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Comment JE survis à son départ: 5 semaines de transformation


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bravo a toi dans ta reflexion tres positive ! j ai decide moi aussi de renoncer> et j ai vu aussi que je m accrochais a la relation , et non la personne car la personne que j ai decouverte est trop differente ! et cette nouvelle personne ne me plait pas du tout ! donc je renonce et je pense a moi! car quand j aime je donne tout , et moi egalement je me suis perdue ... d'orenavant je donnerais plus au profit de l autre , mais je vivrais pour moi et le next sera juste un plus. l echec ce n est pas le fait d avoir perdu mais le fait de ne pas se relever ! donc relevons nous de cette rupture et blessure.

 


Oui. L'échec c'est de ne pas comprendre quand c'est fini, c'est s'autofinancer flageller en espérant quelque chose qui a beaucoup plus de chances de ne pas arriver que le contraire et qui, de toute façon, n'arrivera jamais si on demeure une loque humaine. C'est loin d'être facile de se dire "j'avance" car être aimé nous manque et gérer les images de bonheur qui nous reviennent en pensant à l'autre est loin d'être facile. J'ai développé certains trucs pour ma part. Mais je sais que je ne suis pas encore guérie. Il faudra du temps. Et que je m'aide moi-même au lieu de mettre mon énergie dans des illusions.


Bon courage à toi xx

 

Quels sont les trucs que tu as mis en place pour gerer ces images et ses souvenirs! A part le grand tiroir psychique des souvenirs dans lequel tu les ranges?


La force de l'esprit c'est notre valeur sur!

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bravo a toi dans ta reflexion tres positive ! j ai decide moi aussi de renoncer> et j ai vu aussi que je m accrochais a la relation , et non la personne car la personne que j ai decouverte est trop differente ! et cette nouvelle personne ne me plait pas du tout ! donc je renonce et je pense a moi! car quand j aime je donne tout , et moi egalement je me suis perdue ... d'orenavant je donnerais plus au profit de l autre , mais je vivrais pour moi et le next sera juste un plus. l echec ce n est pas le fait d avoir perdu mais le fait de ne pas se relever ! donc relevons nous de cette rupture et blessure.

 


Oui. L'échec c'est de ne pas comprendre quand c'est fini, c'est s'autofinancer flageller en espérant quelque chose qui a beaucoup plus de chances de ne pas arriver que le contraire et qui, de toute façon, n'arrivera jamais si on demeure une loque humaine. C'est loin d'être facile de se dire "j'avance" car être aimé nous manque et gérer les images de bonheur qui nous reviennent en pensant à l'autre est loin d'être facile. J'ai développé certains trucs pour ma part. Mais je sais que je ne suis pas encore guérie. Il faudra du temps. Et que je m'aide moi-même au lieu de mettre mon énergie dans des illusions.


Bon courage à toi xx

 

Quels sont les trucs que tu as mis en place pour gerer ces images et ses souvenirs! A part le grand tiroir psychique des souvenirs dans lequel tu les ranges?


La force de l'esprit c'est notre valeur sur!

 


Oh et bien de 1 l'erreur à ne pas faire c'est de repousser les images, souvenirs que l'on ne veut pas voir ! Ça paraît paradoxal, mais le cerveau est ainsi fait : plus on ne veut plus penser à une chose, plus cette chose risque au contraire de devenir obsessive et de venir en boomerang dans notre tête, ce qui arrive souvent lorsqu'on décidé de se mettre en mode guérison à tout prix. Notre cerveau semble alors travailler contre nous et ça n'aide pas du tout. Et on se dit alors : "je ne serai pas capable de guérir. Je m'illusionne en pensant que c'est d'être en relation seulement qui me manque et pas entièrement lui car je suis bombardée d'images de nous alors que j'ai pourtant décidé de renoncer ! C'est la preuve que je l'aiiiiiiiiiiime"


On a tord bien sûr. C'est qu'en voulant se battre pour s'en sortir, on a ce réflexe de repousser les images. Quand je disais qu'il fallait renoncer ET se laisser entraîner dans la vague de la tristesse, c'est ce dont je parlais. Renoncer et s'en sortir, ce n'est pas se relever symboliquement les manches et se dire "c'est terminé maintenant". Car c'est illusion de croire que ça fonctionne comme ça. La rechute veille. Et on s'enfonce alors davantage.


