plus à même de penser la maternité qu'une femme. Il est dégagé de toute cette merde sentimentale et sensitive qui empêche d'enchaîner deux arguments.

Il ne peut pas la ressentir, mais attend ca vient, Sargeist, si j'ose dire. Encore un peu de patience.


Cela me permet de dire que Willy n'est jamais aussi sexy qu'en commençant à parler "droit". Je la trouve très intéressante quand elle pense l'exhibition :mrgreen:

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Pourtant ça me semble étroitement lié dans plusieurs domaines. Un homme peut difficilement penser à ce qu'est la maternité par exemple, à ce qu'elle implique moralement, vu qu'il n'est pas une femme.
Ah ? Alors ce doit être vrai dans tous les domaines.

Pas dans tous les domaines, dans ceux qui touchent la féminité ou la masculinité de très peu, ceux-là mêmes qui sont plus dépendants d'instincts que de raison. Comme la réaction animale d'une femelle qui éconduit un mâle insistant, comme ça se fait partout dans la faune depuis des millions d'années. La réaction de la femelle qui doit envoyer chier bon nombre de prétendants à la saillie, est difficile à concevoir pour un mâle, pour qui la quantité d'opportunités est justement une qualité.

 

[...] Si seule une mère peut penser la maternité, comment un être sain d'esprit pourrait-il parler de la psychose ?

Il m'apparaît que le tragique de cette association entre l'expérience directe et la "légitimité", outre la stupidité patente de son axiome, c'est qu'elle ramène tout débat intellectuel à un enchevêtrement inextricable et oiseux de "témoignages".

 

En fait, c'est toi même qui le disais, dans un sujet intéressant sur l'orgueil que j'avais suivi sans intervenir. Et ta façon de tourner ça n'était pas idiote, mais elle te permettait surtout d'éviter tout discours psychanalysant sur les raisons qui poussent une personne à choisir l'orgueil plutôt que l'humilité. Et elle contredit largement celle que tu présentes aujourd'hui. Je suis curieux de voir comment tu vas retourner ça.


 

Pour dire les choses de manière peut-être plus simple et plus claire pour toi, je pense que si tout est dicible et pensable, certaines choses ne peuvent s'approcher de manière strictement intellectuelle. Il m'est loisible de parler de la maternité tout mon saoul, quelque chose m'en échappera toujours, auquel je ne pourrai jamais prétendre par la seule force de la lecture, de l'échange, de l'empathie. Ce décalage entre l'objet et l'idée, devient un abîme sitôt que l'on atteint à des aspects fondamentaux, pour ainsi dire animaux, de l'individu.
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En fait, c'est toi même qui le disais, dans un sujet intéressant sur l'orgueil que j'avais suivi sans intervenir. Et ta façon de tourner ça n'était pas idiote, mais elle te permettait surtout d'éviter tout discours psychanalysant sur les raisons qui poussent une personne à choisir l'orgueil plutôt que l'humilité. Et elle contredit largement celle que tu présentes aujourd'hui. Je suis curieux de voir comment tu vas retourner ça.


 

Pour dire les choses de manière peut-être plus simple et plus claire pour toi, je pense que si tout est dicible et pensable, certaines choses ne peuvent s'approcher de manière strictement intellectuelle. Il m'est loisible de parler de la maternité tout mon saoul, quelque chose m'en échappera toujours, auquel je ne pourrai jamais prétendre par la seule force de la lecture, de l'échange, de l'empathie. Ce décalage entre l'objet et l'idée, devient un abîme sitôt que l'on atteint à des aspects fondamentaux, pour ainsi dire animaux, de l'individu.

 

En substance il te dit qu'il peut très bien penser la maternité mais qu'il manquera toujours quelque chose à son explication du fait qu'il ne peut pas la ressentir (l'expérience directe). C'est tout à fait différent au demeurant que de dire que la maternité peut être pensée par la seule femme qui peut la ressentir (elle seule en aurait la légitimité).

