Georges I. Abdamiaou Posté(e) le 25 juillet 2022 Partager Posté(e) le 25 juillet 2022 Bon je mentais, je réponds à nouveau. Je vois que tu éludes ma question sur le contrôle.Penses tu avoir une personnalité contrôlante ?C'est le moment de bosser la dessus.Yoga, jogging, sac de frappe, n'importe quoi pour fabriquer des endorphines et de la sérotonine.Ou une grosse cuite, tu vas bien chialer et aprés tu te mets un coup de pied aux fesses.En tout cas tu mérites sûrement mieux qu'un lâche qui a déjà un marmot. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 26 juillet 2022 Auteur Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 tu espères un retour, prendre la température, une clôture... mais tout ça c'est des trucs très différents. effectivement le mieux serait de prendre le temps de réfléchir à ce que tu veux. est ce qu'une discussion t'aidera à avancer? j'en doutes fortement... ça ne dépend pas de lui mais de toi. Je suis en boucle sur mon incompréhension, je ne comprends pas comment ça a pu arriver si vite, passer si vite de "Je t'aime, je veux vivre avec toi, je te choisis car je choisis d'avoir le droit d'être heureux" à plus rien. parce qu'au moment des faits il le pensait très probablement mais il a ensuite changé d'avis. Coucou, oui c'est vrai ce sont des choses très différentes et je ne suis pas au clair. J'espère que d'ici quelques semaines je me sentirai mieux et plus au clair avec ce que je veux, ce que j'attends d'une telle discussion. Je sais qu'on dit souvent ici que ça ne mène nulle part et c'était plutôt mon avis aussi, mais ma psy considère que c'est un vrai challenge d'avancer alors que cette discussion n'a pas eu lieu.Et une part de moi comprend ce qui a pu se passer et comment il a pu changer d'avis, et c'est absolument ce que j'aurais répondu à une personne du forum qui aurait posé cette question, mais la tempête d'émotions que je traverse me fait perdre cette lucidité là (en plus du fait que ça fait super mal). Bon je mentais, je réponds à nouveau. Je vois que tu éludes ma question sur le contrôle.Penses tu avoir une personnalité contrôlante ? Je suis une véritable control-freak oui, notamment dans le domaine professionnel, mais j'ai appris au cours de mon parcours à lâcher prise sur certains trucs et à m'appuyer sur cet aspect de ma personnalité de façon utile et positive dans ce domaine (cela fait de moi une très bonne professionnelle, rigoureuse, capable et fiable). Dans le domaine sentimental cela s'exprime aussi (notamment par la peur de perdre l'autre, ce qui provient plutôt d'une construction personnelle marquée par un manque flagrant de sécurité affective) mais je n'ai jamais cherché à contrôler quoique ce soit de sa vie à lui, de ses passions, de sa façon d'être ou à essayer de le changer, de le façonner à une certaine image. Je sais que je n'ai aucun pouvoir sur sa décision. Je me demande véritablement si une discussion de rupture m'aiderait à avancer ou pas. Ma psy (et d'autres amies) considèrent que la rupture n'est pas la même et le deuil non plus selon que l'"explication" est "je ne t'aime plus" ou "je t'aime encore mais je ne peux pas". Jusque là pour moi une rupture était une rupture et il ne fallait pas chercher midi à quatorze heures mais désormais je doute.L'injonction au "lâcher prise", très à la mode mais délétère pour les personnes souffrant de troubles anxieux, n'a jamais fonctionné sur moi. En tout cas tu mérites sûrement mieux qu'un lâche qui a déjà un marmot. Sa lâcheté est inacceptable je suis d'accord et je mérite mieux que ça - après le fait qu'il ait un enfant n'entre pas vraiment dans le calcul du "mérite", on a l'histoire et les bagages qu'on a. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sandstorm Posté(e) le 26 juillet 2022 Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 J'espère que d'ici quelques semaines je me sentirai mieux et plus au clair avec ce que je veux, ce que j'attends d'une telle discussion. Je sais qu'on dit souvent ici que ça ne mène nulle part et c'était plutôt mon avis aussi, mais ma psy considère que c'est un vrai challenge d'avancer alors que cette discussion n'a pas eu lieu. Je comprends cette histoire de challenge : il a été assez évasif, il t'a laissé comprendre que c'est fini, n'a même pas fait ce qu'il avait promis de faire (t'appeler pour parler) et quand tu l'as appelé c'était bancal... Ma psy (et d'autres amies) considèrent que la rupture n'est pas la même et le deuil non plus selon que l'"explication" est "je ne t'aime plus" ou "je t'aime encore mais je ne peux pas". Jusque là pour moi une rupture était une rupture et il ne fallait pas chercher midi à quatorze heures mais désormais je doute. Je sais pas si ma remarque va -t'aider, mais je vais quand même te dire la réflexion que je me suis faite en lisant ce passage. Il y a effectivement une différence entre 'je ne t'aime plus' et "je t'aime encore mais je ne peux pas". ça c'est clair. Mais il y a un mais: s'il t'aime encore mais ne peux plus ça peut te laisser espérer, te laisser penser que c'est une question de timing. Aussi du moins si on se tient à son comportement après le fameux 'faut qu'on s'appelle" je doute fortement qu'il a l'audace de te dire ce qu'il ressent vraiment, il a choisi la solution de facilité alors rien ne garantie qu'il sera clair là dessus de peur de te blesser, de peur que tu réagisses mal ou autre chose. Bref la différence est importante mais je ne sais pas s'il faut vraiment, pour le moment du moins, te focaliser dessus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges I. Abdamiaou Posté(e) le 26 juillet 2022 Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 Aussi du moins si on se tient à son comportement après le fameux 'faut qu'on s'appelle" je doute fortement qu'il a l'audace de te dire ce qu'il ressent vraiment, il a choisi la solution de facilité alors rien ne garantie qu'il sera clair là dessus de peur de te blesser, de peur que tu réagisses mal ou autre chose.Bref la différence est importante mais je ne sais pas s'il faut vraiment, pour le moment du moins, te focaliser dessus.+1000 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 26 juillet 2022 Auteur Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 Je sais pas si ma remarque va -t'aider, mais je vais quand même te dire la réflexion que je me suis faite en lisant ce passage. Il y a effectivement une différence entre 'je ne t'aime plus' et "je t'aime encore mais je ne peux pas". ça c'est clair. Mais il y a un mais: s'il t'aime encore mais ne peux plus ça peut te laisser espérer, te laisser penser que c'est une question de timing. Aussi du moins si on se tient à son comportement après le fameux 'faut qu'on s'appelle" je doute fortement qu'il a l'audace de te dire ce qu'il ressent vraiment, il a choisi la solution de facilité alors rien ne garantie qu'il sera clair là dessus de peur de te blesser, de peur que tu réagisses mal ou autre chose. Bref la différence est importante mais je ne sais pas s'il faut vraiment, pour le moment du moins, te focaliser dessus. Merci pour ta douceur sandstorm. Oui tu as raison, si j'entends "je t'aime encore mais je ne peux pas" je serai peut-être capable de me mettre en attente indéfiniment. Il y a sans doute une histoire de timing pas bon dans notre histoire, mais on parle pas de 2 ou 3 mois, il s'agit plutôt d'années de thérapie, de construction, de travail sur soi. Pas les mêmes stades de vie, donc pas d'avenir commun possible. Et pour être tout à fait honnête, je crois que je préfère relever le challenge de faire mon deuil avec toute cette merde floue qu'il m'a laissée, plutôt que de prendre le risque d'entendre quelque chose du genre "je ne t'ai jamais aimée" de la part du mec avec qui j'ai vécu ma plus belle histoire. Ça me bousillerait tout à fait. Même si en vrai je n'y crois pas une seconde, je sais qu'on s'est vraiment aimé, j'ai peur d'entendre ça. Mais là encore, ma psy me dirait "vous faites les questions et les réponses, vous conversez toute seule au lieu d'être dans le dialogue avec lui". Donc bref, je ne sais pas quoi faire, mais je ne ferai pas n'importe quoi - mieux vaut ne rien faire du tout et dans 1 moins j'aurai peut-être plus du tout envie de lui parler. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Georges I. Abdamiaou Posté(e) le 26 juillet 2022 Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 “La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à ne pas penser à ce que l'on fait.” Sénéque. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sandstorm Posté(e) le 26 juillet 2022 Partager Posté(e) le 26 juillet 2022 Mais là encore, ma psy me dirait "vous faites les questions et les réponses, vous conversez toute seule au lieu d'être dans le dialogue avec lui". Donc bref, je ne sais pas quoi faire, mais je ne ferai pas n'importe quoi - mieux vaut ne rien faire du tout et dans 1 moins j'aurai peut-être plus du tout envie de lui parler. Oui je pense que tu es effectivement dans un dialogue interne, avec des questions et des réponses, "s'il me dit qu'il m'a jamais aimé alors ça va me bousiller" "s'il me dit qu'il m'aime mais qu'il peut plus alors je vais penser que c'est une question de timing". La situation est délicate: d'un coté faut te protéger car quoi qu'il te dise ça va te blesser (pour des raisons différentes) de l'autre coté tu voudrais savoir ce qu'il en est. Il n'y a que toi pour décider ce qui est le mieux pour toi courage et prends soin de toi! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 27 juillet 2022 Auteur Partager Posté(e) le 27 juillet 2022 courage et prends soin de toi! Merci sand :bisou: Je vais continuer à panser mes plaies, j'en ai bien besoin.Hier était une belle journée, aujourd'hui je me suis réveillée en pleurant dans mon café, ça fait un mois tout pile depuis la dernière fois que je l'ai vu, la dernière nuit qu'on a passée ensemble, la dernière fois que j'ai vu sa fille, son chien, et la dernière conversation correcte qu'on a eue. Alors je me dis que je vais parler un peu du positif, des belles choses qui se passent dans ma vie quand même. Il y a tous les matins, la lumière du soleil qui me réveille, le ciel bleu et les bruits du village, quand la vie reprend après la nuit. Il y a la fraîcheur de la nuit malgré l'été étouffant. Il y a la rivière verte et sa lumière qui danse en fin de journée, la fraîcheur de l'eau et la chaleur sur ma peau. Il y a les parties de pétanques, les barbecues improvisés, les verres qu'on boit, les cigarettes qui brûlent et les peaux moites, les rires, les sourires, et cette joie qui persiste malgré les circonstances, dont je suis la première surprise - mais elle est bien là, la joie. Il y a tous ces gens qui m'ont ouvert leurs portes, toutes ces épaules qui ont bien voulu que je m'y arrête un instant pour pleurer toutes les larmes de mon coeur, toutes ces âmes qui me donnent un peu de douceur et apaisent un peu la douleur que je ressens en permanence. Il y a mon travail, dans lequel je suis de plus en plus confiante. Il y a ce roman qui grandit en moi, prend doucement forme, qui sera prêt un jour. Il y a la musique, le chant, les concerts à venir. Il y a ce petit mur en moi, pas bien solide, un peu branlant sur les côtés, qui n'est pas encore la muraille de Chine mais qui le deviendra un jour, un petit mur d'amour, de sécurité, qui a pris un sacré coup, qui s'est pas mal effondré sous le poids du chagrin et de la peur, mais dont les fondations sont toujours là, qui attendent d'être reconstruites. Il y a toutes ces choses toutes douces que je ne pensais pas mériter il y a encore quelques années, que je ne pensais pas être capable de vivre. J'ai longtemps pensé que j'étais faite pour le chagrin et la douleur, j'y retournais toujours avec soulagement, parce que je connaissais par coeur mais cette fois c'est différent, je ne veux pas y retourner, je ne veux plus y retourner parce que j'ai aussi le droit d'être heureuse. Il y a la conviction que ça va aller, même si je pleure tous les jours, même si je rêve de lui toutes les nuits, même si j'ai l'impression d'être dans un rêve et que rien de tout ça n'est vrai, il y a une toute petite voix en moi, toute petite petite parce qu'elle n'était pas vraiment écoutée avant, qui dit que ça va aller - et j'ai envie de la croire. Je ne regrette rien de ce qui s'est passé avec ce garçon. Quand on s'est rencontré j'avais peur, la situation n'était pas rassurante, mais j'y suis allée, ou plutôt nous y sommes allés ensemble, je l'ai choisi. J'ai connu ce sentiment de sécurité affective pour la première fois de ma vie, je me suis autorisée à le croire quand il disait m'aimer, et je l'ai aimé lui, et pas une image de lui ou d'une relation rêvée. Je me pensais fragile et incapable de m'aimer, et je me suis découverte aussi forte, fiable, tendre, douce, y compris avec moi-même. Quand on s'est rencontré j'avais peur : peur que ça s'arrête, peur de le perdre, peur que ça ne dure pas, peur d'avoir mal, peur d'avoir peur. Et tout ce dont j'avais peur est arrivé - il n'y a plus à avoir peur. Voilà pour le positif, en attendant la prochaine vague de chagrin.Je vous embrasse Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Selmasultane Posté(e) le 28 juillet 2022 Partager Posté(e) le 28 juillet 2022 Hello Janysse,j'aime beaucoup ton message.je suis admirative de la façon dont tu as conscience des ces petites joies, très "sensorielles" du quotidien( il y a quatre ans, il m'a fallu plusieurs mois et une solide initiation à la méditation pour en arriver là ;) )Bref, montagnes russes il y aura certes, mais les fondations sont là, je n'en doute pas , et ...you're gonna be fine ;) Sinon sur cette histoire de dernière conversation frustrante, (un peu après la bataille) sur ce que dit ta psy .......je suis partagée. Oui 5 minutes de conv tel où on ne s'entend pas bien c'est très frustrant. Dans la rupture qui m'a amenée ici "on" a rompu par téléphone ( appel à mon initiative pour savoir où on était ,il s'est mis à hurler ...bref , grand courage là aussi ) . J'ai longtemps cru qu’une "vraie conversation'" me permettrait d'avancer. Mais au fond je pense que c'est la fin