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3 ans de relation, il est parti 5 mois avant le mariage


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@racm, du club des cheveux courts ;) :

"Force est de faire un examen de ce passé, de la considérer sans égards, de trier ce qu'on veut en garder dans sa mémoire et dans sa vie, de savoir ce à quoi on veut renoncer, afin de lui donner sa juste place et tracer ainsi une frontière entre ce qui fut et ce qui est."


--> :-1


@Abîme :

"T'es juste dévasté, avec un profond sentiment d'injustice."


--> oui....je pense qu'on est tous passés par là dans ce forum. C'est dur de sortir de là, mais on va y arriver ! Plein de courage à toi

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D'un autre côté en fait je suis un peu light dans mes propos.


Même si c'est la situation qui nous sépare, les faits restent les faits : tu as en face de toi quelqu'un qui t'a jeté, qui veut plus de toi comme conjoint, qui n'est pas prêt à se battre pour toi.


Donc tu maudis la situation, mais tu te rends bien compte que ton conjoint n'était pas si fiable qu'il le prétendait, que soit il t'aime pas tant que ça (surtout quand tu proposes des solutions) soit il a éventuellement un petit pète au casque.


Donc si, je la maudis. Parce qu'elle m'a jeté, sans chercher de solutions. C'est pas comme ça qu'on avance, on n'avance pas dans la fuite.

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Merci Iwillsurvive.


Parfois on ne peut pas déplacer des montagnes parce qu'on est dans une période de sa vie qui va pas. Mon ex, est épuisée, réellement. Elle est malade, espérance de vie diminuée, voire très diminuée pour ne pas me voiler la face, deux gosses handicapés à gérer seule, sans famille, sans aide.

Elle pense être un poids pour moi.


Toutes ses illusions pour venir vivre près de moi se sont évaporées, suite à quoi elle a pété les plombs.


Elle m'aime beaucoup mais je pense qu'elle n'a plus la force de rien. Elle est paumée en plus.


Mais au bout d'un moment, je lui propose d'essayer de vivre, le temps qu'il nous reste, ensemble le mieux qu'on peut. Si elle veut pas, c'est qu'elle a ses raisons, et honnêtement moi j'aurai proposé, elle aura disposé.


Et de toute façon je vais pas aller lui proposer comme ça. Si elle veut me parler, elle viendra. Pour l'instant, c'est silence radio, en espérant qu'elle réalise qu'elle a fait une connerie.


Moi je l'aime mais je mérite aussi mieux que quelqu'un qui me jette, et qui me recontacte pas, je suis pas un chien, bref. Je fais la part des choses, je sais qu'elle est dans un sale état, j'ai bien compris toutes les composantes de la situation. Mais si elle veut plus de moi, elle ira se faire voir.

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Bonsoir à tous/toutes,


Je viens donner quelques nouvelles, après quelques jours "off" forum.


Paige a raison quand elle dit que ne pas être dans le déni épuise. Je continue mon chemin, je suis en train de faire mon deuil, à mon rythme, mais actuellement je n'ai pas beaucoup d'énergie. Les différentes phases du deuil se vivent différemment d'une personne à une autre, elles ne sont pas forcément linéaires et on peut revenir en arrière aussi. Revenir en arrière pour mieux avancer, parfois. En ce moment je suis un peu plus en repli. J'ai besoin de me retrouver seule plus souvent. Digérer. Le forum m'aide beaucoup, mais évidemment on parle des ex, EX, et le passé s'accroche. On parle du silence radio. Le silence choisi, pour guérir soi-même. Mais aussi, parfois, le silence de l'ex vécu comme une violence. Je suis en train d'accepter ma nouvelle vie petit à petit, qui me plaît sous certains aspects mais de loin pas tous. Il faut pouvoir accepter cela. Une condition imposée. Jusqu'à ce que la reconstruction permette la mise en place de choses de plus en plus choisies, souhaitées, des activités/aménagements qui nous ressemblent.


J'ai l'impression de me "déposer en moi". La psychothérapie m'aide à être dans une justesse. Je n'ai pas encore de réponses, mais je me questionne. Mon identité se redéfinit.


