- 23 mai 2014, 23:21
#893348
Je m'appelle Lucie, j'ai 26 ans. J'avais toujours eu -jusqu'à présent- une vraie joie de vivre et beaucoup d'ami(e)s. Je travaille dans le marketing, je suis grande, brune, on dit de moi que je suis plutôt jolie et que je peux avoir "qui je veux" (ou presque). J'ai un côté très autoritaire, très voire trop "droit" et je peux parfois être oppressante, fatigante. J'ai eu peu de copains, et comme beaucoup de filles je ne m'attache qu'aux hommes cruels : ceux avec lesquels rien n'est jamais acquis, ceux avec qui la conquête est permanente, ceux qui ne m'aiment pas tout simplement. A date, ma vie c'est 3 gentils et 2 cruels. C'est du second cruel qu'il s'agit ici.
On l'appellera G. G n'est pas vraiment beau, il n'est cependant pas moche. G a de la tchatche et beaucoup de charisme. A l'age de 25 ans, G a repris le domaine viticole renommé de ses parents. Il est un bien drôle de mélange : accent campagnard sur look BCBG à base de chemises RL. L'argent et le travail sont ses deux moteurs de vie. Il ne connait pas les loisirs, ne s'accorde que les dimanches. Enfin, G s'accorde les dimanches mais aussi les nuits qui vont du samedi au dimanche, où il exprime son côté bling bling en boîte : champagne à tout va, défilé de filles à notre table. "Notre" table, car G et moi faisons/faisions partie du même groupe d'amis.
Personne ne nous aurait vu ensemble : "Tu es trop bien pour lui", "Vous êtes trop différents", "Il n'a jamais bougé d'ici, tu as vécu dans plein d'endroits", "Il est instable émotionnellement" ou "il est moche".
Et pourtant. C'est la nuit du 1er avril 2012, plus de deux ans maintenant que tout a débuté (vu la date, j'aurais du comprendre que c'était une belle blague). Nous nous "cherchions" depuis un moment, il devait me déposer chez moi après la boite quand, à 5h du matin, nous sommes tombés sur la police. Il a soufflé, son permis lui a été retiré, on a fini au poste. J'avais le permis, il avait la voiture = obligation de dormir tous les deux au même endroit. Et ça s'est passé. Et je n'avais jamais cédé aussi rapidement à quelqu'un. Et il pleurait dans mes bras à cause de son permis. Et en une nuit c'était devenu une évidence. Et le lendemain je n'ai eu le droit qu'à du silence. Selon ses propos auprès de nos amis, il m'avait démontée. Jamais un mot ne m'avait autant blessée.
6 mois ont passé pendant lesquels on s'est croisés rapidement en soirée. 6 mois pendant lesquels je n'ai pensé qu'à lui, autant en mal qu'en bien. Il m'a envoyé quelques textos banals, parfois agressifs et s'est décidé, au mois d'octobre à venir récupérer la veste qu'il avait oubliée. J'ai eu le droit à des insinuations comme quoi on pourrait se mettre en couple tous les deux, qu'il avait enfin oubliée son ex, celle qu'il mettait sur un piédestal depuis sa rupture, 3 ans auparavant. J'ai fait mine de m'en moquer mais lors d'une soirée (trop) arrosée, j'ai à nouveau cédé. Impossible de comprendre, impossible de contrôler avec lui. Je n'ai jamais réussi à être moi même. Le lendemain, j'avais droit à un bisou sur la joue en guise d'au revoir et j'ai compris.
Alors j'ai réagi ! J'ai tout effacé, tout rayé de lui et en une semaine, j'avais rencontré quelqu'un de beau, d'intelligent et de sympa. Dont je me sentais amoureuse au début. G continuait de m'écrire de temps à autres, ça m'affectait mais je ne répondais pas. Quand je le croisais en soirée, je me refusais même de lui dire bonjour. Mais son absence se faisait de plus en plus grande, et l'homme avec qui j'étais depuis maintenant près d'un an commençait à comprendre que je ne l'aimais pas.
