- 31 mars 2013, 10:49
#648110
Voici la suite de mon histoire (http://www.jerecuperemonex.com/forum/en ... 32934.html) que j'ai volontairement interrompue à l'annonce de la rupture. J'ai également essayer d'y retranscrire les faits tels que je les percevais sur le moment.
Me voilà donc à 40 ans, ayant perdu mon amour.
Premier sentiment: soulagé de mettre fin à mon stress permanent mais inconsciemment, je ne réalise pas que c'est fini. Pour moi, c'est un ultime message d'alerte. OK, interdit n° 1: la convaincre de l'erreur.
Je suis d'autant plus sûr de ma démarche que, pendant un mois, j'ai droit de sa part à des "coucou", "bisous" dans chacun de ses messages, je vais chez elle 2 fois par semaine à grand renfort de " si tu veux venir prendre un café ou manger ce soir, tu es le bienvenu, ça nous ferait plaisir;", "Dès que tu veux prendre un café, tu me fais signe"," C’était vraiment agréable de parler avec toi hier soir. Merci encore.",
" Tu sais que si tu veux faire des pause avec moi dans la journée, je suis toujours dispo pour ça."," ça me fais toujours plaisir de te voir", "tu sais très bien que ma porte t’est toujours ouverte"…
Nous nous allongeons l'un près de l'autre, je la caresse, lui fais des baisers (quelques très rares retours), nous faisons même l'amour une fois… Nous parlons de nous, de nos échecs, de nos succès…
Si je l'ai laissé tranquille pendant la première semaine, je commence à lui mettre une pression à partir de la seconde. Je savais en effet qu'elle voyait, en mon absence, le mec de début janvier (inscrit sur son calendrier) mais celui-ci lui "fermait sa porte" (message SMS aperçu sur son tel). Je n'agis pas mais je parle, je parle, je parle !
Dans la première semaine de février, ils sont invités tous les 2 à une soirée chez un de leur collègue (Rappel: le next et elle travaillent dans le même service depuis 2 ans). Elle m'informe vers 20h qu'elle a un problème de voiture mais qu'elle se débrouille. Elle passe la nuit avec lui (dépannage, garage, café) et rentre chez elle au matin.
A partir de là, 2ème période. Elle est beaucoup plus distante et, à mon sens, rentre dans une période de déculpabilisation. Elle dit avoir besoin de réfléchir à tout cela dans le calme et la tranquillité. Elle se dit indécise, ayant encore des sentiments. Elle souhaite aussi me prouver son honnêteté, sa droiture, sa fidélité…
Elle doute ? Je fonce ! Erreur et interdit n°2 : je la harcèle, l'oppresse. Mille messages, mille questions, je suis à la colle…
Pire ! Inconsciemment, je me pose en juge, en moralisateur. Je lui demande de m'avouer ses fautes pour soit disant la pardonner… Interdit n° 3: accuser
Naturellement, elle prend peur, me le dit (je ne comprends même pas) et s'éloigne tout doucement de moi tout en cherchant à me préserver pour éviter un retour de bâton (dixit).
Le week-end, le NEXT le passe chez elle puis s'y installe. Début d'une 3ème période où elle me repousse systématiquement et se libère de toutes ses frustrations. Quelques extraits classés chronologiquement:
"Je n'ai pas eu assez d amour, je n'ai jamais eu l'impression d'être assez entourée"
"Cela fait bien longtemps que je repousse l'échéance de notre séparation, en pensant que nous allions changer pour que cela soit mieux. Ma décision est prise, c'est aussi difficile pour moi que pour toi, mais la vérité c'est que ma vie est plus simple quand nous ne sommes pas tous les deux !!!"
"Je ne te vois plus comme mon conjoint, tu es le père de ma fille et la personne qui m'a fait grandir et fait découvrir beaucoup de choses plaisantes"
"Je suis juste triste et fatiguée de tout ça!"
"Quoi te dire, à part essayer d'effacer cette mauvaise période. J'aurais toujours un œil sur ton bien-être"
"Je préfère ne pas te voir pour le moment parce qu'à chaque fois, cela me rappelle des souvenirs"
"Ce n'est pas que je ne veuille pas te voir, c est juste que tout c'est prématuré et que j'aimerais que tu viennes me voir avec d'autres sentiments que de l'amour, ça serait plus simple pour moi!
"Si je me confie, c’est pour te dire que même si j’ai encore des sentiments pour toi, je ne vois pas ma vie avec toi, j’ai envie de me libérer de tout ca, de toute cette pression que tu m’infliges en voulant discuter et m’imposer ta vision de la chose, en pensant que la décision que j’ai prise est une grosse connerie.
