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Aimer + que l'autre ne nous aime


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Salut tout le monde,


Voilà j'ai toujours remarqué que dans les relations amoureuses il y en a toujours un qui aime plus que l'autre ou alors vraiment différemment. Je me demandais si, logiquement une relation saine doit être "équitable" à ce niveau là ?


Ou alors si il y a toujours un décalage, comment réagir ? Assumer le fait que moi par exemple j'ai le sentiment d'aimer plus ma copine qu'elle ne m'aime ou alors peut être ne pas trop mettre les pieds dans le plat et conserver un peu de mystère sur mes sentiments ?


Souvent il y a rupture quand la personne qui "aime moins" s'en rend compte...et c'est ça qu'on voudrait éviter.


Si l'un des coachs pouvaient faire un article à ce sujet ça pourrait être intéressant.

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Salut Jeff67!

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Bonjour!


Je serais curieuse de savoir comment tu mesures le "niveau d'amour" de chacun dans une relation?


Par exemple, qu'est-ce qui te fait croire que tu aimes ta copine davantage qu'elle ne t'aime?


Et aussi, Est-ce que dans tes relations amoureuses, tu as toujours le sentiment d'être celui qui aime davantage?

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Mais concrètement, comment tu la décrirais cette différence?


J'aimerais que tu décrives un exemple concret d'une situation dans laquelle tu "sens" que l'autre t'aime moins.


Le problème, c'est qu'on a tous notre propre définition de l'amour. Et donc, qu'on "évalue" l'amour de l'autre avec nos propres "lunettes". Or, notre définition de l'amour peut être différence de celle de l'autre et donc, toute comparaison de ce genre est inutile.


Mais j'aimerais quand même savoir comment tu peux dire que tu "aimes plus" avec un exemple concret! J'ai ma petite idée sur le sujet...

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Salut tout le monde,


Voilà j'ai toujours remarqué que dans les relations amoureuses il y en a toujours un qui aime plus que l'autre

Bien sûr que non. D'abord, la phrase n'a aucun sens en l'état : l'amour ne se quantifie, sauf chez des cons, capables d'imaginer des "unités d'amour" comme des "crédits-mélancolie".

 

ou alors vraiment différemment.
Oui, bien sûr. Et heureusement, encore que cette évidence soit reniée. Quoi de plus différent qu'un homme et une femme, que toi et celles qui ont pu t'aimer ? Si l'amour était identique et comparable de part et d'autre du couple, l'un des deux au moins (et vraisemblablement les deux) se sentirait volé.

 

Je me demandais si, logiquement une relation saine doit être "équitable" à ce niveau là ?
Il me semble qu'à ce niveau, la sagesse est encore dans la nuance ad hoc : une relation saine repose sur la satisfaction affective, et le contentement philosophique des parties, qui parviennent alors à lui donner un sens à la mesure des exigences du projet : être en couple, à part chez une poignée de lobotomisés incomplets et incapables de vivre par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ça coûte. De l'argent, de l'attention, du temps, de la patience, et ainsi de suite. Je tiens que pour un être équilibré et en paix avec lui-même, cela n'a rien de dirimant. Un coût n'est pas un défaut. Encore faut-il ne pas se raconter de blagues, et s'interroger en conscience sur le sens qu'on peut tirer (et si possible faire naître chez ceux qu'on aime) du couple, indépendamment de la forme que l'amour peut prendre chez chacun.


Voilà pour le seul principe général qui vaille en la matière, à mon sens. Un couple est une association, particulièrement exigeante parfois. Et une association est saine quand elle fait du sens, que son coût est mérité pour toutes les parties concernées. Partir de l'idée que toute association féconde serait par nécessité égalitaire et/ou mimétique me semble absurde. Des relations élève/professeur, disciple/mentor, employé/gérant se trouvent être saines, tout en échappant joyeusement aux règles de la commutativé transactionnelle. Tant que chacun est à sa place et se nourrit à hauteur de ce qu'il attend, où pourrait bien être le souci ?

 

Ou alors si il y a toujours un décalage, comment réagir ? Assumer le fait que moi par exemple j'ai le sentiment d'aimer plus ma copine qu'elle ne m'aime ou alors peut être ne pas trop mettre les pieds dans le plat et conserver un peu de mystère sur mes sentiments ?
L'enjeu n'est pas de déterminer si tu aimes ta copine plus qu'elle ne t'aime. La dialectique suffit :

- Soit ta copine t'aime assez et d'une manière idoine pour que tu y trouves du sens.

