Loucitrons: - 10 mois: retour raté + fin p.31

[loucitrons]

Lou,

Tu es à un moment charniere de ta jeune vie, profites de ce moment pour te "gainer" mentalement, pour remettre à plat ta vie et ce que tu veux en faire. Rencontres de nouvelles personnes, lit beaucoup, voyages si tu le peux. Tu es une déjà une bonne personne. fait d'etre plus forte encore. Dans peu de temps, la vie te sourira à nouveau, soit en sure.

 

Merci beaucoup Waka! C'est dommage que tu sois de l'autre côté du lac! Tu étais l'homme idéal pour moi! Hahaha.

Sérieusement, merci beaucoup pour tes belles paroles. J'essaie de profiter de cette période maintenant. Je vais lire (et relire) tout ce que je veux. Je vais regarder tout ce que je veux. Je vais voyager et étudier ce que je veux. Je peux faire ce que je veux maintenant. Et je vais profiter à fond de ce temps car je sais que dans quelques années, je serais probablement heureuse, mariée, avec des beaux enfants et probablement trop de trucs ordinaires à faire...comme peinturer le salon et regarder la peinture sécher. Hehhe.

d'ailleurs je me donne comme défi de lire tous les sonnets de Shakespeare.

[loucitrons]

Si je n'étais pas si loin, je te ferais un gros câlin :bisou:

 

QUE DES MÉGA CÂLINS POUR TOI DIANE99!!!

[loucitrons]

Chère Loucitrons,

Le plus doux a été dit, souhaitons-lui le bonheur, le tien se trouve ailleurs: plus honnête, plus attentionné, plus compréhensif, aux valeurs sacrées, celles que tu portes en toi et que tu transmettras un jour à ton enfant, c'est tout le bonheur que je te souhaite.

Donne-toi du temps pour atteindre tes objectifs et réaliser tes rêves. Le meilleur reste à venir, laisse la vie agréablement te surprendre et te faire pleurer de joie pour un bonheur qui ira au-delà de tes espérances les plus désirées...

Je te dédie ce vers sublime d'Alfred de Musset: "Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur" parce que si ta splendeur était déjà notable en acceptant stoïquement la séparation, tu atteins maintenant le haut degré de la pure noblesse...

Je suis avec toi en douces pensées et je t'embrasse.

 

Douce Eva,

Merci beaucoup pour la citation d’Alfred de Musset. Elle est si vraie. Tu sais, je ne sais pas comment j’aurais traversé cette rupture sans la littérature. Je continue de la traverser avec six livres ouverts ici et là : Hemingway (orgasme!), Fitzgerald (Gatsby), Garcia Marquez (L’amour au temps du choléra), Tolstoy (Anna Karenina), Djian (37.2 degrés le matin), Shakespeare (Songe d’une nuit d’été).

De temps en temps, je souligne des passages qui m’inspirent à voir la vie un peu autrement. On dit souvent que les mots n’ont pas de pouvoir, mais ce n’est pas vrai. Les études sur le cerveau financées par Barack Obama ont récemment prouvé que la parole écrite a des grands pouvoirs sur le cerveau! Alors, les mots sont plus puissants qu’on le pense!

Et tes mots, Eva, ont une grande capacité de guérison. J’adore te lire et j’adore ce que tu conseille à moi et aux autres sur le site. C’est si doux. Merci beaucoup. Bisous.

[loucitrons]

je n'ai rien de brillant à dire, mais sache ma belle, que je te lis tout les jours.

j'admire ta force de caractère, ta determination et ta façon de t'exprimer.

l'avenir te souris, il n'appartiens qu'à toi de le modeler à ta façon.

 

Merci pour tes belles paroles! Est-ce que tu as une histoire ici? Dès que je me calme un peu, je passerai sur les autres histoires...question de dire merci. :-)

[loucitrons]

c'est pour toi loucitron, http://www.youtube.com/watch?v=ZIJzF7bpQQc. une chanson ;)

 

Ah! Les Gypsy Kings!!! Merci pour la chanson et tes belles paroles de soutien. Je vais revenir sur ton histoire dès que je prends un peu plus de force. :-) Bises.

