- 24 juin 2013, 02:38
#693128
AAAAAAAAAAh le forum JRME ! Finalement, quand y'en a pu... et bah faut croire qu'il y en a encore !
A l'époque, je rodais fébrilement dans les posts à la recherche de la lumière, tétanisé sous ma couette en pensant à elle, qui m'avait quitté pour un autre. La méchante l'avait fait sans ménagement au téléphone sans demi mesure ni précaution, à la guerrière. J'ai erré sur ce site durant 3 mois, me nourrissant des histoires des autres pour comprendre la mienne, pour finalement le quitter par peur de tourner en boucle avec le sujet qui nous habite tous actuellement.
Il y a deux ans de cela, Antoine ne facturait pas ses conseils à prix d'or sur le site, le cours de l'E-Book était bien plus bas, on pouvait se rencontrer et boire un verre au rosa bonheur pour se changer les idées et petit Flamby n'était pas encore président. C'est à cette époque précise que j'ai récupéré mon ex-copine de 23 printemps, sans vraiment faire d'efforts nécessaires d'ailleurs, à part me créer un profil facebook pour qu'elle puisse, elle aussi, s'adonner à la joie de l'auto-discipline à la perceptive de regarder l'autre vivre via son profil public et en y adjoignant le fameux silence radio devenu un quasi religion pour les âmes meurtris du coin.
Si je suis ici de nouveau, du haut de mes 29 ans, vous vous doutez bien qu'ils n'eurent jamais d'enfants et qu'il est tout à fait possible qu'ils ne finirent jamais heureux ensemble, je ne vous ferai pas l'offense d'un quelconque suspense.
Toujours est-il qu'après quelques semaines à errer sur le forum comme à la grand époque, j'ai voulu faire un peu le Feedback de mon expérience qui, après tout, pourra peut être servir et qui sait, ça parviendra à me faire du bien (sait-on jamais!).
Un feedback que j'aurai pu/dû faire après avoir récupéré celle dont on ne prononce pas le nom, la sauvage des carpates. Mais sachez le, cher lecteur, une fois que les choses s'améliorent nous ne sommes pas tous légions à poster la suite des pérégrinations mais ça, pour t'en douter, il suffit de regarder la façon dont les gens se répondent entre eux dans le forum en insérant leur histoire de façon systématique. Personne n'en prendra ombrage ici, puisqu'on ne connait que trop bien la capacité du cerveau humain a occulté les mauvais souvenirs...mais revenons à nos moutons !
Ma relation de 8 ans avec l'endive braisée DONC !
Je vais tacher d'être concis pour ne pas te perdre dans un flot de détails dont tu n'as strictement rien à faire toi qui me lis, oui je le sais que tu es malheureux et que lorsqu'on est malheureux "on a pas qu'ça qu'à faire que d'écouter un mec qui fait rien que".
Elle est revenue lorsque dans ma vie il faisait chaud, nouveau job sympa, nouvel appartement lumineux et des projets n'a moi, c'était pas encore la grande forme mais j'allais indiscutablement mieux puisque je voyais mes si difficiles efforts récompensés. Allez changer votre vie lorsque vous avez l'impression d'avancer avec des bottes en béton armés vous ! C'est durant cette période, après 5 mois de rupture, qu'elle s'est de nouveau manifesté par l'envoi d'un SMS me proposant de nous voir à l'occasion d'une visite de sa part dans ma ville d'alors (vous sentez le mystère mystérieux planer ? sait-on jamais des fois que je ne sois pas le seul de mon entourage au courant de l'existence de ce forum). Après un âpre référendum entre moi et moi même, j'ai décidé de lui répondre et d'accéder à sa demande, après tout je n'étais peut être plus amoureux et la revoir dissiperait mes doutes !
...
Une demi heure après nous être revus, nous étions déjà en train de tenter une amygdalectomie à l'aide de nos langues, j'ai dû me résoudre à l'évidence que c'était pas encore cette fois que j'allais franchir les portes du pénitencier de l'amouuuuur.
