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Amoureux et victime d'une suicidaire....Mais que voulez-vous, j'en re-demande (Chapitre 1).


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Bonsoir à tous et toutes,


Confessez son histoire est pour moi aujourd'hui primordial, si en supplément, certains souhaitent me conseiller et m'aider, ce n'en sera qu'un bonus pour moi....


Je rencontre mon ex via internet en Novembre 2012. A cette époque je vis en Province, elle à Paris...200 km, pas le bout du Monde. Surtout qu'à l'époque, j'ai pour intention de rentrer en Région Parisienne, dont je suis originaire, à moyenne échéance.

Mi-Novembre 2012 donc, première rencontre dans Paris, à une terrasse de café. Premier contact et...bof... de part et d'autres. On se quitte après une heure de discussion, et pour moi c'est sans lendemain. Je rentre donc chez moi à Tours, et, malgré tout, dans le doute, quelques jours après, je prends des nouvelles par sms...Réponse quasi-instantanée de la demoiselle.

De fil en aiguille, re-rdv 15 jours plus tard dans Paris (à l'époque j'y passais un week-end sur deux pour des raisons familiales) pour un déjeuner. Là, la demoiselle a mis les petits-plats dans les grands, sexy, souriante, un soupçon de mystère...Je me laisse séduire et 30 minutes après mon arrivée elle m'embrasse fougueusement dans la rue. Je me souviens d'ailleurs avoir eu un mouvement de recul, par surprise, non pas par dégoût, soyons bien clair....


S'ensuivront entre elle et moi, 9 mois d'allers et retours partagés Paris/Province tous les week-ends.


En Juin 2013, nous prenons la décision d'emménager ensemble dans l'Essonne. Je déménage donc et pose ma démission et mon préavis de logement en Province. De son coté, étant sur place, elle se charge de nous trouver une location. Tout s'organise début Septembre et je dois dire qu'à l'époque, je suis sur un nuage, sur à 200% d'avoir trouvé la Perle, la Femme de ma 2nde moitié de vie (j'ai 45 ans, je ne l'avais pas précisé). Dingue d'elle au point de faire 8 heures de route tous les week-ends sans exception de Sept à Déc, mon préavis professionnel courant sur 3 mois. Campant chez un ami en Province la semaine et rentrant "dans mon nouveau chez moi le week-end".


Tout se passe comme prévu jusqu'à ce 9 Décembre 2013.

Ce jour-là, je m’apprête à faire un de mes derniers voyages, en Province. Nous sommes à deux semaines de Noel, et notre calvaire va bientôt se terminer. Ce lundi matin, j'ai un rdv en vue d'un poste à Paris. Je la laisse donc dormir pour me rendre à ce dernier. Je rentre deux heures plus tard et la retrouve inanimée dans notre lit, des médicaments épars tout autour d'elle. Je parviens à lui faire reprendre conscience et préviens le Samu instantanément. Dans son semi-coma, elle m'insulte avec une violence que je n'avais jamais vu ni perçu chez elle. Les secours arrivent, tentent de la raisonner sans succès, elle me vomit sa haine, tente de me frapper....Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, je ne sais que répondre, c'est un cauchemar et je vais me réveiller...Le Samu l'emmène à l’hôpital le plus proche et me demande de suivre une heure plus tard.

Arrivé sur place, je suis pris à l'écart par le personnel hospitalier qui me fait part de son inquiétude quant à son état. Je passe ensuite, dans la chambre, l'une des pires après-midi de ma vie. Elle est sanglée sur le lit, hurlant, menaçant de recommencer à la première occasion. Je lui tiens la main, lui caresse le visage. Elle est trop faible pour me repousser mais me crache littéralement au visage, me traite de tous les noms, me désigne responsable de son état...Toutes les 15 mn, je suis obligé de sortir dans les couloirs pour tenter de retenir mes larmes, essayer de réaliser ce qui est en train de se passer...La nuit arrive, elle s'endort enfin et les médecins me conseillent de rentrer chez moi.