Il faut donc accepter et non pas réfuter les émotions ET les images qui viennent. Toutefois, on commence tranquillement à les contrôler, à leur accorder une teinte de passé au lieu de regrets. En thérapie cognitivo comportementale, on réussi à faire maîtriser des images de traumatisme à des patients qui ont un syndrome post traumatique en faisant justement en sorte au patient de revoir ces images mais en leur accordant une teneur différente, par exemple en revisitant le souvenir dans un contexte "sécuritaire" et non plus dramatique. Le refoulement fragmente un souvenir. Le cerveau n'y associe plus que l'émotion négative qui l'accompagne. Par exemple, prenons l'exemple d'une belle soirée passée sur la plage avec mon ex. Quand j'y pensais avant la rupture, je voyais la soirée dans son ensemble et je souriais car c'était un merveilleux souvenir. Après la rupture, à ce souvenir, jeclatais en sanglot : mon cerveau associait maintenant cette si belle soirée à ma rupture et la douleur subséquente.


Donc. Quand j'ai ce genre d'images maintenant, premièrement, je la laisse venir. Si je suis chez moi ou seule, je ferme les yeux et je me met à prendre de grandes respirations afin d'être calme pendant le défilement d'image et non pas en état de panique (je reprogramme mon cerveau face au souvenir). Ensuite je laisse défiler les images en essayant d'être neutre, comme si j'observais de loin. Et finalement au bout d'une minute au maximum, je dis haut et fort : "stop". Et je plonge ensuite dans ma banque de bons souvenirs non reliés à mon ex afin de reste dans un état positif (l'association du cerveau entre le souvenir, le calme et le positif est essentiel). Si je n'ai pas de souvenir qui me vient, je chante une chanson (car ça demande concentration . Choisir une chanson joyeuse ) ou tout de suite je prend mon cellulaire et vais lire un article de journal, ramasse mon livre de mots croisés, écrit et répond à des gens ici etc. Donc laisse venir les pensées pour justement leur enlever leur importance; mais ensuite on gère l'émotion qu'elles suscitent (respiration, détachement) et on gère le temps qu'on leur accorde !


Tu me suis ? :)

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Oui. L'échec c'est de ne pas comprendre quand c'est fini, c'est s'autofinancer flageller en espérant quelque chose qui a beaucoup plus de chances de ne pas arriver que le contraire et qui, de toute façon, n'arrivera jamais si on demeure une loque humaine. C'est loin d'être facile de se dire "j'avance" car être aimé nous manque et gérer les images de bonheur qui nous reviennent en pensant à l'autre est loin d'être facile. J'ai développé certains trucs pour ma part. Mais je sais que je ne suis pas encore guérie. Il faudra du temps. Et que je m'aide moi-même au lieu de mettre mon énergie dans des illusions.


Bon courage à toi xx

 

Quels sont les trucs que tu as mis en place pour gerer ces images et ses souvenirs! A part le grand tiroir psychique des souvenirs dans lequel tu les ranges?


La force de l'esprit c'est notre valeur sur!

 


Oh et bien de 1 l'erreur à ne pas faire c'est de repousser les images, souvenirs que l'on ne veut pas voir ! Ça paraît paradoxal, mais le cerveau est ainsi fait : plus on ne veut plus penser à une chose, plus cette chose risque au contraire de devenir obsessive et de venir en boomerang dans notre tête, ce qui arrive souvent lorsqu'on décidé de se mettre en mode guérison à tout prix. Notre cerveau semble alors travailler contre nous et ça n'aide pas du tout. Et on se dit alors : "je ne serai pas capable de guérir. Je m'illusionne en pensant que c'est d'être en relation seulement qui me manque et pas entièrement lui car je suis bombardée d'images de nous alors que j'ai pourtant décidé de renoncer ! C'est la preuve que je l'aiiiiiiiiiiime"