C'était début septembre dernier quand G m'attendait devant les toilettes de la boîte : "Lucie, demain tu laisses ton copain. Je laisse ma copine et on se met ensemble". Ce à quoi j'ai répondu "Oui c'est ça, tu m'envoies un sms demain à jeun et on en reparle". A 9h du matin j'avais mon sms, à 17h j'avais une conversation chez lui, à 18h je partais la tête embrouillée. Pendant un mois G ne m'a pas lâchée, une moyenne de 100 sms par jour, une complicité naissante, une illusion grandissante. Puis mon copain m'a laissée -il a bien fait, je n'avais pas le courage de le faire-.
A nouveau seule, G dans la tête depuis plus d'un an maintenant, j'ai décidé de foncer à la mi octobre et de tenter cette histoire une bonne fois pour toute. Nous avons pris notre temps cette fois, nous étions bien. Il me donnait la juste dose -ni trop, ni pas assez-, je lui témoignais mon sérieux : lui qui m'avait toujours reproché d'être trop fêtarde et ingérable, lui qui recherchait soit disant "la bonne" avec qui se "poser", lui qui avait collectionné tant de filles. L'équilibre était enfin trouvé. Ou du moins, je le pensais...
1 mois et demi plus tard, je l'ai senti s'éloigner. Le motif? Je voulais à tout prix partir en week-end avec lui mais ce n'est pas quelque chose d'envisageable avec son métier. Nous n'étions pas compatibles... et surtout, il était devenu très border line. Il m'a laissée une semaine avant Noël, j'ai passé les fêtes dans mon lit et je pleurais le 25. J'ai réussi à me mettre en silence radio après quelques messages oppressants et une semaine après il est revenu : au "bout de sa vie", désespéré : il ne "m'aimait pas" certes, mais je lui manquais terriblement. Livraison de bouquet de fleurs, organisation d'un week-end par Monsieur : où étaient passés mon orgueil et ma fierté, après 2 semaines j'ai à nouveau cédé!
La prochaine étape a duré 3 mois, où la malchance a joué contre nous : mes parents se sont séparés, G a eu quelques problèmes d'ordre "légal" et pour couronner le tout -et sans vouloir entrer dans les détails-, nous pensions avoir contracté une MST ce qui nous a privé de rapports pendant presque deux mois (il s'est avéré au final que ce n'était rien). Trop peu de temps libre de son côté, et moi désireuse de le voir davantage, G a commencé a se sentir oppressé. Il y a deux mois jour pour jour, il m'a regardé dans les yeux et m'a dit "je n'ai rien à te reprocher, tu es parfaite mais je ne t'aime pas, on perd notre temps tous les deux."
Les deux mois derniers ont été horribles et je ne parviendrai pas à tout retranscrire tant les choses sont allées loin. J'allais en boite avec des amis 10 fois plus beaux que lui, il se vengeait en prenant la première fille qui passait et l'embrassait sous mes yeux. L'une de ces actions lui a valu une gifle, que je lui ai mise en pleine boite et on s'est fait sortir tous les deux : il s'est mis à pleurer, j'étais dans le même état. Grand retour en adolescence. Je continuais d'écrire, il prenait un malin plaisir à me garder sous le coude.
Je me suis renseignée sur ses anciennes relations, pour essayer de comprendre : à des degrés différents mais il a toujours fait ça avec toutes, même celle qu'il prétend avoir aimée et dont je l'ai très souvent entendu parler quand nous étions "potes". "Je viens, je repars... je trompe, j'aime, je pleurs, et je vous envoie toutes des fleurs!"
Alors j'ai fait un silence radio d'une semaine qui s'est soldé par des retrouvailles en boite : monsieur était énervé contre moi, disait ne pas vouloir me parler, moi j'étais juste "normale" et je n'ai pas prêté plus attention que ça à lui. Le lendemain, il faisait son grand retour, je lui manquais et il voulait m'envoyer des roses [lol]. Pendant 2 semaines, j'ai joué avec lui : il faisait ce que je lui demandais, je le "prenais" quand j'en avais envie. Et du jour au lendemain, alors que tout était en phase de rentrer dans l'ordre, il s'est fermé et, pour résumer, m'a dit "cette fois-ci c'est définitivement fini". Toute la souffrance accumulée depuis 2 ans est alors sortie : crise de pleurs, hystérie, j'étais à bout. Je l'ai croisé en boite le lendemain, je suis passée tout droit quand il a tendu la joue pour me dire bonjour et j'ai passé ma soirée loin de lui à parler avec un beau garçon.