Pour ceux qui m'ont bien suivi, je suis sensé ce jour-là, retourner en voiture en Province pour exécuter ma semaine de travail...Ce qui va bien sur s'avérer ingérable. Mon employeur prévenu le soir-même, va de façon extrêmement humaine, m'octroyer un jour de congé, de façon à ce que je puisse rester 24 heures supplémentaires sur place.

24 heures donc après sa tentative, je me retrouve à nouveau dans cet hôpital, voiture chargée, prêt à repartir en Province. La nuit qu'elle a passé sous surveillance n'a pas fait évoluer son état. Elle est toujours semi-comateuse, me fusille du regard...Je me dois malgré tout de reprendre la route, j'ai le cœur en mille morceaux et suis effondré. Je n'ai pas le choix, je dois la laisser à l’hôpital jusqu'à mon retour 4 jours plus tard. Je m'en remets à l'équipe médicale, leur confiant mon bien le plus cher, les suppliant de la conserver en vie pendant mes quelques jours d'absence...


Retour donc le samedi suivant, je n'ai pas eu de ses nouvelles de la semaine, mais l’hôpital m'a prévenu la veille, qu'ils la laissaient rentrer seule à notre domicile!!!???? Vous imaginez aisément mon état sur le chemin du retour. Arrivé à mon domicile, je l'y retrouve. Elle fond en larmes, se jette dans mes bras, dit ne se souvenir de rien...Je souffle, m'effondre à mon tour. Il y a donc un Dieu et il me l'a conservé en vie. Elle m'annonce qu'elle est alors prise en charge, psychologiquement et médicalement et me jure qu'elle s'y tiendra. Plus jamais, selon elle, je n'aurai à revivre tel événement.



Noel 2013 arrive, et avec, mon retour définitif et permanent "à la maison". Les deux mois qui suivront seront les plus intenses que nous vivrons. Nous sommes immensément amoureux, on parle mariage etc...Je retrouve un job rapidement et la vie reprend son cours. Mon ex reprend également son poste et suit son traitement avec sérieux.



Mars 2014.

Un jour comme un autre. Nous sommes en voiture, et soudain l'inimaginable.

Elle : "J'ai quelque chose à t'annoncer"

Moi : "Je t'en prie"

Elle : "Je veux ré-emménager seule dans Paris"

Moi :".................................."

Un choc indescriptible dans mon cerveau, je gare la voiture comme je peux...

Elle : "Je ne veux pas rompre, je veux juste revivre seule pour quelques mois"

Moi : "..........................................."

Elle : "Crois moi, cela nous fera du bien à tous les deux. Donne moi deux mois et on pourra prendre un nouveau départ après"

Moi : "Très bien, si ta décision est prise, je ne t'en empêcherai pas"



22 Avril 2014,

elle déménage, s'étant (de façon o combien étonnante) trouvé un appart libre dans le 13ème en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire.



8 jours plus tard, mon (second) calvaire va commencer....


Subitement, elle devient surchargée de boulot, n'ai plus que très peu disponible, change radicalement de comportement, de discours à mon égard. Exit "la plus belle chose qui lui soit arrivée dans la vie", je deviens subitement un mec pétri de défauts. On se voit le week-end, mais ces périodes virent aux engueulades et aux conflits permanents. Je checke régulièrement sa trousse de toilettes. Les quantités de médicaments qu'elle s'envoie sont phénoménales. Je m'en inquiète, demande à rencontrer son médecin...rien n'y fait, refus sur toute la ligne. Et nouvel ultimatum de sa part : "On fait une thérapie de couple ou je te quitte...."



30 Juin 2014, troisième rdv chez le psy.

Elle : "Docteur, on va s'arréter là, celà ne sert à rien, je ne sais pas ou j'en suis avec mon conjoint"

Le Psy : "Monsieur, qu'en pensez-vous?"

Moi : "Docteur, je pense que son traitement est en train de faire des ravages"

Le Psy : "Je partage votre avis. Madame souhaitez-vous que l'on en parle?"

