- 16 nov. 2016, 13:35
#1207175
Bonjour,
Mon histoire est longue et pour l'instant je n'ai pas trouvé d'histoire similaire. Alors bien sûr, sur le fond ça reste une histoire de rupture et blablabla mais plus compliquée que ça. L'histoire de base la voici :
Cela faisait 3 ans et demi que nous étions ensemble avec mon copain. Durant 2 ans et demi j'ai été sa princesse, il était au petits soins pour moi et m'aimait comme un fou, jamais un mot de travers, toujours très câlin et rassurant. Ensuite la routine s'est installée... Aïe hein... Il a arrêté le sport, a grossit, s'est mis à péter comme un porc sans aucune gêne et à s'esclaffer en me parlant de son caca du matin. Mon prince charmant s'était envolé. En plus de ça, il est devenu très aigri, à critiquer les gens que j'aime et à cracher sur des inconnus. Son enfance le pousse a être très hautain et arrogant car il a un gros complexe d'infériorité. Il s'est enfermé sur lui même et refusait toute sortie. Il me culpabilisait beaucoup de sortir sans lui. Pour finir, nous avons toujours eu une vie sexuelle débridée, à faire l'amour passionnément tous les jours. Mais j'ai fini par avoir l'impression d'être un objet sexuel, qu'il se sentait obligée de besogner quotidiennement. Il m'a dégoûté du sexe (et pourtant, je peux vous assurer qu'il fait ça très bien).
Durant 6 mois je me suis torturée l'esprit, j'ai essayé de lui faire comprendre les choses mais rien n'y a fait. A savoir que j'ai mes propres traumatismes d'enfance et que je suis une personne qui fuit toute disputes. Et je me contiens énormément pour les éviter. Je ne dis pas les choses qui me peinent si je vois qu'il commence à le prendre mal. A cette époque je ne doutais pas de l'aimer, mais je nous voyais de moins en moins vieillir ensemble. Puis j'ai eu un nouveau climat de travail et j'ai rencontré un bande de collègues/amis avec qui je me suis très bien entendue. Tous beaux garçons et très taquins avec moi. Mais surtout un. Evidemment, histoire commune je vous dis. Bref, je ne l'ai jamais dis à mon copain mais il a fini par comprendre que je flirtais avec mes collègues puisque j'ai fais en sorte qu'il le sache afin de le faire réagir (tentative désespérée numéro 1!). La façon de réagir de mon homme a été simple : rien. Mises à part des critiques constantes sur mes collègues (c'est des connards ! oui mais encore ?). Cela m'a beaucoup peinée et je me suis montée la tête. Puisqu'il ne voulait plus vivre pour moi, pourquoi me priver pour lui ? J'ai donc commencé à travaillé très tard pour rentrer tard. A sortir sans lui, à rire à gorge déployée avec mes collègues sans penser aux conséquences. Bien sûr, étant toujours amoureuse de mon homme, j'étais en fait extrêmement triste et je me voilait la face. J'ai fini par m'auto-persuadée, pour me protéger, que je n'aimais pas cet homme qu'il était devenu. Que l'homme que j'aimais avait disparu. Je l'ai poussé à prendre sa vie en mains, il a trouvé du travail à 800km de chez moi et je le rassurais en lui disant que les relations à distance ça fonctionnent. Puis je l'ai quitté peu de temps après qu'il ait su qu'il avait le job. J'ai été très froide. Je lui ai expliqué que je n'avais plus de sentiments et que je voulais arrêter là, que la distance empêcherait de renouer.
Crise de larmes, déchirement de cœur. Il souffrait terriblement et m'a demandé de nous laisser une seconde chance, qu'il fallait que j'apprenne à communiquer. J'ai fini par craquer et beaucoup pleurer, puis accepter. je lui ai alors expliqué que j'étais juste perdue et que je l'aimais encore mais qu'il avait changé. Nous sommes restés ensemble 3 semaines (sans sexe, je ne voulais pas faire de faux semblants), je commençais à beaucoup douter de ma décision de le quitter, j'avais envie de l'aimer à nouveau, nous sommes partis en vacances quelques jours et j'étais à deux doigts de craquer et de céder sexuellement à nouveau. Mais mon copain me demandait quotidiennement un rapport et ça me poussait à refuser car pour lui c'est très important et je n'avais aucune libido (trop de réflexion interne !!). Donc je ne voulais pas le peiner. Surtout que ces 3 semaines se sont très bien passées et que nous étions de nouveau complice. Puis un jour, à force de flipper, il m'a posé un ultimatum donc j'ai pris mes affaires et je suis partie. Il ne se souvient pas de m'avoir posé cet ultimatum. Donc il considère que je l'ai quitté une seconde fois. Personnellement, bien que j'ai été soulagée par la rupture, je considère que c'est une rupture forcée.