- Soit tu te sens malaimé, ou mal aimé.


Dans le premier cas, il n'y a pas matière à "réagir". Dans le second, autant mettre le problème où il est plutôt qu'en se prenant les pieds dans le tapis de ce vertige symétrisant. Si tu te sens aimé et que tu as l'impression d'aller quelque part avec elle, de ne pas perdre ton temps, d'entendre des trucs qui veulent dire quelque chose pour toi et de prononcer des trucs qui veulent dire quelque chose pour elle, la question ne se pose pas. Et si la question se pose, qu'est-ce-que ça peut bien t'apporter de savoir que tu l'aimes plus qu'elle ne t'aime ? Quand tu lis une offre d'emploi et que tu regardes la rubrique "salaire", tu te demandes si cet argent te suffit pour le boulot en question, en fonction de tes besoins et de ta capacité de production. Tu comptes en euros, pas en "milliardièmes de milliardièmes de salaires horaires juin-2004 de Bill Gates", ou en "panier hebdomadaire moyen bengladeshi", si ? Tu regardes combien d'heures ça fait par mois, ce que valent tes heures sur le marché de l'emploi, ce que tu peux espérer ailleurs, de combien tu as besoin pour la routine, et quel rab tu voudrais pour la déconne. Et non pas si ça fait plus ou moins de 65% de la somme versée à ton supérieur direct, plus ou moins de 12% de ton n+6, ou plus ou moins de 0.3% de l'actionnaire majoritaire d'une autre boîte.


Il faut parfois de dissocier un peu de son ego, machine à fantasmes ultime, pour en revenir au réel, même si c'est chiant. Ce qui est réel, ce qui est tangible, c'est tes besoins, pas ton évaluation inquantifiable de ceux d'un autre. A part pour le plaisir (un peu masochiste ou sadique selon le cas, mais toujours cruel et abstrait) de comparer l'incomparable, qu'est-ce-que tu en sais, de ce que l'autre peut recevoir de ton amour ? De ce que ça veut dire pour lui, au fond ? De ses besoins réels, souvent inconscients ?

 

Souvent il y a rupture quand la personne qui "aime moins" s'en rend compte...et c'est ça qu'on voudrait éviter.
Il faudra m'en présenter à l'occasion. Chez moi, les gens aiment ou n'aiment pas, sans que cela revienne à dire qu'ils aiment aveuglément ou stupidement. Mais les gens capables de penser qu'ils "aiment moins", je n'en fréquente pas. La seule idée qui me vienne à ce sujet est que celui qui en viendrait à se formuler les choses de la sorte n'aime pas. Ou en tout cas d'une manière qui exclut de facto le couple amoureux.

 

Si l'un des coachs pouvaient faire un article à ce sujet ça pourrait être intéressant.
A quoi bon, entre nous ? Au mieux, ça donnerait un article technique sur la "finance de la tendresse". Le grand drame d'une analyse au premier degré de la question, c'est qu'elle ne serait pas seulement imbécile et creuse (ce qui passe encore), mais surtout très laide. Faire de la niaiserie c'est toujours regrettable. Pas dangereux, cela dit. Mais quelle rédemption possible pour celui qui a fait du moche ? Le pire, c'est que tu te doutes bien qu'on l'a fait, refait, et rerefait cent fois, comme tout ce qui peut être simultanément con et sinistre. Pour te dire, je me souviens de certains passages d'un manuel puritain anglican, destiné à l'édification des jeunes épouses, et qui devait circuler au milieu XIXème. Comme quoi ça date pas d'hier, ces âneries ... On y trouvait déjà cette question, à quelques chapitres de sermons concernant le dosage exact de réprobation et de concupiscence qu'une jeune femme éduquée devait afficher à l'occasion du coït de la nuit de noces, pour le cas où des requêtes "inattendues" seraient émises par leur mari. Si tu m'en crois, tu laisseras retomber ces poussières : c'est bon pour faire marrer deux minutes, quand on passe au grenier, mais il n'y a rien à en attendre.


Edit : Sur une note comique, j'ai connu personnellement un pervers qui avait pris la décision de larguer femme et enfants après avoir passé le test de l'ennéagramme pour la première fois. Notre société mourra bien assez vite de ses "experts-santé", nul besoin de marquer le pas.

"La perversion de la cité commence par la fraude des mots."


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BRAYAN FAN #1

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Toutes relations confondues dans le cas où je sens que j'aime plus que l'autre ne m'aime, quand je suis toujours à l'initiative des appels téléphoniques et l'autre non.