[loucitrons]

Radotages

Bonjour Vietnam,

Ce matin, ça va un peu mieux. Je sens que je vais accepter cette nouvelle plus facilement que je l’avais prévu. En fait, cette nouvelle me soulage plus qu’autre chose car l’attente est finie pour moi. Je n’attends personne. Je suis seule. Tout peut arriver dans ma vie maintenant. Je peux faire ce que je veux, sans son regard ou son ombre sur moi. Je n’ai plus à me soucier de ce qu’il va penser. Tout ce que je fais à partir de maintenant, je le fais pour moi. Je suis libre.

J’essaie de comprendre pourquoi il m’a brisé le cœur tant de fois, pourquoi il a été confus tant de fois pendant tant d’années. Il m’a pourtant dit qu’il m’aimait, que j’étais la future mère de ses enfants, que c’est moi qui faisait l’amour le mieux, qu’on allait vieillir ensemble.

Je sais que je ne suis pas parfaite et je sais que je fais des erreurs comme tout être humain (j’en fais beaucoup!). Mais s’il y a une chose que je connais à propos de moi-même, c’est que je sais que j’ai une grande capacité d’analyse d’erreurs (surtout les miennes) et de résilience durant les périodes difficiles. Je n’ai pas peur de me regarder dans le miroir et me dire : ‘Loucitrons! Quelque chose doit changer!’ Je sens qu’il n’a jamais pu voir ça chez moi. Peut-être qu’il l’a vu, mais peut-être que ce côté de moi lui faisait peur, vu que lui n’oserait jamais se regarder vraiment lui-même dans le miroir. Vous comprenez ce que je veux dire?

J’ai eu une vie un peu particulière où j’ai dû prendre des responsabilités d’adulte peut-être trop jeune; à cause de cela, j’ai dû grandir très, très, très vite mentalement. Mais dans mon cœur, je suis toujours un enfant he he. Je sais que cela lui a fait peur. Je sais qu’il a souvent dû se dire que je suis trop compliquée, trop difficile à comprendre, trop difficile à gérer, trop émotive, trop opiniâtre, avec un passé trop coloré. Je sais qu’il voulait rarement m’écouter là-dessus et qu’il voulait que je sois plus ‘normale’ et je n’ai pas pu être à la hauteur je crois. Il n’a pas pu m’atteindre comme il le voulait. Qu’est-ce qu’atteindre quelqu’un de toute façon? Le posséder?

Je sens qu’il voulait absolument m’atteindre (comme il me l’a dit lors de la rupture) et m’apprivoiser en quelque sorte. Il me disait souvent que j’étais trop indépendante et que cela lui faisait peur et sentir qu’il ne sera pas en mesure de me garder, que je n’ai pas besoin de lui, que je n’aimerais pas les parties blessées de lui. Faux.

Au contraire. Il perd. Il perd beaucoup.

Lors de nos nombreuses ruptures, je me suis éduquée le plus possible sur ce qu’est une relation entre deux personnes. Je ne suis pas une experte, mais j’ai fait des devoirs quand même. J’ai lu les Mars & Venus et tout ce tralala. Au moins ces ruptures ont servi à quelque chose. J’avais tant de peine que j’ai lu toute la section ‘Relations’ de ma librairie locale. Qu’il aille se faire foutre.

Cela m’a aidée à apprendre à aimer autrement. En amour, j’ai tendance à voir les parties de l’autre que celui a peur d’aimer de toute façon. J’aime le tout. J’aime sans jamais avoir besoin de changer l’autre (à moins qu’il fasse des trucs très, très nocifs pour sa vie, bien sûr); j’aime les gens et j’aime les laisser être eux. Ils sont beaux comme ça et j’aime respecter ça. J’aime amener mon partenaire à se sentir libre d’être lui et personne d’aute. J’aime encourager l’autre à développer son potentiel et je vais le soutenir/l’aider dans ses rêves les plus fous. Hey, on ne vit qu’une fois!

J’aime surtout apprendre à l’autre qu’on peut survivre à n’importe quoi et qu’il est important de croire en soi. Selon moi, on peut survivre à tout et il est inutile de trop perdre de temps à paniquer. Mon ex paniquait beaucoup pour rien parfois. Il avait peur des sa propre vulnérabilité et de ses faiblesses. Quant à moi, être vulnérable ne me fait pas peur. À chaque fois que je suis vulnérable, je deviens plus forte et plus courageuse.