S'embrasser, c'est bien mais on en est tout de même venu à mettre des conditions au retour de l'autre...enfin je dis ON mais en faites, il faudrait plutôt l'écrire ELLE, ça parait plus juste orthographiquement parlant. La condition en question ? Plus de relations à distance, c'était bon lorsque les relations épistolaire étaient encore à la mode ! Ayant fait, par le passé, beaucoup d'efforts, il est donc paru normal, d'un commun accord avec elle même que je fasse le trajet dans sa direction et j'ai dit...euh...oui, allez savoir pourquoi hein !
Les mois passent, à peine de le temps d'apprendre à manger de la soupe par le nez et...me voilà dans SA ville, comme je suis prévoyant, j'ai pris soin de débarquer sans appartement, sans boulot et dans l'espoir de conquérir le monde entier. Oui, entre temps j'ai lâché mon travail et mon appartement, je sais, gardez le lancé de fleurs pour plus tard ...
TOUJOURS EST-IL QUE ME VOILA !
J’emménage chez elle, je cherche du travail que je trouve en quelques semaines, je finis le CDD que j'avais trouvé en quelques semaines et je tombe dans une grave maladie qu'on appelle le chômage, hélas, mille fois hélas me voilà obligé d'affronter une conseillère à la mine maussade dans une ville avec laquelle je n'ai aucune accointance...
C'est à ce moment précis qu'on enclenche les violons !
Z'êtes prêt ? Si ça vous gêne pas, j'vais me la faire un peu cosette !
Beaucoup moins de boulots dans mon secteur, Motus à la télévision, les tâches ménagères récurrentes et à ma charge puisque je ne fais rien, la descente sociale, la crise, le nouveau film des frères dardenne... BREF je ne vais pas bien et m'enfonce dans une lente et insidieuse démotivation qui durera 6 mois durant.
Mes lettres de motivations se font moins percutantes, mon CV commence à s'aérer, je doute de moi, de mes capacités et commence à me sentir mal dans ma peau, pendant ce temps de l'auuuuuuuutre coté de la page, mon ex copine que l'on nommera pour l'occasion Tomate farcie (oui j'aime le changement) essaye de me remotiver m'enjoignant à envoyer des lettres d'amou...Euh des lettres de motivations enjouées à différentes entreprises, ça marche quelques jours et puis devant mon insuccès , je retombe dans les affres du quotidien du chômeur frustré , c'est long, difficile et je ne supporte plus l'éclairage aux néons du bureau de ma conseillère.
Inutile de vous dire que 6 mois de chômage, ça ne laisse que peu de place au développement des projets que nous avions ensemble, les voyages paraissent lointains, l'appartement à NOTRE nom également, bref on fait du surplace matériel et apparemment le surplace matériel, faut croire que ça joue beaucoup puisqu'il y a plus d'un mois, à son initiative, il a été fait mention de l'état de notre relation et de son incapacité à évoluer entraînant une baisse du désir sexuel chez elle et des envies de voir ailleurs si l'herbe est plus verte. Deux semaines durant, nous en avons parlé et parlé et parlé ET....parlé pour enfin débouché sur ce qu'elle appelle alors un BREAK (oui si vous savez les ruptures qui ne s'assument pas). Break qui se transformera en rupture à mon initiative lorsqu'elle décida en rentrant de weekend de m'embrasser sur la joue. Je le vois, je le sais, je le sens, elle se sent morveuse et n'ose pas me dire, c'est fini.
S'en suis une semaine de cohabitation qu'on qualifiera poliment de douloureuse avant un départ de sa part de son propre appartement pour retourner chez ses parents durant ces vacances me laissant un peu de temps pour me retourner en n'omettant pas de me préciser qu'elle ne peut plus me porter et qu'elle a envie d'être heureuse.