C'est un exemple

 

…………. :shock:

Je pensais pas que l'amour se mesurait a ce genre de choses…..

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Et moi non plus, mais c'est une ressenti... Ca semble bizarre comme ça, mais quand on est dans ce genre de situation, on se dit qu'on va toujours vers l'autre et il le veut bien, alors que l'autre ne va pas vers non. On a le sentiment de toujours courir et quand on se fatigue c'est là qu'on se dit "mais en fait je l'aime plus que l'autre ne m'aime"
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Pas besoin de jouer la carte de la niaiserie...

Vous voyez pas ce qu'il veut dire ? D'une le fait d'être souvent à l'initiative des appels, des rencontres, d'envoyer le premier sms etc nous fait croire que l'on est plus attaché que l'autre personne et de deux c'est souvent vrai...

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Bon moi je suis dans un reconquête avec plusieurs résultats encourageants. Je vois vraiment le bout du tunnel. Je suis à un stade où c'est comme le début d'une histoire. On en sait pas où ça va mais on le fait et on n'est pas officiellement en couple.


Dans ce cas précis c'est vraiment fuis moi je te suis. Tantôt je fais ma vie sans mettre la pression, sans contact et c'est elle qui rapplique. Cette action ou inaction à vrai dire est un effort considérable de ma part. Et quand je "gratte" c'est elle qui semble s'en foutre (simple perception même si ce n'est sûrement pas vrai)


Cet exemple a tendance à m'indiquer qu'elle se laisse porter et advienne que pourra alors que moi je l'aime tellement que je presque en attente de gestes plus concrets et plus réguliers de sa part. On frôle la dépendance affective, j'en suis conscient..


Et merci Laurent de prendre ce sujet délicat au sérieux. Bien sûr ça a l'air d'être un faux sujet, mais en fait non ! On parle jamais de ça. Qu'est ce que ce sentiment de déséquilibre révèle en nous et au sein d'un couple ?? C'est ce questionnement que ça soulève.


Et donc, est ce que c'est qqch de courant et normal dans une relation ou alors ça indique que c'est trop bancal et que ça le sera toujours ? Pour aller encore plus loin, fuir ce genre de relation ou agir en sorte de rééquilibrer la chose avec un fuis moi je te suis ?


Pour être honnête c'est fatiguant le jeu du chat et de la souris, car je suis une personne qui est dans son droit de vouloir que les choses se passent naturellement et "équitablement"

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Et merci Laurent de prendre ce sujet délicat au sérieux. Bien sûr ça a l'air d'être un faux sujet, mais en fait non ! On parle jamais de ça. Qu'est ce que ce sentiment de déséquilibre révèle en nous et au sein d'un couple ?? C'est ce questionnement que ça soulève.


Et donc, est ce que c'est qqch de courant et normal dans une relation ou alors ça indique que c'est trop bancal et que ça le sera toujours ? Pour aller encore plus loin, fuir ce genre de relation ou agir en sorte de rééquilibrer la chose avec un fuis moi je te suis ?


Pour être honnête c'est fatiguant le jeu du chat et de la souris, car je suis une personne qui est dans son droit de vouloir que les choses se passent naturellement et "équitablement"




Mais je ne prends pas ce sujet a la légère, contrairement a ce que Laurent a l'air de penser.

Simplement, a mon sens, si on a l'impression d'être moins (ou mal) aimé, alors il ne faut pas rester dans la relation…..!!


Et je m'interroge aussi dans quelle mesure cette "sensation" résulte (ou pas) d'un manque de confiance en soi.

Quand on a pas confiance en soi, qu'on s'aime mal, on a tendance a se rabaisser et interpréter des choses de travers.

Perso, je ne suis pas du tout téléphone, ce qui ne veut pas dire que j'aime moins mon Homme qu'il ne m'aime.


Quand a être "dans ton droit"…hum….une relation, ce n'est pas un affrontement ou tu as des droits, des revendications.

Y'a un truc tout simple, c'est la communication. Je m'explique: si tu as le sentiment que l'autre n'est jamais a l'initiative es rencontres par exemple, qu'est ce qui t'empêche de lui en parler, sans l'agresser bien évidemment, mais simplement, en lui disant que ça te blesse qu'il ne prenne jamais cette initiative, et que tu aimerais qu'il le fasse, au lieu de ressasser dans son coin et se faire des films.

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Pas besoin de jouer la carte de la niaiserie...
Quand on voit ce que certains essaient de faire passer pour de l'intelligence et de la subtilité, heureux les niais !

