- 13 janv. 2010, 19:23
#189815
bonsoir à tous.
Je saute le pas maintenant, après quelques hésitations.
Je vais d'abord me présenter, je suis un jeune homme de 24 ans (oui, je me considère encore comme "jeune" ^^), qui a vécu une histoire de 6 ans avec "Elle".
Je ne sais guère pas ou commencer tant je suis encore... dans les choux.
Celà faisait un peu plus de 6 ans que nous étions ensemble (24/09/2004, pour être précis, à 17 / 18 ans). Après 3 années ensembles, nous avions décider de nous installer ensemble sur notre lieu d'études, dans notre premier appartement. Puis l'an dernier, avec son changement de statut étudiant (étudiante pure et dure à apprentissage professionnel), nous nous sommes rapprochés de son lieu de travail. A noter qu'a ce moment là, mes études à moi étaient terminées, que j'avais déjà trouver mon travail actuel qui se situe à 1h de route environ de ce qui était notre appartement.
Actuellement, je suis retourné chez mon père, lui laissant l'appartement et tout les meubles, ne prenant que les habits. Pratique d'un côté car mon père habite à 15km seulement de mon lieu de travail.
Je vais essayer de raconter les "débuts de la fin". Il y a 6 mois de cela, elle n'obtient pas son bts par alternance, du coup sa boite ne la garde pas pour diverses raisons (pas à cause de son travail proprement dit en tout cas). A partir de ce moment là, pour occuper ses journées hors la recherche d'emploi, elle se met sur un jeu sur internet, jeu que je finis par rejoindre aussi (nous connaissions déjà ce jeu avant, mais l'avions arrêter par manque de motivation un ou deux ans auparavant).
Bref, nous jouions le jeu, elle y passant ses journées pour s'occuper, moi rentrant du travail pour se mettre sur le jeu et me levant pour m'y mettre aussi. Je suis fatigué en permanence, travaillant 8h/j +1h de route aller +1h de route retour. J'avoue ne pas être motivé pour la tenue de l'appartement. Et je dois bien dire que je pensais qu'elle, étant au chômage, aurait le temps de s'en occuper, m'évitant du coup d'avoir des choses à faire (A noter que je suis loin d'etre maniaque). Je pensais qu'une machine à laver le linge dans une journée, ce n'était rien : 10 minutes pour remplir, 20minutes pour étendre le linge. Ensuite le jeu nous a éloigner l'un de l'autre. Plus aucune attention l'un pour l'autre... Quelle erreur avons-nous faite !
Sans parler de mon manque d'écoute, manque de "conversations". Je n'ai jamais été un grand parleur, gardant mes sentiments pour moi, mes colères, mes haines... L'éponge quoi. Mais sur le jeu elle a trouvé quelqu'un qui l'écoutait, qui discutait avec elle. Et elle s'est rapprochée de lui. Oh, rien de grave, ça ne reste qu'un jeu, il ne font que discuter même si elle avoue bien l'aimer... Par contre lui de son côté n'envisage rien avec elle.
Elle m'a quittée. le 31/12, à 5h du matin, elle m'a annoncé qu'il fallait qu'on parle. Je suis parti en catastrophe de mon travail (travail qui est sur le principe des 3 x8h, avec changement d'horaire toutes les 3 semaines, donc là je travaillais de nuit), pour aller discuter avec elle plutot que via internet. Je n'arrivai pas à y croire. j'étais... déboussolé. Dès cet instant, j'ai fait tous les "interdits" : supplier, pleurer, promettre que j'allais changer, que je ferai tout pour elle, qu'elle était la femme de ma vie, que je sacrifierai tout pour elle. Mais rien n'y a fait. Ni là, ni les jours suivants d'ailleurs.
Elle dit avoir besoin de temps pour s'occuper d'elle, pour se recentrer, pour se sentir elle. elle dit aussi ne plus ressentir quoi que ce soit à mon égard. Nous avons tout de même passer la nuit du 31/12 au 01/01 chez des amis commun, ou "nous" (non, elle en fait...) avons fait connaitre la nouvelle à tous les présents. elle a tout de même acceptée de rester avec moi 2 jours et deux nuits, pour m'aider, me soutenir. Une de ces nuits, elle m'a fait comprendre qu'elle voulait faire l'amour avec moi,ce que nous avons fait. Plutôt mal d'ailleurs, terrifié que j'étais de l'espoir qu'elle me donnait ainsi. Je le lui ai dit à la fin, mais après une longue hésitation, elle m'a avouée n'avoir rien ressenti. Nous avons décider d'un commun accord de rester en contact.
