kailash Posté(e) le 17 novembre 2014 Partager Posté(e) le 17 novembre 2014 bonjour riho dans le sens ou j'espérais sans doute qu'il se remette en question .en même temps, c'était quand même peu probable que le gars te réponde tu as raison riho, je suis un sociopathe et mon kif c'est de jouer avec les sentiments des gens ^^pour le reste, je te trouve assez lucide et honnête avec toi même sur les raisons qui t'ont amené à rester englué si longtemps dans cette histoire.du coup, cette mauvaise expérience va surement t'en éviter quelques autres dans le futur.c'est toujours ça de pris ^^bonne journée ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Riho Posté(e) le 17 novembre 2014 Auteur Partager Posté(e) le 17 novembre 2014 Pas exagérée, décalée. Le problème n'était pas l'intensité de ta réaction, mais le fait que tu tombais dans le même panneau que lui (répondre à une souffrance par une souffrance), ce qui suffisait à invalider totalement ton point. Alors qu'en répondant à ses provocations par une rupture, tu lui as montré que tu ne valais pas mieux que lui, que tes belles idées ne te donnent aucune crédibilité supplémentaire, et que mise face à la souffrance, tu réagirais exactement comme lui : en essayant de faire mal. Exact. Mais la réparation inclut d'autres volets, qui ne permettent pas de revenir en arrière : la vie, l'amour-propre, l'espoir, ne se rattrapent pas de la même manière qu'une faute, même quand il est possible de les réparer (ce qui est rare). Oui, je n'avais pas vu les choses de cette manière, jusqu'à ce que tu l'évoques. Je comprends mieux, merci :). Yup. Le problème étant qu'en matière relationnelle, un 0-0 est une double défaite, pas un match nul. Oh, c'est une belle image ! C'est ainsi que l'on se sent, cette impression de défaite, je dirai même d'avoir '"raté" quelque chose. Mais je n'ai pas l'impression qu'il pense la même chose, au contraire. Pour lui une vengeance réussie annule en quelque sorte l'acte de la personne. Quand je lui ai dit pour la lettre, il était complètement passé à autre chose. Moi j'étais restée sur son "manque de respect" comme je l'ai appelé, alors que lui n'en avait strictement plus rien à faire. Enfin, ce n'est quand même pas une attitude que je cautionne c'est sur. Sous prétexte qu'on reçoit une mauvaise nouvelle ou qu'on est énervé, au lieu de l'exprimer tout bêtement, on se "défoule" sur l'autre. Tout le monde a le droit de se mettre en colère, la gestion des émotions n'est pas toujours facile (la preuve avec moi après), mais un minimum après c'est de le reconnaître et de s'en excuser, cela montre qu'on a au moins un peu de considération pour l'autre, non? La "violence gratuite" est un mythe, un cul-de-sac de la pensée critique. Comme tous les avatars du mal absolu "le mythomane fou", "le parfait malhonnête", "la vampire psychique", "le pervers narcissique", "le drogué qu'on doit sauver de lui-même", il ne peut jamais mener à la compréhension, et ne présente donc aucun intérêt communicationnel. On ne peut pas parler à quelqu'un tant qu'on refuse de postuler, même contre son intuition ou sa raison :1°) Qu'il est aussi conscient de lui-même qu'on l'est de soi2°) Qu'il a le même droit à la cohérence et l'incohérence que tout un chacun Je pense quand même qu'il y a des limites au supportable et des degrés de tolérance pour chacun. Je ne sais pas s'il est aussi conscient de lui-même que tu le dis. Il y a des choses que faisait mon ex (comme mentir ou tromper) dont il ne connaissait même pas les raisons. Quand je l'ai questionné, il m'a dit: je ne sais pas pourquoi je faisais ça, pour moi c'était juste un jeu. Après peut-être que c'était un mensonge, avec lui on ne sait jamais. "MA définition" est LA définition. Laisse tomber l'approche déconstructionniste des savants idiots qui prétendent dépsychologiser le langage en essentialisant