BY #pepe - 01 mai 2015, 16:36
- 01 mai 2015, 16:36
#1028553
Bien le bonjour/Bonsoir à toutes/tous.
Avant toute chose je viens de m'inscrire sur ce forum pour avoir des avis les plus complet possible sur la situation que je vie actuellement. Je dois vous avouez que même si pour certains la situation que je vais énoncé paraîtra futile, pour moi c'est pour la moment la situation la plus horrible que j'ai pu connaître. J'ai besoin d'avis constructif et franc. Les avis de mes proches sont trop variés, ma famille me pousse à vouloir me faire une mauvaise image de la personne. Certains amis essaye juste de comprendre et de faire la part de chacun, et d'autre me pousse complètement à y croire. Je n'arrive plus à réfléchir, qui croire ?
M'enfin, après avoir déballer mon désespoir je vais vous racontez ma situation.
J'ose espérer que je ne suis pas le seul à vivre cette situation qui me parait inédite m'enfin.
Je m'appel Paul, à l'heure actuelle j'ai 19 ans et je suis en train de vivre une situation de rupture très difficile du aux différents événements contradictoire concernant mon "ex-couple" ainsi que mes projet professionnelles qui demande un certain moral.
Alors je me lance. je sors d'une relation de 2 ans et demi avec une fille que j'ai rencontré à l'âge de 16 ans (pour les deux). Nous nous connaissions déjà depuis le collège, mais les années ont filés jusqu'à ce que nous reprenions contact principalement pour la raison que nous allions prendre le même bus pour le même lycée. A ce moment là, quelqu'un partageais déjà sa vie depuis 9 mois, mais en parlant avec elle, elle ma confié ne pas être heureuse avec lui, ne pas avoir d'intention de sa part, rien, pas de câlin, pas de bisous. M'enfin j'dois l'avouer que j'ai profité d'une situation assez exceptionnelle qui ma permis de lui apporté tout ce qu'elle désirait avoir de la part du sexe opposé. De l'intention, des tendresses, m'enfin tout ce que je cherche une adolescente sensible à la recherche d'intention particulière que j'ai su lui offrir à une période plutôt hasardeuse. Suite à quoi, nous avons vécu durant 2 ans et demi jusqu'au 27 février dernier.
Et c'est ici que tout est expliqué dans le titre, je l'ai quitté pensant que nous avions changé, ne pensant ne plus être autant attiré qu'avant, ne pensant tout simplement plus ressentir aussi intensément les choses venant d'elle. Peut être que des événements auraient joué la dessus ? C'était à une période mouvementé je dois l'admettre. Je passais mon concours de police. Mon travail en tant que barman était peu supportable en raison de la saison d'hiver. Et son comportement et le mien était loin d'être parfait je suppose.
J'ai cru réfléchir durant un bon mois. sans trouvé de réponse. Lorsque je lui ai enfin avoué mon mal-être, mon objectif premier était de discuté, puis, éventuellement prendre une décision selon la gravité des choses. Concrètement, je pensais faire un break, le temps de se retrouver chacun de son coté, me permettant alors de mieux réfléchir. Sauf que tout ne sais pas passé comme je pensais. Au moment même ou je lui ai dit les raisons pour lesquelles sa n'allait plus :
- Raisons du travail
- Mon stress pour mon concours
- le fait qu'on s'engueulait souvent ces derniers temps et cela pour des sujets sensible concernant les effets secondaires de sa contraception
- mon comportement que je trouvais indifférent face à cela.
- le sien également que je trouvais peu supportable ainsi que mes impressions de ne plus être aussi "fall in love".
