Ici, trouvez des conseils et stratégies pour récupérer son ex : silence radio, règles, comportements à éviter. Partagez vos expériences, posez vos questions, et explorez les étapes pour surmonter les interdits et recréer des liens. Que vous débutiez ou cherchiez à comprendre, cet espace est là pour vous guider
#688553
Lorsque je l'ai rencontre il y apresque un an, il m avait dit m avoir repéré et avoir cherche une stratégie pour m approcher. Le troisieme soir il me disait je t aime...nous restions des week ends au lit...nous etions totalement en phase et en total décalage;;;dormions a 15h mangions a minuit...nous vibrions ensemble et nos orgasmes arrivaient en même temps..c'etait l"été...il n'avait pas ses deux fils ...je n'avais pas ma fille...
IL était divorce depuis 6 ans, avait vecu ce temps après divorce en multipliant les conquetes et en les traitant avec légèreté m a t il dit ...moi séparée depuis trois ans, divorcée depuis 2ans et ayant changé de région .
Puis le retour a la vie normale a eu lieu ...le retour des enfants, la reprise des cours la reprise des obligations de chacun...avec de son côte une garde de ses enfants deux mercredis par moi et deux week ends et de mon coté la garde de ma fille a temps plein excepté certains week ends....et le travail....un travail prenant pour lui et a responsabilités qui l occupe la semaine et un week end par moi....un travail important pour moi aussi et surtout une formation importante pour ma promotion professionnelle qui me demande de partir deux vendredi samedi par mois à 400km.

pourtant tout a bien commence, il a voulu rapidement presenter nos enfants qui se sont bien accordés, aimant être en présence les uns avec les autres.
Il a tenu a me présenter a tous ses amis , à ses parents aussi..
sa semaine etait régie par des réunions un soir par semaine, puis il venait certains soir en présence de ma fille , et quand il avait ses enfants et que j 'etais la nous allions vivre chez lui.
Il tenait parfois a inviter ses amis et nous cuisinions ensemble
Puis il y a eu les textos ou il répondait plus tardivement...ces soirées ou je ne savais pas s'il venait ou pas et ou tout se décidait au dernier moment et ou je ne savais plus s'il avait envie de venir ou pas..puis ses soirées ou il jouait sur son téléphone même au lit...nous faisions l amour moins souvent mais toujours intensément ...que c'est fort me disait il tu es une magicienne...mais il y a eu ce fameux soir ou on ne s'était pas vus pendant une semaine et ou nous nous sommes mis au lit....et la il ne m a meme pas touchee...il s'est endormi et la j ai ete prise d'une angoisse horrible et j ai mal réagi je suis partie chez moi
enfin cette fois ou il m a invitée a la conférence d'une de ses collegues et ou il n'avait d'yeux que pour elle....
Un week end alors que j'etais en formation, alors que je lui envoyais un texto, il m a reproché de lui perturber sa soirée alors qu il est un maniaque du téléphone et que nous avons passé des repas ou il répondait pendant une heure a son copain..
j 'ai essayé d'aborder le probleme, mais il me disait que je me faisais des idées , qu il etait bien avec moi, qu il voulait construire avec moi...
Et puis un week end, j etais rentrée plus tot sans le lui dire, car il invitait ses amis et je voulais le laisser seul avec eux, en plus j'etais épuisée car j avais passé des partiels a la faculté....et il m en a voulu... la punition...on etait dimanche soir et nous ne nous reverrions que le dimanche suivant.....
Alors je lui ai dit qu il fallait que l on discute
Et il s'est libéré le vendredi soir....nous avons mangé ensemble et je lui ai dit mes sensations, mon désarroi...mon impossibilité à ne le voir qu une fois par semaine...mon désir de dormir aupres de lui meme sans sexe car j avais besoin de toucher sa peau...il m a repondu qu il me sentait jalouse et qu il venait chez moi car il ne voulait pas que je me vexe mais qu il s ennuyait et n avait pas assez de temps pour lui . qu il savait que cette année serait difficile en raison de notre manque de dispo a tous les deux...et comment avions nous fait me disait il pour en arriver là ? selon lui un manque de moments seuls a seuls....
Je suis tombée des nues....il etait le premier a aller chez ses amis à les inviter des que nous avions du temps libre....j ai mes parents a côté de chez moi ...jamais il ne m a propose de sortir j aurais fait garder ma fille....ses enfants venaient chez lui même en dehors des jours de garde....
Il m a raccompagne devant chez moi sans arreter le moteur...
je n'ai pas pu m empecher de lui dire qu il fallait qu il me dise ce qu il comptait faire...il m a dit vouloir réflechir