C’est dommage. Il ne sait pas que j’avais la capacité de voir à travers sa façade, ses superficialités, ses vanités. Ou peut-être qu’il a vu que j’étais capable de faire ça et ça l’a rendu mal à l’aise. Il ne sait pas que j’aimais le petit garçon effrayé à l’intérieur de lui (on a tous cet enfant effrayé à l’intérieur de nous).

Il n’aimait pas quand je pleurais. Mes larmes lui faisaient peur. Il ne savait pas quoi faire. Il voulait trop régler ce qui n’allait pas, alors que j’avais juste besoin d’être dans ses bras. Et ensuite j’allais mieux. Il oubliait que j’étais quelqu’un qui rit beaucoup, qui aime rire. Il voyait les larmes comme un signe de faiblesse. J’ai essayé de le rassurer que pleurer est une façon de s’exprimer et non un signe de faiblesse, qu’on peut pleurer lorsqu’on est en colère, lorsqu’on est triste ou heureux, ou pour aucune raison du tout. Je lui disais que les larmes sont comme un élixir pour l’âme (hahaha), un catalyseur pour lâcher prise, un signal d’un changement dans l’énergie.

Je ne sais pas comment est sa next, mais je lui laissais beaucoup, beaucoup de liberté pour être lui-même et se réaliser comme il le voulait dans la vie. Sans jugement. Sans agenda. Je n’ai jamais fouillée ou senti le besoin de fouiller dans ses affaires, dans son jardin secret. Et je l’ai beaucoup aidé.

Peut-être que cette liberté d’être lui vraiment lui a fait peur…peut-être que le fait qu’on ne se voyait plus souvent lui a fait très peur.

Je voulais que notre vie soit une course folle (même dans la réalisation d’une vie ordinaire ponctuée ici et là d’événements extraordinaires), une aventure qui nous amène au bord de nous même. Je voulais qu’on arrive à apprendre comment évoluer autant ensemble en tant qu’équipe de vie, qu’individuellement. C’est le truc le plus difficile à faire je trouve. Je ne sais pas encore exactement comment mettre ça en marche, mais je vais essayer d’apprendre car c’est ce que je veux dans un couple.

[Diane99]

je n’ai pas pu être à la hauteur

Je crois que c'est lui qui n'a pas su être à ta hauteur. Il se prive d'une dame, je le plains.

Pour le reste je n'ai rien à ajouter, tes mots ne m'ont jamais autant parlé, surtout concernant la liberté de laisser à l'autre d'être ce qu'il est.

Ah et le passage sur l'énorme éducation que tu as acquise en matière de relations entre deux personnes qui se conclut par "qu'il aille se faire foutre", j'adore :mrgreen:

[wakatepe]

tout ne serait qu'une histoire de taille ? ;)

[Elieza]

tout ne serait qu'une histoire de taille ? ;)

 

Absolument.

[wakatepe]

hauteur et longueur ? voir epaisseur

[wakatepe]

Lou,

C'est une douceur et un plaisir de te lire. Merci

[loucitrons]

tout ne serait qu'une histoire de taille ? ;)

 

Je fais 160cm. :lol:

[loucitrons]

Besoin d'écrire ce soir

J’ai besoin d’écrire. Pour ne pas virer folle. Pour ne pas faire des folies. Pour ne pas écrire à lui.

J’ai eu un méga coup de blues ce soir. J’avais mis de côté beaucoup d’argent pour partir en Europe avec lui. Pour commencer, j’aurais aimé visiter les marchés de Noel à Venise. J’ai pleuré. Il me manque. Son corps. Ses lèvres. Je commence à oublier un peu de quoi il a l’air, le son de sa voix, son odeur, son toucher… Qu’il aille au diable.

Dans mes réflexions, je me suis rendue compte d’une dynamique assez puissante et importante entre moi et cet homme : je n’aime pas comment je me sens par rapport au regard qu’il posait sur moi lorsque je traversais des difficultés dans ma vie. Que ce soit une période d'examens stressante ou une maladie. Je me sentais incomprise. Je me sentais conne, idiote et surtout – je ne me sentais pas respectée. Je crois que j’ai été jeune et plein d’espoir, mais en réalité, je sentais que je me noyais, que je n’étais pas assez. J'avais toujours peur de faire un mauvais pas et d'être quittée. À quoi bon récupérer cet abus?