qui me tuait , quelle que soit la forme qu’elle prenait. Et puis comme dit justement ci dessus, il est peu probable qu'il aurait abordé les choses avec sincérité (je crois même que s'il avait eu cette forme de personnalité qui consiste à mettre les sujets sur la table, nous n’aurions pas rompu "in the first place" ) . Bref, parfois il faut juste accepter que l'autre ne nous apportera pas de "closure " ( je suis Jean Claude Vandamme aujourd'hui) satisfaisante,pour plei n de raisosn qui lui appartiennent ( la lâcheté n'en étant pas une des moindres ) et qu'on est les seuls à pouvoir faire les questions et les réponses . :bisou: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 29 juillet 2022 Auteur Partager Posté(e) le 29 juillet 2022 Merci Selma :bisou: Tu as sans doute raison, une discussion de clôture ne m'apportera sans doute rien de plus que du chagrin et de la colère. Je vais prendre encore le temps de me retaper et reconsidérer la chose. Rien ne presse.Aujourd'hui je me suis baignée dans un coin secret qu'on m'a montré il y a 10 jours. L'eau de la rivière est verte et totalement transparente, glacée en raison de la proximité de la source et de la pluie de la nuit dernière. Il y a une petite cascade qui mousse, une toute petite plage, des tas de libellules. J'étais avec 2 copines, nous nous sommes baignées nues dans le soleil. L'eau froide de cette rivière lave tout : la crasse, la peine, la colère. L'angoisse est toujours là, lui toujours dans mes nuits et mes pensées à chaque instant mais je suis en vie, bien en vie, bien là.Je vous embrasse :bisou: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Uranus Posté(e) le 31 juillet 2022 Partager Posté(e) le 31 juillet 2022 Bonjour Janysse,J'ai tout lu, depuis le début....En gros tu sors d'une déception pour te précipiter dans une autre.Mais dans tout ce que j'ai lu j'ai relevé ça "Et ma priorité à moi c'est ma thèse, et je ne veux pas me retrouver à gérer une maison et une enfant de 3 ans alors que je veux me consacrer à mon écriture".Donc voilà ta priorité, cet homme n'est pas (n'était pas) ta priorité.Et In vino veritas a raison, en évoquant un problème de contrôle. J'ai l'impression que tu veux bien les choses mais seulement quand et de la façon dont TOI tu décides que ça se passe.Enfin c'est une hypothèse ;) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 31 juillet 2022 Auteur Partager Posté(e) le 31 juillet 2022 Bonjour Uranus,Merci pour ton message. Mais dans tout ce que j'ai lu j'ai relevé ça "Et ma priorité à moi c'est ma thèse, et je ne veux pas me retrouver à gérer une maison et une enfant de 3 ans alors que je veux me consacrer à mon écriture".Donc voilà ta priorité, cet homme n'est pas (n'était pas) ta priorité. Il l'était, mais pas ma priorité absolue, puisque c'est moi, de la même façon que sa priorité absolue était sa fille (et jusque là ça me paraît plutôt sain). J'ai l'impression que tu veux bien les choses mais seulement quand et de la façon dont TOI tu décides que ça se passe. À quoi fais-tu référence ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Uranus Posté(e) le 31 juillet 2022 Partager Posté(e) le 31 juillet 2022 Je ne sais pas Janysse, plein de choses à travers ce que tu dis, c'est juste une sensation quand je te lis.Par exemple il y a peu :"Dans tous les cas ça ne sera pas cet été, et ça n'arrivera pas tant que je ne serai pas au clair avec moi-même, de ce que j'attends d'une éventuelle discussion de rupture".Donc tu décides quand ça pourrait éventuellement se passer et comment ça devrait se passer. Mais bon pardon, peut-être que je suis à côté de la plaque... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sandstorm Posté(e) le 31 juillet 2022 Partager Posté(e) le 31 juillet 2022 il y a une grosse différence entre attentes et besoin de contrôle.... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janysse Posté(e) le 1 août 2022 Auteur Partager Posté(e) le 1 août 2022 Je ne sais pas Janysse, plein de choses à travers ce que tu dis, c'est juste une sensation quand je te lis.Par exemple il y a peu :"Dans tous les cas ça ne sera pas cet été, et ça n'arrivera pas tant que je ne serai pas au clair avec moi-même, de ce que j'attends d'une éventuelle discussion de rupture".Donc tu décides quand ça pourrait éventuellement se passer et comment ça devrait se passer. Mais bon pardon, peut-être que je suis à côté de la plaque... Je ne comprends pas bien en quoi le fait d'identifier mes besoins, me questionner sur ce qui est bon pour moi ou pas, et ne pas me précipiter dans une temporalité courte, fait de moi quelqu'un de contrôlant. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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