Elle : "Je n'ai plus rien à vous dire. Au revoir"

Elle se lève, quitte le cabinet sans un regard pour moi. Je ne le sais pas encore mais je ne l'a reverrai et ne lui parlerai plus pendant 4 semaines....



26 Juillet 2014.

On a convenu d'un rdv dans Paris elle et moi. Ce rdv a pour but de "faire le point".

Ce rdv se transforme instantanément en cours de tribunal.

Elle sort de son sac plusieurs feuilles de papier. Des listes à n'en plus finir. Des listes....de mes défauts!!!!!!

Je reste calme, tout du moins au début. Au bout d'une heure et demie de reproches en tous genres, je me lève, lui adresse un doigt d'honneur, et quitte le restaurant en silence sans avoir pu toucher à mon dîner.


Ce soir-là, j'aurais du monter dans ma voiture, démarrer et l'oublier me direz-vous?

Ce soir-là, je suis monté dans ma voiture, j'ai démarré...et me suis effondré en pleurs.

Dix minutes plus tard, je la harcelais au téléphone, la suppliant de me reprendre. S'ensuivirent 45 minutes à m'humilier dans la rue, en public devant sa porte d'immeuble...Menaçant d'en finir. Pathétique, minable et puéril. Ce soir-là, celà se terminera chez elle dans son lit, à faire l'amour jusqu'au lendemain matin.



13/23 Août 2014

Vacances agréables, ensemble dans le Gard. Projets d'avenir à nouveau, ça y est on est sur les rails, me dis-je.



27 Septembre 2014/ 21h15

Elle vient chez moi passer le week-end, on est en train de boire un verre.

Elle :"J'ai quelque chose à t'annoncer"

Moi : "Je t'écoute"

Elle : "J'envisage d'aller m'installer à Avignon"

Moi : "Et nous?"

Elle : "Ne me fais pas rire avec ça, depuis des mois de toutes façons, c'est chacun pour sa gueule, non?"

Moi : "C'est pour m'annoncer ça que tu es venue ce soir? Prends tes affaires et quitte ma maison"


Ce qu'elle fit instantanément, ajoutant qu'elle était soulagée.

Depuis ce jour, je ne l'ai jamais revu. Elle ne répond plus à mes messages.


Et le plus drôle dans tout ça?

Aujourd'hui je n'ai plus qu'un but dans ma vie, la retrouver!!!

Elle a détruit sa vie, elle est en train de détruire la mienne.

Mais mon amour pour elle est tellement irraisonné que je peux l'affirmer : je l'aime en dépit de tout ce que j'ai vécu avec elle et je ne me remettrai pas de son départ.


Quelqu'un pour me tirer de là?


Bonsoir


Vincent

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Salut ironman2013!

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Bonsoir Vincent,


Je n'ai qu'un conseil à te donner: oublie-la, raye-la de ta vie, ou suicide-toi. Parce que de toute manière, si tu ne la rayes pas de ta vie, elle va elle-même te pousser au suicide.

je peux l'affirmer : je l'aime en dépit de tout ce que j'ai vécu avec elle et je ne me remettrai pas de son départ.
Si, tu t'en remettras. On l'a tous fait, ici.

Les hommes veulent toujours être le premier amour d'une femme.

Les femmes veulent toujours être le dernier amour d'un homme.

Voilà pourquoi JRME existe

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Bonsoir Vincent,

Je me reconnais beaucoup dans ton histoire, sauf que je suis à la place de la fille (moi 35 ans, mon ex 45 ans), et que lui ne me cours pas aprés. lol mais j'aimerai bien.

Déja tu parles du suicide dans le titre mais c'est bizarre, c'est venu comme ça? Elle etait depressive avant? qu'est ce qui a cloché dans la relation pour qu'elle en arrive là? que s'est il passé dans sa tête? pourquoi n'a t elle pas recommencé?

Ce serait interessant de savoir tout cela. De même, tu ne parles pas de ce qui n'allait pas dans votre couple: ses reproches.


