pour tous ceux qui y ont cru

[brunette]

voici ce que j'ai écrit sur mon histoire ( lettre jamais envoyée). je suis en SR depuis 3 mois et ça fait 9 mois qu'il m'a quitté. pour tous ceux qui y ont cru et qui ont aimé... nous méritons tous d'être heureux... je sais que c'est long mais j'espère que ça permettra à tous de relever la tête!

Lettre à toi, beau brun.


Toi et moi, moi et toi. Qui n’a jamais rêvé de décliner ces mots ? En tout cas , moi je pensais pouvoir les conjuguer au présent, au passé et au futur.
Tout m’apparaissait possible, nous étions seuls au monde, là l’un pour l’autre. J’ avais confiance pour deux en l’avenir. J’aimais ta présence, ta peau, ta sensualité, ton écoute, ton intelligence… Tu me donnais confiance en moi et moi, je t’apaisais, je crois. Quel équilibre !
Alors je commençais à y croire. Qui n’y aurait pas cru ? Toi et moi ensemble ça entrait dans le tableau. Et j’arrivais même à te voir le père de nos enfants : la chose la plus importante pour moi, la preuve réelle de mon amour. Et pourtant tout n’était pas si facile.


Avant toi, j’avais perdu confiance en moi, en l’amour… Je crois que j’avais peur d’y croire, peur de me tromper, peur d’être abandonnée. Beaucoup trop de choses pour un p’tit bout de femme comme moi d’à peine 50 kg tout mouillée, tu ne crois pas ? alors autant y aller à reculons, non ?
Mais tu étais si amoureux ! La foudre était tombée sur toi et impossible d’éteindre les étincelles qui brillaient dans tes yeux. Et c’était si facile et si joli de les voir ces étoiles !
Alors, moi aussi, j’ai commencé à visiter la voie lactée : d’abord l’étoile du berger, puis la petite ourse… Et enfin, la grande ourse ! et tu peux imaginer ce que c’est d’atteindre la grande ourse ! C’est pas rien !

Il faut dire que tu avais mis la barre haute. Imaginez-vous le tableau : un bel été, un voyage entre copines en Corse au mois de juillet ( pas mal déjà !). Et ce mois là, avant de partir, je te rencontre. Ironie du sort, on se met ensemble un 14 juillet : un feu d’artifice en perspective. J’te le fais pas dire !
Bref, on est bien, heureux et tout le reste… Comme une fille indépendante, n’est-ce pas, je maintiens mon périple en Corse. Mais attention, les filles, là accrochez-vous et ouvrez grand les oreilles. Tu vas voir comme elles vont être épatées ! Ton charme de grand seigneur va opérer, beau brun ! Et oui, tu décides de prendre l’avion pour venir me rejoindre pour le week-end. C’est pas trop fort et trop chou !
Je crois que tout le monde est tombé des nues : « Putain, il est super raide dingue de toi », « c’est trop beau l’amour ! », « vous êtes trop mignons tous les deux… »… et encore tu n’as pas tout entendu.
En tout cas, je ne sais pas pour toi mais moi je me suis crue dans un conte de fée. Il ne manquait que les violons ! Et encore, à leur place, on a eu les chants corses d’une église, tu te souviens ? Tout était là pour que la magie opère. Et bien sûr, elle a opéré. Elle a si bien marchée qu’on s’est retrouvé dans des drôles de situation.

J’ose le dire… Non, tu ne m’en voudras pas… tu en souriras… Plantons le décor. Nous sommes à Calvi, petite cité où les ruelles s’emmêlent entre elles. J’ai mis une jolie robe bleue, il me semble, qui dessine le peu de formes que j’ai. On mange en tête à tête dans un super resto romantique dans une petite ruelle pittoresque. Puis on va boire un verre sur une terrasse avec vue plongeante sur la mer. On va en faire des envieux ! Et là, je me souviens de ton petit air coquin et de cette demande si particulière, tellement particulière qu’on se retrouve à 4 pattes dans une de ces magnifiques ruelles. Comme dans les films. Sauf qu’on a failli se faire surprendre et qu’on a terminé mort de rire. C’est l’un de mes meilleurs souvenirs : j’ai adoré ce grain de folie qu’on a partagé et que tu peux parfois avoir.
Et cet été qu’on a passé ensemble m’a totalement subjuguée. J’ai aimé cette franchise qui t’a permis de te dévoiler, d’oser te découvrir. J’ai aussi aimé ta certitude que tout allait bien se passer : tu ne doutais absolument pas, il en était hors de question !