Tout à dérapé et tout est très vite arrivé sur la séparation. Le soir même ou je lui disais qu'il fallait qu'on parle, elle ma supplié d'énervement de lui dire ce qui n'allait pas. Par agacement d'être harceler, je lui ai énoncé (malgré ma pensé intime qu'en parler les deux en face aurait été des plus bénéfiques) les raisons par sms, et cela une heure avant de devoir partir au travail. Énonçant alors les raisons, elle à très mal réagis (ce que j'imaginais avec les circonstances de ne pas être ensemble pour en parler) à me dire que je voulais tout arrêter, que c'était ça que je voulais en réalité. Ne désirant pas perduré sur le sujet et lui répétant sans cesse que je voulais en parler ensemble. Tout est aller très vite et à 15 min de devoir partir au travail, lorsque je suis sorti de chez moi je l'ai vue, là, assise devant ma porte sur les escaliers, pleurant de toute ces forces. Désemparer comme jamais, je n'ai pas su quoi faire à part essayer de la calmer, ce qui se termina par avoir reçu une claque sur la joue de sa part (sous l'élan de colère et de tristesse je suppose). Le tout couronné du temps qui me rappelait que je devais aller au travail. Je dois l'avoué la claque reçu m'avait mis en colère mais que je comprenais.
Le lendemain, me disant que la seule solution pour ne plus la faire souffrir était de partir aussi vite que possible, me disant qu'avec les faits de la vieille, il n'était plus possible de faire marche arrière. Le lendemain je lui ai dit que je passerait lui rendre ses affaires et reprendre les miennes. Je pensais que faire vite était la solution la plus simple pour essayer de lui faire le moins de mal possible. Il y'a eu une courte discussion à but de redire les raisons mais cette fois à l'oral, que sa meilleure amie ma imposée alors que je disais que y reparlé était une façon simple de lui faire encore plus mal. Mais je m'y suis contraint par respect envers sa demande.
Deux semaines plus tard, j'ai commencé à réalisé. Et je me suis rendu compte qu'au final les raisons pour lesquelles je l'avais quitté n'étaient celles que j'avais cités, mais une peur nette de sa famille et de l'engagement. A tout juste 19 ans il est difficile d'entendre de plus en plus souvent que nous faisons parti de la famille, que nous sommes prisonnier (avec le ton ironique) de cette famille, et de là à entendre ma copine commencer à me parler au moins une fois toute les semaines de bébé, de maison, de chien. Jusqu'au jour à sa propre tante m'avait prit à part à nouvel an pour m'avouer que pour elle j'étais devenu un peu comme son petit neveux et une semaine plus tard, constater une photo de moi avec la copine à coté ainsi que le bébé de sa tante et oncle que j'avais dans les bras, accroché au frigo, entouré du reste des photos de sa famille. Quelque chose de très touchant, mais qui ma fait énormément peur du fait de mes 19 ans.
Après avoir compris, j'ai voulu lui parlé, pour lui expliquer tout ça. Ce que je fis deux jours après avoir réellement réalisé. Une longue discussion s'ai engagé (de 18h20 jusqu'à 21h) un peu prêt, ou je lui ai expliqué tout ce que je vous explique à vous ici
A la fin de la discussion, elle ma dit qu'elle réfléchirai à tout ça. Mais qu'elle ne s'avais pas puisque d'un coté j'avais cassé quelque chose en elle, qu'elle ne ressentait rien. Ce que je rétorquais en expliquant avec certitude que tu à est perdu par les événements et que forcément, ce que tu ressens en priorité est du chagrin et surtout de la colère.
le lendemain elle à désirer me parler, m'avouant qu'elle avait réfléchit et me disant que selon elle c'était impossible que sa revienne. N'ayant pas compris sa logique de me dire avoir réfléchi en aussi peu de temps. Nous avons parler à nouveau (enfin, un mélange de provocation de colère et de sadisme le tout tranché avec quelques parole froides de temps en temps). Ce qui était étonnant, c'est que malgré sa certitude de départ, j'ai su émettre le doute en elle, ce qui s'ai fini à la fin par une fin plutôt étonnante (à s'embrassé de manière assez passionnelle dans la voiture)
étant quelqu'un d'emphatique et je dois avoué que j'avais ressenti venant de sa part cette petite "chose" que j'ai jamais trouvé chez aucune fille, et qui était encore présent. Je pense que certains ont déjà connu des expériences sans sentiments ? Disons que clairement je serais prêt à mettre ma main au feu que les sentiments étaient présent en vue de l'émotion dégager, et rien qu'en l'acte en lui même, je veux dire par là que si les sentiments n'avaient pas été présent, sa n'aurait pas été de cette manière.