le monde. Reviens au bon sens et à l'évidence : les mots veulent dire quelque chose de précis, et c'est la vérité qui est un continuum paradoxal et infini. Pas l'inverse. Il y a plusieurs définitions au mot bas/basse, je t'en sors quelques unes: - Peu élevé, moins haut en valeur absolue ou relative- Qui est moindre en grandeur, en quantité, en qualité, en valeur, en rang social- Qui est méprisable, abjectJe prends laquelle, selon toi? Je suis le fils d'une autre folie, d'une autre tradition de connerie, d'un autre rêve de mort. Je ne raisonne pas en termes de normes mais d'essences, parce que je ne cherche pas "un écart-type" mais une vérité. Quand je croise quelqu'un dont je comprends l'erreur, mon but n'est pas de savoir si ma propre erreur est plus grande que la sienne. Mon but est de corriger la sienne, dans l'espoir que ça m'aide à corriger la mienne. Et les autres ne peuvent-ils pas t'aider à également corriger ton erreur ? Parce qu'on en fait tous. Comment savoir qu'elle est LA vérité ? Y a t-il réellement UNE vérité ? Chacun ne peut-il pas avoir sa propre vérité, finalement ? Et puis, c'est quoi au juste la vérité ? Ce qui est vrai pour nous ? Ce qui est vrai pour "tout le monde"? 1°) Que tu avais bien compris que tu l'avais blessé, et qu'il voulait te blesser en retour2°) Qu'il y était effectivement parvenu3°) Que tu ne te vengerais pas, mais espérerais plutôt qu'il comprendrait que poursuivre sur cette pente était inutile Mais je le lui ai dit tout ça, je ne suis pas partie en claquant la porte sans me retourner. Enfin non, je n'ai pas dit qu'il était parvenu à me blesser car moi c'est sa tentative de me faire du mal qui m'emmerdait plus que le fait qu'il critique mes goûts. Donc le désamorçage je l'avais commencé, mais ça ne lui plaisais pas que je lui dise ça, donc il a commencé à dire que je faisais ma victime et que ce n'était pas si grave. Pour me faire mal ce n'est pas grave, mais quand c'est moi qui, involontairement le blesse, là c'est la fin du monde ! Alors ou est la logique ? Comment prendre ce genre de choses? La dernière chose, je ne l'ai pas faite, j'ai hésité à faire comme tu l'as dit, au final, j'ai beaucoup fonctionné comme ça avec lui et je pense que j'ai juste perdu l'envie et la patience pour lui parler. Je me disais vraiment que faire des efforts, si j'étais la seule a les faire ne servait à rien, alors oui, il valait mieux arrêter et je ne regrette ni la lettre, ni d'avoir coupé les ponts, la seule chose ou j'avoue que j'ai merdé, c'est quand j'ai réagis par l'ignorance, surtout que ça n'a rien changé à la situation. Concernant Nazare-Aga, je n'ai lu que son livre sur les parents manipulateurs, je trouve que c'est très bien expliqué et expliqué simplement justement pour être compris par le plus grand nombre. Tout le monde n'a pas une formation de psychologie, ni même un diplôme. Alors certes, on est tous capable de réfléchir et de raisonner, mais j'ai déjà lu des trucs incompréhensibles qui ne correspondaient pas du tout à ce que j'avais vécu. Or, dans les témoignages du livre, j'ai retrouvé des situations bien réelles de ce que j'avais vécu. J'ai l'impression parfois que seules les personnes qui ont vécu avec ce type de personnes peuvent comprendre à quel point ils sont "malades". Certaines poussent même au suicide, alors ce n'est pas rien.Et puis, les mots, les concepts font partis de notre langage non ? Mais je dois avouer que "classer" les gens dans telle ou telle catégorie ne résout pas le problème. Moi ce que je reproche à Nazare-Aga, c'est qu'elle n'a pas traitée le "point de vue" du "manipulateur". J'ai trouvé très bien qu'elle parle des victimes et des moyens de contre attaquer (quoique certains ne fonctionnent pas toujours - j'ai testé et au final, l'ignorance "intelligente" est la seule qui marche). L'autre jour, j'ai lu un