Envolé alors les doutes, la peur : un homme qui a eu une histoire sentimentale de 10 ans , même pas peur ! un homme qui s’est fait trompé et quitté, même pas peur ! Et un homme avec un loulou de 4 ans, mais qu’est-ce que c’est ? Comme le dit si bien le proverbe
« l’amour donne des ailes. » ou « L’amour rend aveugle. ». Quitte à choisir, je préfère le premier. Je pense que tu es de mon avis.
Et hop, me voilà propulsée dans une nouvelle vie où petit à petit je m’enfonce douillettement. Et ça me plaît ! première visite à ta famille : on pourrait penser quelle horreur, vais-je plaire ou pas ? les doigts dans le nez ! Ton loulou : va t-il m’aimer, m’accepter ? Tout s’est passé comme sur des roulettes ! et même que moi j’ai commencé à aimer lui lire des histoires le soir, à aller le chercher chez ta maman, à le garder, à lui faire des câlins… Je m’y suis attachée moi, à ce p’tit loup autant qu’à son papa.

Et petit à petit, je nous imaginais bien tous les trois dans notre petite vie. Ne crois pas que je ne doutais pas parfois ? C’est pas si simple de prendre quelqu’un qui a un passé si pesant, tu sais. Mais, malgré tout, je croyais en toi, en nous : pour moi, tu avais droit au bonheur après tout ce que tu avais traversé. Et moi aussi. Je te prenais avec les bonnes et les mauvaises choses. Mais parfois ce n’est pas suffisant, n’est-ce pas ?
C’est le moment de sortir les mouchoirs, je crois. En tout cas, moi, j’en ai usé des dizaines et des dizaines ! Une vraie fontaine… Mais on aurait tous fait pareil. Par où commencer ? Après cette idylle, on en est venu à commencer à rentrer dans le train-train quotidien : métro, boulot, dodo. J’exagère quand même… Enfin, j’avais envie de me poser. Qui peut m’en faire le reproche ? 27 ans, jeune, jolie ( il me semble), agréable et cetera, envie d’être heureuse, de devenir maman. La vraie trentenaire dans toute sa splendeur ! ( même si je ne les ai pas encore). Et en face de moi, un homme, un vrai, la trentaine passée, papa, la tête sur les épaules… Tout ce qui fallait pour que l’alchimie prenne et que l’on aille dans la même direction…