M'enfin, suite à quoi, nous avons continué durant.. 2 mois (jusqu'à la semaine dernière). Ont s'entendaient très bien (de là à avoir des relations s******** assez poussés là aussi en émotions).
Je suis ainsi passé dans une nouvelle phase ou je suis vraiment retombé amoureux d'elle et cela à en devenir passionnelle.
Suite à quoi, les dernières semaines, elle a eu un comportement très spécial, un jour elle me disait je t'aime, et le lendemain je ne sais pas. Ce qui nous à valu des disputes, dont une très violente. Considéré cette violente dispute par le fait que j'ai eu une grosse baisse de moral alors que tout allait bien entre nous, mais elle n'a eu aucune réaction à par me regardé, pour en finir par me dire "dis moi ce qui vas pas" et quand je lui disais ce qui me rendais mal elle me répondais "à mais je peux rien faire !". Cette réaction ma profondément vexé et tout est aller dans le même sens par la suite (jusqu'au moment ou j'ai fait l'erreur de la poussé à bout pour la raison que je ne supportait plus d'avoir un "je t'aime" un jour et lendemain un "je ne sais pas", d'être agacé aussi d'avoir ressentit ce que je vous expliquait plus haut mais que j'étais le seul à le savoir tandis qu'elle restait dans son incertitude. Ce qui conclue par un énervement très explicité de chacun et une violence de ma part (non pas envers elle mais contre moi même et contre ce que je trouvais sur mon chemin).
A la suite de quoi, j'ai acheté des roses en guise d'excuse (malgré le fait que j'avais en tête de lui en faire un d'ici peu pour lui faire plaisir) et une lettre écrite de ma main pour vidé un peu ce que j'avais sur le cœur.
Cette dernière m'avait confié de ne pas vouloir voir le cadeau avant mardi car elle avait des examens, mais aussitôt donné à sa mère le lundi que sa curiosité la emporté et qu'elle ma confié être touché mais que sa lui avait fait du mal du fait qu'elle ma confié le fait qu'elle aurait aimé que je fasse cela quand nous étions encore ensemble. Je lui ai confié que j'avais en tête de le faire très prochainement mais que les circonstances on fait que..
Suite à quoi je ne savais plus tellement comment réagir après cela, je savais qu'elle avait la haine pour ce qu'il c'était passé, mais j'avais pas l'impression qu'elle essayait d'arranger les choses. Enfin je ne sais pas. Tout devenais de plus en plus contradictoire dans sa façon de dire/faire et inversement. jusqu'au moment ou un mercredi soir elle ma imposé son choix de tout arrêté pour les raisons qu'elle avait essayé mais qu'elle ne ressentais plus rien pour moi mise à part de l'amitié (alors que le jour d'avant elle m'avait dit en fin de soirée qu'elle m'aimait).
Après cette histoire une amie m'avait confié alors que j'étais au boulot (le vendredi) que la personne concerné lui avait dit en début de semaine qu'elle désirait vraiment revenir avec moi etc. ce qui en totale contradiction avec ce qu'elle venait de m'imposé deux jours avant. Le lendemain, soit samedi, je voulais parler avec elle, en la cherchant, sa propre mère m'avait dit qu'elle était parti faire des magasins avec une amie. Prit de désespoir, je l'ai chercher et chercher jusqu'au moment ou je l'ai croiser en voiture et contrairement a ce que m'avait dit sa mère, elle n'était pas avec une copine mais.. une personne de sexe opposé. Prit alors de colère je l'ai suivi et j'ai réussi à avoir une discussion. Tout ça pour répondre à mes questions que je vous pose indirectement ici pour comprendre et m'aidé à prendre les bonnes décisions. Mais elle n'a pas su y répondre et ma dit des paroles plutôt dure à entendre après 2 ans et demi et tout les efforts que j'avais fourni.