"Mon" EX, je ne sais pas ce qu'il devient. Nous étions fiancés. Maintenant nous faisons chacun notre vie de notre côté dans le silence le plus total. Je suis en train de l'accepter. Accepter la brutalité avec laquelle il est parti, c'est aussi accepter la brutalité de la vie...Un jour on est dans un état X dans le contexte X, et le jour d'après tout peut basculer.


Je serai peut-être moins souvent sur le site. Mais en tous cas je vous embrasse tous très très fort.

Courage

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Bonsoir à tous/toutes,


Je viens donner quelques nouvelles, après quelques jours "off" forum.


Paige a raison quand elle dit que ne pas être dans le déni épuise. Je continue mon chemin, je suis en train de faire mon deuil, à mon rythme, mais actuellement je n'ai pas beaucoup d'énergie. Les différentes phases du deuil se vivent différemment d'une personne à une autre, elles ne sont pas forcément linéaires et on peut revenir en arrière aussi. Revenir en arrière pour mieux avancer, parfois. En ce moment je suis un peu plus en repli. J'ai besoin de me retrouver seule plus souvent. Digérer. Le forum m'aide beaucoup, mais évidemment on parle des ex, EX, et le passé s'accroche. On parle du silence radio. Le silence choisi, pour guérir soi-même. Mais aussi, parfois, le silence de l'ex vécu comme une violence. Je suis en train d'accepter ma nouvelle vie petit à petit, qui me plaît sous certains aspects mais de loin pas tous. Il faut pouvoir accepter cela. Une condition imposée. Jusqu'à ce que la reconstruction permette la mise en place de choses de plus en plus choisies, souhaitées, des activités/aménagements qui nous ressemblent.


J'ai l'impression de me "déposer en moi". La psychothérapie m'aide à être dans une justesse. Je n'ai pas encore de réponses, mais je me questionne. Mon identité se redéfinit.


"Mon" EX, je ne sais pas ce qu'il devient. Nous étions fiancés. Maintenant nous faisons chacun notre vie de notre côté dans le silence le plus total. Je suis en train de l'accepter. Accepter la brutalité avec laquelle il est parti, c'est aussi accepter la brutalité de la vie...Un jour on est dans un état X dans le contexte X, et le jour d'après tout peut basculer.


Je serai peut-être moins souvent sur le site. Mais en tous cas je vous embrasse tous très très fort.

Courage

 

Je crois que je vais recopier ce que tu as dit... C'est extrêmement juste.


Après le deuil, une vie nouvelle. Le temps avance, nous vieillissons. Les prochains ont de plus en plus de chances d'être stables, de vouloir réellement se caser...

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Bonsoir à tous/toutes,


Je viens donner quelques nouvelles, après quelques jours "off" forum.


Paige a raison quand elle dit que ne pas être dans le déni épuise. Je continue mon chemin, je suis en train de faire mon deuil, à mon rythme, mais actuellement je n'ai pas beaucoup d'énergie. Les différentes phases du deuil se vivent différemment d'une personne à une autre, elles ne sont pas forcément linéaires et on peut revenir en arrière aussi. Revenir en arrière pour mieux avancer, parfois. En ce moment je suis un peu plus en repli. J'ai besoin de me retrouver seule plus souvent. Digérer. Le forum m'aide beaucoup, mais évidemment on parle des ex, EX, et le passé s'accroche. On parle du silence radio. Le silence choisi, pour guérir soi-même. Mais aussi, parfois, le silence de l'ex vécu comme une violence. Je suis en train d'accepter ma nouvelle vie petit à petit, qui me plaît sous certains aspects mais de loin pas tous. Il faut pouvoir accepter cela. Une condition imposée. Jusqu'à ce que la reconstruction permette la mise en place de choses de plus en plus choisies, souhaitées, des activités/aménagements qui nous ressemblent.


J'ai l'impression de me "déposer en moi". La psychothérapie m'aide à être dans une justesse. Je n'ai pas encore de réponses, mais je me questionne. Mon identité se redéfinit.