article dans lequel une PN avait écrit un livre autobiographique et disait qu'elle n'avait aucun remord sur ce qu'elle faisait subir aux autres (car dans son enfance, elle aurait vécu également l'indifférence à sa propre souffrance). Elle allait jusqu'à remercier ses parents de l'avoir "maltraitée", car elle avait comprit que dans la vie, "si on est pas dominateur, on est dominé". Je me suis interroger sur cette notion. On trouve cette relation un peu partout dans notre société, pas seulement dans sa famille (au travail, à l'école, dans le système politique...). En gros dès qu'il y a hiérarchie, il y a forcément celui qui ordonne et celui qui exécute les ordres. C'est peut-être aussi ce qui favorise ces types de relations?Enfin, tout ça m'a l'air très compliqué. C'est aussi par curiosité que je voulais rester auprès de mon ex, j'essayais de comprendre pourquoi il avait un tel comportement, ça me passionnait de lui poser des questions et de l'écouter parler de son passé et de ce qu'il avait vécu. Il avait l'air d'être en souffrance, malgré les airs forts qu'il se donnait. J'avais beaucoup de compassion pour lui, mais ma compassion et ma bonne volonté n'ont jamais suffit. De toute façon, j'ai abandonné la partie et je pense que je resterai loin de lui et des personnes qui lui ressemblent. @ kailash: c'est clair qu'il n'allait pas l'avouer comme ça oui, tu as raison xD. Merci ;). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perdu de Recherche Posté(e) le 17 novembre 2014 Partager Posté(e) le 17 novembre 2014 Je pense quand même qu'il y a des limites au supportable et des degrés de tolérance pour chacun.Bien sûr. Mais si l'on ne peut supporter ou tolérer l'autre, on ne lui parle pas. Si on lui parle, il faut savoir lui réserver, ne serait-ce que sur le plan dialectique, le même crédit qu'à soi-même. C'est ce qu'on appelle "les conditions de l'amitié logique et rhétorique", sans lesquelles toute communication est mort-née. Je ne sais pas s'il est aussi conscient de lui-même que tu le dis.Je ne dis pas qu'il est conscient de lui-même : je ne le connais pas et ne pense donc rien de lui. Je dis que si tu ne peux pas, le temps d'une discussion, faire comme s'il était aussi conscient de lui-même que tu l'es de toi, la discussion est vide de sens. Parce que si jamais il tombe sur un truc qui lui plaît pas ou que tu lui montres que son comportement est injuste/déraisonnable/vil, tu lui laisses la possibilité de se dédouaner en te répondant "C'est parce que je ne suis pas conscient. Je ne plane pas à tes hauteurs. C'était à toi, puisque tu sais tout mieux que tout le monde, y compris mes propres scories, d'anticiper et de t'en protéger". Et ... tu n'a plus rien à répondre, il t'a foutue à la masse. Il y a des choses que faisait mon ex (comme mentir ou tromper) dont il ne connaissait même pas les raisons. Quand je l'ai questionné, il m'a dit: je ne sais pas pourquoi je faisais ça, pour moi c'était juste un jeu. Après peut-être que c'était un mensonge, avec lui on ne sait jamais.Ce qu'il exprimait, de manière pudique, c'est que le caractère irréductiblement virtuel de votre relation vidait de sens et déresponsabilisait chacune des parties. Et les autres ne peuvent-ils pas t'aider à également corriger ton erreur ? Parce qu'on en fait tous.J'en tiens compte ici :Mon but est de corriger la sienne, dans l'espoir que ça m'aide à corriger la mienne. Comment savoir qu'elle est LA vérité ?En comprenant que la vérité épistémique n'est ni la vérité subjective, ni la vérité objective. Et en s'attachant à la recherche du sens plus que de l'information (discipline que peu de gens s'imposent de nos jours). Y a t-il réellement UNE vérité ?Oui. La solution de ce paradoxe pour enfants de 10 ans qui vient de voir matrix tient d'ailleurs dans son énoncé. S'il est vrai que la vérité n'existe pas réellement, la