Le soir même elle ma envoyer des sms afin de me dire qu'elle ne me détestait pas, mais qu'elle ne ressentais rien etc, qu'au sujet du mec qui était avec elle hier était bel et bien juste un copain et rien d'autre. Que si j'avais besoin de parler elle serait là etc, ce que je lui confie en sortant du travail le soir, nous nous sommes vue le lendemain et avons discuter, elle paraissait certaine de sa décision et sa malgré le fait que je lui explique ce que j'avais ressentis venant d'elle. Tout ce contredisais à nouveau entre ce dont je me basais et ce qu'elle me disais.
Et dernièrement, en quelques jours elle est passé du stade à me dire que si j'avais besoin pour parler ou même en tant qu'amitié elle serait là, à me demander de ne plus parler de nous (ce que je fis durant le peu de temps qu'il s'ai passer) à me dire d'arrêter de lui parler tous les jours (ne serait-ce que juste prendre des nouvelles c'était de trop). Et jusqu'à aujourd'hui, ou je sais qu'elle ma bloquer sur ton GSM et surement ailleurs alors que je faisais l'effort de ne pas lui parlé.
Je ne sais que pensé. Est-ce une vengeance simple ? Est-ce possible de confier son désire que tout revienne et deux mois après faire tout l'inverse à la limite de faire comme j'ai fais quand je l'ai quitté ? Est-ce possible de perdre ses sentiments aussi rapidement en l'espace de 3 mois et cela en prenant en compte le fait qu'avant la rupture elle me voyait comme l'homme de sa vie ? J'ai besoin de vous. Je suis désolé si mon histoire est aussi longue mais si jamais vous ne comprenez pas quelque chose demandez moi..
Merci de m'avoir lu.. En espérant avoir des réponses positives et construites. Merci beaucoup.
Avant toute chose je viens de m'inscrire sur ce forum pour avoir des avis les plus complet possible sur la situation que je vie actuellement. Je dois vous avouez que même si pour certains la situation que je vais énoncé paraîtra futile, pour moi c'est pour la moment la situation la plus horrible que j'ai pu connaître. J'ai besoin d'avis constructif et franc. Les avis de mes proches sont trop variés, ma famille me pousse à vouloir me faire une mauvaise image de la personne. Certains amis essaye juste de comprendre et de faire la part de chacun, et d'autre me pousse complètement à y croire. Je n'arrive plus à réfléchir, qui croire ?
M'enfin, après avoir déballer mon désespoir je vais vous racontez ma situation.
J'ose espérer que je ne suis pas le seul à vivre cette situation qui me parait inédite m'enfin.
Je m'appel Paul, à l'heure actuelle j'ai 19 ans et je suis en train de vivre une situation de rupture très difficile du aux différents événements contradictoire concernant mon "ex-couple" ainsi que mes projet professionnelles qui demande un certain moral.
Alors je me lance. je sors d'une relation de 2 ans et demi avec une fille que j'ai rencontré à l'âge de 16 ans (pour les deux). Nous nous connaissions déjà depuis le collège, mais les années ont filés jusqu'à ce que nous reprenions contact principalement pour la raison que nous allions prendre le même bus pour le même lycée. A ce moment là, quelqu'un partageais déjà sa vie depuis 9 mois, mais en parlant avec elle, elle ma confié ne pas être heureuse avec lui, ne pas avoir d'intention de sa part, rien, pas de câlin, pas de bisous. M'enfin j'dois l'avouer que j'ai profité d'une situation assez exceptionnelle qui ma permis de lui apporté tout ce qu'elle désirait avoir de la part du sexe opposé. De l'intention, des tendresses, m'enfin tout ce que je cherche une adolescente sensible à la recherche d'intention particulière que j'ai su lui offrir à une période plutôt hasardeuse. Suite à quoi, nous avons vécu durant 2 ans et demi jusqu'au 27 février dernier.