On a tord bien sûr. C'est qu'en voulant se battre pour s'en sortir, on a ce réflexe de repousser les images. Quand je disais qu'il fallait renoncer ET se laisser entraîner dans la vague de la tristesse, c'est ce dont je parlais. Renoncer et s'en sortir, ce n'est pas se relever symboliquement les manches et se dire "c'est terminé maintenant". Car c'est illusion de croire que ça fonctionne comme ça. La rechute veille. Et on s'enfonce alors davantage.


Il faut donc accepter et non pas réfuter les émotions ET les images qui viennent. Toutefois, on commence tranquillement à les contrôler, à leur accorder une teinte de passé au lieu de regrets. En thérapie cognitivo comportementale, on réussi à faire maîtriser des images de traumatisme à des patients qui ont un syndrome post traumatique en faisant justement en sorte au patient de revoir ces images mais en leur accordant une teneur différente, par exemple en revisitant le souvenir dans un contexte "sécuritaire" et non plus dramatique. Le refoulement fragmente un souvenir. Le cerveau n'y associe plus que l'émotion négative qui l'accompagne. Par exemple, prenons l'exemple d'une belle soirée passée sur la plage avec mon ex. Quand j'y pensais avant la rupture, je voyais la soirée dans son ensemble et je souriais car c'était un merveilleux souvenir. Après la rupture, à ce souvenir, jeclatais en sanglot : mon cerveau associait maintenant cette si belle soirée à ma rupture et la douleur subséquente.


Donc. Quand j'ai ce genre d'images maintenant, premièrement, je la laisse venir. Si je suis chez moi ou seule, je ferme les yeux et je me met à prendre de grandes respirations afin d'être calme pendant le défilement d'image et non pas en état de panique (je reprogramme mon cerveau face au souvenir). Ensuite je laisse défiler les images en essayant d'être neutre, comme si j'observais de loin. Et finalement au bout d'une minute au maximum, je dis haut et fort : "stop". Et je plonge ensuite dans ma banque de bons souvenirs non reliés à mon ex afin de reste dans un état positif (l'association du cerveau entre le souvenir, le calme et le positif est essentiel). Si je n'ai pas de souvenir qui me vient, je chante une chanson (car ça demande concentration . Choisir une chanson joyeuse ) ou tout de suite je prend mon cellulaire et vais lire un article de journal, ramasse mon livre de mots croisés, écrit et répond à des gens ici etc. Donc laisse venir les pensées pour justement leur enlever leur importance; mais ensuite on gère l'émotion qu'elles suscitent (respiration, détachement) et on gère le temps qu'on leur accorde !


Tu me suis ? :)

 

Je suis à fond!!! Pas mal la gestion de l'image. Ma cousine ma aussi conseillé de mettre les mots et les images sur des nuages pour pourvoir les regarder partir dû champs de vision et donc de la pensée.

C'est fou je ne pense plus aussi souvent à lui et les images aujourd'hui ne dit presque plus présente. Surment la fatigue et le lâcher prise!!!

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Oui mais malheureusement, il y a des up and down dans ce domaine. Avant hier soir j'ai vu une photo de mon ex en plein bonheur avec sa next. On s'entend que j'ai eu du travail de gestion d'image à faire depuis. .. mais ça ce calme progressivement.


