- 12 janv. 2014, 19:20
#817936
Bonjour à tous, certains ont peut-être déjà lu les sujets que j'ai posté il y a de cela quelques mois, quand je me donnais corps et âme pour récupérer celui qui me hante. Voilà que je reviens parce que j'ai besoin, un besoin vital, de m'en sortir, de n'importe qu'elle manière que se soit.
Pour résumer brièvement (si j'y arrive) : je suis sortie avec un garçon pendant les vacances à la mer, nous nous sommes revu, et finalement, cela a duré pendant un an et demi. Les plus beaux jours de ma vie surement. J'avais 18 ans et je ne voulais en aucun cas faire de projets mais au fond, je savais que j'aurais put en entrevoir des merveilleux avec lui. Ses amis me disaient que j'étais son rayon se soleil, qu'il ne regardait pas les autres filles, qu'il ne parlait que de moi, et de mon côté, la passion était largement partagée. Nous nous entendions à merveille avec la famille de l'autre, à telle point que pendant le mariage de sa soeur, celle-ci me confia qu'elle pensait me prendre pour marraine de la petite fille à venir. Comblée de joie je ne pensais en aucun cas à la chute qui allait me précipiter dans un gouffre sans fond. Une semaine après ce mariage, une petite engueulade, comme nous en avions souvent à cause de la relation à distance (250km) éclata. Il fut question de ma nouvelle vie d'étudiante en terres Bordelaise, moi, petite campagnarde n'ayant pas vraiment l'habitude du faste urbain. Puis pour la première fois, arriva le moment fatidique où se fut lui qui aborda la séparation. Soit disant sa petite flamme était en train de s'éteindre mais il voulait garder contact avec moi j'étais une fille avec qui il pouvait faire sa vie mais pour l'instant il ne pouvait le concevoir, il fallait laisser passer l'eau sous les ponts. Bien sur je compris ses paroles, il n'avait eut qu'une partenaire, moi. Alors les cris et les pleurs n'arrangèrent rien, et l'appel de ma mère à ses parents pour qu'il arrête de m'écrire non plus. J'étais dans un état léthargique. pendant 5 mois je n'eut aucune nouvelles jusqu'à ce qu'un de ses deux meilleurs amis avec lesquels je m'entendais très bien m'écrive pour me dire qu'il voulait venir me voir à Bordeaux. Mon ex fut de la partie. Nous fumes bien sur très embarrassé au début mais presque instantanément, la gène se dissipa et nous nous regardâmes de nouveau dans les yeux, échangeant des plaisanteries mais sans les "mon chéris" les bisous et les câlins d"un couple. Je le vis me regarder en coin quand en boite, je me fis aborder. Bref, l'idylle, sa présence à mes cotés, s'arrêta vite et je repris mon existence de fantôme. Pour le triste anniversaire de la rupture je lui envoyais une lettre qui, soit dit en passant, a fait pleuré plus d'un ami l'ayant lu. aucune réponse tant que je n'en demanda pas par message. Puis une explication plutôt brève, mais adorable, où il ne voulait en aucun cas me blesser, je lui demandais pourtant de me dire des mots durs parce que je ne pouvait pas l'oublier sil restait aussi gentil. Il 'y consenti pas. Mais peut-être, dit-il, nous reverrions-nous un jour !
Après ce passage des plus douloureux qui soient, je repris ma vie en main, enfin ! Je m'inscris à une salle de sport, je sortais de plus en plus souvent, je me fis de nouvelles connaissances et je sortais même pendant une longue semaine avec un garçon, et brisait de temps à autre un ou deux coeurs, peut-être par pure vengeance. Puis les fêtes de fin d'années approchant, la déprime me repris. Je recommence en ce moment, après avoir perdu mes deux meilleures amies à cause d'un homme (on les aime quand même...), à refaire des cauchemars récurrents. Je le vois revenir. Ou sortir avec une fille. Chose qu'il n'a pas fait en un an et des brouettes, il n'en a, selon ses potes "chopé aucune". Ce qui me ravit mais m'a fait presque douté pendant un certain temps, qu'il allait faire son comming out...
Il a de nouvelles connaissances, que je ne connais pas, sur un fameux réseau social, je le vois sortir tout le temps. Il m'avait raconté qu'il avait était malade a cause de l'alcool, "depuis combien de temps on est plus ensemble déjà ? 7 mois, ha beh ça fait 7 mois que je bois alors". Je m'inquiète tellement pour lui ! Il me manque, lui et la partie de moi qu'il a emporté avec lui ! J'aimerai seulement m'en sortir. Je sais que je me détesterai, si un jour je me réveille et que je ne pense plus à lui, parce que même si la nostalgie me tue, je ne perd pas espoir. Une petite voix, celle à qui je me fit souvent, et qui a très rarement tord, me dis qu'il va revenir. Quand ? Pourquoi ne l'a-t-il pas déjà fait ? Je ne peux plus vivre sans son absence, même le croiser au détour d'une rue, ça serait l’événement de l'année. Je vous en conjure, aidez-moi... J'ai faillit rater mon année d'étude, j'ai perdu des amis et si je continue je vais en perdre encore, je ne dors plus, je perds 10kg et j'en reprends 12, j'ai goutté à l'eau de javel... Je suis un déchet humain, une coquille vide, une putin d'orpheline, un vieux cailloux dans une bijouterie... J'ai besoin qu'on m'écoute, qu'on me prenne dans ses bras et qu'on me dis que tout ça va passer, qu'on ne me prenne plus pour une folle. J'ai seulement besoin de réponses.