Ce n'est que par texto qu il a pu me glisser " mais oui bien sur que je suis moins amoureux de toi tu l as senti non?"
puis un autre ce n'est pas parce que je pars que je vais ailleurs tu ne connais pas ma vie..pourtant j imaginais bien la vivre avec toi"....puis le fameux " je sais que je fais une erreur en te quittant car nous nous entendons a merveille et avons tout pour vivre heureux mais je n'arrive pas à comprendre ma libido en berne"

je lui ai ecrit que ce n'etait pas un probleme pour moi....mais c'est la que j'ai achevé notre relation...pensant le déculpabiliser et lui apporter une réponse...je lui ai avoué un fait qui me culpabilisait.....qui remontait a plusieurs mois....c'est que j avais eu des nouvelles de mon ancien ami au mois de décembre ....que j avais mangé avec lui et que j avais eu besoin pour me prouver que je ne l aimais plus de passer la nuit avec lui.
je ne sais pas pourquoi je lui ai avoué ça....pour lui dire que s il n avait plus de libido c'estait ma faute car il avait peut etre senti ce que je ne lui avait pas dit??? ou etait ce dans le but inconscient de me venger.de le rendre jaloux..comme un cri pour lui dire " je ne suis pas une pauvre fille que tu abandonnes...je ne suis pas qu a toi ...je ne suis pas ta chose.....

je suis plûtot solitaire, je n'ai pas d'assez bons amis a qui me confier,
c'est pour celà que j'ecris ici
je souffre tellement je me sens tellement humiliée et bête et moche....et je vais rater mes examens que je passe la semaine prochaine car je n ai pas pu etudier ce week end ..et le soir je rentre chez moi apres 19h et je suis épuisée.
#1350109

Salut abysses!

C’est Antoine Peytavin, fondateur de jerecuperemonex.com, le premier site sur la rupture amoureuse selon The Times.
Merci pour ton message ! La communauté va très vite te répondre pour t’aider.

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#688640
Bon, par ailleurs, je viens de lire ton message et peine à voir quelle aide tu attends de nous. C'est très émouvant, ton affaire, mais il n'y a pas grand-chose à faire. Tu l'as dans le cul, et c'est marre, dans l'ensemble.

Au-delà du rappel des quelques règles d'usage en pareil cas (SR strict, te recentrer sur toi, etc.), on ne peut que te souhaiter du courage : Il t'a balancé très explicitement qu'il ne t'aimait plus ... il n'est donc pas question de reconquête ou de réconciliation, avant un bon bout de temps, du moins.
#688643
Si tu veux mon avis laisse le réfléchir dans son coin et digérer ce que tu lui a annoncé, ce qui est fait est fait de toute manière!
Profites en pour t'occuper de toi et essaye de te faire des amis, trouver des personnes qui puissent te soutenir et avec qui tu peux sortir et profiter de la vie, même si tu n'en a pas envi pour le moment c'est le chemin je pense pour aller mieux!
Pour ton ex, tu ne peux rien faire pour le moment car il est surement en colère, le meiux est de t'éloigner le temps qu'il "digére" et de voir si tu lui manque il te recontactera.
Comment ca se passe pour le moment, avez vous toujours des contacts?
#688649
bonjour,
Il ne m a pas dit qu il ne m aimait plus, il ma dit qu il etait moins amoureux de moi....et parce que je voulais savoir ...je l ai cuisiné pour qu il m avoue celà.

ca c'est passé vendredi soir . samedi j ai echange des sms avec lui c'est la que je lui ai révélé mon infidélité d'un soir . il m avait répondu que ce n'etait pas en lui devoilant celà que j allais arranger notre histoire.
Il m a ecrit qu il ne rejetait pas la faute sur moi mais qu il ne voyait pas comment notre histoire pouvait s arranger, qu il n avait pas mes capacites ni sans doute mon amour. c'etait Samedi