J'essaie aussi d'associer les souvenirs en la collant avec la réalité d'aujourd'hui. Par exemple, dans mon cas, la relation était très belle et sans aucune disputes. Par contre (parce qu'il faut bien qu'il y ait des faiblesses), elle était teintée d'irrealisme. En d'autres termes, pour un ensemble de raisons, je vivais une relation impossible. .. alors lorsque je sombre dans les souvenirs douloureux, j'y associe les nouveaux, c'est à dire ceux que j'accumule depuis la rupture comme le fait que je sais que ça n'aurait pas pu marcher, qu'un jour où l'autre ça aurait eu une fin de toute façon, qu'il en aime une autre maintenant et que même si j'en souffre, je n'ai AUCUN pouvoir sur la situation. Donc quand mes pensées s'égarent, je les vis, je les calme, je gère leur durée et soit je pense ensuite à autre chose de positif, soit je me connecte sur le réel. On a beau aimé, on a la faculté de raisonner aussi et c'est le temps d'utiliser cette fonction !

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La clé de la reconstruction et de l'abdication c'est vraiment la coupure nette et definitive.

Il y a une next de mon côté aussi et par chance je n'ai pas de visibilité sur leur histoire ce qui m'aide beaucoup.

J'imagine qu'à ton contact Marianne je vais allée plus vite en utilisant tes petits trucs et astuces!!! Alors encore une fois merciii!!!

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Moi j'admire le fait que tu en sois là au bout de 3 semaines. Moi j'ai fais les montagnes russes pendant un an, et jusqu'à présent j'ai encore des rechutes (dans ma tête seulement heureusement, plus de contact avec ex depuis 3 mois).


C'est fort. Keep it up.

 

C'est 6 semaines :) Les deux premières, l'enfer sur Terre. La troisième, tentative de couper les ponts et échec. La 4 et la cinquième : accepter son amitié et me rendre compte que ça me fait espérer après quelque chose que je n'aurai plus et que ça retarde ma guérison. Et finalement, au bout de la cinquième, lettre où je lui dis que je suis heureuse de son bonheur, mais que je n'écrirai plus, aussi bien pour moi que pour lui. J'en suis là. Ce n'est pas toujours facile, au contraire. Mais j'ai décider d'arrêter de me battre contre une situation que je ne maîtrise pas de toute façon. Pleurer dans mon lit 6 mois ne le ramènera pas. Aussi bien me concentrer sur moi et les moyens de m'en sortir. Cultiver le positif à des effets impressionnants sur le cerveau et je m'en rend compte. Écrire à été salutaire aussi. Car lorsque je vis du découragement, je relis mon journal et je réalise à quel point, même si je souffre toujours, j'ai cheminé depuis et je m'en félicite alors, ce qui est bon avec une confiance en soi effritée par le rejet. Ce n'est pas une question de temps, mais d'attitude. N'importe qui peut en faire autant. Nous sommes notre propre ennemi.

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La clé de la reconstruction et de l'abdication c'est vraiment la coupure nette et definitive.

Il y a une next de mon côté aussi et par chance je n'ai pas de visibilité sur leur histoire ce qui m'aide beaucoup.

J'imagine qu'à ton contact Marianne je vais allée plus vite en utilisant tes petits trucs et astuces!!! Alors encore une fois merciii!!!

 


Oh tu sais... ça me fait du bien d'écrire ici mon cheminement et tant mieux si ça aide les autres au passage. Je crois que répondre sur les différents post nous aide aussi à penser à autre chose. Dès qu'on sort du déni, on peut devenir des conseillers hors pairs pour les gens qui s'y accrochent toujours, car c'est vraiment la phase la plus difficile à franchir : comprendre que c'est fini.

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Moi j'admire le fait que tu en sois là au bout de 3 semaines. Moi j'ai fais les montagnes russes pendant un an, et jusqu'à présent j'ai encore des rechutes (dans ma tête seulement heureusement, plus de contact avec ex depuis 3 mois).


C'est fort. Keep it up.