Pourtant, j’y est assez réfléchi pour savoir qu’elle est la meilleur pour mon bien-être."
"Je n'ai besoin d'aucune relation pour m'éloigner de toi, c'est ma décision. Ma plus grosse peur c'est que tu t'éloignes de la petite parce que tu le veux ou parce que j'aurais refait ma vie!!!"
"J'ai des sentiments pour toi, mais tout ce qui a pu se passer entre nous, je crois que je ne te le pardonnerai jamais... La non reconnaissance de ma fille, le fait que tu ne te sois pas investi dans la grossesse ni dans les premiers mois de la petite, que tu m'aies laissée seule lors de mon accident, quand tu partais en vacances sans moi, le choix de la voiture... la liste est longue, mais je sais que tu en as autant à mon sujet. Je veux effacer cela de ma tête et recommencer une nouvelle vie. Voilà"
"Je ne veux pas que l'on parle de nous, pour moi, j'en ai fait le tour, je suis mieux aujourd'hui"
"Je sais que ma décision est dure à accepter mais je ne peux pas revenir avec toi. Je t'ai reproché trop de choses, des choses qui m'ont blessé à vie... Je ne peux pas revenir en arrière, c'est pour ça que je veux refaire ma vie dans le calme et la tranquillité, sans le stress que tu me procurais. Même pour le bien de ma fille, je ne pourrai revenir avec toi."
"Je sais que je te manque et que tu voudrais que l’on se retrouve, mais je n’en ai pas envie, j’essaie de tourner une page de ma vie et avec toi qui me fait des remarques c’est difficile."
"J’ai fait beaucoup d’erreurs avec toi, je n’ai pas envie de recommencer. J’ai envie d’avoir une vie simple, sans prise de tête, ni de pression."
Au cours de cette période, elle m'invite 2 fois chez elle. La première fois, on passe un moment sympa, discussion détendue, petit massage des épaules, légères étreintes... mais elle profite d'un moment où je ne la vois pas pour récupérer les clefs de son appart dans ma poche de manteau... Grrrrr !
La deuxième invitation correspond à l'anniversaire de la petite avec sa famille. Là encore, tout se passe bien. Belle illusion d'une famille... Ses parents et moi partis, le NEXT revient. Logique.
Concernant ses parents, elle leur a annoncé notre séparation. Ceux-ci sont aussi tombés du placard et en sont mortifiés. Comment je le sais ?
Interdit n° 4: appeler la famille de mademoiselle à la rescousse.
Comme je l'ai dit dans mon histoire, sa famille est superbe et m'a toujours très bien considérée et accueilli. Aussi, démuni lorsque la 3ème période a débuté, j'ai sollicité sa mère. Elle est essentiellement inquiète pour la petite fille mais m'assure de son soutien même si elle m'avoue ne pas avoir de réelle prise sur sa fille. Elle est loin et mademoiselle ne communique plus guère avec sa mère depuis notre séparation. Elle a de plus nié avoir une nouvelle relation (et le niait encore la semaine dernière). J'appellerais sa mère 3 fois et elle m'appellera 3 fois également sans réelle avancée pour ma situation entendu que mademoiselle reste à distance de ses parents...
Au deuxième mois de séparation, je lâche l'affaire. Je rentre dans un SR.
Cela fait maintenant un mois. Ce SR a été rompu deux fois à son initiative pour aborder la clôture du compte joint. Premier contact, au bout d'une semaine, je rate l'objectif. Moi :" je pense toujours à toi", " Tu refais ta vie et, même si je pense à toi chaque minute, si tu me manques, si je t’aime toujours… Je te laisse tranquille", "bisous". Elle : "Si, si, c'est bien comme ça, laisse moi tranquille". Fin du contact.
Semaine suivante, re-contact pour les mêmes motifs, je fais un peux mieux: juste un petit "bisous" mais une invitation à détendre nos relations. Elle : "Je sais que tu as encore des sentiments pour moi et c’est ce qui m'empêche de te parler, je suis désolée… Peut-être que cette réaction n'est pas la bonne…Je sais que cela te fais du mal."
Pendant ces deux semaines, je suis très abattu, l'appétit me fait défaut, je dors très mal, je pense à elle toute la journée, je me relâche sévèrement au travail, je parle à toutes mes relations, parents, amis de ce cuisant échec en le racontant plus ou moins comme le texte de "mon histoire"... Je suis amer mais pas en colère. Réponse unanime: Tu es un mec super, tu as tout pour toi... Elle est instable, idiote... Elle ne te mérite pas, rebondis, tu trouveras mieux, sois en sûr...