Depuis je n ai plus envoyé de texto. j 'entame un SR....mais ca me met dans l'attente
J'ai rate une occasion de me taire....je sais que je suis trop impulsive.
Là je n'ai plus envoyé
#688650
je dois me concentrer sur mes examens que je passe samedi prochain.
la faut que j aille travailler je reviendrai a midi
Coté sortie j ai decide d'accepter une invitation mardi soir
je suis allee chez le coiffeur.....et je m occupe de ma fille...car je ne veux pas etre triste devant elle ...mais c'est dur..les enfants captent tout . surtout que je pleure la nuit et j ai les yeux bouffis le matin. ....
#688651
abysses a écrit :bonjour,
Il ne m a pas dit qu il ne m aimait plus, il ma dit qu il etait moins amoureux de moi....et parce que je voulais savoir ...je l ai cuisiné pour qu il m avoue celà.
L'amour recouvre différentes choses. Il y a le sentiment d'attachement que l'on a pour une personne (qui peut être contrasté, fin, nuancé) ... et il y a l'amour-moteur, le désir de se lancer pour être avec quelqu'un (qui est lui, somme toute, assez binaire). C'est ce second qui nous intéresse ici. Et la traduction de ses messages, c'est qu'il ne t'aime plus vraiment. Une fois qu'on dit ça, il est certain qu'il reste toujours quelque chose (un passif, une bienveillance générale, certaines habitudes, etc.). Mais à toutes fins utiles, il a été assez explicite sur le fait qu'il n'était plus amoureux. Quand on est amoureux de quelqu'un, quand on a une chance de reconstruire avec eux, on ne leur dit pas "Bien sûr que je t'aime moins ! Tu ne t'en es pas rendue compte ?". Même quand on le pense parfois, cela ne se dit pas. Ses mots indiquent clairement qu'il a fait une croix sur toi.
abysses a écrit :ca c'est passé vendredi soir . samedi j ai echange des sms avec lui c'est la que je lui ai révélé mon infidélité d'un soir . il m avait répondu que ce n'etait pas en lui devoilant celà que j allais arranger notre histoire.
Il n'a pas tout-à-fait tort.
abysses a écrit :Il m a ecrit qu il ne rejetait pas la faute sur moi mais qu il ne voyait pas comment notre histoire pouvait s arranger, qu il n avait pas mes capacites ni sans doute mon amour.
C'est pareil, ça. Ca veut dire, pas de reconquête, pas de rabibochage. Ou dans longtemps, parce que tout est toujours possible. Mais il ne faut pas vivre dans cet espoir.
abysses a écrit :Depuis je n ai plus envoyé de texto. j 'entame un SR....mais ca me met dans l'attente
C'est une erreur. Renonce à lui (en sachant qu'on ne sait jamais ce que le futur réserve, mais que c'est un futur à long terme, qu'il ne faut pas songer à préparer ou guetter pour le moment). Fais ton SR pour toi.
#688711
Vous avez raison.
quand on est plus amoureux ca ne se commande pas .
Et j ai une grosse part de responsabilité car moi qui suis independante et sur la réserve au début, je me suis trop plongee dans lui. j aurai du avec ce genre de personnage continuer dans la réserve. mais je n'ai pas pu.
#689126
salut, ton histoire est assez bizarre mais pourquoi lui avoir avoué coucher avec ton ex quelle maladresse son ego est blessé a mort tu ne te rends pas compte de ce que ca fait a quelqu un de prendre ca en pleine face s'il n'a pas la rage pour le moment c'est qu'il est plus du tout amoureux et la c"est mal barré car après un divorce on a du mal a se reconstruire et la tu viens de le démolir je ne sais pas ce qu'il s'est passé dans sa tete pour qu'il s'éloigne mais a mon avis si tu veux le récupérer laisse passer un peu de temps et prends juste de ses nouvelles dans 15 jours ou au pire des nouvelles de ses enfants si tu les apprécie un peu je te souhaite tout le courage du monde comme a tous ceux de ce forum qui comme toi et moi ont besoin de soutien et ici tu en trouveras c'est sur reprend toi et arrete de pleurer moi j'ai mis plusieurs semaines pour arreter d'etre une larve et maintenant je doute meme de vouloir la récupérer tellement je me dis que ce qui arrive est un nouveau départ et un destin inéluctable car le monde change et l"amour est tout sauf éternel ....mais pourtant j'y croyais dur comme fer il y a 28 ans. quand j'ai rencontré ma femme.....
#689221
bonjour , son ego est blesse a mort dis tu ? mais le mien d'ego ? tu crois qu il en a pas pris un cou aussi ? je lui ai dit ça car il me disait ne plus avoir de libido et je me demandais si inconsciemment il n avait pas senti cette infidélité d'un soir ? moi je l avais sur la conscience alors comme il m avait tellement fait mal je le lui ai aussi peut etre lance pour pas passer pour la pauvre fille qu on laisse sur le chemin
Moi aussi je suis divorcée au bout de 25 ans de vie commune..moi aussi j ai du mal a me reconstruire....il m avait fait des promesses il aurait du se taire .
#689704
abysses a écrit :bonjour , son ego est blesse a mort dis tu ? mais le mien d'ego ? tu crois qu il en a pas pris un cou aussi ? je lui ai dit ça car il me disait ne plus avoir de libido et je me demandais si inconsciemment il n avait pas senti cette infidélité d'un soir ? moi je l avais sur la conscience alors comme il m avait tellement fait mal je le lui ai aussi peut etre lance pour pas passer pour la pauvre fille qu on laisse sur le chemin
Moi aussi je suis divorcée au bout de 25 ans de vie commune..moi aussi j ai du mal a me reconstruire....il m avait fait des promesses il aurait du se taire .
personne n est ici pour juger et je m excuse si je t ai énervée c'était pas le but évidemment je ne sais pas tout donc....mille excuses
par contre si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi 90 % des gens sur ce site recouche avec leurs ex qui les ont largués surtout les dames ....CHEZ les hommes c'est mécanique mais chez vous mesdames ayez un peu de fierté et surtout ca n arrange rien meme si ca peux etre tentant et certaines ont des excuses comme abysses que je peux comprendre mais la plupart svp arretez de coucher avec votre ex c'est la pire des choses si vous voulez qu'il vous aime un jour
moi homme j'en meurs d'envie mais meme par respect de mon ex et surtout de moi meme il m est impensable de le faire sauf dans mes reves suis je normal ? messieurs répondez ....
j'attend des réactions et surtout abysse reconstruit toi encore un peu et ne crois jamais quelq un qui te fait des promesses comme ca s il ne les tient pas tu ne seras pas décue dans le cas contraire tu auras tout a y gagner et ce sera meilleur courage on est la pour se soutenir