"Mon" EX, je ne sais pas ce qu'il devient. Nous étions fiancés. Maintenant nous faisons chacun notre vie de notre côté dans le silence le plus total. Je suis en train de l'accepter. Accepter la brutalité avec laquelle il est parti, c'est aussi accepter la brutalité de la vie...Un jour on est dans un état X dans le contexte X, et le jour d'après tout peut basculer.


Je serai peut-être moins souvent sur le site. Mais en tous cas je vous embrasse tous très très fort.

Courage

 

Coucou WhatzeF..,

Je pense que tu as raison de revenir un peu moins souvent sur le site, surtout en ce moment où tu as besoin de te retrouver, dans ta phase de "repli". C'est important aussi de se couper un peu de tout ça pour se recentrer sur soi-même, sur nos propres envies, une fois que nous avons fait face à la réalité.


Ne pas être dans le déni est épuisant effectivement, mais lorsque notre énergie sera "vidé", c'est là que nous pourrons nous recharger, et nous re-remplir à nouveau d'énergie.


Pour ma part, je m'occupe avec mes activités, et depuis que je l'ai bloqué de partout, je me sens vraiment mieux. J'ai aussi commencé de nouvelles activités, rencontrer de nouvelles personnes et ça fait vraiment du bien :)


Courage à toi et aux autres!!

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Bonjour,


Un petit message pour vous donner des nouvelles ! Le travail sur moi avance. Je me rends compte qu'il y a certaines parties de moi que j'ai mises de côté pendant ma relation avec mon ex, parce que lui ne s'y intéressait pas et parce que j'ai accepté de ne plus partager tout un pan de ma vie avec lui. Ces parties de moi, je les ai stockées dans des boîtes, que j'ouvre maintenant. Je regarde dedans et je me dis : "Ehhh mais c'est moi aussi, ça ! C'est pas mal en fait !" Je me rends compte que j'ai besoin de partager tout mon vécu, qui inclut mon passé, avec mon conjoint. Il y avait un côté rassurant à être en couple avec quelqu'un d'hyper structuré, d'obsessionnel, mais je vivais dans une sorte de terrain limité, certes agréable, mais qui reste un carcan. La relation avec mon ex ne "vivait" pas assez.


J'imagine maintenant me mettre en couple avec quelqu'un de "mieux" pour moi, de plus intéressant et intéressé. J'ai besoin de partager beaucoup de choses ! J'ai besoin de spontanéité, de vie ! Je me rappelle encore certaines réflexions qui me passaient par la tête (au milieu du chaos) les premiers jours post rupture, comme : "Si j'avais fait plus d'efforts pour le ménage, si j'avais fait plus attention, il ne serait pas parti"...Bon sang, j'en ai fait, des efforts, mais là n'était pas le problème... me mettre en 4 tout en culpabilisant de laisser traîner une assiette sale n'est pas la solution...étouffer mes larmes parce qu'il ne veut pas me faire l'amour n'est pas la solution non plus...De toute façon il avait de hautes exigences qu'il n'exprimait pas et je me retrouvais coincée dans une voie sans issue. Ma patience et ma capacité à relativiser m'ont fait plutôt voir les bons côtés de notre relation et oublier les mauvais, mais le prix a été de me contorsionner pour rentrer dans ses limites, à lui.


Je veux respirer, à l'intérieur d'une relation. Avec tout ce que cette "respiration" comporte comme conséquences. Peut-être plus de conflits, de prises de tête, de difficultés d'organisation. Je m'en fous. Je ne veux plus être rassurée, je veux que ça vive.


Dixit mon psy lors de ma dernière séance il y a quelques jours : "Ce que je vais vous dire est dur. Vous avez perdu votre ami. Mais vous vous êtes retrouvée."

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  • 3 semaines après...

Bonjour tout le monde,


Je n'ai pas écrit depuis un certain temps et cet état de fait parle pour moi : je suis en "phase dépression", voilà voilà.

On pourrait plutôt dire un passage dépressif, en réaction à la rupture, qui va passer assez rapidement, j'espère !


Mais quelque part, même si c'est pas joyeux joyeux hein, cet état m'offre une plage de repos. Il y a une sorte de constat.


