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Reconquête? ...ou non? Là, je sais que c'est NON!


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Magou, je me bats, jour après jour... Mais je sais aussi que cette rupture est l'occasion inespérée de régler mes comptes avec le passé: je veux dire, on a déjà tellement souffert et on tient le coup, alors autant aller voir plus loin encore au fond de soi. Chaque bataille me renforce, chaque victoire m'encourage.


Ou plutôt, dès que je me retourne et que je regarde le chemin parcouru, je me félicite et reprends des forces pour la prochaine étape. Une quête, vous disais-je!


Et oui, j'angoisse aussi (d'où mon choix de chanson dans "la play-list de la rupture"), mais cette angoisse n'est pas une peur de l'inconnu, c'est une crainte infondée de perdre tes repères. Un peu comme ces gens qui gagnent des millions au loto et ne changent rien du tout à leur vie... En un sens, en se retrouvant tous sur JRME, on est des gagnants à la grande loterie de la vie. On ouvre les yeux sur ce qui est notre trésor intime, notre légende personnelle pour citer je-ne-sais-plus-qui qui citait Coehlo. Quiconque pour me contredire?


La solitude, c'est le face à face avec toi-même. Sans fard, sans jeux (de pouvoir ou de séduction), la nudité de l'esprit comme de l'âme. Prends-le comme une chance, un des plus beaux présents que la vie puisse t'offrir.


Pétale de Ronce, les mots qui précèdent s'adressent à toi aussi (et à tout ceux qui le souhaitent). Je vais ajouter un mot sur le courage: il ne tombe pas du ciel, il s'arrache à coup de dents en s'acharnant, encore et encore.


Je ne sais pas si je suis heureuse. Mais je sais que je suis sur le chemin qui me mènera à un bonheur encore inimaginé par ma petite cervelle encore traumatisée.


Encore vulnérable, oui. Mais sûrement pas au point de me laisser faire plutôt que de me battre avec rage et conviction.


D'ailleurs... SRR(adical) jour 18 - et je ne cède pas un pouce de terrain!


Praline et Camille qui postez entre temps: ;) Ouiiiii!!!! On est en co-mission (pas si) impossible, hors de question de ne pas la réussir brillamment!!!! :twisted: :mrgreen:

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SRR(adical) - jour 20


(je me parle toute seule, là... :? ) R.A.S. Aucune réaction de sa part: ce qui me foutait tellement la trouille, mais qui en quelque sorte aujourd'hui me soulage.


Il me manque. Énormément. Après quelques jours à "revivre" - des réminiscences, plutôt - les mauvais souvenirs, voilà que les bons, les meilleurs même déboulent en force. Je fais, j'essaie de faire, avec ces clins d'œil perpétuels. Mais mon énergie me fuit. Je me sens un peu vide...


J'ai envie d'attentions et d'affection, mais mes amis non seulement ne me comblent pas (forcément :o ) mais se lassent de celle que je suis devenue: il faut dire qu'ils sont tous en couple et que mon statut de célibataire dérange fortement. Plus que je ne l'imaginais et quel que soit mon état d'esprit. Un peu pestiférée sur les bord, et des fois que je sois contagieuse... Courage, fuyons.


Je me retrouve à accepter des rencards sans conviction, à revoir de vieux amis perdus de vue juste pour me rendre compte que j'avais de bonnes raisons de les avoir perdu de vue, à faire des rencontres avec des gens vraiment bien, mais qui restent superficielles (les amis ça prends du temps pour obtenir ce statut, non?)


Donc, oui, actuellement très seule. l'abdication renforce ce sentiment. Et en dépit de tout ce que j'ai amélioré dans ma vie: sport, créativité, famille, apparte, projets, etc. Il me manque quand-même un truc essentiel: l'intimité avec quelqu'un. Et la tendresse, l'affection, l'ivresse des sens et, bien sûr, l'Amour.


Et toujours et encore, je ne vois que Lui pour partager tout ça avec moi...


Bref, SRR encore, parce que quoi d'autre?

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je comprends tout à fait Puppis.

5 mois que je suis seule...je commence à manquer d'amour et de tendresse.

c'est dur de voir nos potes ( qui étaient seuls quand on était en couple) se caser un par un et nous laisser plus ou moins de coté!


perso, quelques hommes me courent apres, mais j'ai le sentiment d'etre trop difficile car aucun d'eux ne m'interessent...


courage ma belle...

en mode RAF!
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Merci Louloutte...


