- 30 oct. 2018, 14:05
#1293424
Au fond de moi, franchement je pensais pas vraiment qu'on allait se séparer. Comme beaucoup de couples, on avait des complicités et des décalages, mais vraiment, pas très grave du tout. On s'est adaptés et on a été heureux pendant la plupart de nos 4 ans.
Des hauts et des bas, mais surtout des hauts qui étaient marquants. En fermant mes yeux, à chaque mois, à chaque saison, je peux très bien citer nos jolis souvenirs. Tout est vivant, vif, plein.
Et on a tj espéré que ça marchait entre nous. ça a marché, puis zappé sur un coup de tête de monsieur. LA DISTANCE de 6 mois de mon stage, entre autres.
Mais en fin de compte, c'est mieux comme ça. Que ça a zappé brusquement, avant qu'on fonde une famille, ait les enfants, avant de toucher ses crises quarante, cinquante ans.
Je pleure encore sur mon sort pendant de longs moments. Il y a 3 mois, je ne pouvais même pas pleurer mais tous enterrer. Là, je pleure, très souvent, tous les jours, en silence.
Une souffrance qui est tamisée tout au long de notre courte vie commune, finira par ma prise de conscience un jour, que c'était très fugace.
La première neige au balcon, le pin en bas de la maison, la pente raide, les soirée d'octobre avec les amis, l'odeur de la cuisine chaude, la musique chaleureuse, la lampe tiède, un vrai foyer cocoon que tous nos amis adorait. Mais la plupart d'entre eux ne sont plus mes amis, après notre séparation. Triste de cela.
Comme tu dis, Kysses, avec le temps, ça ira mieux. Je sais ce qui peut m'apaiser: voyager en backpacker, rencontrer le monde, les gens, les paysages différents, inconnus que je connais pas, contempler la beauté naturelle, architecturale, historique, spirituelle...
Je suis curieuse de cette vie.
Merci Kysses. Je te fais des gros gros bisous fabuleux. c'est vrai que j'ai pas trop pu profiter de mon séjour jusqu'à là. Il m'en faut, sinon c'est un vrai gâchis.
Des hauts et des bas, mais surtout des hauts qui étaient marquants. En fermant mes yeux, à chaque mois, à chaque saison, je peux très bien citer nos jolis souvenirs. Tout est vivant, vif, plein.
Et on a tj espéré que ça marchait entre nous. ça a marché, puis zappé sur un coup de tête de monsieur. LA DISTANCE de 6 mois de mon stage, entre autres.
Mais en fin de compte, c'est mieux comme ça. Que ça a zappé brusquement, avant qu'on fonde une famille, ait les enfants, avant de toucher ses crises quarante, cinquante ans.
Je pleure encore sur mon sort pendant de longs moments. Il y a 3 mois, je ne pouvais même pas pleurer mais tous enterrer. Là, je pleure, très souvent, tous les jours, en silence.
Une souffrance qui est tamisée tout au long de notre courte vie commune, finira par ma prise de conscience un jour, que c'était très fugace.
La première neige au balcon, le pin en bas de la maison, la pente raide, les soirée d'octobre avec les amis, l'odeur de la cuisine chaude, la musique chaleureuse, la lampe tiède, un vrai foyer cocoon que tous nos amis adorait. Mais la plupart d'entre eux ne sont plus mes amis, après notre séparation. Triste de cela.
Comme tu dis, Kysses, avec le temps, ça ira mieux. Je sais ce qui peut m'apaiser: voyager en backpacker, rencontrer le monde, les gens, les paysages différents, inconnus que je connais pas, contempler la beauté naturelle, architecturale, historique, spirituelle...
Je suis curieuse de cette vie.
Merci Kysses. Je te fais des gros gros bisous fabuleux. c'est vrai que j'ai pas trop pu profiter de mon séjour jusqu'à là. Il m'en faut, sinon c'est un vrai gâchis.