vérité existe. Dire que personne ne peut jamais rien écrire d'objectif, c'est déjà prétendre écrire quelque chose d'objectif. Admettre qu'il n'existe pas de vérité générale, c'est poser une vérité générale sur la vérité générale. Un plouc illettré du siècle dernier comprenait d'ailleurs ce genre de choses sans qu'il soit besoin de les expliquer. Le problème est qu'on a détruit le langage (et par lui, le bon sens), à tel point que des bacheliers puissent désormais se poser réellement ce genre de questions sans que la réponse, évidente, ne les cueille. Chacun ne peut-il pas avoir sa propre vérité, finalement ?Chacun a son sens subjectif de la vérité. Ce qu'on appelle couramment "l'opinion", pour éviter les amalgames entre "la vérité" et "les vérités". Et puis, c'est quoi au juste la vérité ?La vérité objective est la compréhension holistique et illimitée du cosmos à un instant t. La vérité épistémique est la création de sens, par l'abstraction, qui permet de transcender le carcan de son ressenti individuel. Le sens subjectif de la vérité est la somme des opinions et des ressentis de quelqu'un quelque part à un moment. Mais je le lui ai dit tout ça, je ne suis pas partie en claquant la porte sans me retourner. Enfin non, je n'ai pas dit qu'il était parvenu à me blesser car moi c'est sa tentative de me faire du mal qui m'emmerdait plus que le fait qu'il critique mes goûts. Donc le désamorçage je l'avais commencé, mais ça ne lui plaisais pas que je lui dise ça, donc il a commencé à dire que je faisais ma victime et que ce n'était pas si grave.Alors la forme était mauvaise. Pour me faire mal ce n'est pas grave, mais quand c'est moi qui, involontairement le blesse, là c'est la fin du monde ! Alors ou est la logique ? Comment prendre ce genre de choses?Les gens sont égoïstes, et l'égoïsme est une logique. Ca répond à ta question ? Concernant Nazare-Aga, je n'ai lu que son livre sur les parents manipulateurs, je trouve que c'est très bien expliqué et expliqué simplement justement pour être compris par le plus grand nombre. Tout le monde n'a pas une formation de psychologie, ni même un diplôme. Alors certes, on est tous capable de réfléchir et de raisonner, mais j'ai déjà lu des trucs incompréhensibles qui ne correspondaient pas du tout à ce que j'avais vécu. Or, dans les témoignages du livre, j'ai retrouvé des situations bien réelles de ce que j'avais vécu.C'est parce que tu as été habituée à mélanger "témoignage" et "théorie". On t'a perdue, par cet hyper-relativisme creux sur la vérité et les vérités de chacun comme tu le démontres plus haut, on a détruit l'idée de la vérité objective à tel point que tu n'aies plus accès au bon sens, et on a parallèlement fait monter en flèche le sentiment d'importance de la vérité de chacun. Ce qui a créé une race d'esclaves, stupide, sans verbe, sans raisonnement, à la poursuite éternelle de témoignages qui ressemblent à leur propre histoire, pour combler la disparition de la théorie.On a fait venir des experts et et des scientifiques, des analystes, sur les plateaux télé que ta redevance paie. Et quand tu les regardais, après 35 "pages de publicité", on ne leur a pas demandé le sens des évènements, on leur a demandé des témoignages. On ne leur a pas demandé des idées, mais des sentiments. On ne leur a pas demandé "Monsieur le Ministre, comment analysez-vous les causes de la crise en Ukraine ?". On t'a juste montré des images moches de gens qui saignent, et on a demandé : "Monsieur Fabius, nous venons de voir ces images ... *silence éloquent* Est-ce-qu'elles vous choquent ?". Et c'est par cette arnaque omniprésente qu'on a battu en brèche la notion de vérité, pour t'empêcher de réfléchir. C'est ce qui fait que tu as acheté plusieurs livres de Nazare-Aga, et sans doute aucun de Confucius, de Descartes ou de Spinoza. Le système veut que tu sois