Moi tout mes amis étaient déjà en couple et on avait pris nos p'tites habitudes... Mais là, pour en rajouter une couche, une de mes copine se marie ("je t'ai pas invitée, parce qu'on a décidé de faire quelque chose d'intime". Bizarrement, toutes celles de notre "bande" de l'époque - ça date du lycée - qui sont déjà fiancées ou mariées ont été invitées), une autre vient d'accoucher de son premier enfant. Il y a trois ans j'étais celle qu'elle appelait à deux heures du mat' après un rancard pourri, maintenant elle est mariée, maman, et absolument radieuse! Et vraiment belle, comme si sa vie de couple l'avait sublimée. d'ailleurs tout le monde l'a remarqué.


Alors que moi, c'est "Heuuuu, tu dors toujours pas?"..


Pffff.

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Coucou à vous,


Bon moi j'en suis à un mois et demi de silence complet (zéro réaction de monsieur), et après un mois à positiver à mort, je me suis pris, moi aussi, comme un retour de bâton, les bons et tellement bons souvenirs dans la tronche. Cela m'a fait ces derniers jours dévaler un gouffre dont je crains de ne pas avoir encore vu le fond.


Il me manque cruellement, oui. Je me bas pour en sortir, mais j'en suis malade!!!


Allez, j'ai envie de vous raconter ce soir l'histoire d'une copine d'une copine... 8-)

Son mec l'a quittée une fois. Il est revenu deux mois plus tard.

Il l'a requittée une deuxième fois. Est revenu quatre mois plus tard.

La troisième fois qu'il est parti, ce fut pour se mettre avec une autre et commencer une nouvelle vie.

Cette fois-ci, sa belle a fermé la porte de son coeur et a renoncé. Ils n'ont eu aucun contact pendant sept mois. Elle n'a jamais rien fait pour lui laisser croire qu'elle l'attendait. Elle avait enfin cessé d'y croire. Et puis le monsieur est venu sonner à sa porte, un beau jour... Aujourd'hui, ils se marient et veulent avoir des enfants...


Non, non, je ne vous raconte pas ça pour que l'on s'accroche tous et toutes à des cas de figure aussi rares qu'exceptionnels pour se voiler la face!


Mais pour vous dire qu'aucune situation n'est désespérée.

Parce qu'ils reviennent au moment où l'on n'a plus besoin d'eux, au moment où notre coeur lui-même a abdiqué, que les souvenirs deviennent douce nostalgie, que l'on ne compte plus les jours, et que l'on se satisfait de s'aimer soi-même.

S'ils reviennent alors, on est prêt à repartir sur des bases heureuses...

Mais s'ils ne reviennent pas, à ce stade, on est prêt à cueillir l'amour sur le chemin... A y croire encore, à y croire toujours!


Puppis, il faut que je te dise merci pour tes messages dont beaucoup, lorsque je tombe dessus, me donnent une incroyable énergie.


Notre silence, à tous ici, est une retraite qui nous permet de nous retrouver, de nous épanouir à la seule force de notre joie de vivre, et de laisser cette vie nous guider au son des mille clochettes de la confiance en l'avenir...

Soyons heureux de pouvoir avancer dans un pays en paix, d'avoir la santé, d'être seuls maîtres à bord pour décider de nos projets et d'avoir l'occasion chaque jour de donner, de partager, d'avancer, ou simplement, d'écouter...


Ce manque atroce il faut faire avec. Le temps qui passe finit toujours par refermer les blessures. Et si les cicatrices restent, ces blessures de guerre, un jour nous en seront fiers, fiers d'avoir cheminé avec vaillance et d'en avoir guéri...


Courage à tous, les warriors!


Aucune seconde qui passe, même si c'est une seconde de tristesse, n'est perdue si nous gardons foi en notre avenir et que nous nous battons pour lui :)


La roue tourne toujours, et lorsqu'elle s'orientera à nouveau vers l'espoir d'un bonheur à deux, alors, alors eh bien, je suis certaine que toutes ces souffrances et ce combat quotidien pour avancer coûte que coûte, nous ne les regretterons pour rien au monde, car nous en reviendrons beaucoup plus sages et sereins, et plus forts pour ne pas faire les mêmes erreurs...

