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PDR,

OP+1

Ça veut dire quoi ?

D'accord avec le premier post du fil (en l'occurrence, le tien). L'OP dans ce thread, c'est toi/le message original. +1 marque l'assentiment.

 

C'est sûr, j'ai ouvert ce truc en parlant délibérément des gens qui ressentent vraiment la peur et l'angoisse, pour comprendre comment on pouvait passer du "je t'aime" un jour au "oh mon Dieu j'y arriverai jamais" le lendemain. Ceux dont tu parles, on sait généralement à quoi s'attendre dès le départ puisqu'ils ne promettent rien (à moins d'être des personnes particulièrement détestables jouant avec les sentiments des autres mais c'est une autre histoire).
*Prend son air le plus candide pour siffler Carmen*.

"La perversion de la cité commence par la fraude des mots."


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BRAYAN FAN #1

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Après, lorsque je parlais de dilution, ce n'était pas une notion quantitative...
La dilution est toujours une notion quantitative. "Diluer" c'est faire "moins" de quelque chose en le mélangeant dans "plus" d'autre chose.

 

Enfin, oui, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi certains phobiques se tournent vers des relations multiples, courant ainsi le risque de multiplier les angoisses.
Justement, c'est ce qui ne tient pas dans ton idée. Je crois que les phobiques, surtout, évitent les "relations". Ils peuvent multiplier les partenaires, mais ils ne multiplient pas les relations. Fous donc un phobique de l'attachement à mon régime et vois comment il dort après 2 semaines, je te promets que ça vaudra son pesant de cacahuètes ...

 

Après, j'aime à penser que le sentiment amoureux qui désarçonne et qui bouleverse est difficilement multipliable mais c'est mon avis...
Je ne sais pas. Quand j'aime vraiment une femme, je ne me sens pas vraiment désarçonné (et non, ceci n'est pas le prélude à un jeu de mots foireux autour de l'idée que je vais commencer à la monter, au contraire). J'ai plutôt l'impression de la "reconnaître". Et non seulement des affections parallèles peuvent exister, mais je dirais même qu'elles magnifient cette impression.

 

Quant au désir qui stimule le désir, oui oui, on est d'accord mais Est-ce vraiment le sujet ici?
Je ne sais pas si c'est le sujet ici. Mais c'était clairement un des sujets de ton post auquel je répondais, puisque tu l'as écrit en toutes lettres ...

"La perversion de la cité commence par la fraude des mots."


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BRAYAN FAN #1

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Justement, c'est ce qui ne tient pas dans ton idée. Je crois que les phobiques, surtout, évitent les "relations". Ils peuvent multiplier les partenaires, mais ils ne multiplient pas les relations.

 

Arf, je ne sais pas trop, je pense que certains (phobiques) ont la volonté d'avoir une relation (ou plusieurs) et peuvent avoir envie de se frotter à cette expérience là, tout en sachant que l'expérience est potentiellement vaine. Encore une fois, l'ambivalence est présence chez chacun de nous, peurs et envies peuvent coexister...

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C'est justement le mot objet qui me gêne....


Si bien sûr, tu as raison mais là, on parle des phobiques. Et dans ce cas là, j'ai parfois l'impression que les relations multiples sont plus une stratégie d'évitement pour "limiter" les risques, pour "diluer" en quelque sorte l'affection ou le désir.

Après, bien sûr, il y a une multitude de cas de figure.

Je comprends que ce soit plus facile pour quelqu'un qui est attaché à un phobique de l'engagement, ou à un mec comme PDR qui veut juste profiter de la vie sans s'amarrer à aucun port, et sans en souffrir, de lui chercher des explications. PDR tu as surement subi une rupture très douloureuse pour agir de telle manière aujourd'hui. Ou ta Maman ne t'a pas montré assez d'affection. Ou trop. Ou bien c'est lors de cet été 1979 que...

On a tout aussi vite fait de chercher des explications à leur comportement : stratégies d'évitement, multiplication des aventures pour chercher de l'affection afin de remonter une confiance en soi défaillante...

Encore une fois je ne peux parler qu'en mon nom, si ça peut éclairer : ça m'aurait fait rire si, au vu de mon comportement après la rupture (accumulation des aventures en leur précisant bien à chaque fois les termes du contrat avant), on me victimise en disant "la pauvre, elle doit agir de la sorte pour combler un manque dû au choc psychologique de la rupture etc.". Hum, non. La vérité est bien plus terre-à-terre et sans chichis. Pour vous faire comprendre que parfois, il n'y a pas lieu d'analyser une situation.


Et Miss Brookner pour ton dernier message, oui l'ambivalence est possible, tout comme la personne aux multiples partenaires mais qui ne s'investit jamais vraiment.


Autre catégorie : le phobique qui ne sait pas qu'il en est un et qui multipliera les partenaires en se disant qu'il ne trouve pas "la bonne", jusqu'à rencontrer quelqu'un qui l'interpelle plus que les autres, choisir de rester un peu avec et puis en fait "oh mon Dieu oh on Dieu oh mon Dieu non ce n'est pas possible tout compte fait". Bref, tout est possible.

Qui vole un œuf, n'amasse pas mousse.
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C'est sûr, j'ai ouvert ce truc en parlant délibérément des gens qui ressentent vraiment la peur et l'angoisse, pour comprendre comment on pouvait passer du "je t'aime" un jour au "oh mon Dieu j'y arriverai jamais" le lendemain. Ceux dont tu parles, on sait généralement à quoi s'attendre dès le départ puisqu'ils ne promettent rien (à moins d'être des personnes particulièrement détestables jouant avec les sentiments des autres mais c'est une autre histoire).
*Prend son air le plus candide pour siffler Carmen*.

Chacun son système de valeurs, hein !

Qui vole un œuf, n'amasse pas mousse.
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Merci pour ta réponse About a girl.

Tu as raison, tout est possible.... j'ai ri quand tu as envisagé celui qui te psychanalyserait en direct... Non, bien sûr, cela ne se fait pas.

Le fait est que quand on fréquente quelqu'un qui se rapproche du phobique, on est face à des comportements qui sont parfois complètement destructeurs ou hyper déstabilisants. Alors oui, rapidement, on court le risque de vouloir tout analyser et comprendre pour essayer de trouver un peu de cohérence. Mais c'est une erreur....et en plus c'est épuisant.

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