Oui, j’étais en amour. Oui, on avait une chimie incroyable même après 10 ans; j’avais des papillons dans le ventre à chaque fois que je le voyais et j’avais toujours envie de le toucher, de le déshabiller que ce soit avec mes mains ou mon regard. Oh, les nombre de cours qu'on a pris ensemble depuis l'âge de 15 ans et le nombre de fois que je l'ai déshabillé du regard. Qu’il aille se faire foutre.

Mais le désamour commence à tranquillement s’installer. Cette histoire m’attriste, mais en même temps, je me sens libre et soulagée. La pression de devenir la fille assez et parfaite pour lui n’est plus là.

Je lui ai écrit tant de lettres. J’ai écrit tant depuis cette rupture. J’ai écrit pour survivre. J'ai envie de supprimer ces e-mails et ces SMS, mais un de mes amis m'a supplié de ne pas le faire.

Aujourd'hui, une de mes employés (je suis en position de supervision dans mon bureau) m’a donné une super carte au travail aujourd’hui. Elle va bientôt changer d’emploi. La carte dit :

Loucitrons, tu as toujours été si compréhensive, si gentille et si attentive avec moi. Tu mérites tout le bonheur du monde. J’espère que tes fêtes seront belles et remplies d’amour.

Pourquoi mon ex ne voit pas que je suis compréhensive, gentille et attentive? Des fois, j’ai l’impression qu’il me voyait comme ce monstre couvert de défauts, qu'il ne voyait que mes erreurs.

Aujourd’hui, ma meilleure amie (amies depuis bientôt 13 ans!) m’a envoyé une citation d’un livre qu’elle lisait aujourd’hui. Récemment, on a beaucoup discuté de l’importance de s’entourer des gens qui nous aiment, surtout en vieillissant, surtout qu’à partir de maintenant, le temps ne pardonne personne.

Bon, voici ce qu’elle m’a envoyé :

 

Des études ont prouvé que les gens les plus heureux au monde on des relations signifiantes, intimes et profondes, des relations qu’ils aiment. Lorsqu’on passe du temps avec des gens qui nous respectent, qui nous traitent avec amour, compassion, empathie, gentillesse et soutien, nous marchons dans la vie avec un pas plus léger, plus libre et plus vivant. Découvrez qui sont ces gens dans votre vie et donnez votre temps et votre énergie à eux! Arrêtez de donner votre énergie à ceux qui ne vous apprécient pas. Faire cela est énorme et changera tout dans votre vie. Vous devrez même peut-être mettre une limite de temps au temps passé avec ces gens qui ne vous amènent pas à vous sentir bien dans votre peau , ou arrêter de les voir tout court . Intuitivement, ils vont peut-être comprendre qu'ils doivent changer et devenir une personne ouverte d'esprit et plus positive si elles veulent continuer à traîner avec vous.

 

Bof. Je ne suis pas d’accord d’être toujours un être positif. J’en ai un peu marre de cette société obsédée par le positif. Mais en gros, passez du temps avec des gens qui vous aiment et qui vous apprécient, et vous allez vous transformer en papillons! (Notez le sarcasme, mais je le pense vraiment! Oui. Oui.)

Je suis folle. Je vais aller boire du thé. Je me désenterre de ce chagrin en venant écrire ici. Merci de me lire chers JRMEistes.

[loucitrons]

Angoisses

J’angoisse tant ce soir, mais je suis sage. Lui et toute sa vie restent bloqués. Je n’irais pas voir ce qui se passe. Je ne vais que souffrir si je le fais.

J’étais si triste il y a un mois et demi, surtout le 20 octobre. Trois jours après qu’il m’ait dit qu’il n’avait plus d’amour dans le réservoir.

Je me souviens que j’étais assise en tant que passager arrière dans l’auto de mes parents. On faisait Montréal-Québec. Je portais des lunettes fumées parce que je pleurais toute la journée, et je regardais par la fenêtre. Je regardais les arbres s’enfuir derrière moi, mon passé, ma vie, mes rêves, mes espoirs, mon amour. Je regardais mon cellulaire comme une junkie, dans l’attente d’un signe de vie pour que je puisse vivre aussi.