#689873
je sais qu une personne devrait etre heureuse par elle même, que nul ne devrait avoir le pouvoir de rendre quelqu un heureux ou malheureux ....je sais tout ca...mais les tripes font différemment. je souffre. D'autant plus que j'ai le sentiment d'avoir tout raté dans ma vie affective...et d'en etre la seule responsable . car mes tripes prennent le dessus sur mon cerveau.
J'ai quitte mon ex mari pour un coup de foudre. Pourtant j avais eu ce coup de foudre pour lui, 25 ans auparavant.....nous avions 19 ans, il était le premier garcon que je connaissais. 15 ans plus tard nous avions une petite fille. Six ans plus tard nous nous sommes mariés car nous voulions changer de region pour aller plus au sud et aupres de la famille . je suis partie seule pendant trois ans en attendant qu il puisse nous rejoindre.J'avais trouve du travail.
Jamais nous n avons eu de disputes. Nous etions différents, lui renfermé et casanier, moi jalouse et entreprenante.Mais je l aimais tellement .
Pourtant....un an apres le déménagement....je suis tombée amoureuse d'un autre homme.
Et la tout a bascule. Au debut nous nous voyions platoniquement puis un soir six mois apres notre rencontre nous avons eu une relation. etre amoureux ca devrait etre le nirvana, la j 'ai connu l enfer. j attendais pour parler a mon mari je me disais que je ne pouvais pas faire ca mais c'etait plus fort que moi, j avais l impression d etre aux commandes d'une voiture sans frein. j avais perdu 8 kilos je ne mangeais plus je ne dormais plus j avais l impression de ne plus etre dans la vie mais de la regarder s'écouler derriere une fenetre.
Mais j'aimais mon mari. je n'avais plus pour lui cette passion des premiers jours mais je l aimais. Et la passion me tenait le corps, je me sentais vivre, je sentais ces auts de dopamine puis cette descente vertigineuse qui me creusait un vide.....c 'aurait ete enivrant si j avais eu 18 ans.
J'ai tout dit a mon mari. il a fait une déprime. je n'ai pas pu renoncer . nous avons fait une cohabitation pendant trois ans a la maison....je vivais chez nous quand il etait au travail, car il a un logement de fonction, il venait chez nous et je partais quand il etait en repos. nous avions l impression de protéger notre fille . en fait de cette facon je n'ai pas été confrontée à la conséquence de mes actes. mon ex mari en ne partant pas ne m a pas permis de réaliser la séparation. ce n'est qu apres le divorce que j ai realise...surtout que la personne de qui j etais amoureuse etait separée mais pas divorcée et que nous nous voyions quelques fois par semaine .Mais quand je sortais de chez lui...je me disais qu apres avoir vecu ce que je vivais avec lui...je pouvais mourir tranquile.
Mon mari a eu des liaisons pendant ce temps d'aveu et avant le divorce, qui m ont fait tres mal et j ai eu des acces de colere et de violence. Je sais que c'est paradoxal vu ce que je lui faisais. c'etait en fait le desespoir...je voulais lui dire sois avec moi ...laisse moi le temps que cette folie me passe reste avec moi je t aime .....
J ai fais une tentative de suicide . je n'en pouvais plus . je voulais que cette souffrance qui me rongeait s'arrete. apres ca j ai retrouve un peu de lucidite... pour ma fille...
Mon ex mari a trouve une copine qui vit dans les dom tom de ce fait il est souvent en voyages....lui qui n'aimait pas prendre l avion.....il ne me parle que peu depuis 2011....il ne veut même pas dejeuner avec moi....il a peur depuis mes acces de violence.
Chaque matin quand je me réveille il me manque, mais je ne lui dis rien car il a refait sa vie et je lui ai fait beaucoup de mal.
ma famille me manque....
Celui pour qui j ai quitte mon mari n'etant toujours pas divorce, il m intimidait et je n avais pas parle avec lui de mes peurs de ma peur qu il revienne avec sa femme ..de ses voyages ou je me demandais s'il restait chaste...de cette impression que j avais de ne vivre que la partie sexuelle de son amour.. on ne se voyait que le soir chez lui....cela faisait 5 ans qu on etait ensemble...c'estait pour moi comme une addiction....plusieurs fois j ai essaye de rompre car je lui disais qu il ne me donnait pas la possibilite de vivre completement cet amour pour lui et qu il etait fuyant...mais chaque fois je suis revenue tant unabime souvrait devant moi impossible a appréhender.
C'est la l an dernier que j ai rencontre celui pour qui je suis ici sur le forum....son enthousiasme, la vie sociale qu il me proposait, la presentation qu il a impulse de nos enfants respectifs, les je t aime et textos tous les jours ...bonjour mon amour ...bonne nuit mon amour.....on fait que je suis tombee dans un amour profond...trop ...car je me suis oubliée en chemin...et je crois que c'est ce qui a etouffe son amour car comment désirer ce que l on a déjà,?? Il représentait pour moi l issue, le myen de quitter celui qui ne voulait pas s engager et avec qui je n'avais pas la force de rompre.
J ai donc vecu cet amour pour le troisieme, mais le second l apprenant m a fait comprendre qu il souffrait qu il ne comprenait pas ...que bien que nous ne vivions pas ensemble et qu il n ait pas acheve son divorce il me considerait comme sa femme...et c'est la que j ai passe une nuit avec lui, car nous avons enormement parles, je lui ai dit tout ce que je ne lui avais jamais dit et lui a pu me repondre et me parler aussi ...
#689878
entero a écrit :moi homme j'en meurs d'envie mais meme par respect de mon ex et surtout de moi meme il m est impensable de le faire sauf dans mes reves suis je normal ? messieurs répondez ....
Je ne sais pas si tu es normal, faute de l'être moi-même. Mais en ce qui me concerne, j'adore coucher avec mes ex, avec mes amies, avec des embryons de relations qui auraient pu marcher et que j'ai laissées pourrir (et maintiens en vie artificiellement, malgré tout) ... Avec tout ce qui n'est pas une copine fixe, en fait. J'aime bien sauter des inconnues, mais je préfère avec une ex, ou une amie. Une fille avec laquelle il reste quelque chose d'inachevé, une tension, une gêne, une culpabilité, un regret, un simple souvenir un peu encombrant ou mystérieux.