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Il y a trois ans j'étais celle qu'elle appelait à deux heures du mat' après un rancard pourri, maintenant elle est mariée, maman, et absolument radieuse! Et vraiment belle, comme si sa vie de couple l'avait sublimée.

 

Eh ben Puppis, dans trois ans, tu seras à sa place, c'est tout. ;) Et c'est une autre de tes amies qui t'appellera à deux heures du mat' pour se faire consoler de la vie.


Hey Girl, c'est normal d'être triste et d'avoir besoin de tendresse. Me damnerais pour un câlin, là … mais pas du tout avec n'importe qui, c'est bien le problème d'ailleurs … :mrgreen:


Je cite Pétalederonce, là, qui rejoint indirectement un truc que je pensais tout à l'heure en rentrant.

Parce qu'ils reviennent au moment où l'on n'a plus besoin d'eux, au moment où notre coeur lui-même a abdiqué, que les souvenirs deviennent douce nostalgie, que l'on ne compte plus les jours, et que l'on se satisfait de s'aimer soi-même.

S'ils reviennent alors, on est prêt à repartir sur des bases heureuses...

Mais s'ils ne reviennent pas, à ce stade, on est prêt à cueillir l'amour sur le chemin... A y croire encore, à y croire toujours!


Aujourd'hui, j'ai revu le lieu même où je l'ai vu pour la 1e fois, il y a … voyons … bientôt 14 ans (on a d'abord été amis avant d'être amoureux). Ce n'était pas fait exprès, et sur le coup, ça ne m'a pas fait grand chose, sauf un pincement au coeur, mais j'étais avec des collègues alors je n'ai pas eu l'idée de me mettre à pleurer.

En rentrant, au contraire, j'étais vraiment triste en y repensant, et en repensant, au-delà de lui, à cette période "magique" de ma vie, où tout me semblait facile, évident, donné, où j'étais bien toute seule, dans un lieu superbe, avec des gens sympa, et un travail qui me passionnait.

Et je me disais, tout en étant triste, que c'était vraiment, avant tout, une question d'état d'esprit, car j'ai les mêmes ingrédients sous la main qu'à cette époque où il n'était pas encore dans ma vie, et à l'époque, j'étais vraiment heureuse, même seule. Ma vie me comblait (même si certaines choses me manquaient), j'avais une grande sérénité d'esprit, plein d'enthousiasme pour faire des nouvelles choses, et de nouvelles rencontres.


Aujourd'hui, je suis libre, pareil. Mais c'est mon état d'esprit qui n'est pas le même, car les circonstances extérieures sont identiques (13,5 ans plus tard c'est tout).

Alors je me disais … comment faire pour changer mon état d'esprit et remettre tous les atouts de ma vie au service d'une pêche d'enfer ? Parce que quand j'ai une pêche d'enfer, eh bien … c'est là que je rencontre quelqu'un que j'aime.

Parfois, j'ai l'impression que c'est peut-être juste une question de regard … de bouton dans la tête qu'on tourne … Seulement, je ne sais pas très bien comment le tourner. Promis, si je trouve, je vous dis. ;)

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Pétalederonce, Theodora, Puppis.... et les autres... merci pour ces belles paroles. Je suis toujours impressionné par la qualité de ce que je lis parfois ici, que ce soit sur le fond ou la forme. Non seulement vos paroles sont pleine de sagesse, mais vous maniez les mots avec une telle aisance que j'en suis jaloux.


Franchement j'ai acheté des bouquins et je vais voir une psy mais c'est vraiment ces interventions sur le forum JRME qui me font le plus de bien ;)

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Les hauts et les bas... Finalement, on a les clé en mains... Mais je vous réponds d'abord:


Josh44: Je crois que je parle au nom de toutes les fabuleuses personnes qui peuplent ce forum en disant que le "MERCI" doit être partagé entre tous! Je pense tout à fait comme toi, c'est à travers ces rencontres et ces interventions (les tiennes y-compris!) qu'on apprend à voir la beauté au plus profond de la tristesse et à relever la tête, parce que, si de telles personnes et de telles rencontres existent, alors rien n'est perdu!


Et merci encore, parce que j'en suis particulièrement, touchée... Moi qui venait simplement chercher de l'aide, si j'en fourni un petit peu à mon tour et bien j'en suis d'autant plus reconnaissante et honorée!