Pour la petite histoire, quand j'ai rencontré mon ex il avait plein de nanas, j'etais une de plus sur internet et il ne voulait pas sortir avec moi. Moi non plus, je ne savais pas trop si je voulais aller plus loin avec lui mais j'ai cru que lui si. Un soir ou il me fait la bise langoureusement, on finit par s'embrasser. J'ai cru qu'on etait ensembles. Il m'a toujours dit que c'est moi qui l'ait embrassé, que lui ne m'aurait jamais embrassé, bref... On continue à se voir. Il me fait la cour. Il est agréable, présent. Cette relation me fait du bien et je décide de continuer à le voir. Suite à une engueulade avec mes parents qui me mettent à la rue, je me retrouve à vivre chez lui un peu précipitamment, mais ça se passe tellement bien avec lui, que j'en tombe amoureuse. Je suis heureuse. Lui aussi tombe amoureux mais plus tard, quelques semaines/mois plus tard. Nous vivons pleins de moments d'amoureux trés intensémment et nous parlons mariage, bébé. Je tombe même enceinte. Aprés cela, il commence à devenir franchement désagréable, à être moins sympa, puis carrément à me gueuler dessus. Il est chiant, autoritaire, trés jaloux, possessif, cherche à me controler. C'est comme si j'etais devenu acquise. J'apprends aussi qu'il m'a menti par rapport à une ex qu'il a revu dans mon dos. Je ne suis pas trés contente. J'essaie d'en savoir plus mais il fouille dans mon telephone et s'aperçoit que j'ai essayé d'aller sur son ordi. Il devient violent, rompt, me demande d'avorter.

Je retourne chez mes parents.

Quelques jours aprés, il s'excuse, revient vers moi, redevient tout gentil. Nous partons en vacances ensembles, ça se passe à merveille. Il me parle de réemmenager ensembles en Septembre. Je suis heureuse de ce nouveau départ.

L'année qui suivra ne sera que des periodes comme celle ci de rupture car il me pousse à bout et de retrouvailles, de voyages qui se passent bien. Je prefère être avec lui, que sans lui.

Aprés une Nième rupture, j'ai décidé de me prendre mon propre appart, en me disant "c'est juste 2/3 mois, histoire de ne pas être dependante de lui (ni de mes parents). On fait une mise au point. On repart sur de bonnes bases et si tout va bien dans quelques semaines/mois, je réemmenage avec lui"

Il m'en a voulu enormement de me prendre un appart, me disant que si nous ne vivions pas ensembles, nous n'etions pas un couple. Mais quand je vivais avec lui, il me pourrissait constamment en me repochant d'être dépendante de lui, de vivre chez lui et il voulait que je paye la moitié de tout, alors qu'on n'a pas du tout les mêmes revenus. J'etais d'accord pour payer mais pas la moitié, un prorata en fonction des revenus. Et puis je ne me sentais pas du tout chez moi. il decidait de tout sans me demander! je ne pouvais même pas décider des depenses, donc je n'etais pas d'accord qu'il m'impose cela, mais pour moi nous allions reussir à trouver un terrain d'entente et nous nous aimions malgré tout. Nous avions commencé une therapie de couple

Là ça a cassé pour de bon je crois.

J'ai pris conscience aussi qu'il prenait toute la place et ne m'en laissait pas assez.(dans la relation)

Bref, tu dois te demander ou je veux en venir?

He bien, même si tu ne le vois pas, peut être qu'il y a eu dans ton comportement, dans ta façon d'être des choses qui lui ont déplu, ou simplement qu'elle n'etait pas heureuse avec toi et elle t'en a voulu de cela. Elle a du etre usée par des choses/situations répétées qui ne lui allaient pas et elle a fini par juger qu'il vallait mieux arreter. ça n'a rien à voir avec ses pbs psy ou ses medicaments. quand tu aimes quelqu'un et que tu es bien avec, tu restes.

Je pense que si j'ai eu besoin de me prendre un appart, c'est que je n'etais pas complètement bien.