Je doute d'être tout-à-fait normal sur ce point-là. Mais j'ai si peu d'intérêt pour les gens tels qu'ils sont, que j'aime à rêver/fantasmer/dresser les femmes. J'aime ces mélanges d'intimité physique, "évidente", et de maladresses, de craintes, d'éloignement affectifs. Je ne conçois l'érotisme que sur un mode plus ou moins transgresso, et ce qui me fait bander c'est le caractère insaisissable, doux-amer, contrasté, à géométrie variable du lien. Concrètement ? Je ne me lasse pas de me coller à des filles qui sont à des années-lumière de moi, sans s'en rendre compte. Pas plus que je ne me lasse de repousser celles qui m'importent, et doivent le sentir.

Il n'y a que dans ces moments que le sexe peut compter vraiment. Non plus comme démonstration primitive, comme gage de ce qui est. Mais sublimé, douloureux, profond, comme contre-levier du réel, comme le symbole de ce qui n'est pas ou plus, et qui aurait pu être. Je n'aime pas redire à coups de bite ce que je peux tourner plus efficacement avec mes mots ou mon regard. J'aime le sexe en cela justement qu'il me permet d'exprimer ce que je ne peux pas ou ne veux pas dire autrement. La baise ne doit pas être un "langage alternatif" mais le silence. Ou la contre-vérité. Elle n'est pas là pour répéter le sentiment, mais pour le feindre quand il n'y en a pas, ou le nier quand il y en a trop. C'est pour cela que je méprise la baise comme osmose, comme fusion, comme partage. Les grandes baises, celles qui me marquent, sont des espace-temps particuliers, des "bulles" de disjonction, de conflit, de rupture, qui viennent moduler et dégrossir le reste ... Pourquoi commettre un bête unisson quand on peut broder des contrepoints infinis ? C'est là que ça commence à devenir rigolo. A devenir significatif, cruel, psychanalytique, beau. C'est là qu'on retrouve les grandes matrices discrètes de notre paysage érotique et affectif. Elles sont toutes là, à portée de la main. L'esclave-jouet, le con denté. Maman 1 et Maman 2 Et Maman 3 ... et Maman 1000.

C'est en acceptant de dépasser un instant la vérité déclarée, qu'on accède à la vérité plus profonde, au monde discret. C'est dans cet espace brut et déconstruit que l'essentiel nous apparaît clairement. Les âmes, les choses mêmes cessent d'être des blocs d'histoire, de la donnée en tube, et redeviennent sous nos yeux ce qu'elles ont toujours été et qu'on avait perdu de vue : des avatars illimités. Innombrables, absolus, irréductibles, inconciliables. C'est là qu'on comprend que cette fille qu'on appelle "Julie, la salope du Carmen, mignonne mais con", ou "Sarah, ma meuf à moi, que j'aime depuis 4 ans et que je vais épouser", selon le cas, peut être prise totalement. Julie, Sarah ... sont nos esclaves tristes, nos chiens enjoués, les déesses inquiétantes et incomprises qui nous martyrisent quand la lumière est éteinte, des putes et des saintes, des sorcières, des monstres, des coeurs purs, les serpents du jardin d'Eden, les 4000 mères différentes qu'on a eues et qui se partageaient le même corps sans que ça choque personne d'autre que nous quand on était môme, la fille dont on a rêvé une nuit et dont on était fou amoureux (celle qu'on a perdue au réveil en essayant de la fixer dans notre mémoire, et qui nous a brisé le coeur en s'évanouissant pendant que la nostalgie nous empêchait d'apprécier nos corn flakes avant d'aller au collège). Si on veut retrouver toutes ces choses dans les femmes qu'on baise, il faut déconstruire. Sans violence, sans coups de masse. Il faut faire du contrepoint, il faut tisser le potentiel ... en détricotant le réel.