Après une semaine où l'on a beaucoup souffert tous les deux (car bordel, qu'est-ce que je l'aime malgré tout) et pendant laquelle j'ai eu le droit à des pavés de reproches sur fb, nous avons convenu de nous voir. Sauf que j'entendais le voir une journée et lui que je passerais plusieurs jours à dormir à l'appart. Quand on a compris le quiproquo, il est devenu très aigri et cynique et j'étais très gênée et culpabilisée. Une semaine après nous nous sommes revus dans les mêmes conditions. Nous avons beaucoup discutés, j'avais l'impression d'avancer mais quand on se voyait encore une fois lui était distant et moi gênée. la dernière fois que l'on s'est vu, on discutait et j'allais lui proposer de renouer mais il a pété les plombs avant que j'en ai eu le temps et m'a dit de dégager. Je lui avais dis que pour l'instant je le voyais plus comme un meilleur ami et confident que comme un amant. J'allais finir sur "mais ça commence à revenir" mais voila... du coup j'ai "dégagée" très en colère. Bien sûr il s'est excusé tout de suite en me disant que ce n'était pas ce qu'il voulait dire etc. Mais j'étais trop énervée.
Après 2 semaines de Silence Radio, pendant lesquelles j'ai pris du recul et je me suis rendue compte que je l'aimais vrmt, une de ses nouvelles connaissances à posté une photo de lui avec 3 jolies nanas. J'ai pété un câble. En cherchant sur le net j'ai trouvé des trucs du genre "c'est ton ego qui parle". Je me suis donc calmée... 1 jour haha. Du coup je l'ai recontacté en lui expliquant que je l'aimais, que j'avais fais un gros travail sur moi et blabla (à savoir qu'il a beaucoup travaillé sur lui, lui aussi). il a d'abord refusé, puis m'a dit qu'il devait réfléchir. Le lendemain il a accepté que je vienne le voir. Je m'attendais à poireauter 3 semaines alors j'étais très heureuse, des papillons dans le ventre, etc. Je suis allée le voir 5 jours et c'était PARFAIT. Balade en amoureux, reconquête amoureuse et sexuelle, mots doux, resto. Des bisous sur le départ et des promesses de se revoir. J'ai juste légèrement parlé un peu trop de notre avenir commun alors que je savais que c'était exactement son empressement qui m'avait fait fuir en vacances (il ne me parlait que de notre avenir)... tentative désespérée d'être rassurée numéro 2 !
Sans que je demande quoique ce soit, il me propose de venir chez moi 10 jours après, j'accepte. Puis il me dit qu'il est juste financièrement et qu'il ne viendra pas. J'ai trouvé ça louche quand il a commencé à s'acheter des meubles. puis je me suis dit "aller, il s'installe, il doit s'acheter des meubles, c'était prévu et toi tu débarques comme ça. Comprends le". ensuite j'apprends qu'il sort 3 soirs du week-end et qu'il fait une rando avec ses amis ce fameux w-e. Comme je le sentais un peu froid, je l'ai laissé tranquille du vendredi au lundi. En me disant qu'il fallait le laisser souffler. Le lundi j'essaie de l'appeler mais il ne décroche pas. Et le mardi appel fatal ... il m'appelle entre deux au boulot et m'assène un terrible "je t'appelle pour ce w-e là ... je préférerai que tu ne viennes pas"
Vous imaginez ma crise de larmes. 4 Ans de relations et il me quitte au téléphone. J'étais sous le choc. J'étais dans un état second et je me rappelle juste qu'il m'a dit qu'il ne m'aimait plus comme avant, qu'il avait des sentiments mais trop de rancœur et que je parlais trop de l'avenir. qu'il avait besoin de temps et qu'il était perdu. Je lui ai dit que je voulais venir quand même ce w-e pour en discuter comme des adultes matures mais il a refusé. Après avoir raccroché j'ai eu une grosse crise de panique vous l'imaginez. J'ai fini par me calmer et je lui ai demandé qu'on s'appelle pour répondre à mes questions. Je ne sais même pas s'il veut que je le laisser tranquille ou que je garde un discussion, s'il veut juste prendre 2 semaines de + pour réfléchir et qu'ensuite je viendrai ou s'il veut que je ne vienne plus jamais ...