Oui, je sais ce qu’on a pu me dire. Il a une histoire compliquée avec son ex et il y a le loulou qui maintiendra toujours ce lien, tu es sûre qu’il en est sorti de cette histoire ? Il a beaucoup souffert, il n’est peut être pas remis. Ca ne va pas être facile avec un enfant, il va forcément poser des difficultés…. Et j’en ai entendu d’autres, tu sais. Mais je ne voulais rien entendre, pourquoi tu n’aurais pas eu le droit de recommencer ta vie et d’être enfin heureux ! Pourquoi je ne pourrais pas te rendre heureux et faire que tu oublies tout ça ? Foutez-nous la paix avec vos ondes négatives. Moi, je sais ce que je veux et ce à quoi je crois ! A la poubelle ces prédictions à la con ! On est assez grands, non, pour savoir ce qu’on a à faire. Occupez-vous d’abord de vous et regardez vos vies avant !
D’accord mais dans le fond, ils n’avaient pas tout à fait tort. La fin de notre histoire leur a donné raison. C’est vrai que j’aurais du m’en douter que tu allais me quitter. Il y avait déjà eu des prémices. Je sentais bien que tu n’allais pas fort depuis quelques temps. Tu sortais beaucoup et tu me faisais passer au second plan trop souvent. C’est vrai aussi que j’en avais parlé autour de moi de cette distance que tu instaurais et qui m’angoissait. Mais, tu me connais, moi, l’idéaliste, celle qui croit qu’en parlant, qu’en analysant tout peut s’arranger. J’ai voulu que tu parles, j’ai voulu que tu comprennes que je te tendais la main parce que je savais ce que tu ressentais.
Oui, je n’ai pas vécu les souffrances qui ont parcouru ta vie et qui ne t’ont pas épargné. Oui, j’ai grandi pour ma part dans une tour dorée assez solide pour ne pas s’effondrer. Mais je ressentais ta douleur et je comprenais ce qui pouvait te faire mal, te faire peur. Mais, tu n’avais pas envie d’ouvrir la porte et de m’y faire entrer. Tu as été capable de me dire que tu n’y arrivais pas, que tu avais peur de t’engager mais tu n’as pas voulu me laisser entrer dans cette souffrance pour l’apaiser. Tu as préféré me fermer la porte pour te retrouver.
Comment vous expliquez tous ces sentiments qui vous assaillent quand on est quitté ? Le plus dur, tu sais, ça a été cette soudaineté dans cette décision. Tu ne m’avais rien fait ressentir : aucun mot, aucun acte… Et j’en aurais eu besoin, je crois. Me voilà revenue de vacances, toute reposée, heureuse à la perspective de nos vacances ensemble… On en avait eu tellement envie de se retrouver enfin tous les deux en vacances, seuls, reposés ! Ca faisait quinze jours qu’on ne s’était pas vu car j’étais partie sans toi pour le début des vacances. C’est vrai que je t’avais trouvé un peu distant au téléphone pendant mon séjour. Je m’étais posée des questions et je t’avais fait part de mes doutes : « tu es sûr que ça va ? Il y a quelque chose qui ne va pas ? ». Mais, à chaque question, tu trouvais une excuse : « je suis fatigué. J’ai besoin de vacances. Mais, non, ce n’est pas toi… » Alors tu t’imagines bien que je voulais te croire et que je te croyais ! Ca m’arrangeait aussi.

Et puis, tu parlais de nos vacances comme si de rien n’était : le programme était tout tracé et j’étais si heureuse que je n’ai pas insisté. J’aurais peut-être dû… Enfin, ça n’aurait sûrement rien changé. Tout ça a été si brutal et tellement hors de la réalité que personne, même pas nous, n’aurait pu prévoir . Même pas toi ! S’il y a une chose dont je suis sûre, à l’heure où je t’écris ces mots, c’est que tu ne voulais pas me blesser, me faire du mal. En fait, tu essayais de me protéger même, à ta manière… Il me semble que ma plume commence à divaguer dans tous les sens. Pour me suivre, ça doit être difficile : je vais essayer de rester claire.
Reprenons. La veille de notre séparation, nous sommes allés au restaurant comme si de rien n’était. On a parlé de tout, de rien, des vacances, de la rentrée… Peut-être que tu n’osais pas me dire ce qui te tournait dans la tête. Je ne t’en veux pas, ça ne doit pas être facile. Mais je veux juste que tu saches ce que j’ai ressenti… C’est tout, sans reproches, sans drame… Et puis, le lendemain soir, on devait aller à l’anniversaire de ta meilleure amie. Tu m’as appelée pour me dire que tu venais me chercher après le boulot. J’ai été boire un verre sereine, légère, avec Mika en t’attendant. Tu m’as passé un coup de fil me disant que tu arrivais. Je pensais que tu ne garerais pas la voiture, comme d’habitude. Alors, quand j’ai rentré la clef dans ma serrure et que j’ai vu qu’il y avait quelqu’un, j’ai été surprise mais pas inquiète. Je te revois installé sur le canapé. Qu’elles ont du être longues ces minutes à m’attendre ! Moi, dans ma lancée, je t’ai dit : « je passe aux toilettes et on y va ! » Quelle idiote ! J’aurais du me douter que quelque chose ne tournait pas rond ! Mais non, je ne m’attendais pas à ça, en fait. Quand je suis revenue, tu étais exactement à la même place et là, tu m’as dit : « Assieds-toi ! ». tu n’as rien eu besoin d’ajouter. A ces mots, j’ai tout compris : tu allais me quitter et je n’avais rien vu venir ou bien je n’avais rien voulu voir…