Je sens que mon rétablissement doit passer par là. De plus en plus, un détachement s'opère en moi par rapport à G., que j'appellerai G. maintenant et non plus "mon ex", car dans "mon ex" il y a "mon", ce qui n'est plus vrai du tout. Le "nous" qui existait, n'existe plus. D'ailleurs le "moi" qui existait, n'existe plus non plus. Je me sens "autre". La relation que nous avions est morte et ce deuil amène un "avant" et un "après", aux niveaux de mon lieu de vie, de mes activités, de mon rapport avec les autres, de mes pensées, de mes envies, de mon identité.


Il faut renaître et cette renaissance prend du temps. A l'image du bambou chinois, qui met 5 ans à sortir une tige hors du sol mais qui, dès lors, pousse de 12 mètres en une seule année...


Courage à nous tous, petites graines de bambous, on va mettre du temps à sortir une nouvelle tige viable, mais l'attente en vaut la peine !

:bisou:

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Bonsoir,


Je partage avec vous l'histoire du bambou chinois, par Olivier Clerc ("La grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite et autres leçons de vie.")

Je trouve que cette métaphore est très inspirante pour tous les largués que nous sommes !


Le bambou chinois, la préparation dans l'obscurité.


"On raconte en Chine qu'il existe une variété de bambou tout-à-fait particulière. Si l'on sème une graine dans un terrain propice, il faut s'armer de patiente...En effet, la première année, il ne se passe rien : aucune tige ne daigne sortir du sol, pas la moindre pousse. La deuxième année, non plus. La troisième ? Pas davantage. La quatrième alors ?...Que nenni ! Ce n'est que la cinquième année que le bambou pointe enfin le bout de sa tige hors de terre. Mais il va alors pousser de douze mètres en une seule année : quel "rattrapage" spectaculaire ! La raison en est simple : pendant cinq ans, alors que rien ne se produit en surface, le bambou développe secrètement de prodigieuses racines dans le sol grâce auxquelles, le moment venu, il est en mesure de faire une entrée triomphante dans le monde visible, au grand jour.


Le bambou chinois nous enseigne plusieurs choses des plus importantes. D'abord, il nous montre que ce n'est pas parce que nous ne voyons rien qu'il ne se passe rien. Ensuite, il indique que certains changements brusques ou parfois instantanés peuvent être le résultat d'une lente évolution qui, elle, ne nous est pas perceptible.


Contrairement aux connaissances intellectuelles que nous acquérons de façon assez linéaire, par accumulation et mémorisation de données diverses, les changements qui affectent notre psyché - le coeur, les sentiments, les émotions, les empreintes du passé - et ceux qui touchent notre dimension subtile - l'âme et l'esprit - s'effectuent le plus souvent à la manière du bambou. Ainsi, par exemple, nous contenter de comprendre intellectuellement les problèmes psychologiques liés à notre enfance suffit rarement à produire en nous un changement, une libération. C'est quand la charge émotionnelle de notre passé parvient à s'exprimer que, subitement, nous accédons à un nouveau niveau de conscience.


Au-delà du seul principe du bambou chinois, ce que nous devons savoir, c'est que rien ne se perd, que tout effort produit tôt ou tard un résultat, même si, la plupart du temps, il n'est pas possible de savoir à l'avance à quel moment."


Dans une époque qui a le culte de l'immédiateté à outrance - "Tout, tout de suite, sans efforts" - l'allégorie du bambou chinois nous enseigne la persévérance, le travail à long terme. "Il faut quelques semaines pour faire une salade, mais cent ans pour faire un chêne", aimait à répéter O.M. Aïvanhov. Par comparaison avec le chêne, le bambou chinois présente la difficulté additionnelle de nous cacher son évolution souterraine en cours, ne nous permettant pas de mesurer les progrès accomplis. Il nous faut alors persévérer en l'absence de preuves tangibles de l'utilité de ce que nous faisons.