Je ne veux pas et ne peux pas le forcer mais j'aimerai savoir si ce sont des adieux ou un break, qu'il m'explique ce qui à changé si soudainement en deux semaines alors qu'il m'avait dit de ne pas m’inquiéter et qu'il ne changerait pas d'avis.
J'aimerai savoir votre avis. Pour les gens qui me répondront "mais pourquoi tu t'emm***** ? oublie le !" sachez qu'on me l'a déjà dit, et c'est pour ça que je l'ai quitté une première fois. Et mnt je m'en mords les doigts. J'ai appris à mes dépends que seule moi connaissais l'entière histoire et seule moi pouvais prendre des décisions aussi graves. Ce que je vous demande c'est des conseils constructifs là tout de suite pour savoir comment l'apaiser et le récupérer. Malgré la distance et les rancoeurs. Dans un premier temps j'attends son appel. Je compte lui expliquer de manière calme ce que j'ai ressenti durant la rupture et les erreurs que j'ai commises et qu'il répète. Je compte également lui dire que je vais le laisser réfléchir quelques temps. Que je sais qu'on s'aime et que seul sa fierté et son orgueil nous empêche d'avancer. Que je comprends qu'il ait besoin de temps pour y penser calmement. que j'ai confiance en notre couple, et qu'on se retrouvera un jour. Mais j'ai quand même envie de le voir, de le toucher, de lui parler (de le harceler de texto!!!! oui je sais à bannir).
Et vous ? comment aborderiez vous la chose ? après l'appel : SR, accompagnement ?
Mon histoire est longue et pour l'instant je n'ai pas trouvé d'histoire similaire. Alors bien sûr, sur le fond ça reste une histoire de rupture et blablabla mais plus compliquée que ça. L'histoire de base la voici :
Cela faisait 3 ans et demi que nous étions ensemble avec mon copain. Durant 2 ans et demi j'ai été sa princesse, il était au petits soins pour moi et m'aimait comme un fou, jamais un mot de travers, toujours très câlin et rassurant. Ensuite la routine s'est installée... Aïe hein... Il a arrêté le sport, a grossit, s'est mis à péter comme un porc sans aucune gêne et à s'esclaffer en me parlant de son caca du matin. Mon prince charmant s'était envolé. En plus de ça, il est devenu très aigri, à critiquer les gens que j'aime et à cracher sur des inconnus. Son enfance le pousse a être très hautain et arrogant car il a un gros complexe d'infériorité. Il s'est enfermé sur lui même et refusait toute sortie. Il me culpabilisait beaucoup de sortir sans lui. Pour finir, nous avons toujours eu une vie sexuelle débridée, à faire l'amour passionnément tous les jours. Mais j'ai fini par avoir l'impression d'être un objet sexuel, qu'il se sentait obligée de besogner quotidiennement. Il m'a dégoûté du sexe (et pourtant, je peux vous assurer qu'il fait ça très bien).