Passons sur la suite. Elle est semblable à toutes les ruptures. On l’a tous vécu, n’est-ce pas ? Peut-être pas de la même manière, pas avec la même intensité… Mais peu importe la façon dont ça se passe, on souffre tous et c’est tout. On arrive à la fin, je crois. C’est difficile de mettre un point final à toi, à ces mots mais c’est la vie. Chacun choisit son chemin , parfois certains se rejoignent puis finissent par se séparer…Peu importe, nous suivons tous notre route… Je nous souhaite, beau brun, à tous les deux , bon vent et qui sait ?



Tendrement,


A mon amour perdu.

[admin1760294668]

Salut brunette!

C’est Antoine Peytavin, fondateur de jerecuperemonex.com, le premier site sur la rupture amoureuse selon The Times.
Merci pour ton message ! La communauté va très vite te répondre pour t’aider.

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[sebinou]

Il est magnifique ton texte Brunette. Tu m'as déstabilisé complètement. PFFF....Il n'y a rien a rajouter, tout le monde s'y reconnaitra en parti je pense. Merci à toi, et en ce moment, je n'ai qu'une seule envie: celle de te relire.
Bises, Sébinou

[brunette]

merci beaucoup ca me touche! j'espère sincérement que ça aidera et que ça déliera les langues... j'avais vraiment besoin d'écrire mon histoire pour supporter cette séparation et le SR qui va avec. car c'est vraiment dur de voir que la personne qu'on a aimé n'existe plus ou nous semble si lointaine. après tout ce qu'on a vécu de fort, plus aucune nvelle comme si je n'avais été qu'une parenthèse . et ce sentiment est horrible et j'essaie de le transformer en qqe chose de positif. et j'espère que sur ce forum, on y parviendra ensemble...

[zeflow]

Superbe texte
Raconté avec bcp d'émotions

J'ai failli chialer dès le matin ne me refais pas un truc comme ça stp

Merci,

[camille]

tu fais bien de ne pas l'envoyer : "interdit" ;)
et tu fais bien de le poster ici, ça va surement faire du bien aux autres et à toi aussi :)

[Heme80]

Tu as une très belle plume et on ressent beaucoup d'émotions à la lecture de cette histoire qui est la tienne car on se reconnait tous et toutes à travers les délires en commun, les souvenirs qui reviennent , le sentiment de sérénité que l'on ressentait ....

Je pense que cette lettre n'est pas un interdit en soi, je pense qu'elle est simplement un moyen de fermer un chapitre, peut être même un livre ... Elle est le signe de ton avancée et elle montre que tu n'as pas oublié, que tu vis avec mais que tu as fais tes adieux en quelque sorte et que tu laisses maintenant la poussière du temps recouvrir cette histoire !

C'est bien de l'avoir écrite ici mais perso si je savais traduire mes sentiments de la sorte alors je l'enverrai .. peut être pas tout de suite, mais un jour qui sait ?

L'interdit c'est d'exprimer sa souffrance au plus profond d'elle même, de chercher tous les arguments pour un retour éventuel ! En l'occurrence ce n'est pas le cas, car tu fais signe d'une grande sagesse dans cette lettre !

[brunette]

merci à tous ça me fait chaud au coeur vos messages. Si j'ai pu écrire tout ça c'est parce que j'avais le recul nécessaire. Et oui j'ai pensé lui envoyer ms la situation s'est dégradée entre nous. Je suis en SR depuis 3 mois et monsieur n'a pas daigné le rompre alors il est hors de question de lui dévoiler mes pensées. Il m'a oublié je crois... il n'en a plus rien à foutre!!!
j'espère seulement que mon expérience pourra soulager certains car pour moi l'espoir s'amenuise de jour en jour...