 

Vous voyez pas ce qu'il veut dire ?
Je crois que si. C'est bien la raison pour laquelle je me suis senti autorisé à répondre que je trouvais cette idée triste et con.

 

D'une le fait d'être souvent à l'initiative des appels, des rencontres, d'envoyer le premier sms etc nous fait croire que l'on est plus attaché que l'autre personne
Ah, mais entendons-nous : quand on a 5 ans de quotient émotionnel, un trauma sur le potentiel d'abandon de sa mère, et qu'on définit l'intensité du sentiment amoureux par la capacité des êtres à faire passer leur ego esquinté avant le bon sens ... on peut certes sentir qu'on est plus amoureux que l'autre quand on l'appelle plus souvent.


Mais dans les mêmes conditions de vie, on peut aussi en arriver à l'idée qu'une cour de récré dans une école primaire pour mongoloïdes en souffrance contient l'ensemble du cosmos dans ce qu'il peut avoir de plus intéressant et de plus noble. On peut se dire que les rapports de force brutaux dessinent le sens profond de toute interaction humaine. On peut trouver qu'Ayn RAND est un philosophe de premier plan, que le pouvoir d'achat est le premier critère objectif du bonheur individuel, et que la foi est obsolète en celà qu'elle n'est plus à la page du progrès technologique dans la formulation historique de ses énoncés abrahamiques. Pour faire encore plus court et plus général : quand on est assez con, on peut croire beaucoup de conneries.


Bon. Et après ? Là où je descends du train, c'est quand tu étends tes propres problèmes et les généralises à rien moins que l'ensemble de l'humanité, en toute modestie. Et pourtant je te jure, en mon âme et conscience, qu'il y a des gens comme moi. Qui appellent l'autre quand ils ont envie de l'appeler sans faire de statistiques sur leurs factures free. Qui se disent pas que l'autre les aime moins et va finir par s'en rendre compte et se barrer quand ils envoient 2 fois plus de SMS sur le mois que leur partenaire. Qui se demandent pas de quoi ils ont l'air H24. Et en me comptant parmi eux, tu te doutes bien que je ne parle pas de génies ou de "Grands Eclairés", hein ? Juste des gens normaux, avec leurs soucis, mais qui vont assez bien dans leur peau (quelque médiocre qu'elle puisse être) pour ne pas se sentir sur la sellette sitôt qu'ils ne passent pas leur journée à essayer de prouver à leur partenaire qu'elle est plus en demande que l'inverse. Si, si. Je te sens incrédule, et pourtant ...

 

et de deux c'est souvent vrai...
Bel argument. Avec ça tu fais vraiment avancer le schmilblick. On sent tout de suite que toi t'es pas un niais, du genre à parler bêtement d'amour quand on te pose une question sur le sentiment amoureux. De toute façon, l'amour, c'est niais. Non, toi, t'as vraiment compris des trucs sur le fond de la nature humaine, ça se sent tout de suite. D'ailleurs à ta manière de mettre les pieds dans le plat, on devine tout de suite le cynisme désabusé de celui qui a vu et enduré, du sage ... du couillu. C'est sans doute ce qui te permet de parler de ce qui est "souvent vrai" dans les couples en général que forment les 7 milliards d'individus sur le globe sans prendre la peine d'expliquer ton point de vue, comme un vrai goth intello revenu de tout.


C'est bon, t'as eu ton érection et t'as rattrapé ton CM2 torturé, on peut passer à autre chose ?

Modifié par Perdu de Recherche

"La perversion de la cité commence par la fraude des mots."


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BRAYAN FAN #1

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Qu'ajouter de plus au post ci-dessus.


L'amour n'est pas quantifiable, ça ne se joue pas à "bon, cette fois-ci c'est lui qui doit m'appeler car c'est toujours moi qui appelle la première". J'appelle ou envoie un message quand j'en ai envie. Point. Cela ne va pas plus loin. Et si j'ai envie d'être tranquille et me reposer, je peux aussi éteindre mon téléphone ou refuser de voir mon amoureux. Mais pas parce que je ne l'aime pas/plus/moins que lui mais parce que je n'ai pas envie de le voir à ce moment-là.


Tout comme Elieza, je ne suis absolument pas téléphone. Et pourtant ça ne m'empêche pas de penser à lui ou de l'aimer.


Perso, je préfère que mon homme m'appelle parce qu'il a envie de m'appeler plutôt que par obligation ou autre raison aussi stupide.

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