Edit : Et je souris en me relisant, je me rends compte que je vais (encore ?) passer pour un frappadingue et un raseur. Mais je suis assez content de mon paragraphe et te remercie : sans toi, je ne me serais sans doute jamais emmerdé à mettre en forme ces idées, que j'ai toujours ressenties très viscéralement sans parvenir à les théoriser jusqu'ici. C'est mal écrit parce que je suis encore un peu bourré, mais il me semble que j'ai enfin réussi à nailer le principal. Je remettrai ce brouillon au propre quand j'aurai dormi et cuvé.
#690133
Je ne parlais pas ici de désir au sens conventionnel du mot, chez un homme. En général, je baise "à l'industrielle", parce que c'est le volet physiologique du désir masculin. Me want hole, me get cunt. Mais parfois, rarement, je tombe sur des filles un peu spéciales. Comme les quelques "ex" que j'ai pris soin de garder sous le coude, les quelques fuckfriends qui m'ont toujours inspiré un truc un peu spécial. Et là, un nouveau besoin se fait jour en moi, celui que je décrivais plus tôt. Je ne sais pas vraiment comment classer ce truc. Parce que ça ne peut passer que par la baise, mais ce n'est pas vraiment ma libido qui parle, dans ce genre de moments. Et je ne suis pas sûr de connaître le mot français qui me permettrait d'isoler cette part de mes besoins. Une envie de rencontre "métasexuelle" ?

J'admets volontiers l'idée qu'il y a une forme de perversion là-dedans. En cela que c'est un dévoiement de ma libido standard. Mais ça ne peut pas rentrer non plus dans les paraphilies. Donc, ni du sexuel, ni du parasexuel, ni de l'antisexuel. Il faudrait créer une rubrique métasexuelle pour ce genre de sentiments.

Il existe dans le paysage de la variété française un gentil déglingué qui répond au nom de Gérard MANSET. C'est un brave flippé comme on en fait beaucoup, l'une de ces fleurs qui poussent à l'ombre des "artistes sérieux", et que certains fétichistes écouteront encore dans 60 ans en essayant d'en faire un génie méconnu, égal à Trénet ou Gainsbourg. Il est fait pour les hommages posthumes. Il a un certain style dans l'écriture, mais ne pond que des conneries, plus ou moins angoissées et paranos. C'est un fin musicologue, mais il n'a jamais su trouver un seul riff efficace. Un talent de seconde zone, pour faire court. L'un de ces "esprits supérieurs" inférieurs. Je me suis toujours beaucoup amusé de sa production, creuse et tourmentée, adolescente. Mais au détour d'une chanson, "Entrez dans le rêve", on trouve les seuls vers acceptables de ses 30 ou 40 ans de carrière :

"Découpez le monde à coups de rasoir,
Pour voir, au coeur du fruit, le noyau noir."

Depuis que je suis tombé là-dessus, j'ai développé un genre de mépris tendre pour cet énergumène. Parce que je crois qu'il a mis le doigt, de manière assez lourde et malhabile, sur le fond de mon sujet. C'est le fond de mon existence en deux lignes.