Alors j'ai refaits des interdits. Une fois "installé" chez mon père, je l'ai "harcelée" par tous les moyens possibles : jeu, msn, skype, téléphone, textos... J'ai tout fais. Je ne réalisais pas encore je crois. Puis dimanche 10/01, le soir, elle semblait énervée, je lui ai demandée de m'appeller. Et là, pour la énième fois, j'ai craqué. j'ai tout déballer, les larmes coulants sur mes joues, que je l'aimais, que je savais que c'était elle. Ses derniers mots furent (en gros) :"Cesse de me parler partout de quelconque façon. Je ne t'oublie pas, je ne peux pas t'oublier comme ça, après tant de temps, mais laisse moi tranquille, sinon je serai obligée de couper les ponts! Bonne nuit."
"bonne" nuit... effectivement... à pleurer et réfléchir.
Et dès le lendemain... SR. J'en ai profiter pour aller voir une amie commune, qui m'a dit qu'il fallait que j'y laisse du temps, que je la laisse respirer. Ce que j'ai fais toute la journée du 11 (quelle petite victoire...)
Le 12, dans la matinée elle m'a appelée d'elle même. Normal : c'est mon anniversaire. Discussion détendue, me racontant ce qu'elle faisait et moi faisant de même. J'ai résisté à la tentation de craquer, je n'ai rien dis, j'ai serrer les dents, allant jusqu'à me mordre la langue.
Aujourd'hui, reprise de SR. Mais c'est si dur....
Ou j'en suis actuellement?
- je cherche un appartement pour m'installer... seul. Dans l'objectif de lui prouver que je peux tenir un appartement seul, et tout faire par moi-même (un de ses reproches)
- depuis la discussion (qui a durée toute une après-midi quand même...) avec notre amie commune, je m'aperçoit de mon besoin de parler. je découvre l'écoute et la discussion, ne l'ayant jamais vraiment connue étant enfant. ce qui fait que je m'étale, j'appelle des amis, je parle beaucoup (trop?). Mais je m'aperçoit que ça me fait du bien, que ça me soulage de me "vider" comme ça de tout ce poids sur mon cœur et mon âme...
- J'essaie de résister à l'envie de l'appeler, tant bien que mal...
Je ne sais pas si je tiendrais, si je ne craquerais pas, si j'y arriverai. Elle est tant et tellement pour moi. Nous sommes jeunes, certes, mais... j'en suis sûr, c'est elle. C'est avec elle que je veux passer ma vie, mes journées et mes nuits. Je n'arrive même plus à me concentrer sur mon travail, à tel point que mêmes mes collègues refusent de me laisser traiter des problème "grave" de peur que je rate quelque chose.
Je ne sais vraiment pas si je tiendrais le coup longtemps sans elle...
HELP !

(oulà, le pavé Oo... désolé -_-)
Je saute le pas maintenant, après quelques hésitations.
Je vais d'abord me présenter, je suis un jeune homme de 24 ans (oui, je me considère encore comme "jeune" ^^), qui a vécu une histoire de 6 ans avec "Elle".
Je ne sais guère pas ou commencer tant je suis encore... dans les choux.
Celà faisait un peu plus de 6 ans que nous étions ensemble (24/09/2004, pour être précis, à 17 / 18 ans). Après 3 années ensembles, nous avions décider de nous installer ensemble sur notre lieu d'études, dans notre premier appartement. Puis l'an dernier, avec son changement de statut étudiant (étudiante pure et dure à apprentissage professionnel), nous nous sommes rapprochés de son lieu de travail. A noter qu'a ce moment là, mes études à moi étaient terminées, que j'avais déjà trouver mon travail actuel qui se situe à 1h de route environ de ce qui était notre appartement.
Actuellement, je suis retourné chez mon père, lui laissant l'appartement et tout les meubles, ne prenant que les habits. Pratique d'un côté car mon père habite à 15km seulement de mon lieu de travail.
Je vais essayer de raconter les "débuts de la fin". Il y a 6 mois de cela, elle n'obtient pas son bts par alternance, du coup sa boite ne la garde pas pour diverses raisons (pas à cause de son travail proprement dit en tout cas). A partir de ce moment là, pour occuper ses journées hors la recherche d'emploi, elle se met sur un jeu sur internet, jeu que je finis par rejoindre aussi (nous connaissions déjà ce jeu avant, mais l'avions arrêter par manque de motivation un ou deux ans auparavant).
Bref, nous jouions le jeu, elle y passant ses journées pour s'occuper, moi rentrant du travail pour se mettre sur le jeu et me levant pour m'y mettre aussi. Je suis fatigué en permanence, travaillant 8h/j +1h de route aller +1h de route retour. J'avoue ne pas être motivé pour la tenue de l'appartement. Et je dois bien dire que je pensais qu'elle, étant au chômage, aurait le temps de s'en occuper, m'évitant du coup d'avoir des choses à faire (A noter que je suis loin d'etre maniaque). Je pensais qu'une machine à laver le linge dans une journée, ce n'était rien : 10 minutes pour remplir, 20minutes pour étendre le linge. Ensuite le jeu nous a éloigner l'un de l'autre. Plus aucune attention l'un pour l'autre... Quelle erreur avons-nous faite !