Merci, vraiment, si vous prenez le temps de me lire.
Si Dieu ne vous le rends pas, je vous le rendrai.
Pour résumer brièvement (si j'y arrive) : je suis sortie avec un garçon pendant les vacances à la mer, nous nous sommes revu, et finalement, cela a duré pendant un an et demi. Les plus beaux jours de ma vie surement. J'avais 18 ans et je ne voulais en aucun cas faire de projets mais au fond, je savais que j'aurais put en entrevoir des merveilleux avec lui. Ses amis me disaient que j'étais son rayon se soleil, qu'il ne regardait pas les autres filles, qu'il ne parlait que de moi, et de mon côté, la passion était largement partagée. Nous nous entendions à merveille avec la famille de l'autre, à telle point que pendant le mariage de sa soeur, celle-ci me confia qu'elle pensait me prendre pour marraine de la petite fille à venir. Comblée de joie je ne pensais en aucun cas à la chute qui allait me précipiter dans un gouffre sans fond. Une semaine après ce mariage, une petite engueulade, comme nous en avions souvent à cause de la relation à distance (250km) éclata. Il fut question de ma nouvelle vie d'étudiante en terres Bordelaise, moi, petite campagnarde n'ayant pas vraiment l'habitude du faste urbain. Puis pour la première fois, arriva le moment fatidique où se fut lui qui aborda la séparation. Soit disant sa petite flamme était en train de s'éteindre mais il voulait garder contact avec moi j'étais une fille avec qui il pouvait faire sa vie mais pour l'instant il ne pouvait le concevoir, il fallait laisser passer l'eau sous les ponts. Bien sur je compris ses paroles, il n'avait eut qu'une partenaire, moi. Alors les cris et les pleurs n'arrangèrent rien, et l'appel de ma mère à ses parents pour qu'il arrête de m'écrire non plus. J'étais dans un état léthargique. pendant 5 mois je n'eut aucune nouvelles jusqu'à ce qu'un de ses deux meilleurs amis avec lesquels je m'entendais très bien m'écrive pour me dire qu'il voulait venir me voir à Bordeaux. Mon ex fut de la partie. Nous fumes bien sur très embarrassé au début mais presque instantanément, la gène se dissipa et nous nous regardâmes de nouveau dans les yeux, échangeant des plaisanteries mais sans les "mon chéris" les bisous et les câlins d"un couple. Je le vis me regarder en coin quand en boite, je me fis aborder. Bref, l'idylle, sa présence à mes cotés, s'arrêta vite et je repris mon existence de fantôme. Pour le triste anniversaire de la rupture je lui envoyais une lettre qui, soit dit en passant, a fait pleuré plus d'un ami l'ayant lu. aucune réponse tant que je n'en demanda pas par message. Puis une explication plutôt brève, mais adorable, où il ne voulait en aucun cas me blesser, je lui demandais pourtant de me dire des mots durs parce que je ne pouvait pas l'oublier sil restait aussi gentil. Il 'y consenti pas. Mais peut-être, dit-il, nous reverrions-nous un jour !
Après ce passage des plus douloureux qui soient, je repris ma vie en main, enfin ! Je m'inscris à une salle de sport, je sortais de plus en plus souvent, je me fis de nouvelles connaissances et je sortais même pendant une longue semaine avec un garçon, et brisait de temps à autre un ou deux coeurs, peut-être par pure vengeance. Puis les fêtes de fin d'années approchant, la déprime me repris. Je recommence en ce moment, après avoir perdu mes deux meilleures amies à cause d'un homme (on les aime quand même...), à refaire des cauchemars récurrents. Je le vois revenir. Ou sortir avec une fille. Chose qu'il n'a pas fait en un an et des brouettes, il n'en a, selon ses potes "chopé aucune". Ce qui me ravit mais m'a fait presque douté pendant un certain temps, qu'il allait faire son comming out...
Il a de nouvelles connaissances, que je ne connais pas, sur un fameux réseau social, je le vois sortir tout le temps. Il m'avait raconté qu'il avait était malade a cause de l'alcool, "depuis combien de temps on est plus ensemble déjà ? 7 mois, ha beh ça fait 7 mois que je bois alors". Je m'inquiète tellement pour lui ! Il me manque, lui et la partie de moi qu'il a emporté avec lui ! J'aimerai seulement m'en sortir. Je sais que je me détesterai, si un jour je me réveille et que je ne pense plus à lui, parce que même si la nostalgie me tue, je ne perd pas espoir. Une petite voix, celle à qui je me fit souvent, et qui a très rarement tord, me dis qu'il va revenir. Quand ? Pourquoi ne l'a-t-il pas déjà fait ? Je ne peux plus vivre sans son absence, même le croiser au détour d'une rue, ça serait l’événement de l'année. Je vous en conjure, aidez-moi... J'ai faillit rater mon année d'étude, j'ai perdu des amis et si je continue je vais en perdre encore, je ne dors plus, je perds 10kg et j'en reprends 12, j'ai goutté à l'eau de javel... Je suis un déchet humain, une coquille vide, une putin d'orpheline, un vieux cailloux dans une bijouterie... J'ai besoin qu'on m'écoute, qu'on me prenne dans ses bras et qu'on me dis que tout ça va passer, qu'on ne me prenne plus pour une folle. J'ai seulement besoin de réponses.
Merci, vraiment, si vous prenez le temps de me lire.
Si Dieu ne vous le rends pas, je vous le rendrai.