Merci les gars (et filles) !... mais c'est elle que je veux.
Et je découvre ce forum. Je le parcours en diagonale. Allez, action ! Je me reprends en main !
Au travail, plus de tête morose: "Je vais bien, tout va bien !". Je me remets au sport, je change de coupe de cheveux (c'est vrai que depuis 1 an, je me laissais aller !), je fais des efforts vestimentaires, je reprends contact avec des amis, me prévois des sorties, range nos photos (que je regardais tous les 2 jours), nos objets communs... mais pense toujours à elle.
La semaine suivante, je lui demande par SMS si je pouvais prendre la petite. Suivant les conseils trouvés ici, je fais un peu trop télégraphique mais bon, elle me répond sympathiquement. Elle me reçoit sur le trottoir. Moi, apparence nickel, je veux me la jouer cool mais je suis quand même un peu trop tendu. La petite, toute à la joie de me voir, sauve un peu la situation en détournant notre attention. Au retour, je fais un peu trop bref, limite cinglant et les quitte rapidement après un "au revoir".
Depuis, tant de son côté que du mien, SR strict.
Désolé du pavé !
Votre avis ? (surtout mesdames)
Merci à vous
Me voilà donc à 40 ans, ayant perdu mon amour.
Premier sentiment: soulagé de mettre fin à mon stress permanent mais inconsciemment, je ne réalise pas que c'est fini. Pour moi, c'est un ultime message d'alerte. OK, interdit n° 1: la convaincre de l'erreur.
Je suis d'autant plus sûr de ma démarche que, pendant un mois, j'ai droit de sa part à des "coucou", "bisous" dans chacun de ses messages, je vais chez elle 2 fois par semaine à grand renfort de " si tu veux venir prendre un café ou manger ce soir, tu es le bienvenu, ça nous ferait plaisir;", "Dès que tu veux prendre un café, tu me fais signe"," C’était vraiment agréable de parler avec toi hier soir. Merci encore.",
" Tu sais que si tu veux faire des pause avec moi dans la journée, je suis toujours dispo pour ça."," ça me fais toujours plaisir de te voir", "tu sais très bien que ma porte t’est toujours ouverte"…
Nous nous allongeons l'un près de l'autre, je la caresse, lui fais des baisers (quelques très rares retours), nous faisons même l'amour une fois… Nous parlons de nous, de nos échecs, de nos succès…
Si je l'ai laissé tranquille pendant la première semaine, je commence à lui mettre une pression à partir de la seconde. Je savais en effet qu'elle voyait, en mon absence, le mec de début janvier (inscrit sur son calendrier) mais celui-ci lui "fermait sa porte" (message SMS aperçu sur son tel). Je n'agis pas mais je parle, je parle, je parle !
Dans la première semaine de février, ils sont invités tous les 2 à une soirée chez un de leur collègue (Rappel: le next et elle travaillent dans le même service depuis 2 ans). Elle m'informe vers 20h qu'elle a un problème de voiture mais qu'elle se débrouille. Elle passe la nuit avec lui (dépannage, garage, café) et rentre chez elle au matin.
A partir de là, 2ème période. Elle est beaucoup plus distante et, à mon sens, rentre dans une période de déculpabilisation. Elle dit avoir besoin de réfléchir à tout cela dans le calme et la tranquillité. Elle se dit indécise, ayant encore des sentiments. Elle souhaite aussi me prouver son honnêteté, sa droiture, sa fidélité…
Elle doute ? Je fonce ! Erreur et interdit n°2 : je la harcèle, l'oppresse. Mille messages, mille questions, je suis à la colle…
Pire ! Inconsciemment, je me pose en juge, en moralisateur. Je lui demande de m'avouer ses fautes pour soit disant la pardonner… Interdit n° 3: accuser
Naturellement, elle prend peur, me le dit (je ne comprends même pas) et s'éloigne tout doucement de moi tout en cherchant à me préserver pour éviter un retour de bâton (dixit).
Le week-end, le NEXT le passe chez elle puis s'y installe. Début d'une 3ème période où elle me repousse systématiquement et se libère de toutes ses frustrations. Quelques extraits classés chronologiquement:
"Je n'ai pas eu assez d amour, je n'ai jamais eu l'impression d'être assez entourée"
"Cela fait bien longtemps que je repousse l'échéance de notre séparation, en pensant que nous allions changer pour que cela soit mieux. Ma décision est prise, c'est aussi difficile pour moi que pour toi, mais la vérité c'est que ma vie est plus simple quand nous ne sommes pas tous les deux !!!"
