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Journal d'une reconstruction


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Haha,

Déjà je suis un homme. Mais je prends comme un compliment. C'est gentil tout plein. ;-)

Et le cul d'enfer, je sais que je l'ai déjà. C'est ça qui m'agace. J'ai "tout" (enfin beaucoup de choses) pour moi et je n'en profite pas.

"Où sont les femmes ???" ;-)

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Je suis un bonhomme moi. ;-)

Justement, je suis bien trop sensible et sentimental...

ça fait mon charme... Au début seulement. :p

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Je te comprends, je suis aussi sentimental. Il faut se faire un peu violence, on est la pour les rassurer qu'elles se sentent en sécurité et non pas qu'elles se sentent obliger de prendre le role de notre mere.


Aller, vas faire grossir tes muscles, tu verras c'est plus agreables d'avoir a offrir plus de surface pour les caresses, sort amuse toi batifolle et la joie reviendra.


Pour ca faut se comporter en bonhomme et se sortir les doigts du cul, se relever le paquet et bomber le torse, un petit sourire aux levres et c'est le debut de la gloire

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Oui je sais je suis con et j'utilise beaucoup de comparaison douteuse, mais c'est le meilleur moyen selon moi pour en rire et constater qu'on est seul a pouvoir se rendre heureux, car on est la seule personne a prendre soin de nous toute notre vie
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Mais nonnnnnnnn, je n'ai jamais dit que tu étais con.

J'ai dit que ce que tu venais de dire était très juste. C'est quand on ne se prend pas la tête que tout va. ;-)

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Ah mais j'adore rire de moi tu sais. ;-)

Cela ne m'empêche pas d'avoir envie de me foutre des claques un peu trop souvent...

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  • 3 semaines après...

Salut,


J'ai 10 ans de moins que toi mais je me reconnais complètement dans tes posts. Je vais te partager ma manière de voir les choses...


Moi non plus j'ai aucune confiance en moi. Pourtant, "je suis parfait, j'ai pas de défaut". Je fais du sport à bon niveau, des grandes études, on me dit beau gosse, mais j'ai l'impression d'être une sous-merde, de ne servir à rien. Je vis totalement dans le regard des autres, dans l'angoisse d'être jugé. Comme tu dis, 1 personne sur 100 qui me juge et c'est le désastre. Aucun amour propre.


Et moi de mon côté je pense avoir développé une dépendance affective. Je croyais que trouver quelqu'un me redonnerait confiance en moi, mais non. La présence de cette fille, j'en ai fait comme une dépendance, et une angoisse de la perdre. Je lui ai transmis mon anxiété, mon fatalisme, jusqu'à ce qu'elle me largue. Honnêtement j'en arrive à me demander si c'était de l'amour, ou de la pure dépendance affective. Et maintenant j'angoisse sans elle, je me dis que j'arriverai jamais à rester avec quelqu'un toute ma vie, que c'est trop tard, etc.


Comme tu l'as dit, on est comme on est. Mais pour moi le problème vient avant tout de nous. Tant qu'on ne s'accepte pas comme on est, tant qu'on n'ait pas un minimum d'amour propre et qu'on se sent bien seul, dans nos baskets, on ne peut pas construire quelque chose. Alors oui c'est pas facile. J'ai aucune idée de comment faire pour gagner en confiance. Peut-être en se mettant des races et à "foncer dans le tas". J'ai l'impression que c'est la seule solution...

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  • 3 semaines après...
Salut,


J'ai 10 ans de moins que toi mais je me reconnais complètement dans tes posts. Je vais te partager ma manière de voir les choses...


Moi non plus j'ai aucune confiance en moi. Pourtant, "je suis parfait, j'ai pas de défaut". Je fais du sport à bon niveau, des grandes études, on me dit beau gosse, mais j'ai l'impression d'être une sous-merde, de ne servir à rien. Je vis totalement dans le regard des autres, dans l'angoisse d'être jugé. Comme tu dis, 1 personne sur 100 qui me juge et c'est le désastre. Aucun amour propre.


Et moi de mon côté je pense avoir développé une dépendance affective. Je croyais que trouver quelqu'un me redonnerait confiance en moi, mais non. La présence de cette fille, j'en ai fait comme une dépendance, et une angoisse de la perdre. Je lui ai transmis mon anxiété, mon fatalisme, jusqu'à ce qu'elle me largue. Honnêtement j'en arrive à me demander si c'était de l'amour, ou de la pure dépendance affective. Et maintenant j'angoisse sans elle, je me dis que j'arriverai jamais à rester avec quelqu'un toute ma vie, que c'est trop tard, etc.


Comme tu l'as dit, on est comme on est. Mais pour moi le problème vient avant tout de nous. Tant qu'on ne s'accepte pas comme on est, tant qu'on n'ait pas un minimum d'amour propre et qu'on se sent bien seul, dans nos baskets, on ne peut pas construire quelque chose. Alors oui c'est pas facile. J'ai aucune idée de comment faire pour gagner en confiance. Peut-être en se mettant des races et à "foncer dans le tas". J'ai l'impression que c'est la seule solution...

 

Désolé de te répondre si tard DIRAC,


Je pense que tu viens de très bien résumer les choses. Je pense que tu vois clair. Après, le comment s'en sortir, c'est une autre question.


Des fois j'en viens à penser qu'en étant enfant, mes parents ne m'ont pas assez poussé à faire des choses, à me construire, à me dire que j'étais capable (on m'a inscrit dans presque aucune activité extra-scolaire). Au lieu de ça, mes souvenir me font plus penser à des genre de menaces/chantage genre :"Si tu ne réussi pas tes études, tu seras rien dans ta vie". Toujours dans le négatif donc. Je n'ai pas eu de "valorisation" mais plutôt de la motivation par le stress. "Si tu fais mal ... tu vas mal (finir)".


Mais je pourrais aussi rappeler ici que ce que je dis là est une très bonne excuse pour rejeter sur l'autre le problème. Or, je suis aujourd'hui seul responsable de ma vie et c'est à moi de vouloir ce que je veux en faire. Donc mon excuse est mauvaise. ;-) Ensuite, pour être honnête, je ne peux pas dire que mon enfance ait été difficile, j'ai eu des parents aimant qui ont fait ce qu'ils ont pu.


Encore merci pour ta réflexion constructive Dirac. :-)


Ce serait bien que des personnes ici nous offrent des idées. ;-)

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