[Fanette]

D'accord avec Heme...Aprés si tu n'en ressens pas le besoin, tu as raison de ne pas l'envoyer, il ne faut pas se forcer à faire quelque chose dont on n'a pas envie!
ça n'a pas grande importance, c'est juste pour satisfaire ma curiosité personnelle: combien de temps êtes vous restés ensemble? Tu n'en parles pas dans ton texte. Tu dis simplement que la rupture remonte à 9 mois et que tu en SR depuis 3.

[brunette]

coucou Fanette, pour répondre à ta question on est resté 1 peu plus d'un an ensemble. et vous avez raison je dois faire comme je le sens ms c'est difficile. je crois que je ne sais pas vraiment ce que je veux et je crois aussi que je lui en veux bcp. et surtout pour moi c'est à lui de revenir et pas à moi!!! s'il ne revient pas c'est qu'il n'a pas avancé ou qu'il a tourné la page définitivement. Qu'en pensez-vous?

[brunette]

coucou à tous,
je suis un peu perdue en ce moment car bizarrement je repense à lui et il me manque ( enfin je ne sais pas si c'est lui qui me manque ou c'est notre histoire.) en tout cas, son silence depuis 3 mois ( aucune nvelle depuis que je suis en SR) me pèse mm si je me sens mieux. j'ai l'impression de n'avoir été pour lui qu'une parenthèse pas importante...
qu'en pensez-vous?

[Fanette]

Difficile de te répondre étant donné que tu n'as plus du tout de nouvelles.
Maintenant ce qu'il te reste à faire c'est d'arriver à mettre un nom sur tes sentiments, savoir si tu l'aimes encore, si comme tu dis c'est lui qui te manque ou bien simplement votre histoire.
Peut être est- ce le moment de reprendre contact tout doucement, ce serait une façon d'en avoir le coeur net, une façon de savoir ce que tu ressens.

[brunette]

je ne sais pas Fanette. pour moi, s'il ne done plus de nvelles c'est qu'il s'en fout et en plus j'ai peur de faire le 1er pas... je ne sais pas comment m'y prendre... on s'est pas quitté en bons termes et moi j'ai trouvé le moyen de piquer une cirse d'angoisse au tel alors je ne sais pas du tout si j'aurais le courage de faire semblant... en plus j'ai effacé son numéro pour ne pas etre tenté. enfin, j"ai peur de savoir qu'il a avancé et moi non. Pfffff ca me prend trop la tete d'etre comme ça ds le flou!

[cristal-clear]

Le post est un peu vieux mais j'ai lu la lettre... Tu as bien fait de ne pas l'envoyer, elle est magnifique, mais en cas de rupture, il ne faut pas envoyer de lettre d'amour... Bon, ça c'est le passé!
Maintenant, regarde le parcours que t'as fait et c'est magnifique! Ca se voit que c'était un amour fort,et pas seulement pour toi, par rapport à ce que tu as écrit, je suis sûre que tu n'étais pas une parenthèse.

Je pense que vu qu'il a pas répondu au dernier sms, tu n'as qu'une chose à faire : continuer sur ta lancée!!

Tu verras, le bonheur refrappera à ta porte et parfois, ça vient quand on s'y attend le moins ;)
Et puis le plus important, c'est d'être heureux pour SOI!!
Pareil pour la confiance en toi, il ne faut pas que cette confiance soi rendue par qqn d'autre ;)
Bonne continuation!

[brunette]

merci pour tout cristal! ca me fait chaud au coeur. mais mm si je crois ne plus avoir les mm sentiments pour lui, je n'ai pas envie de le perdre mm si je continue le SR. je crois qu'il faut écouter son coeur coute que coute. je vous tiens au courant des news et bon courage à tous!