Je me suis toujours senti déconnecté, et en toute occasion, je travaille à mettre à mort et saccager le réel qui m'entoure, pour retrouver la vraie vue, la vraie vision, une nouvelle perspective plus exhaustive. Avec les femmes, en particulier, qui m'ont toujours fasciné par le fond de leur nature, sans jamais m'intéresser par la forme qu'elle pouvait prendre. Pour dire les choses comme elles sont, je crois que les femmes aussi, les femmes surtout, il faut les découper à coups de rasoir pour voir, au coeur du fruit le noyau noir. Et si je pense que mon modus operandi est personnel, il me semble qu'il est l'extension d'une préoccupation masculine fondamentale : se réconcilier avec la laideur du monde grâce à la femme.
#690137
abysses a écrit :vous devez souffrir beaucoup.
Euh ... non. Moi, ça va plutôt bien, merci. Et toi ?
abysses a écrit :mais il y a un peu de ça ....deccouvrir sa part obscure ...
Comment donc, "obscure" ? La part la plus brillante, la plus funky, la plus touchante, au contraire ...
#690636
abysses a écrit :si tu vois le monde laid tu soffres
Oui et non. Je souffre plus qu'un être insensible ou crétin. Mais je ne le regrette pas. Je souffre comme tout être conscient et supérieur, d'une souffrance qui humanise, qui raffermit la foi et les convictions. Rejeter la souffrance, c'est inviter la mort.
abysses a écrit :si tu ne peux desirer sans aimer c'est triste
Je peux très bien désirer sans aimer, puisque je n'aime pas et désire.
abysses a écrit :et si tu ne peux desirer sans perdre ton ego
Gné ?
abysses a écrit :ni sans ne plus rien maîtriser tu n'as jamais connu le nirvana
Je ne comprends rien à ce que tu dis. Qui parle de maîtriser quoi que ce soit ?
#690764
c'est vrai je ndevais avoir le cerveau embrume quand j ai ecrit ca ..je voulais dire si tu ne peux que desirer sans aimer c'est triste
et je pense que pour acceder au nirvana on perd son ego et on accepte de ne plus rien maîtriser.
#690774
abysses a écrit :c'est vrai je ndevais avoir le cerveau embrume quand j ai ecrit ca ..je voulais dire si tu ne peux que desirer sans aimer c'est triste
L'amour est une question transversale. On peut aimer en désirant, ou pas. mais en l'occurrence, je parlais d'autre chose. Par ailleurs, je pense que si l'amour n'est pas un frein au désir, la "bienveillance absolue" qu'on nous vend comme son corollaire tue tout érotisme un peu intègre. Je trouve très difficile de désirer ... sérieusement, si on commence par me couper les ailes en me disant que le deal c'est de ne vouloir que du bien à ma partenaire du début à la fin. Je vois les bonnes baises comme des expériences initiatiques intégrales, avec ce que ça comporte de souffrance, de haine pure et dure, etc ...
abysses a écrit :et je pense que pour acceder au nirvana on perd son ego et on accepte de ne plus rien maîtriser.
J'imagine que le Nirvana, si tant est qu'il existe, n'est pas unique. Mais ça n'a pas grand rapport avec ce que j'essayais de dire. Il s'agissait de lancer l'idée d'un genre "d'intégrité sexuelle". Je veux baiser comme je parle : librement, sans concession, pour créer une interaction pleine. Je tiens pas spécialement à ce que mes échanges avec les gens soient tranquilles. Ou gentils. Ou mignons. Je tiens à ce qu'ils soient complets. Et bien sur un plan horizontal, c'est ainsi que j'aime fréquenter me amies, mes "ex" : je veux pouvoir tout dire. Et le seul moyen pour moi de rester intègre sexuellement et affectivement, d'échapper au "moule de l'amour", c'est de contredire par le geste ce que j'envoie par le verbe. Je ne connais que ce biais pour apporter la juste nuance, pour créer une expérience totale.
#691132
Je ne suis pas capable en ce moment de reflechir ni de me poser les bonnes questions.
Je vais me griller aux examens....je n ai pas pu travailler...pourtant il savait que j allais les passer samedi 22. j en avais passe deja le 8 et le week avant encore j etais en stage....loin des yeux loin du coeur on dit...
Moi je veux desirer et peut etre aimer simplement...avec mes 5 sens.....l ouie pour sa voix, l odorat pour son parfum, le toucher pour sa peau; le gout pour ses levres.
Ne pas penser ne pas refléchir....
Me laisser aller...
#691186
Je suis un garçon "sans histoire et sans histoires", si tu vois ce que je veux dire. Il ne m'arrive rien de particulier. Parce que je ne fais rien de particulier. Je suis une vie sans but et sans accident de parcours pour la faire dévier de son absence de destination. Ce qui ne m'empêche pas de jouer des coups, de m'amuser, hein ?

Je crois simplement que ma misanthropie profonde (peut-être est-ce de l'ennui, tout simplement ?) et mon fond de schizophrénie m'ont amené à dépasser le point de non-retour. Je ne me souviens presque plus d'hier, sinon sur un mode purement factuel, et n'ai aucun projet pour demain. Je crois que je suis assez solide pour qu'étranger à moi-même, je puisse me payer le luxe d'arpenter ma propre vie en dilettante encore 10 ou 15 ans. Je lirai des livres, je retournerai dans le désert, je trouverai peut-être une activité manuelle qui me conviendra pour aller à la rencontre de la matière, je baiserai de nouveaux corps sans visage et rêverai de nouveaux visages sans corps, etc. Et au bout du compte, on cherchera ma dépouille quelques temps, histoire de dire, et on conviendra que je m'en suis pas si mal tiré, et que j'ai eu plus que je ne méritais.

Pour être parfaitement honnête, je me retrouve depuis 2 ans parfaitement nu et serein, moi qui ai toujours été ce que mes amis appelaient un "garçon agité", et mes ennemis "un putain de psychopathe, un fou furieux". J'ai l'impression d'avoir la tête dans un caisson d'isolation sensorielle. Et les échos turbulents de ma jeunesse, qui n'est pourtant pas si lointaine, sont devenus moins qu'audibles.