Pétale de Ronce, que te dire sinon partager tes sentiments et t'accompagner sur ce chemin... Ceci peut-être: tu as raison, ne jamais renoncer à l'idée du bonheur, de SON PROPRE bonheur. Il faut d'abord apprendre à marcher sans béquille pour véritablement profiter du bras qui nous est offert.


Apprendre à renoncer aux reproches, envers nous-même comme envers l'autre, savoir ce que signifie fondamentalement le pardon, et le plus dur - je m'en rends compte - rendre à l'autre l'entier de sa liberté. Ne pas seulement l'accepter, ce qui est insuffisant, mais aller jusqu'à ressentir une profonde et sincère gratitude d'avoir eu l'occasion de partager ensemble un bout de chemin. Et aller de l'avant.


(je l'avoue, je n'y suis pas encore, et de loin. Mais le SRR m'aide à m'y projeter. A petits pas, j'y vais, j'y viens)

 

Soyons heureux de pouvoir avancer dans un pays en paix, d'avoir la santé, d'être seuls maîtres à bord pour décider de nos projets et d'avoir l'occasion chaque jour de donner, de partager, d'avancer, ou simplement, d'écouter...

Petale de Ronce, j'irais plus loin encore: point n'est besoin de paix, de santé ou même de liberté, au sens où tout ceci reste déterminé par des éléments externes. Ce n'est que lorsqu'on aura véritablement conclu une paix durable avec nous-même, de l'intérieur, que nous serons heureux, et ce quels que soient les aléas de la vie. Et là, l'amour sera L'Amour, dépassant toutes les contrariétés. Et ça... c'est en nous. Déjà. A nous de le faire vivre!


Théo, tu vois je te rejoins! (Encooooore!)


C'est l'état d'esprit qui fait tout. Parfois un souvenir m'emplit de joie, parfois ce même souvenir me rend languissante voire triste... Moi aussi il y a deux ans de cela j'étais heureuse de mon célibat, une vraie bulle d'oxygène, une folle et enivrante impression de liberté "Le monde m'appartient".

Alors je me disais … comment faire pour changer mon état d'esprit et remettre tous les atouts de ma vie au service d'une pêche d'enfer ? Parce que quand j'ai une pêche d'enfer, eh bien … c'est là que je rencontre quelqu'un que j'aime.

Parfois, j'ai l'impression que c'est peut-être juste une question de regard … de bouton dans la tête qu'on tourne … Seulement, je ne sais pas très bien comment le tourner. Promis, si je trouve, je vous dis. ;)

 

Là voilà la réponse... Réponse, comme dans respons-able. Ne pas tenter d'agir sur ce qui nous arrive mais seulement, et c'est déjà énorme, sur notre réaction.


Démonstration:


Un mercredi dans la vie de Puppis, au chômage et cherchant dans un secteur actuellement bouché. Météo: grise. Finances: bof. Coeur: en miettes.


Probabilité n°1 selon un schéma récurant au cours de ces derniers mois: Grasse matinée. 4 cafés et le double de clopes. Recherches de job sur internet. Allumage de télé. Se perdre en futilités dans les méandres d'internet. Sortie de la journée, clopes et deux-trois achats de bouffe, si de bonne humeur, pousser jusqu'au parc ou chez des potes. Retour maison, un peu de ménage, télé + internet.


Ceci étant bien entendu la version minimale et cependant parfaitement probable les jours "sans".


Maiiiiiiiiis: probabilité n°2 (aujourd'hui :mrgreen: ), le choix d'être celle que je suis. Réveil tôt. 4 cafés et (presque) autant de clopes. Balade jusqu'au tabac du quartier pour le journal et papoter un peu. Poil de ménage + manucure + enfilage de petite jupe. Appel môman pour un dèj entre filles. Allées dans un excellent resto pour le menu du jour. Promenade dans les ruelles inexplorées puis arrêt chez un vendeur de livre d'occasion (pris: "Ces hommes qui ont peur d'aimer" :lol: ). Retour maison pour envoyer quelques c.v. (et autrement motivée!). Départ au parc avec le livre, ci-dessus, une Volvic framboise (Mmmmh!!) et une Magnum. Lu le livre et compris plein de chose en me marrant toute seule. Retour maison, retouche maquillage et rendez-vous dans un bar à tapas avec un pote perdu de vue. Dégusté pleins de vins différents et me suis goinfrée de tapas (ces crevettes!!!). Papoté avec le patron et ses amis qui m'ont trouvé drôle et adorable et m'ont proposé une dégustation cadeau "la prochaine fois". Arrêt dans un petit magasin ouvert tard en soirée - oui, la clope encore -, discussion avec un employé: "vous cherchez du travail? Oui, on cherche du monde! Passez demain avec votre c.v.!" et une paye excellente (mais horaires de nuit: et alors? :mrgreen: )


Je suis: :D :D :D

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Bonsoir Puppis...