Le lendemain il avait bloqué nos comptes facebook. J'ai tenu un silence radio pendant 13 jours : au début c'était facile car comme à chaque fois, je pensais qu'il allait revenir. Mais aujourd'hui j'ai cédé , trop tôt, mais car je n'en pouvais plus : je l'ai appelé (de mon téléphone pro car j'ai réalisé qu'il avait bloqué le perso), tout en restant légère, je lui ai dit que la manière dont ça s'était terminé m'avait contrariée, que j'aimerais en parler et lui ai proposer de se voir pour en parler. Il a dit OK pour ce soir 20h. Et si je suis sur ce forum, c'est que je ne suis pas avec lui. Car à 18h, il a envoyé un sms incendiaire : "je n'ai plus envie de te voir tu as voulu faire la belle a ne pas me dire bjr maintenant assume... et de toute facon je n'ai pas envie de tromper la confiance de quelqu'un pour te voir donc n'insiste pas..."
La fille oppressante que je suis a appelé : l'heureuse élue s'appelle Vanessa, elle est mannequin et a acheté une maison dans une quartier riche de la ville, même si elle a vendu sa Porsche dernièrement. Fille inconnue au bataillon dans la petite ville où nous sommes. Ils se voient, et même si elle est un peu superficielle, ça se passe bien. Il a complètement tiré un trait sur notre histoire et ne veut plus entendre parler de moi, il a d'ailleurs tout de suite rebloqué mon numéro. Ha oui, j'ai oublié de vous dire que G a un petit côté mythomane. Reste à savoir dans quelle mesure puisqu'il à juré ces infos sur sa soeur. J'ai aussi oublié de vous dire que je devais avoir un petit côté SM et une tête mal faite puisqu'en dehors de tout ça (et de toutes les autres crasses qu'il a pu me faire et qu'il serait bien trop long de relater ici), je n'arrive toujours pas à le détester.
A tous ceux qui seront arrivés à cette ligne sans s'endormir, merci
Pensez-vous faire plus pourrie comme histoire?
N'hésitez pas à réagir, je pense avoir besoin d'avis extérieur pour avoir ENFIN ce fameux déclic ! Certains ont-ils vécu/fait vivre la même chose?
On l'appellera G. G n'est pas vraiment beau, il n'est cependant pas moche. G a de la tchatche et beaucoup de charisme. A l'age de 25 ans, G a repris le domaine viticole renommé de ses parents. Il est un bien drôle de mélange : accent campagnard sur look BCBG à base de chemises RL. L'argent et le travail sont ses deux moteurs de vie. Il ne connait pas les loisirs, ne s'accorde que les dimanches. Enfin, G s'accorde les dimanches mais aussi les nuits qui vont du samedi au dimanche, où il exprime son côté bling bling en boîte : champagne à tout va, défilé de filles à notre table. "Notre" table, car G et moi faisons/faisions partie du même groupe d'amis.
Personne ne nous aurait vu ensemble : "Tu es trop bien pour lui", "Vous êtes trop différents", "Il n'a jamais bougé d'ici, tu as vécu dans plein d'endroits", "Il est instable émotionnellement" ou "il est moche".
Et pourtant. C'est la nuit du 1er avril 2012, plus de deux ans maintenant que tout a débuté (vu la date, j'aurais du comprendre que c'était une belle blague). Nous nous "cherchions" depuis un moment, il devait me déposer chez moi après la boite quand, à 5h du matin, nous sommes tombés sur la police. Il a soufflé, son permis lui a été retiré, on a fini au poste. J'avais le permis, il avait la voiture = obligation de dormir tous les deux au même endroit. Et ça s'est passé. Et je n'avais jamais cédé aussi rapidement à quelqu'un. Et il pleurait dans mes bras à cause de son permis. Et en une nuit c'était devenu une évidence. Et le lendemain je n'ai eu le droit qu'à du silence. Selon ses propos auprès de nos amis, il m'avait démontée. Jamais un mot ne m'avait autant blessée.
