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Je ne pense pas qu'elle reviendra un jour, raison pour laquelle c'est mieux que je m'éloigne, car elle a raison, cette ambiguité me fait plus de mal qu'autre chose au final.

Non pas parce que c'est ambigu, mais à cause de ce chaud et froid. Elle ne sait pas mettre de limite (et c'est réciproque) mais moi, j'ai envie de la contacter ensuite, meme de manière 'espacée' pour un simple petit échanges de quelques sms pour prendre des nouvelles ou se charier.

Mais je ne veux pas que ce soit en sens unique, donc je me retiens de le faire.


C'est en espérant rien qu'on souffre le moins et qu'on obtient le plus, reste à réussir à revenir dans cet état d'esprit du "je n'attend rien de toi" comme je l'étais samedi avant d'arriver chez elle (et comme c'était le cas en arrivant le mercredi avant le concert où on a recouché ensemble).

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Rien ne t'empêchera + tard de reprendre contact avec elle quand tu seras guéris de cette situation. C'est ce que je me dis. Après reste à savoir si ça sera le cas dans les 2 sens ( je l'espère )
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Et ça te va comme situation ? Bien sûr que non donc même si elle fait un pas, tu dois attendre qu'elle soit plus engagée que ça, qu'elle fasse 10 pas en avant quand tu en fais un en arrière
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le "souci" c'est que l'attraction entre nous est encore tellement forte :\

Elle vient se caler contre moi, et moi je sais pas la rejeter :\ Je devrais pourtant, en lui disant que "ca, c'est réservé à celle qui veut partager ma vie", mais j'adore tellement prendre soin d'elle :\ C'est même limite un "besoin" chez moi de la cajoler :\

C'est pour ca que je dois me tenir bien loin car je suis trop faible pour la rejeter.


La je suis entrain de me taper les 133 pages du topics conseillés par Chybron, et effectivement, je me retrouve un peu dans l'histoire du jeune homme, à la différence près que son ex avait 20 de moins que mon ex... Or (a priori) a 40 ans on agit pas comme a 20 ans, mais bon, les enseignements du topic sont nombreux, c'est là que je me dis à chaque fois, et si j'avais fait ca à ce moment là, et si j'avais ci... je repasse tout ce qui s'est passé depuis la rupture et je me dis que j'ai toujours été trop faible de peur de perdre l'infime chance (imaginaire) de me remettre avec mon ex, mais au final... cette chance (si elle venait à exister un jour) ne dépend que d'elle (puisque de mon côté c'est clair que je démarrerais une autre histoire) et je ne sais rien faire contre ca, juste me tenir en retrait, faire ma vie, et aviser au moment venu (s'il arrive un jour).


Si je propose, elle dispose, mais moi j'aimerais qu'elle propose pour une fois, pour "changer". Voilà à quoi je me sens réduit pour l'instant... attendre un signe de sa part. C'est un constat qui me semble à la fois tellement "love" mais aussi tellement "pitoyable". Pourtant je dois bien me l'avouer, je suis toujours "pitoyablement love" d'elle, donc mieux vaut me tenir à l'écart si elle ne veut me laisser la combler.


Dur dur aujourd'hui car gros besoin de tendresse, d'affection et de complicité, ce que je n'ai plus eu depuis la rupture (excepté lors des moments à nouveau à deux...)

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Je ne vais pas la contacter et si je n'avais pas "du" reprendre mes affaires on ne se serait probablement pas reparlé ni revu.

Elle ne bougera pas vers moi si tu as vu mes postes précédent et je ne veux plus courrir après, une relation ca va dans les 2 sens, ce qui n'était plus le cas depuis longtemps

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Petit partage de certain test de psycho... bluffant... mais tellement réaliste :\


G' aime les femmes enfants.

Celles qui le regardent avec de grands yeux interrogateurs, celles qui ont besoin d'être protégées et s'émeuvent d'un tout petit rien, celles qui croient encore au père Noël. A côté d'elles, G' endosse son rôle de protecteur ! Attention ces grandes charmeuses ont plus d'un tour dans leur sac !


L'obstacle de G' est la timidité.

G' ne se sent pas en mesure d'aimer à sa guise. A la merci de ses émotions, G' a souvent peur du chagrin amoureux. L'échec ou le succès dans ce domaine sont pourtant les deux faces d'une seule pièce : il est impossible d'ignorer cette possibilité avant de savoir de quel côté la pièce retombe ! Mais c'est moins une histoire de chance que d'alchimie. G' a donc peur d'aimer, mais G' peut choisir d'aimer les peurs qui accompagnent nécessairement l'amour afin de mieux les surmonter, et de ne plus s'empêcher d'aimer !

Le remède de G' est ce fameux premier pas qui coûte et que nul autre que G' ne peut faire à sa place !

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