Durant 6 mois je me suis torturée l'esprit, j'ai essayé de lui faire comprendre les choses mais rien n'y a fait. A savoir que j'ai mes propres traumatismes d'enfance et que je suis une personne qui fuit toute disputes. Et je me contiens énormément pour les éviter. Je ne dis pas les choses qui me peinent si je vois qu'il commence à le prendre mal. A cette époque je ne doutais pas de l'aimer, mais je nous voyais de moins en moins vieillir ensemble. Puis j'ai eu un nouveau climat de travail et j'ai rencontré un bande de collègues/amis avec qui je me suis très bien entendue. Tous beaux garçons et très taquins avec moi. Mais surtout un. Evidemment, histoire commune je vous dis. Bref, je ne l'ai jamais dis à mon copain mais il a fini par comprendre que je flirtais avec mes collègues puisque j'ai fais en sorte qu'il le sache afin de le faire réagir (tentative désespérée numéro 1!). La façon de réagir de mon homme a été simple : rien. Mises à part des critiques constantes sur mes collègues (c'est des connards ! oui mais encore ?). Cela m'a beaucoup peinée et je me suis montée la tête. Puisqu'il ne voulait plus vivre pour moi, pourquoi me priver pour lui ? J'ai donc commencé à travaillé très tard pour rentrer tard. A sortir sans lui, à rire à gorge déployée avec mes collègues sans penser aux conséquences. Bien sûr, étant toujours amoureuse de mon homme, j'étais en fait extrêmement triste et je me voilait la face. J'ai fini par m'auto-persuadée, pour me protéger, que je n'aimais pas cet homme qu'il était devenu. Que l'homme que j'aimais avait disparu. Je l'ai poussé à prendre sa vie en mains, il a trouvé du travail à 800km de chez moi et je le rassurais en lui disant que les relations à distance ça fonctionnent. Puis je l'ai quitté peu de temps après qu'il ait su qu'il avait le job. J'ai été très froide. Je lui ai expliqué que je n'avais plus de sentiments et que je voulais arrêter là, que la distance empêcherait de renouer.
Crise de larmes, déchirement de cœur. Il souffrait terriblement et m'a demandé de nous laisser une seconde chance, qu'il fallait que j'apprenne à communiquer. J'ai fini par craquer et beaucoup pleurer, puis accepter. je lui ai alors expliqué que j'étais juste perdue et que je l'aimais encore mais qu'il avait changé. Nous sommes restés ensemble 3 semaines (sans sexe, je ne voulais pas faire de faux semblants), je commençais à beaucoup douter de ma décision de le quitter, j'avais envie de l'aimer à nouveau, nous sommes partis en vacances quelques jours et j'étais à deux doigts de craquer et de céder sexuellement à nouveau. Mais mon copain me demandait quotidiennement un rapport et ça me poussait à refuser car pour lui c'est très important et je n'avais aucune libido (trop de réflexion interne !!). Donc je ne voulais pas le peiner. Surtout que ces 3 semaines se sont très bien passées et que nous étions de nouveau complice. Puis un jour, à force de flipper, il m'a posé un ultimatum donc j'ai pris mes affaires et je suis partie. Il ne se souvient pas de m'avoir posé cet ultimatum. Donc il considère que je l'ai quitté une seconde fois. Personnellement, bien que j'ai été soulagée par la rupture, je considère que c'est une rupture forcée.
Après une semaine où l'on a beaucoup souffert tous les deux (car bordel, qu'est-ce que je l'aime malgré tout) et pendant laquelle j'ai eu le droit à des pavés de reproches sur fb, nous avons convenu de nous voir. Sauf que j'entendais le voir une journée et lui que je passerais plusieurs jours à dormir à l'appart. Quand on a compris le quiproquo, il est devenu très aigri et cynique et j'étais très gênée et culpabilisée. Une semaine après nous nous sommes revus dans les mêmes conditions. Nous avons beaucoup discutés, j'avais l'impression d'avancer mais quand on se voyait encore une fois lui était distant et moi gênée. la dernière fois que l'on s'est vu, on discutait et j'allais lui proposer de renouer mais il a pété les plombs avant que j'en ai eu le temps et m'a dit de dégager. Je lui avais dis que pour l'instant je le voyais plus comme un meilleur ami et confident que comme un amant. J'allais finir sur "mais ça commence à revenir" mais voila... du coup j'ai "dégagée" très en colère. Bien sûr il s'est excusé tout de suite en me disant que ce n'était pas ce qu'il voulait dire etc. Mais j'étais trop énervée.