Sans parler de mon manque d'écoute, manque de "conversations". Je n'ai jamais été un grand parleur, gardant mes sentiments pour moi, mes colères, mes haines... L'éponge quoi. Mais sur le jeu elle a trouvé quelqu'un qui l'écoutait, qui discutait avec elle. Et elle s'est rapprochée de lui. Oh, rien de grave, ça ne reste qu'un jeu, il ne font que discuter même si elle avoue bien l'aimer... Par contre lui de son côté n'envisage rien avec elle.
Elle m'a quittée. le 31/12, à 5h du matin, elle m'a annoncé qu'il fallait qu'on parle. Je suis parti en catastrophe de mon travail (travail qui est sur le principe des 3 x8h, avec changement d'horaire toutes les 3 semaines, donc là je travaillais de nuit), pour aller discuter avec elle plutot que via internet. Je n'arrivai pas à y croire. j'étais... déboussolé. Dès cet instant, j'ai fait tous les "interdits" : supplier, pleurer, promettre que j'allais changer, que je ferai tout pour elle, qu'elle était la femme de ma vie, que je sacrifierai tout pour elle. Mais rien n'y a fait. Ni là, ni les jours suivants d'ailleurs.
Elle dit avoir besoin de temps pour s'occuper d'elle, pour se recentrer, pour se sentir elle. elle dit aussi ne plus ressentir quoi que ce soit à mon égard. Nous avons tout de même passer la nuit du 31/12 au 01/01 chez des amis commun, ou "nous" (non, elle en fait...) avons fait connaitre la nouvelle à tous les présents. elle a tout de même acceptée de rester avec moi 2 jours et deux nuits, pour m'aider, me soutenir. Une de ces nuits, elle m'a fait comprendre qu'elle voulait faire l'amour avec moi,ce que nous avons fait. Plutôt mal d'ailleurs, terrifié que j'étais de l'espoir qu'elle me donnait ainsi. Je le lui ai dit à la fin, mais après une longue hésitation, elle m'a avouée n'avoir rien ressenti. Nous avons décider d'un commun accord de rester en contact.
Alors j'ai refaits des interdits. Une fois "installé" chez mon père, je l'ai "harcelée" par tous les moyens possibles : jeu, msn, skype, téléphone, textos... J'ai tout fais. Je ne réalisais pas encore je crois. Puis dimanche 10/01, le soir, elle semblait énervée, je lui ai demandée de m'appeller. Et là, pour la énième fois, j'ai craqué. j'ai tout déballer, les larmes coulants sur mes joues, que je l'aimais, que je savais que c'était elle. Ses derniers mots furent (en gros) :"Cesse de me parler partout de quelconque façon. Je ne t'oublie pas, je ne peux pas t'oublier comme ça, après tant de temps, mais laisse moi tranquille, sinon je serai obligée de couper les ponts! Bonne nuit."
"bonne" nuit... effectivement... à pleurer et réfléchir.
Et dès le lendemain... SR. J'en ai profiter pour aller voir une amie commune, qui m'a dit qu'il fallait que j'y laisse du temps, que je la laisse respirer. Ce que j'ai fais toute la journée du 11 (quelle petite victoire...)
Le 12, dans la matinée elle m'a appelée d'elle même. Normal : c'est mon anniversaire. Discussion détendue, me racontant ce qu'elle faisait et moi faisant de même. J'ai résisté à la tentation de craquer, je n'ai rien dis, j'ai serrer les dents, allant jusqu'à me mordre la langue.
Aujourd'hui, reprise de SR. Mais c'est si dur....
Ou j'en suis actuellement?
- je cherche un appartement pour m'installer... seul. Dans l'objectif de lui prouver que je peux tenir un appartement seul, et tout faire par moi-même (un de ses reproches)
- depuis la discussion (qui a durée toute une après-midi quand même...) avec notre amie commune, je m'aperçoit de mon besoin de parler. je découvre l'écoute et la discussion, ne l'ayant jamais vraiment connue étant enfant. ce qui fait que je m'étale, j'appelle des amis, je parle beaucoup (trop?). Mais je m'aperçoit que ça me fait du bien, que ça me soulage de me "vider" comme ça de tout ce poids sur mon cœur et mon âme...
- J'essaie de résister à l'envie de l'appeler, tant bien que mal...
Je ne sais pas si je tiendrais, si je ne craquerais pas, si j'y arriverai. Elle est tant et tellement pour moi. Nous sommes jeunes, certes, mais... j'en suis sûr, c'est elle. C'est avec elle que je veux passer ma vie, mes journées et mes nuits. Je n'arrive même plus à me concentrer sur mon travail, à tel point que mêmes mes collègues refusent de me laisser traiter des problème "grave" de peur que je rate quelque chose.
Je ne sais vraiment pas si je tiendrais le coup longtemps sans elle...
HELP !





(oulà, le pavé Oo... désolé -_-)