Depuis je suis seul dans cet appartement avec toutes ses affaires, dormant dans le lit que j'ai partagé avec elle et mangeant mes choco BN sur la table où je la regardais manger amoureusement sa salade de maïs avec sa petite bouche de bébé panda.
Voilà, on peut couper les violons et on remet les lumières, merci !
Globalement, je sais où j'en suis très pragmatiquement parlant, je viens de retrouver un autre appartement en colocation dans la même ville pour quitter le foyer infectieux (même si il a quelque chose de rassurant puisque donnant l'impression, quelque part, de poursuivre un peu la relation...) , je suis en recherche active de travail, reboosté par l'urgence du moment et j'essaye de remonter la pente malgré ce foutu phénomène de vagues émotionnelles m’empêchant d'être concentré sur ce que je dois faire.
J'ai retrouvé mes bottes en béton armé, cette douleur familière et ce manque oppressant mais contrairement à la dernière fois, j'évite de me laisser aller et me force à me mettre de bons gros coups de pieds au cul pour aller mieux même si ce n'est pas tous les jours faciles.
Et l'épilogue de ce post décidément bien trop long ?
En l'état actuel des choses, je ne sais pas si je veux la retrouver, que ça soit comme amie ou comme compagne. Et avec le recule que ce genre de situation amène nécessairement, je me rends compte que le retour de l'autre est bien loin de l'idée que certains ici se font de l'amour. Parfois, tout cela est très pragmatique, lorsqu'elle m'a quitté la première fois, elle n'est pas revenu parce qu'elle s'est rendu compte qu'elle m'aimait encore comme un fou, comme un roi, comme une star de cinéma, non, il s'est juste trouvé que l'autre homme pour qui elle m'avait quitté était juste moins bien à ses yeux que moi, qu'elle arrivait dans cette ville et que je me démerdais pas mal à l'époque.
J'ai omis plein de petits détails puisque durant ce mois de rupture totale j'ai reçu des sms de sa part (forcément je suis dans son appartement) mais je vous éviterai la lecture d'un pavé supplémentaire, celui ci étant déjà suffisamment long Mais c'est d'une finesse et d'une classe absolue !
Ah je vous jure l'amour...
A l'époque, je rodais fébrilement dans les posts à la recherche de la lumière, tétanisé sous ma couette en pensant à elle, qui m'avait quitté pour un autre. La méchante l'avait fait sans ménagement au téléphone sans demi mesure ni précaution, à la guerrière. J'ai erré sur ce site durant 3 mois, me nourrissant des histoires des autres pour comprendre la mienne, pour finalement le quitter par peur de tourner en boucle avec le sujet qui nous habite tous actuellement.
Il y a deux ans de cela, Antoine ne facturait pas ses conseils à prix d'or sur le site, le cours de l'E-Book était bien plus bas, on pouvait se rencontrer et boire un verre au rosa bonheur pour se changer les idées et petit Flamby n'était pas encore président. C'est à cette époque précise que j'ai récupéré mon ex-copine de 23 printemps, sans vraiment faire d'efforts nécessaires d'ailleurs, à part me créer un profil facebook pour qu'elle puisse, elle aussi, s'adonner à la joie de l'auto-discipline à la perceptive de regarder l'autre vivre via son profil public et en y adjoignant le fameux silence radio devenu un quasi religion pour les âmes meurtris du coin.
Si je suis ici de nouveau, du haut de mes 29 ans, vous vous doutez bien qu'ils n'eurent jamais d'enfants et qu'il est tout à fait possible qu'ils ne finirent jamais heureux ensemble, je ne vous ferai pas l'offense d'un quelconque suspense.
Toujours est-il qu'après quelques semaines à errer sur le forum comme à la grand époque, j'ai voulu faire un peu le Feedback de mon expérience qui, après tout, pourra peut être servir et qui sait, ça parviendra à me faire du bien (sait-on jamais!).