Au-delà des opinions et des modes, au-delà des appréciations fluctuantes de chaque époque, le temps reste le juge le plus sûr et le plus impitoyable des oeuvres humaines : ne résiste à son usure que la qualité - le beau, le bon, le vrai, le juste. Le reste y succombe. À l'inverse, quand nous voulons aller trop vite, sans prendre le temps de développer des racines profondes avant de vouloir nous élancer vers le ciel, nous courons le risque de produire quelque chose de faible et fragile qui manquera d'une sève suffisante pour nourrir ses branches et produire des fruits.


Avec le bambou, nous mettons un pied dans l'invisible, le subtil. Nous nous évadons un peu de la prison du manifesté pour explorer la source du possible. Des effets apparents, nous remontons aux causes cachées."

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Coucou WhatzeF...!


Je vois que malgré cette phase de "dépression", tu avances petit à petit vu que tu dis qu'il y a quand même un début de détachement qui s'opère. Continue ainsi et tu pourras bientôt être complètement détachée, voire séparée de cette personne (je ne vais plus dire "ton ex" ^^)!


Merci d'avoir écrit ce passage sur le bambou, effectivement, ce n'est pas parce que ce n'est pas visible qu'il ne se passe rien ! Intérieurement, beaucoup de choses bougent en nous!!


Pour ma part, je pense me sentir plutôt bien en ce moment. Mon histoire a été beaucoup plus courte, ce qui faire que probablement, le temps pour m'en remettre reste proportionnellement beaucoup plus court. Je dirai que c'est surtout grâce au activités et aux amis (homme en l'occurrence) qui m'entourent. Même si je ne suis pas forcément encore prête à recommencer une histoire, je me suis rendue compte que je pouvais plaire à des hommes beaucoup plus attentionnés et respectueux envers moi. Ca m'aide à me redonner confiance et à me dire qu'il n'y a pas que lui sur cette Terre.


Courage WhatzeF...! Le bout du tunnel n'est pas très loin ;)

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Bonsoir,


Merci pour vos retours Abîme, IWill et Racm !!! :bisou:


@Abîme : on vieillit et, comme le bon vin, on prend de la bouteille. Avec un peu de chance, la maturation nous donne meilleur goût :)


@Willy : ehhhh oui les meilleures choses ont besoin de patience ! ;) On a besoin de se créer des racines avant de pouvoir (ré)-émerger...


@Racm : ça va un peu mieux ces temps, il me semble que je sors de ma phase "dépressive"...comme tu dis, un détachement s'opère. Je suis contente que tu ailles mieux aussi de ton côté ! Je suis d'accord avec toi, être bien entourée (y compris par des hommes ;) ) nous aide à retrouver un peu de punch. La valorisation fait du bien, même s'il faudrait idéalement pouvoir se valoriser de l'intérieur sans l'aide de personne...on fait ce qu'on peut dans un premier temps, et se sentir juste "mieux" est déjà une sacrée étape ! Je t'envoie plein de bisous !


De belles pensées à tout le monde sur le forum. Que la force soit avec nous !!! :ugeek:

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  • 1 mois après...

Bonsoir à tous,


Un court message pour lancer un petit clin d'oeil au titre de mon post "3 ans de relation, il est parti 5 mois avant le mariage"...le mariage...qui aurait dû se concrétiser ce weekend.


Cela fait donc 5 mois.


Silence.


Un constat, nu, froid : il n'est plus. G., que j'ai rêvé, n'est plus. Un rêve s'en va.

Car il s'agissait bien d'un rêve, en fait. J'ai aimé une façade.


Ce soir je franchis un nouveau cap, vers la libération. Enfin...



Je vous embrasse tous bien chaleureusement ! Courage !

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Bon courage ! Moi c est bientot ma liberation egalement , le 03 mai. Divorce apres 3 mois de mariage +7 mois de separation .

Le we prochain c est notre anniversaire et qq jours apres SON anniversaire et une semaine apres encore l anniversaire de son fils... J apprehende ce mois qui va etre complique!!! Mais bon il faut faire face ! Je n ai plus de nvl a part pr l argent ... Mais c est mieux comme ca ! J aurais prefere zero nvl mais bon pas le choix .... Je sais qu il est tjs av sa next et le connaissant je suppose qu il va mm emmenager av elle ! Mais bon ce n est plus mon pb !

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