con, et chaque fois que tu oublies de résister, on en profite pour t'enculer un peu plus profond. Et Isabelle ne fait pas autre chose, elle étaie des théories faibles et qui se démontent en 10 minutes par une rhapsodie ininterrompue de "témoignages". Voilà la vérité. J'ai l'impression parfois que seules les personnes qui ont vécu avec ce type de personnes peuvent comprendre à quel point ils sont "malades". Certaines poussent même au suicide, alors ce n'est pas rien.Le suicide n'est rien, pour qui a fait sa paix avec la mort. La question n'est pas celle des conditions ou du timing de la mort, mais celle du sens. Et puis, les mots, les concepts font partis de notre langage non ?Nous n'avons plus de langage. Les mots ont été déformés, les concepts relativisés, et il ne reste plus rien. Quand tu dis à une adulte francophone que tu la tiens pour une personne basse mais que tu veux l'aider à s'élever, elle te demande de définir "basse", et si elle doit le prendre dans le sens de "pas haut", comme pour une table. Comment me faire croire que le langage existe encore ? Mais je dois avouer que "classer" les gens dans telle ou telle catégorie ne résout pas le problème. Moi ce que je reproche à Nazare-Aga, c'est qu'elle n'a pas traitée le "point de vue" du "manipulateur".C'est parce qu'elle veut des "témoignages de victimes" et non des "points de vue manipulateurs", pour faire croire aux esprits faibles que ses imbécilités tiennent debout. L'autre jour, j'ai lu un article dans lequel une PN avait écrit un livre autobiographique et disait qu'elle n'avait aucun remord sur ce qu'elle faisait subir aux autres (car dans son enfance, elle aurait vécu également l'indifférence à sa propre souffrance).C'est une victime, comme les autres. Elle est victime dans la même mesure que toi ou tous ceux qui parlent sérieusement de "pervers narcissiques" : on l'a conditionnée par l'usage d'un jargon qui vise précisément à tuer la vérité, c'est-à-dire la complexité infinie des relations humaines, pour lui faire admettre l'idée d'une "nature psychologique" essentialisée. Elle allait jusqu'à remercier ses parents de l'avoir "maltraitée", car elle avait comprit que dans la vie, "si on est pas dominateur, on est dominé". Je me suis interroger sur cette notion.Et bien tu as perdu ton temps. C'est un cliché de méchant de disney, ou de gamin idiot qui a mal lu Nietzsche à 13 ans. Et si elle est majeure, on ne peut sans doute déjà plus rien pour elle : elle a intégré la novlang au point de se fermer à l'évidence. A savoir que personne ne raisonne en des termes aussi primitifs et stupides, même les pires vilains pas beaux de la galaxie. On lui a vendu du cliché, et elle s'est changée en cliché. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Riho Posté(e) le 25 novembre 2014 Auteur Partager Posté(e) le 25 novembre 2014 J'ai lu attentivement tout ce que tu as écris, dans l'ensemble, je suis d'accord. Malheureusement, on ne peut pas faire vivre une relation seul(e), de toutes les manières j'ai laissé tomber une bonne fois pour toute, je suis tranquille et j'en viens même à me dire que j'étais vraiment folle de rester avec un mec pareil. En tous les cas, ta participation m'aura aidé à me souvenir de beaucoup de choses que j'avais lu, dont certains écrits d'Eckhart Tolle.Je dois aussi remercier les personnes sur ce forum avec lesquelles j'ai échangé durant une période très difficile. Les conseils du site sont également très utiles. Bref, je vous souhaite à tous bon courage et bonne continuation!A bientôt :). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perdu de Recherche Posté(e) le 26 novembre 2014 Partager Posté(e) le 26 novembre 2014 A toi, surtout, mignonne. Si tu as besoin, n'hésite pas à repasser. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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