Malgré toute nos difficultés. Il me manque et je serai prête à lui redonner une chance (je dois etre maso) mais là c'est lui qui ne donne plus signe de vie. Je pense qu'il a qq1.

est ce que tu l'aimais vraiment? est ce que ce n'est pas une image que tu t'es faite d'elle que tu as aimé?

En amour, pour que ça marche, il faut de la réciprocité aussi.

Sinon, si j'ai un conseil à te donner, c'est juste de ressentir. Ressens cet amour que tu dis avoir pour elle et laisser venir et passer tout ces sentiments.

A trop vouloir la récupérer, tu te fais du mal.

Sinon moi aussi ça date du 26 septembre aussi la derniere fois qu'on s'est parlé.Je n'ai plus de nouvelles de lui.

Je vois qu'on vit des ruptures fraiches. Si tu veux on peut en discuter en MP.

Baby, I love you less and less...because of what you've done to me.
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Bien sur, on s'en remet toujours, tu as raison.... si on en a la volonté.
Non... Aucun de ceux qui sont inscrits ici n'a eu la volonté de s'en remettre. Bien au contraire. On s'est tous inscrits dans l'espoir que nous soit révélé LE secret pour récupérer nos ex.

Mais on en est tous arrivés à la même conclusion: ce secret n'existe pas.

Par contre, ici, tu découvriras un truc: ce n'est pas la rupture, qui fait mal. C'est le fait de continuer à croire qu'il y a une possibilité de récupérer notre ex. Tant qu'on s'obstine à ne pas tourner la page, on souffre. C'est d'ailleurs pour ça qu'il y a tant d'inscrits: parce que parler permet d'apaiser la douleur.

Donc si tu veux seulement te confier pour avoir moins mal, le temps d'arriver à décrocher, ici, tu trouveras ton compte.

Mais si tu veux arrêter de souffrir, tourne la page.

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Ce n'était pas sa première ts. Mais la 3ème. Je l'ai appris par hasard, lorsqu'elle était à l'hopital. C'est son fils qui me l'a confié, en ajoutant que la vie de sa mère était définitivement un éternel recommencement.


Quant à mon comportement, évidemment j'ai de bonnes raisons de m'en vouloir, j'ai été régulièrement odieux, maladivement exigeant...Mais je pensais que l'amour permettait de passer par-dessus tout...

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Je ressens beaucoup de peine, et pour cette femme et pour toi. Elle a l'air tellement malheureuse dans sa vie, pour en être rendue à 3 TS ce n'est pas rien.. Et toi je te sens impuissant face à cette situation, tu essaies de faire de ton mieux mais elle semble perturbée à un point que même si ton comportement avait parfois été moins dur avec elle, je ne suis même pas certaine que cela aurait amélioré la relation. Ce mal qui la ronge est plus profond à mon avis.

Tu n'as plus du tout de nouvelles d'elle directement ou tu arrives à en avoir par des proches en commun ?

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Dure dure ton histoire. Tu as dû en chier on comprend.


J'aurais bien envie de te dire aussi de l'oublier. Ce qu'on me dit de faire également avec la mienne actuellement. Qui fait tout et n'importe quoi (mais pas à ce point quand même, pas les cachetons, ni suicide, enfin pas encore...). Pour moi j'ai l'impression que ce sont des nanas perdues pour la France comme on dit...

On croit qu'on peux être son "sauveur", on se dit qu'elle va ouvrir les yeux, réaliser... bah c'est une chimère.

Tu pourras tout faire pour elle, vouloir l'aider, être le mec le plus parfait au monde, ça ne changera rien. Il y a des personnes qui se complaise dans les emmerdes, dans la destruction, alors que pourtant tout va bien et que ça pourrait être une belle histoire.

Dis toi surtout, mais SURTOUT, que tu n'as rien à te reprocher, tu n'as rien fait de mal sinon l'aimer, l'aider, être là. Ca fait mal mais bon. Se dire qu'on a rien à se reprocher en plus...