Et c'est ici que tout est expliqué dans le titre, je l'ai quitté pensant que nous avions changé, ne pensant ne plus être autant attiré qu'avant, ne pensant tout simplement plus ressentir aussi intensément les choses venant d'elle. Peut être que des événements auraient joué la dessus ? C'était à une période mouvementé je dois l'admettre. Je passais mon concours de police. Mon travail en tant que barman était peu supportable en raison de la saison d'hiver. Et son comportement et le mien était loin d'être parfait je suppose.
J'ai cru réfléchir durant un bon mois. sans trouvé de réponse. Lorsque je lui ai enfin avoué mon mal-être, mon objectif premier était de discuté, puis, éventuellement prendre une décision selon la gravité des choses. Concrètement, je pensais faire un break, le temps de se retrouver chacun de son coté, me permettant alors de mieux réfléchir. Sauf que tout ne sais pas passé comme je pensais. Au moment même ou je lui ai dit les raisons pour lesquelles sa n'allait plus :
- Raisons du travail
- Mon stress pour mon concours
- le fait qu'on s'engueulait souvent ces derniers temps et cela pour des sujets sensible concernant les effets secondaires de sa contraception
- mon comportement que je trouvais indifférent face à cela.
- le sien également que je trouvais peu supportable ainsi que mes impressions de ne plus être aussi "fall in love".
Tout à dérapé et tout est très vite arrivé sur la séparation. Le soir même ou je lui disais qu'il fallait qu'on parle, elle ma supplié d'énervement de lui dire ce qui n'allait pas. Par agacement d'être harceler, je lui ai énoncé (malgré ma pensé intime qu'en parler les deux en face aurait été des plus bénéfiques) les raisons par sms, et cela une heure avant de devoir partir au travail. Énonçant alors les raisons, elle à très mal réagis (ce que j'imaginais avec les circonstances de ne pas être ensemble pour en parler) à me dire que je voulais tout arrêter, que c'était ça que je voulais en réalité. Ne désirant pas perduré sur le sujet et lui répétant sans cesse que je voulais en parler ensemble. Tout est aller très vite et à 15 min de devoir partir au travail, lorsque je suis sorti de chez moi je l'ai vue, là, assise devant ma porte sur les escaliers, pleurant de toute ces forces. Désemparer comme jamais, je n'ai pas su quoi faire à part essayer de la calmer, ce qui se termina par avoir reçu une claque sur la joue de sa part (sous l'élan de colère et de tristesse je suppose). Le tout couronné du temps qui me rappelait que je devais aller au travail. Je dois l'avoué la claque reçu m'avait mis en colère mais que je comprenais.
Le lendemain, me disant que la seule solution pour ne plus la faire souffrir était de partir aussi vite que possible, me disant qu'avec les faits de la vieille, il n'était plus possible de faire marche arrière. Le lendemain je lui ai dit que je passerait lui rendre ses affaires et reprendre les miennes. Je pensais que faire vite était la solution la plus simple pour essayer de lui faire le moins de mal possible. Il y'a eu une courte discussion à but de redire les raisons mais cette fois à l'oral, que sa meilleure amie ma imposée alors que je disais que y reparlé était une façon simple de lui faire encore plus mal. Mais je m'y suis contraint par respect envers sa demande.