Je sentais que j’allais finir vieille fille avec un million de chats. Bref, je me sentais sans espoir. Je pensais à ma grand-mère (morte) et je lui ai demandé de m’aider un peu (avouez que vous faites tous ça).

Une chanson que je ne connaissais pas a commencé à jouer à la radio. C’était Feel de Robbie Williams, un chanteur pop Britannique qui est quand même populaire en Europe (Top of the Pops quoi!).

C’est drôle comment la musique peut avoir de l’effet sur votre esprit, sur votre corps. Mais la voix de Robbie Williams, les paroles de la chanson (des paroles assez puissantes), la mélodie, m’ont fait sentir que ma grand-mère veillait sur moi, en quelque sorte. C'est drôle car dans les paroles, il y a: Come and hold my hand/I want to contact the living (Donnes-moi ta main/Je veux contacter les vivants)...Grand-maman? C'est toi? :lol: :lol: :lol:

Et aussi: I sit and talk to God /And he just laughs at my plans/My head speaks a language/I don't understand (Je m'asseois et je parle à Dieu/Et il rit de moi/Ma tête parle une langue/Que je ne comprends pas). Je ne suis pas croyante (seulement baptisée Orthodoxe), mais c'était magique comme petit moment!

Pendant que la chanson jouait à haut volume (mes parents sont en train de virer sourds tellement ils écoutent la musique dans le plafond!), j’ai eu une petite vision de moi, lorsque ces paroles ont joué...

I just want to feel real love (Je veux sentir le vrai amour)

Feel the home that I live in (Sentir la maison dans laquelle je vis)

'Cause I got too much life (Car j'ai trop de vie)

Running through my veins (Courant dans me veines)

Going to waste ([trop de vie] qui se gaspille)

I don't want to die (Je ne veux pas mourir)

But I ain't keen on living either (Mais je n'ai pas envie de vivre non plus)

Before I fall in love (Avant de tomber en amour)

Alors, ma vision: Dans le futur. Dans une maison. Des grandes fenêtres. Avec un beau plancher (je ne vois pas pourquoi ma tête a visé sur ça, mais bon) sur lequel on pouvait glisser (j’aime les planchers glissants). Je dansais sur ce plancher et je tournais en rond. Je riais. Cette chanson de Robbie Williams qui jouait fort. J’ai senti la présence de quelqu’un qui m’aime beaucoup (mon futur amour?). Je ne voyais pas son visage, mais il me regardait et il riait parce que je m’amusais à glisser sur le plancher. Je sais que ce n’était qu’une vision, mais j’ai senti une chaleur dans mon cœur.

Le 20 octobre 2013, sur l’autoroute 40 en direction Québec, j’ai senti que tout allait bien se passer, même si à ce moment là, je ne le croyais pas du tout.

Feel de Robbie Williams (oui, oui c’est quétaine) : http://www.youtube.com/watch?v=UOewegX7H-Q

Ah oui, et cette soirée là, j'ai regardé un film (No Looking Back, qui veut dire Ne regarde pas en arrière) écrit et réalisé par un de mes réalisateurs préférés, Edward Fitzgerald Burns.

Dans le film, l'ex de la fille revient 3 ans plus tard, beaucoup trop tard et veut la récupérer. Et elle l'envoie bouler. Dans le film, j'ai entendu la chanson I'm on Fire de Bruce Springsteen (

) et les paroles m'ont assez marquée. En gros, les paroles demandent: Dis-moi fille s'il est bon avec toi.... Mon coeur a dit non. Modifié le 5 décembre 2013 par loucitrons

[fleurdelyss]

Wow c'est beau la vision que tu as eu de ton futur. Moi aussi je m'amuse parfois (souvent) à imaginer mon futur.. je me trouve bête mais bon.. souvent je m'imagine enceinte avec mon amour.. vivant dans une très vieille maison près de la nature. Et j'attend un bébé garcon :) et bref ça continue..

j'espère qu'un jour ces visions seront du réel.. et que je ne serai pas seule avec mes 40 chats gris.

bouhhh.. coup de blues aussi aujourd'hui, trop de haine de colère de tristesse.

Allez faut pas lâché, on se tient les coudes, je te fait le serment qu'on ne sera pas de vieilles dames à chats!!