 

C'est 6 semaines :) Les deux premières, l'enfer sur Terre. La troisième, tentative de couper les ponts et échec. La 4 et la cinquième : accepter son amitié et me rendre compte que ça me fait espérer après quelque chose que je n'aurai plus et que ça retarde ma guérison. Et finalement, au bout de la cinquième, lettre où je lui dis que je suis heureuse de son bonheur, mais que je n'écrirai plus, aussi bien pour moi que pour lui. J'en suis là. Ce n'est pas toujours facile, au contraire. Mais j'ai décider d'arrêter de me battre contre une situation que je ne maîtrise pas de toute façon. Pleurer dans mon lit 6 mois ne le ramènera pas. Aussi bien me concentrer sur moi et les moyens de m'en sortir. Cultiver le positif à des effets impressionnants sur le cerveau et je m'en rend compte. Écrire à été salutaire aussi. Car lorsque je vis du découragement, je relis mon journal et je réalise à quel point, même si je souffre toujours, j'ai cheminé depuis et je m'en félicite alors, ce qui est bon avec une confiance en soi effritée par le rejet. Ce n'est pas une question de temps, mais d'attitude. N'importe qui peut en faire autant. Nous sommes notre propre ennemi.

 

6 semaines, pour moi ça reste incroyable. Moi aussi j'ai eu la phase explicative mais 6 mois après ! J'ai parfois l'impression qu'il s'en tire à trop bon compte (la demande de pardon, n'était pas assez appuyée et larmoyante :twisted: :twisted: , et en plus aujourd'hui il est happy :twisted: :twisted: ne parle même plus de moi à qui que ce soit :twisted: :twisted: ne demande jamais de mes nouvelles :twisted: :twisted: sors sans doute avec une meuf plus mince et plus canon :twisted: :twisted: "esprit" sort de ce corps :twisted: :twisted: !!!! )


Bref, effectivement nous sommes notre propre ennemi :lol: :lol:


Courage dans ta détermination

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Moi j'admire le fait que tu en sois là au bout de 3 semaines. Moi j'ai fais les montagnes russes pendant un an, et jusqu'à présent j'ai encore des rechutes (dans ma tête seulement heureusement, plus de contact avec ex depuis 3 mois).


C'est fort. Keep it up.

 

C'est 6 semaines :) Les deux premières, l'enfer sur Terre. La troisième, tentative de couper les ponts et échec. La 4 et la cinquième : accepter son amitié et me rendre compte que ça me fait espérer après quelque chose que je n'aurai plus et que ça retarde ma guérison. Et finalement, au bout de la cinquième, lettre où je lui dis que je suis heureuse de son bonheur, mais que je n'écrirai plus, aussi bien pour moi que pour lui. J'en suis là. Ce n'est pas toujours facile, au contraire. Mais j'ai décider d'arrêter de me battre contre une situation que je ne maîtrise pas de toute façon. Pleurer dans mon lit 6 mois ne le ramènera pas. Aussi bien me concentrer sur moi et les moyens de m'en sortir. Cultiver le positif à des effets impressionnants sur le cerveau et je m'en rend compte. Écrire à été salutaire aussi. Car lorsque je vis du découragement, je relis mon journal et je réalise à quel point, même si je souffre toujours, j'ai cheminé depuis et je m'en félicite alors, ce qui est bon avec une confiance en soi effritée par le rejet. Ce n'est pas une question de temps, mais d'attitude. N'importe qui peut en faire autant. Nous sommes notre propre ennemi.

 

6 semaines, pour moi ça reste incroyable. Moi aussi j'ai eu la phase explicative mais 6 mois après ! J'ai parfois l'impression qu'il s'en tire à trop bon compte (la demande de pardon, n'était pas assez appuyée et larmoyante :twisted: :twisted: , et en plus aujourd'hui il est happy :twisted: :twisted: ne parle même plus de moi à qui que ce soit :twisted: :twisted: ne demande jamais de mes nouvelles :twisted: :twisted: sors sans doute avec une meuf plus mince et plus canon :twisted: :twisted: "esprit" sort de ce corps :twisted: :twisted: !!!! )


Bref, effectivement nous sommes notre propre ennemi :lol: :lol:


Courage dans ta détermination

 