Deux semaines plus tard, j'ai commencé à réalisé. Et je me suis rendu compte qu'au final les raisons pour lesquelles je l'avais quitté n'étaient celles que j'avais cités, mais une peur nette de sa famille et de l'engagement. A tout juste 19 ans il est difficile d'entendre de plus en plus souvent que nous faisons parti de la famille, que nous sommes prisonnier (avec le ton ironique) de cette famille, et de là à entendre ma copine commencer à me parler au moins une fois toute les semaines de bébé, de maison, de chien. Jusqu'au jour à sa propre tante m'avait prit à part à nouvel an pour m'avouer que pour elle j'étais devenu un peu comme son petit neveux et une semaine plus tard, constater une photo de moi avec la copine à coté ainsi que le bébé de sa tante et oncle que j'avais dans les bras, accroché au frigo, entouré du reste des photos de sa famille. Quelque chose de très touchant, mais qui ma fait énormément peur du fait de mes 19 ans.
Après avoir compris, j'ai voulu lui parlé, pour lui expliquer tout ça. Ce que je fis deux jours après avoir réellement réalisé. Une longue discussion s'ai engagé (de 18h20 jusqu'à 21h) un peu prêt, ou je lui ai expliqué tout ce que je vous explique à vous ici

le lendemain elle à désirer me parler, m'avouant qu'elle avait réfléchit et me disant que selon elle c'était impossible que sa revienne. N'ayant pas compris sa logique de me dire avoir réfléchi en aussi peu de temps. Nous avons parler à nouveau (enfin, un mélange de provocation de colère et de sadisme le tout tranché avec quelques parole froides de temps en temps). Ce qui était étonnant, c'est que malgré sa certitude de départ, j'ai su émettre le doute en elle, ce qui s'ai fini à la fin par une fin plutôt étonnante (à s'embrassé de manière assez passionnelle dans la voiture)


étant quelqu'un d'emphatique et je dois avoué que j'avais ressenti venant de sa part cette petite "chose" que j'ai jamais trouvé chez aucune fille, et qui était encore présent. Je pense que certains ont déjà connu des expériences sans sentiments ? Disons que clairement je serais prêt à mettre ma main au feu que les sentiments étaient présent en vue de l'émotion dégager, et rien qu'en l'acte en lui même, je veux dire par là que si les sentiments n'avaient pas été présent, sa n'aurait pas été de cette manière.
M'enfin, suite à quoi, nous avons continué durant.. 2 mois (jusqu'à la semaine dernière). Ont s'entendaient très bien (de là à avoir des relations s******** assez poussés là aussi en émotions).
Je suis ainsi passé dans une nouvelle phase ou je suis vraiment retombé amoureux d'elle et cela à en devenir passionnelle.
Suite à quoi, les dernières semaines, elle a eu un comportement très spécial, un jour elle me disait je t'aime, et le lendemain je ne sais pas. Ce qui nous à valu des disputes, dont une très violente. Considéré cette violente dispute par le fait que j'ai eu une grosse baisse de moral alors que tout allait bien entre nous, mais elle n'a eu aucune réaction à par me regardé, pour en finir par me dire "dis moi ce qui vas pas" et quand je lui disais ce qui me rendais mal elle me répondais "à mais je peux rien faire !". Cette réaction ma profondément vexé et tout est aller dans le même sens par la suite (jusqu'au moment ou j'ai fait l'erreur de la poussé à bout pour la raison que je ne supportait plus d'avoir un "je t'aime" un jour et lendemain un "je ne sais pas", d'être agacé aussi d'avoir ressentit ce que je vous expliquait plus haut mais que j'étais le seul à le savoir tandis qu'elle restait dans son incertitude. Ce qui conclue par un énervement très explicité de chacun et une violence de ma part (non pas envers elle mais contre moi même et contre ce que je trouvais sur mon chemin).
A la suite de quoi, j'ai acheté des roses en guise d'excuse (malgré le fait que j'avais en tête de lui en faire un d'ici peu pour lui faire plaisir) et une lettre écrite de ma main pour vidé un peu ce que j'avais sur le cœur.