6 mois ont passé pendant lesquels on s'est croisés rapidement en soirée. 6 mois pendant lesquels je n'ai pensé qu'à lui, autant en mal qu'en bien. Il m'a envoyé quelques textos banals, parfois agressifs et s'est décidé, au mois d'octobre à venir récupérer la veste qu'il avait oubliée. J'ai eu le droit à des insinuations comme quoi on pourrait se mettre en couple tous les deux, qu'il avait enfin oubliée son ex, celle qu'il mettait sur un piédestal depuis sa rupture, 3 ans auparavant. J'ai fait mine de m'en moquer mais lors d'une soirée (trop) arrosée, j'ai à nouveau cédé. Impossible de comprendre, impossible de contrôler avec lui. Je n'ai jamais réussi à être moi même. Le lendemain, j'avais droit à un bisou sur la joue en guise d'au revoir et j'ai compris.
Alors j'ai réagi ! J'ai tout effacé, tout rayé de lui et en une semaine, j'avais rencontré quelqu'un de beau, d'intelligent et de sympa. Dont je me sentais amoureuse au début. G continuait de m'écrire de temps à autres, ça m'affectait mais je ne répondais pas. Quand je le croisais en soirée, je me refusais même de lui dire bonjour. Mais son absence se faisait de plus en plus grande, et l'homme avec qui j'étais depuis maintenant près d'un an commençait à comprendre que je ne l'aimais pas.
C'était début septembre dernier quand G m'attendait devant les toilettes de la boîte : "Lucie, demain tu laisses ton copain. Je laisse ma copine et on se met ensemble". Ce à quoi j'ai répondu "Oui c'est ça, tu m'envoies un sms demain à jeun et on en reparle". A 9h du matin j'avais mon sms, à 17h j'avais une conversation chez lui, à 18h je partais la tête embrouillée. Pendant un mois G ne m'a pas lâchée, une moyenne de 100 sms par jour, une complicité naissante, une illusion grandissante. Puis mon copain m'a laissée -il a bien fait, je n'avais pas le courage de le faire-.
A nouveau seule, G dans la tête depuis plus d'un an maintenant, j'ai décidé de foncer à la mi octobre et de tenter cette histoire une bonne fois pour toute. Nous avons pris notre temps cette fois, nous étions bien. Il me donnait la juste dose -ni trop, ni pas assez-, je lui témoignais mon sérieux : lui qui m'avait toujours reproché d'être trop fêtarde et ingérable, lui qui recherchait soit disant "la bonne" avec qui se "poser", lui qui avait collectionné tant de filles. L'équilibre était enfin trouvé. Ou du moins, je le pensais...
1 mois et demi plus tard, je l'ai senti s'éloigner. Le motif? Je voulais à tout prix partir en week-end avec lui mais ce n'est pas quelque chose d'envisageable avec son métier. Nous n'étions pas compatibles... et surtout, il était devenu très border line. Il m'a laissée une semaine avant Noël, j'ai passé les fêtes dans mon lit et je pleurais le 25. J'ai réussi à me mettre en silence radio après quelques messages oppressants et une semaine après il est revenu : au "bout de sa vie", désespéré : il ne "m'aimait pas" certes, mais je lui manquais terriblement. Livraison de bouquet de fleurs, organisation d'un week-end par Monsieur : où étaient passés mon orgueil et ma fierté, après 2 semaines j'ai à nouveau cédé!
La prochaine étape a duré 3 mois, où la malchance a joué contre nous : mes parents se sont séparés, G a eu quelques problèmes d'ordre "légal" et pour couronner le tout -et sans vouloir entrer dans les détails-, nous pensions avoir contracté une MST ce qui nous a privé de rapports pendant presque deux mois (il s'est avéré au final que ce n'était rien). Trop peu de temps libre de son côté, et moi désireuse de le voir davantage, G a commencé a se sentir oppressé. Il y a deux mois jour pour jour, il m'a regardé dans les yeux et m'a dit "je n'ai rien à te reprocher, tu es parfaite mais je ne t'aime pas, on perd notre temps tous les deux."