En effet, constater le bonheur de l'autre sans nous est difficile. Simplement parce que ce n'est plus nous qui en est la source. Mais au final, s'il ne m'aime plus et qu'il souffre pour quoi que ce soit, je ne le récupérai pas pour autant. Il "s'en tire" ? Oui... je comprend. Dans un certain sens, toi tu as souffert, souffre encore, et tu es la seule à en subir les conséquences. Bien sûr, le largueur est en fâcheuse position au début. Mon ex a pleuré durant deux heures en me quittant et les deux premières semaines, il pleurait chaque fois qu'on discutait (2-3 reprises). Au départ, ça me donnait de l'espoir me disant qu'il devait toujours m'aimer. Mais après avoir eu ses explications sur la rupture (à cessé de m'aimer puisque notre "relation impossible" tournait en rond et qu'il a fini par attirer une fille de sa résidence universitaire qui lui a fait une déclaration d'amour), j'ai compris qu'il pleurait car il se sentait atrocement coupable. Il l'a mentionné plusieurs fois d'ailleurs. Ce qui fut dure pour lui, c'est qu'il n'avait rien à me reprocher, sinon que nous ne pouvions pas dans nos situations envisager un avenir sans heurts ensemble. Cette fille lui offrait l'occasion d'une vraie relation. Je ne pouvais rivaliser... Ni l'empêcher de cesser de m'aimer. C'est ainsi.


Son bonheur me fait mal car il ne le vit pas avec moi, c'est vrai. Mais je sais que ce fut difficile pour lui aussi. Toutefois, moins que pour moi car c'est moi la rejetée ;) Nos ex ont le droit de reconstruire leur vie d'après. Ils travaillent pour eux comme nous travaillons pour nous. Ta vraie vengeance sera d'être heureuse à ton tour... Car lorsque tu y seras, ça ne t'effleureras même plus l'esprit qu'il soit au 7e ciel ou qu'il pleure sa vie toute la journée. Tu auras dépasse ça et tu pourras en être fière. Ne doute jamais que ça va arriver.

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Mon renoncement à moi ça a été de lui demander une invitation à prendre un verre...

Je n'en pouvais plus de me demander pourquoi il m'avait envoyé ses sms doux pendant les fêtes avec des sous entendus de se voir pour converser...

Et d'être mise dans l'attente depuis le 1er...

Voilà je me suis tapée le culot parce que moi je ne peux pas continuer à me.poser des questions ainsi

Au moins je serai fixé...

Y a pas cinquante solutions!!!

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Mon renoncement à moi ça a été de lui demander une invitation à prendre un verre...

Je n'en pouvais plus de me demander pourquoi il m'avait envoyé ses sms doux pendant les fêtes avec des sous entendus de se voir pour converser...

Et d'être mise dans l'attente depuis le 1er...

Voilà je me suis tapée le culot parce que moi je ne peux pas continuer à me.poser des questions ainsi

Au moins je serai fixé...

Y a pas cinquante solutions!!!

 


Absolument ! Moi je crois au SR pour se reconstruire, mais lorsque des raisons sont suffisantes pour contacter faut le faire : avoir des explications par exemple.


Il t'a répondu ? C'est parfait car en fait , tu vas avoir l'heure juste et ensuite, tu sauras quoi faire.

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Comme j'ai hâte d'être à ce stade. L'indifférence!!! ET l'apaisement!!!

 

Est ce que tu as fais la liste de ses défauts ?


Et la liste des faiblesses de la relation ? Des raisons de ne pas le reprendre ?

J'ai déjà fait la liste de ses défauts et de pourquoi j'étais mieux sans lui. Il faudrait que je les refassent pour voir l'évolution.

Je sort de chez le psy. C'était une libération cette séance. J ai fait mon petit bout de chemin et je me sent vraiment apaisé ce soir. Finis j'ai tirer un trait sur lui sur nous.

Je me sent libérer. Il y aura encore quelques coups de moins bien mais globalement j'ai la volonté et tous les outils pour m'en sortir et je vous ai vous pour les réflexions pour nos coups de moins bien.


On peut tous s'en sortir et aller de l'avant et aller mieux à partir du moment où cela vient de nous. Rien est impossible!!!!!

On va y arriver !!!!!

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