Cette dernière m'avait confié de ne pas vouloir voir le cadeau avant mardi car elle avait des examens, mais aussitôt donné à sa mère le lundi que sa curiosité la emporté et qu'elle ma confié être touché mais que sa lui avait fait du mal du fait qu'elle ma confié le fait qu'elle aurait aimé que je fasse cela quand nous étions encore ensemble. Je lui ai confié que j'avais en tête de le faire très prochainement mais que les circonstances on fait que..
Suite à quoi je ne savais plus tellement comment réagir après cela, je savais qu'elle avait la haine pour ce qu'il c'était passé, mais j'avais pas l'impression qu'elle essayait d'arranger les choses. Enfin je ne sais pas. Tout devenais de plus en plus contradictoire dans sa façon de dire/faire et inversement. jusqu'au moment ou un mercredi soir elle ma imposé son choix de tout arrêté pour les raisons qu'elle avait essayé mais qu'elle ne ressentais plus rien pour moi mise à part de l'amitié (alors que le jour d'avant elle m'avait dit en fin de soirée qu'elle m'aimait).
Après cette histoire une amie m'avait confié alors que j'étais au boulot (le vendredi) que la personne concerné lui avait dit en début de semaine qu'elle désirait vraiment revenir avec moi etc. ce qui en totale contradiction avec ce qu'elle venait de m'imposé deux jours avant. Le lendemain, soit samedi, je voulais parler avec elle, en la cherchant, sa propre mère m'avait dit qu'elle était parti faire des magasins avec une amie. Prit de désespoir, je l'ai chercher et chercher jusqu'au moment ou je l'ai croiser en voiture et contrairement a ce que m'avait dit sa mère, elle n'était pas avec une copine mais.. une personne de sexe opposé. Prit alors de colère je l'ai suivi et j'ai réussi à avoir une discussion. Tout ça pour répondre à mes questions que je vous pose indirectement ici pour comprendre et m'aidé à prendre les bonnes décisions. Mais elle n'a pas su y répondre et ma dit des paroles plutôt dure à entendre après 2 ans et demi et tout les efforts que j'avais fourni.
Le soir même elle ma envoyer des sms afin de me dire qu'elle ne me détestait pas, mais qu'elle ne ressentais rien etc, qu'au sujet du mec qui était avec elle hier était bel et bien juste un copain et rien d'autre. Que si j'avais besoin de parler elle serait là etc, ce que je lui confie en sortant du travail le soir, nous nous sommes vue le lendemain et avons discuter, elle paraissait certaine de sa décision et sa malgré le fait que je lui explique ce que j'avais ressentis venant d'elle. Tout ce contredisais à nouveau entre ce dont je me basais et ce qu'elle me disais.
Et dernièrement, en quelques jours elle est passé du stade à me dire que si j'avais besoin pour parler ou même en tant qu'amitié elle serait là, à me demander de ne plus parler de nous (ce que je fis durant le peu de temps qu'il s'ai passer) à me dire d'arrêter de lui parler tous les jours (ne serait-ce que juste prendre des nouvelles c'était de trop). Et jusqu'à aujourd'hui, ou je sais qu'elle ma bloquer sur ton GSM et surement ailleurs alors que je faisais l'effort de ne pas lui parlé.
Je ne sais que pensé. Est-ce une vengeance simple ? Est-ce possible de confier son désire que tout revienne et deux mois après faire tout l'inverse à la limite de faire comme j'ai fais quand je l'ai quitté ? Est-ce possible de perdre ses sentiments aussi rapidement en l'espace de 3 mois et cela en prenant en compte le fait qu'avant la rupture elle me voyait comme l'homme de sa vie ? J'ai besoin de vous. Je suis désolé si mon histoire est aussi longue mais si jamais vous ne comprenez pas quelque chose demandez moi..
Merci de m'avoir lu.. En espérant avoir des réponses positives et construites. Merci beaucoup.