C'est d'ailleurs précisément le délire des assocs féministes qui critiquent la seule légitimité du patriarcat et créent un matriarcat sur la seule légitimité féminine.

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En substance il te dit qu'il peut très bien penser la maternité mais qu'il manquera toujours quelque chose à son explication du fait qu'il ne peut pas la ressentir (l'expérience directe). C'est tout à fait différent au demeurant que de dire que la maternité peut être pensée par la seule femme qui peut la ressentir (elle seule en aurait la légitimité).

 

C'est pourtant précisément ce qu'il dit à la fin de son message. Je cite :

 

Ce décalage entre l'objet et l'idée, devient un abîme sitôt que l'on atteint à des aspects fondamentaux, pour ainsi dire animaux, de l'individu.

 

Chez moi, un abîme, c'est quand même grand quoi. Rappelons en sus qu'il dit ça pour défendre le droit à être orgueilleux sans fournir d'autre explication que "je suis un mâle, toi femelle, tu ne peux concevoir l'orgueil comme je la conçois".


Edit : @IwillSurvive : bien vu aussi.

Modifié par Sargeist
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Le mot abîme est surtout relatif à un trou dont ne voit pas le fond. Il n'a justement pas de notion de grandeur ou de limites (on ne la connaît pas, par définition). C'est un abîme parce qu'on ne peut pas atteindre une explication complète sans ressentir la maternité. Et on ne peut pas la ressentir.


Relativement à l'orgueil il te dit plus ou moins la même chose, tu ne peux comprendre en tant que femme le ressenti de l'orgueil masculin parce que tu ne peux le vivre. Tu atteindras toujours l'abîme dans ton explication de l'orgueil masculin parce qu'il t'en manquera la part de ressenti. Cela ne veut pas dire que l'homme est le seul légitime à parler d'orgueil, je ne vois pas où tu vas chercher cela.


Si tu continues à vouloir créer des chasses gardées, je vais proposer qu'on ferme les facs de droit aux femmes (et dieu sait que Willy est pourtant sexy quand elle se met à parler justice, such a shame).

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Le mot abîme est surtout relatif à un trou dont ne voit pas le fond. Il n'a justement pas de notion de grandeur ou de limites (on ne la connaît pas, par définition). C'est un abîme parce qu'on ne peut pas atteindre une explication complète sans ressentir la maternité. Et on ne peut pas la ressentir.

 

C'est marrant que tu t'intéresses à l'aspect limitless, d'abord parce qu'être sans limite c'est déjà être énorme, ensuite parce que l'étiquette donnée par la définition d'abîme, c'est un gouffre. Et un gouffre, c'est grand. C'est une "cavité béante d'une grande profondeur". Partout il y a le mot grand, qu'on ne peut pas oublier et remplacer par "on sait pas de toute façon olol".


 

Relativement à l'orgueil il te dit plus ou moins la même chose, tu ne peux comprendre en tant que femme le ressenti de l'orgueil masculin parce que tu ne peux le vivre. Tu atteindras toujours l'abîme dans ton explication de l'orgueil masculin parce qu'il t'en manquera la part de ressenti. Cela ne veut pas dire que l'homme est le seul légitime à parler d'orgueil, je ne vois pas où tu vas chercher cela.

Je t'invite à relire le sujet. Il n'avance pas un seul argument concernant la construction de l'orgueil, et se contente de dire que c'est un débat creux, dont seule l'expérience d'un homme en permet la pleine compréhension. Il fuit le sujet, comme notre amie oph aurait été légitime de le faire dans sa position de femme qui peut éconduire.

 

Si tu continues à vouloir créer des chasses gardées, je vais proposer qu'on ferme les facs de droit aux femmes

C'est surtout à Mox Nox qu'il faut adresser cette remarque. C'était lui, bien avant moi, qui a avancé cette idée de chasse gardée pour une totale compréhension d'un phénomène instinctif lié à un sexe particulier.

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