Après 2 semaines de Silence Radio, pendant lesquelles j'ai pris du recul et je me suis rendue compte que je l'aimais vrmt, une de ses nouvelles connaissances à posté une photo de lui avec 3 jolies nanas. J'ai pété un câble. En cherchant sur le net j'ai trouvé des trucs du genre "c'est ton ego qui parle". Je me suis donc calmée... 1 jour haha. Du coup je l'ai recontacté en lui expliquant que je l'aimais, que j'avais fais un gros travail sur moi et blabla (à savoir qu'il a beaucoup travaillé sur lui, lui aussi). il a d'abord refusé, puis m'a dit qu'il devait réfléchir. Le lendemain il a accepté que je vienne le voir. Je m'attendais à poireauter 3 semaines alors j'étais très heureuse, des papillons dans le ventre, etc. Je suis allée le voir 5 jours et c'était PARFAIT. Balade en amoureux, reconquête amoureuse et sexuelle, mots doux, resto. Des bisous sur le départ et des promesses de se revoir. J'ai juste légèrement parlé un peu trop de notre avenir commun alors que je savais que c'était exactement son empressement qui m'avait fait fuir en vacances (il ne me parlait que de notre avenir)... tentative désespérée d'être rassurée numéro 2 !
Sans que je demande quoique ce soit, il me propose de venir chez moi 10 jours après, j'accepte. Puis il me dit qu'il est juste financièrement et qu'il ne viendra pas. J'ai trouvé ça louche quand il a commencé à s'acheter des meubles. puis je me suis dit "aller, il s'installe, il doit s'acheter des meubles, c'était prévu et toi tu débarques comme ça. Comprends le". ensuite j'apprends qu'il sort 3 soirs du week-end et qu'il fait une rando avec ses amis ce fameux w-e. Comme je le sentais un peu froid, je l'ai laissé tranquille du vendredi au lundi. En me disant qu'il fallait le laisser souffler. Le lundi j'essaie de l'appeler mais il ne décroche pas. Et le mardi appel fatal ... il m'appelle entre deux au boulot et m'assène un terrible "je t'appelle pour ce w-e là ... je préférerai que tu ne viennes pas"
Vous imaginez ma crise de larmes. 4 Ans de relations et il me quitte au téléphone. J'étais sous le choc. J'étais dans un état second et je me rappelle juste qu'il m'a dit qu'il ne m'aimait plus comme avant, qu'il avait des sentiments mais trop de rancœur et que je parlais trop de l'avenir. qu'il avait besoin de temps et qu'il était perdu. Je lui ai dit que je voulais venir quand même ce w-e pour en discuter comme des adultes matures mais il a refusé. Après avoir raccroché j'ai eu une grosse crise de panique vous l'imaginez. J'ai fini par me calmer et je lui ai demandé qu'on s'appelle pour répondre à mes questions. Je ne sais même pas s'il veut que je le laisser tranquille ou que je garde un discussion, s'il veut juste prendre 2 semaines de + pour réfléchir et qu'ensuite je viendrai ou s'il veut que je ne vienne plus jamais ...
Je ne veux pas et ne peux pas le forcer mais j'aimerai savoir si ce sont des adieux ou un break, qu'il m'explique ce qui à changé si soudainement en deux semaines alors qu'il m'avait dit de ne pas m’inquiéter et qu'il ne changerait pas d'avis.
J'aimerai savoir votre avis. Pour les gens qui me répondront "mais pourquoi tu t'emm***** ? oublie le !" sachez qu'on me l'a déjà dit, et c'est pour ça que je l'ai quitté une première fois. Et mnt je m'en mords les doigts. J'ai appris à mes dépends que seule moi connaissais l'entière histoire et seule moi pouvais prendre des décisions aussi graves. Ce que je vous demande c'est des conseils constructifs là tout de suite pour savoir comment l'apaiser et le récupérer. Malgré la distance et les rancoeurs. Dans un premier temps j'attends son appel. Je compte lui expliquer de manière calme ce que j'ai ressenti durant la rupture et les erreurs que j'ai commises et qu'il répète. Je compte également lui dire que je vais le laisser réfléchir quelques temps. Que je sais qu'on s'aime et que seul sa fierté et son orgueil nous empêche d'avancer. Que je comprends qu'il ait besoin de temps pour y penser calmement. que j'ai confiance en notre couple, et qu'on se retrouvera un jour. Mais j'ai quand même envie de le voir, de le toucher, de lui parler (de le harceler de texto!!!! oui je sais à bannir).
Et vous ? comment aborderiez vous la chose ? après l'appel : SR, accompagnement ?