Un feedback que j'aurai pu/dû faire après avoir récupéré celle dont on ne prononce pas le nom, la sauvage des carpates. Mais sachez le, cher lecteur, une fois que les choses s'améliorent nous ne sommes pas tous légions à poster la suite des pérégrinations mais ça, pour t'en douter, il suffit de regarder la façon dont les gens se répondent entre eux dans le forum en insérant leur histoire de façon systématique. Personne n'en prendra ombrage ici, puisqu'on ne connait que trop bien la capacité du cerveau humain a occulté les mauvais souvenirs...mais revenons à nos moutons !
Ma relation de 8 ans avec l'endive braisée DONC !
Je vais tacher d'être concis pour ne pas te perdre dans un flot de détails dont tu n'as strictement rien à faire toi qui me lis, oui je le sais que tu es malheureux et que lorsqu'on est malheureux "on a pas qu'ça qu'à faire que d'écouter un mec qui fait rien que".
Elle est revenue lorsque dans ma vie il faisait chaud, nouveau job sympa, nouvel appartement lumineux et des projets n'a moi, c'était pas encore la grande forme mais j'allais indiscutablement mieux puisque je voyais mes si difficiles efforts récompensés. Allez changer votre vie lorsque vous avez l'impression d'avancer avec des bottes en béton armés vous ! C'est durant cette période, après 5 mois de rupture, qu'elle s'est de nouveau manifesté par l'envoi d'un SMS me proposant de nous voir à l'occasion d'une visite de sa part dans ma ville d'alors (vous sentez le mystère mystérieux planer ? sait-on jamais des fois que je ne sois pas le seul de mon entourage au courant de l'existence de ce forum). Après un âpre référendum entre moi et moi même, j'ai décidé de lui répondre et d'accéder à sa demande, après tout je n'étais peut être plus amoureux et la revoir dissiperait mes doutes !
...
Une demi heure après nous être revus, nous étions déjà en train de tenter une amygdalectomie à l'aide de nos langues, j'ai dû me résoudre à l'évidence que c'était pas encore cette fois que j'allais franchir les portes du pénitencier de l'amouuuuur.
S'embrasser, c'est bien mais on en est tout de même venu à mettre des conditions au retour de l'autre...enfin je dis ON mais en faites, il faudrait plutôt l'écrire ELLE, ça parait plus juste orthographiquement parlant. La condition en question ? Plus de relations à distance, c'était bon lorsque les relations épistolaire étaient encore à la mode ! Ayant fait, par le passé, beaucoup d'efforts, il est donc paru normal, d'un commun accord avec elle même que je fasse le trajet dans sa direction et j'ai dit...euh...oui, allez savoir pourquoi hein !
Les mois passent, à peine de le temps d'apprendre à manger de la soupe par le nez et...me voilà dans SA ville, comme je suis prévoyant, j'ai pris soin de débarquer sans appartement, sans boulot et dans l'espoir de conquérir le monde entier. Oui, entre temps j'ai lâché mon travail et mon appartement, je sais, gardez le lancé de fleurs pour plus tard ...
TOUJOURS EST-IL QUE ME VOILA !
J’emménage chez elle, je cherche du travail que je trouve en quelques semaines, je finis le CDD que j'avais trouvé en quelques semaines et je tombe dans une grave maladie qu'on appelle le chômage, hélas, mille fois hélas me voilà obligé d'affronter une conseillère à la mine maussade dans une ville avec laquelle je n'ai aucune accointance...
C'est à ce moment précis qu'on enclenche les violons !
Z'êtes prêt ? Si ça vous gêne pas, j'vais me la faire un peu cosette !
Beaucoup moins de boulots dans mon secteur, Motus à la télévision, les tâches ménagères récurrentes et à ma charge puisque je ne fais rien, la descente sociale, la crise, le nouveau film des frères dardenne... BREF je ne vais pas bien et m'enfonce dans une lente et insidieuse démotivation qui durera 6 mois durant.