Sans doute que tu la reprendras, et ça se passera hyper bien une semaine, un mois. Et ça recommencera (vécu). Pour un rien, une connerie, un prétexte qu'elle aura pour partir et t'en mettre plein la tronche... J'ai bien dégusté comme ça.

Ces nanas là, c'est un combat permanent... alors à toi de voir si tu veux perdre des mois, des années de ta vie. Ou dire stop pour de bon.

Après je vis le même truc... donc j'ai bon dos de te dire ça. mais bon moi ça va un peu mieux, ça passe doucement même si j'ai encore ramassé le week-end dernier, par ma faute.


PS : Figasec à totalement raison dans tout ce qu'il dit. Du moins je pense pareil.

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Ah oui effectivement, j'avais oublié ça. Période longue de bonheur tout de même.

Ecoute, sincèrement je te le souhaite bien sûr. Mais bon comme je l'ai lu ici une fois, chaque histoire est différente. Ton amie a pas mal de points communs avec la mienne niveau comportement. Actions irréfléchies, brutales, sans prévenir. Impulsive, qui agit dans l'instant... Alors que 5 mn avant c'était le bonheur.

Bon la mienne est pas extrême comme toi quand même (jamais d'hosto ni rien, du moins ce que j'en sais avec moi).

Moi j'ai passé mon temps à douter, à ne jamais être tranquille totalement avec elle, me demandant ce qu'elle allait pouvoir encore faire le lendemain. Chaque soirées chez les amis, était totalement pétée, je l'ai porté au lit plusieurs fois.

Je lui ai parlé sérieusement, mais doucement entre 4 yeux 15 fois, le soir à table. Elle disait que "oui, j'avais raison"...

Mais pfff ca continuait.

95 % du temps c'était parfait. Mais dès qu'elle avait un truc qui ne lui plaisait pas, elle se barrait, pour revenir ensuite la bouche en coeur...

Ce week end j'ai merdé. On s'est vu, elle se tape un jeune mec, comme ça, pour passer le temps... Elle a pleuré dans mes bras, on s'est embrassé, elle etait un peu ivre... elle me parlait de la mort de son père (ca revient souvent ça)... que je n'avais pas vécu ça....

Que veux-tu faire ???? Bah tu te lèves et tu quittes les lieux, hagard. Tu rentres chez toi et tu te demandes comment tu peux être dingue d'une femme pareille... je l'aime à un point pas possible mais il ne faut plus.

Et surtout, surtout, tu penses à autre chose.

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J'ajouterais que te demander de l'argent... euh.... bof bof quoi.

Ne le fais surtout pas.

après sur ce site, tu liras toujours une histoire un peu similaire à la tienne. Ca aide de voir qu'on est pas le seul à qui ca arrive... et écrire ici, ça aide à remonter la pente. Mais il ne faut pas s'enfermer dans ce site non plus, à y chercher une solution miracle comme dit figasec, y'en a pas. D'ailleurs toi tu n'as rien à faire. C'est à elle de changer et de tout faire pour toi (vu ce qu'elle t'as fait...)

Après, le fera t'elle....

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Je pense que tous les conseils qui t'ont été donnés sont justes. Si tu veux essayer de t'en sortir, essaie de les suivre même si c'est difficile. Ça fait mal, mais accepte la situation et la souffrance si tu désires passer à autre chose.

Moi aussi, larguée du jour au lendemain, après m'avoir accusé de l'avoir détruit pour se mettre en couple quelques semaines après et crier au bonheur. Je peux te dire que je morfle dur, mais j'ai décidé d'accepter sa décision même si pleure tous les soirs. Essaie de lire des histoires sur le forum, tu verras que les ruptures brutales et violentes sont assez communes.

Courage. Si tu veux parler, on peut se mp aussi. Ça aide également.

"Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie" (Proverbes 4.23).

http://www.jerecuperemonex.com/forum/votre-histoire/attaque-mon-4ieme-mois-rupture-toujours-aussi-mal-t45810.html#p916764

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