Je n'ai plus envie de mourir, et je n'ai jamais eu très envie de "vivre" au sens où l'on entend habituellement. J'ai simplement substitué à "la rage" ... rien. Il me plaît, ce rien. Si je le pouvais, je voudrais finir par me virtualiser totalement, n'être plus qu'une conscience, un fil éternel et incassable, tendu entre rien et rien. Je voudrais avoir plus de temps pour lire et voir des choses. Une éternité pour me gaver de langues, de concepts, de souvenirs désincarnés. Je voudrais rêver encore longtemps de parties de go. Et me dissoudre dans les patterns psychédéliques, noirs et blancs, d'un goban infini. Ou d'un automate cellulaire, je ne sais pas. Je n'aspire plus qu'à contempler la forme canonique de blocs d'idées de plus en plus larges et lourds. Qu'on me colle un casque d'électrocution sur la tête, des sangles aux bras, et qu'on balance la sauce ... 2000 volts dans la gueule, pour synthétiser le monde, le temps d'un éclair. Mon monde. Un monde simple et tranquille, fait de "Noir joue et tue en 3 coups", de mats en tiroir, des jolies gravures du "Directorium Inquisitorium" devant lesquelles je me tirais la tige quand j'étais môme, des falaises de désert qui se jettent directement dans la mer au Yémen, des "leçons de ténèbres" de Couperin, toute la quincaillerie de mon enfance. Je n'ai pas l'impression d'avoir vraiment vécu ou changé, après 15-16 ans. Mon mode d'existence est devenu purement contemplatif et rétrospectif. Peut-être que c'est ça,"l'âge adulte, dans le fond. Un sursis qui nous est accordé, à nous les "fantômes de gosses", le temps de comprendre pourquoi on est mort si jeune.
#691260
moi je suis dans le vif de la vie ....je touche des gens toute la journee...des jeunes des vieux des gens qui souffrent ..des gens qui croient souffrir...ma fille me rattache a cette realite...a ma realite...pour elle je ne peux pas partir en vrille....elle a tant besoin de moi et d'etre rassurée...
etre amoureuse c'est la maniere la plus simple, la plus compliquee aussi pour acceder a cette part de d universalite de l etre...etre amoureuse pour moi c'est etre un electron perdu dans l espace....finalement ce n'est pas le sujet dont je suis amoureuse mais je suis amoureuse de l amour ...et je confonds tout d'ailleurs ...l amour, le desir, je pense que je ne peux desirer sans aimer..et je m engouffre corps et ame dans une relation ou je me perds....je cherche du sensationnel, du fantastique dans l amour, quelque chose qui va me charcher en dopamine pour acceder aux sensations supremes....mais je gere mal la descente..car plus haut on monte ..plus le vide est grand...ce n'est pas de cet homme que j etais amoureuse...mais de cet amour que je vivais avec lui...la il m a quitte et j ai peur car qui vais je etre capable d investir pour revivre ces sensations qui font que la vie n 'est pas fade?

en attendant je n'ai pas appele , il n a pas appele....je pars cet apres midi paser ces examens qui me tiennent a coeur, qui me tenaient a coeur car ils vont faire evoluer ma vie professionnelle....sauf que je suis dans l incapacite de me motiver...mais je vais y arriver. je ne veux pas que ma vie depende d un petit gros qui est parti....
#691293
abysses a écrit :J'aime bien cette phrase ...mais n'est ce pas qu un concept ?
Loin de là. J'ai tracé ma route par épuisement des autres possibilités. C'est on ne peut plus concret.
abysses a écrit :poetique certes ....mais ce n'est pas la vie.
Je suis content pour les gens qui savent "ce qu'est la vie", "ce qu'est l'amour", et "comment on doit être en couple", et trouvent même le temps de nous l'expliquer à nous, simples mortels égarés.
abysses a écrit :Peut être es tu ecrivain ?
Drôle ...
#691297
abysses a écrit :finalement ce n'est pas le sujet dont je suis amoureuse mais je suis amoureuse de l amour ...
Comme beaucoup : c'est le mal du siècle.
abysses a écrit :et je confonds tout d'ailleurs ...
C'est plus ou moins ce que je me disais en te lisant. je me réjouis que nous tombions enfin d'accord sur un point.
abysses a écrit :l amour, le desir, je pense que je ne peux desirer sans aimer..et je m engouffre corps et ame dans une relation ou je me perds....je cherche du sensationnel, du fantastique dans l amour, quelque chose qui va me charcher en dopamine pour acceder aux sensations supremes....mais je gere mal la descente..car plus haut on monte ..plus le vide est grand...ce n'est pas de cet homme que j etais amoureuse...mais de cet amour que je vivais avec lui...la il m a quitte et j ai peur car qui vais je etre capable d investir pour revivre ces sensations qui font que la vie n 'est pas fade?
Tu peux te concentrer sur d'autres sensations, plus intéressantes. Tu peux apprendre à aimer comme une adulte et pas comme une môme de 12 piges. Tu peux apprendre à aimer sans chercher l'aliénation et le thrill à tout prix.
abysses a écrit :en attendant je n'ai pas appele , il n a pas appele....je pars cet apres midi paser ces examens qui me tiennent a coeur, qui me tenaient a coeur car ils vont faire evoluer ma vie professionnelle....sauf que je suis dans l incapacite de me motiver...mais je vais y arriver. je ne veux pas que ma vie depende d un petit gros qui est parti....
Je te dis merde. Fin de la discussion pour moi. J'abandonne le sujet et t'abandonne avec. Puisque nous ne devons plus échanger, bon vent.
#691323
Oui priorité à ta fille, tes examens, et au sommeil aussi, c'est essentiel pour se reconstruire car pleurer nerveusement, ça épuise... Pour ma part, je n'arrivais pas à surmonter ma peine (+ un deuil quelques semaines avant) et je suis allée chez le médecin car impossible de ne pas pleurer au travail et pas trop envie que ma vie sentimentale ait des répercutions sur ma vie pro ... Il m'a prescrit de quoi relativiser et mieux dormir pour 10 jours mais bon, c'est uniquement temporaire pour surmonter la peine et voir la situation plus objectivement.
Aujourd’hui, je ne prends plus rien. Faut pas hésiter à se faire aider par des professionnels quand on sent qu'on va vraiment mal, même si la situation peut paraitre dérisoire par rapport à des choses bien plus graves dans le monde.