Mes lettres de motivations se font moins percutantes, mon CV commence à s'aérer, je doute de moi, de mes capacités et commence à me sentir mal dans ma peau, pendant ce temps de l'auuuuuuuutre coté de la page, mon ex copine que l'on nommera pour l'occasion Tomate farcie (oui j'aime le changement) essaye de me remotiver m'enjoignant à envoyer des lettres d'amou...Euh des lettres de motivations enjouées à différentes entreprises, ça marche quelques jours et puis devant mon insuccès , je retombe dans les affres du quotidien du chômeur frustré , c'est long, difficile et je ne supporte plus l'éclairage aux néons du bureau de ma conseillère.
Inutile de vous dire que 6 mois de chômage, ça ne laisse que peu de place au développement des projets que nous avions ensemble, les voyages paraissent lointains, l'appartement à NOTRE nom également, bref on fait du surplace matériel et apparemment le surplace matériel, faut croire que ça joue beaucoup puisqu'il y a plus d'un mois, à son initiative, il a été fait mention de l'état de notre relation et de son incapacité à évoluer entraînant une baisse du désir sexuel chez elle et des envies de voir ailleurs si l'herbe est plus verte. Deux semaines durant, nous en avons parlé et parlé et parlé ET....parlé pour enfin débouché sur ce qu'elle appelle alors un BREAK (oui si vous savez les ruptures qui ne s'assument pas). Break qui se transformera en rupture à mon initiative lorsqu'elle décida en rentrant de weekend de m'embrasser sur la joue. Je le vois, je le sais, je le sens, elle se sent morveuse et n'ose pas me dire, c'est fini.
S'en suis une semaine de cohabitation qu'on qualifiera poliment de douloureuse avant un départ de sa part de son propre appartement pour retourner chez ses parents durant ces vacances me laissant un peu de temps pour me retourner en n'omettant pas de me préciser qu'elle ne peut plus me porter et qu'elle a envie d'être heureuse.
Depuis je suis seul dans cet appartement avec toutes ses affaires, dormant dans le lit que j'ai partagé avec elle et mangeant mes choco BN sur la table où je la regardais manger amoureusement sa salade de maïs avec sa petite bouche de bébé panda.
Voilà, on peut couper les violons et on remet les lumières, merci !
Globalement, je sais où j'en suis très pragmatiquement parlant, je viens de retrouver un autre appartement en colocation dans la même ville pour quitter le foyer infectieux (même si il a quelque chose de rassurant puisque donnant l'impression, quelque part, de poursuivre un peu la relation...) , je suis en recherche active de travail, reboosté par l'urgence du moment et j'essaye de remonter la pente malgré ce foutu phénomène de vagues émotionnelles m’empêchant d'être concentré sur ce que je dois faire.
J'ai retrouvé mes bottes en béton armé, cette douleur familière et ce manque oppressant mais contrairement à la dernière fois, j'évite de me laisser aller et me force à me mettre de bons gros coups de pieds au cul pour aller mieux même si ce n'est pas tous les jours faciles.
Et l'épilogue de ce post décidément bien trop long ?
En l'état actuel des choses, je ne sais pas si je veux la retrouver, que ça soit comme amie ou comme compagne. Et avec le recule que ce genre de situation amène nécessairement, je me rends compte que le retour de l'autre est bien loin de l'idée que certains ici se font de l'amour. Parfois, tout cela est très pragmatique, lorsqu'elle m'a quitté la première fois, elle n'est pas revenu parce qu'elle s'est rendu compte qu'elle m'aimait encore comme un fou, comme un roi, comme une star de cinéma, non, il s'est juste trouvé que l'autre homme pour qui elle m'avait quitté était juste moins bien à ses yeux que moi, qu'elle arrivait dans cette ville et que je me démerdais pas mal à l'époque.
J'ai omis plein de petits détails puisque durant ce mois de rupture totale j'ai reçu des sms de sa part (forcément je suis dans son appartement) mais je vous éviterai la lecture d'un pavé supplémentaire, celui ci étant déjà suffisamment long Mais c'est d'une finesse et d'une classe absolue !
Ah je vous jure l'amour...