Tiens tiens... Je me retrouve un peu dans ton propre auto portrait ;)


Bon, la phase n° 1, déjà vécue...Pfff... On m'y reprendra plus ca a duré trooop longtemps.

J'en suis à la phase 3 ou 4... Et ca m'aide à tourner la page dans la rupture, c'est sûr...

Je rajouterai que pour passer à la phase 3, outre la manucure et le petit dîner avec le vieux pote... Une super séance de natation pour raffermir son corps de rêve, et on se sent invincible... Bref, "fatale" :D


Aussi bien pour faire tomber les hommes que les futurs employeurs...



C'est toujours un plaisir de te lire miss


Bises

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pour avoir connu la phase un pendant un an je me permets de repondre, un an a faire les choses parce qu il fallait les faire, sans aucune conviction, ni joie, ni envie. aujourd hui je suis en phase deux, en phase avec moi meme, je ne fais rien de plus qu avant mais tout ce que je fais m apporte des petits bonheurs, je n ai plus de down a present meme quand il fait gris, ma seule angoisse est de rechuter parce que j ai trop connu ca, mais la je crois en moi au bonheur que la vie peut m apporter, donc il n y a pas de raison de retomber en down. et pour repondre au titre de ton post, reconquete ou non moi je ne sais pas, ben moi je le sais la reponse est oui c est la reconquete de toi, pas tres francais tout cela, quelle evolution, quelle revolution. je souhaite que pour ton boulot ca marche je te dis merde.
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Continue tes posts Puppis, te lire me donne la bonne patate. Bref ca fait du bien..! Je suis en ce moment dans le même état d'esprit que toi (les clopes en moins car non fumeur ^^). Je suis actuellement en Chine pour faire le vide, je me bouge pour envoyer des CV a droite a gauche car j'ai plaqué mon taf peu après m'être fait larguer par mon ex... et le job ne me plaisait pas de tte facon (si je le faisais c'était afin d'avoir mon autonomie et ainsi avoir plus d'intimité ac mon ex a vrai dire). Depuis que je suis en Chine je rencontre plein de gens différents, vie des expériences uniques, fait beaucoup de sport. Cependant je suis dirons-nous encore en période de transition vis-a-vis de mes pensées pr mon ex, elle reste encore très présente ds mon esprit...je n'arrive pas à m'en débarasser...
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Je confirme ce que dit Karen (coucou Karen ! :D ) Max. C'est normal que tu penses encore beaucoup à elle. Six mois après la rupture, je pense encore beaucoup à mon ex. Mais j'ai accepté progressivement que cette histoire soit … morte. Et là, je vais bien mieux, j'ai le sentiment de reprendre ma liberté … et ma vie, avec son avenir. Courage à toi, profite de la Chine et de tout ce que tu découvres.


Et je voulais aussi remercier Josh de ses gentils mots.

Moi aussi, ce site m'a beaucoup aidée, les posts des uns et des autres, le fait de se sentir compris, épaulé, le fait aussi de réaliser que je n'étais pas seule au monde à vivre cette chose épouvantablement dure et douloureuse qu'est un chagrin d'amour. Nous avons traversé l'enfer ensemble … d'habitude c'est un truc qu'on fait plutôt tout seul … :mrgreen: , là, même si notre traversée est intensément personnelle et nous est propre à chacun, même si personne ne peut traverser l'enfer à notre place, nous savons que nous avons des compagnons de quête. Et, au fur et à mesure que nous vivons les mêmes étapes, que nous les voyons se rétablir, lentement ou plus vite, tomber et se relever comme nous … nous savons que l'enfer (contrairement à ce que tous les dogmes affirment bêtement :twisted: ) n'est pas éternel. Et qu'il est des résurrections … ;)

It takes one to know one, comme on dit. Alors, je profite éhontément :oops: du topic de Puppis pour vous remercier tous.

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