Les deux mois derniers ont été horribles et je ne parviendrai pas à tout retranscrire tant les choses sont allées loin. J'allais en boite avec des amis 10 fois plus beaux que lui, il se vengeait en prenant la première fille qui passait et l'embrassait sous mes yeux. L'une de ces actions lui a valu une gifle, que je lui ai mise en pleine boite et on s'est fait sortir tous les deux : il s'est mis à pleurer, j'étais dans le même état. Grand retour en adolescence. Je continuais d'écrire, il prenait un malin plaisir à me garder sous le coude.
Je me suis renseignée sur ses anciennes relations, pour essayer de comprendre : à des degrés différents mais il a toujours fait ça avec toutes, même celle qu'il prétend avoir aimée et dont je l'ai très souvent entendu parler quand nous étions "potes". "Je viens, je repars... je trompe, j'aime, je pleurs, et je vous envoie toutes des fleurs!"
Alors j'ai fait un silence radio d'une semaine qui s'est soldé par des retrouvailles en boite : monsieur était énervé contre moi, disait ne pas vouloir me parler, moi j'étais juste "normale" et je n'ai pas prêté plus attention que ça à lui. Le lendemain, il faisait son grand retour, je lui manquais et il voulait m'envoyer des roses [lol]. Pendant 2 semaines, j'ai joué avec lui : il faisait ce que je lui demandais, je le "prenais" quand j'en avais envie. Et du jour au lendemain, alors que tout était en phase de rentrer dans l'ordre, il s'est fermé et, pour résumer, m'a dit "cette fois-ci c'est définitivement fini". Toute la souffrance accumulée depuis 2 ans est alors sortie : crise de pleurs, hystérie, j'étais à bout. Je l'ai croisé en boite le lendemain, je suis passée tout droit quand il a tendu la joue pour me dire bonjour et j'ai passé ma soirée loin de lui à parler avec un beau garçon.
Le lendemain il avait bloqué nos comptes facebook. J'ai tenu un silence radio pendant 13 jours : au début c'était facile car comme à chaque fois, je pensais qu'il allait revenir. Mais aujourd'hui j'ai cédé , trop tôt, mais car je n'en pouvais plus : je l'ai appelé (de mon téléphone pro car j'ai réalisé qu'il avait bloqué le perso), tout en restant légère, je lui ai dit que la manière dont ça s'était terminé m'avait contrariée, que j'aimerais en parler et lui ai proposer de se voir pour en parler. Il a dit OK pour ce soir 20h. Et si je suis sur ce forum, c'est que je ne suis pas avec lui. Car à 18h, il a envoyé un sms incendiaire : "je n'ai plus envie de te voir tu as voulu faire la belle a ne pas me dire bjr maintenant assume... et de toute facon je n'ai pas envie de tromper la confiance de quelqu'un pour te voir donc n'insiste pas..."
La fille oppressante que je suis a appelé : l'heureuse élue s'appelle Vanessa, elle est mannequin et a acheté une maison dans une quartier riche de la ville, même si elle a vendu sa Porsche dernièrement. Fille inconnue au bataillon dans la petite ville où nous sommes. Ils se voient, et même si elle est un peu superficielle, ça se passe bien. Il a complètement tiré un trait sur notre histoire et ne veut plus entendre parler de moi, il a d'ailleurs tout de suite rebloqué mon numéro. Ha oui, j'ai oublié de vous dire que G a un petit côté mythomane. Reste à savoir dans quelle mesure puisqu'il à juré ces infos sur sa soeur. J'ai aussi oublié de vous dire que je devais avoir un petit côté SM et une tête mal faite puisqu'en dehors de tout ça (et de toutes les autres crasses qu'il a pu me faire et qu'il serait bien trop long de relater ici), je n'arrive toujours pas à le détester.
A tous ceux qui seront arrivés à cette ligne sans s'endormir, merci

Pensez-vous faire plus pourrie comme histoire?

N'hésitez pas à réagir, je pense avoir besoin d'avis extérieur pour avoir ENFIN ce fameux déclic ! Certains ont-ils vécu/fait vivre la même chose?