"Je ne te vois plus comme mon conjoint, tu es le père de ma fille et la personne qui m'a fait grandir et fait découvrir beaucoup de choses plaisantes"
"Je suis juste triste et fatiguée de tout ça!"
"Quoi te dire, à part essayer d'effacer cette mauvaise période. J'aurais toujours un œil sur ton bien-être"
"Je préfère ne pas te voir pour le moment parce qu'à chaque fois, cela me rappelle des souvenirs"
"Ce n'est pas que je ne veuille pas te voir, c est juste que tout c'est prématuré et que j'aimerais que tu viennes me voir avec d'autres sentiments que de l'amour, ça serait plus simple pour moi!
"Si je me confie, c’est pour te dire que même si j’ai encore des sentiments pour toi, je ne vois pas ma vie avec toi, j’ai envie de me libérer de tout ca, de toute cette pression que tu m’infliges en voulant discuter et m’imposer ta vision de la chose, en pensant que la décision que j’ai prise est une grosse connerie.
Pourtant, j’y est assez réfléchi pour savoir qu’elle est la meilleur pour mon bien-être."
"Je n'ai besoin d'aucune relation pour m'éloigner de toi, c'est ma décision. Ma plus grosse peur c'est que tu t'éloignes de la petite parce que tu le veux ou parce que j'aurais refait ma vie!!!"
"J'ai des sentiments pour toi, mais tout ce qui a pu se passer entre nous, je crois que je ne te le pardonnerai jamais... La non reconnaissance de ma fille, le fait que tu ne te sois pas investi dans la grossesse ni dans les premiers mois de la petite, que tu m'aies laissée seule lors de mon accident, quand tu partais en vacances sans moi, le choix de la voiture... la liste est longue, mais je sais que tu en as autant à mon sujet. Je veux effacer cela de ma tête et recommencer une nouvelle vie. Voilà"
"Je ne veux pas que l'on parle de nous, pour moi, j'en ai fait le tour, je suis mieux aujourd'hui"
"Je sais que ma décision est dure à accepter mais je ne peux pas revenir avec toi. Je t'ai reproché trop de choses, des choses qui m'ont blessé à vie... Je ne peux pas revenir en arrière, c'est pour ça que je veux refaire ma vie dans le calme et la tranquillité, sans le stress que tu me procurais. Même pour le bien de ma fille, je ne pourrai revenir avec toi."
"Je sais que je te manque et que tu voudrais que l’on se retrouve, mais je n’en ai pas envie, j’essaie de tourner une page de ma vie et avec toi qui me fait des remarques c’est difficile."
"J’ai fait beaucoup d’erreurs avec toi, je n’ai pas envie de recommencer. J’ai envie d’avoir une vie simple, sans prise de tête, ni de pression."
Au cours de cette période, elle m'invite 2 fois chez elle. La première fois, on passe un moment sympa, discussion détendue, petit massage des épaules, légères étreintes... mais elle profite d'un moment où je ne la vois pas pour récupérer les clefs de son appart dans ma poche de manteau... Grrrrr !
La deuxième invitation correspond à l'anniversaire de la petite avec sa famille. Là encore, tout se passe bien. Belle illusion d'une famille... Ses parents et moi partis, le NEXT revient. Logique.
Concernant ses parents, elle leur a annoncé notre séparation. Ceux-ci sont aussi tombés du placard et en sont mortifiés. Comment je le sais ?
Interdit n° 4: appeler la famille de mademoiselle à la rescousse.
Comme je l'ai dit dans mon histoire, sa famille est superbe et m'a toujours très bien considérée et accueilli. Aussi, démuni lorsque la 3ème période a débuté, j'ai sollicité sa mère. Elle est essentiellement inquiète pour la petite fille mais m'assure de son soutien même si elle m'avoue ne pas avoir de réelle prise sur sa fille. Elle est loin et mademoiselle ne communique plus guère avec sa mère depuis notre séparation. Elle a de plus nié avoir une nouvelle relation (et le niait encore la semaine dernière). J'appellerais sa mère 3 fois et elle m'appellera 3 fois également sans réelle avancée pour ma situation entendu que mademoiselle reste à distance de ses parents...
Au deuxième mois de séparation, je lâche l'affaire. Je rentre dans un SR.
Cela fait maintenant un mois. Ce SR a été rompu deux fois à son initiative pour aborder la clôture du compte joint. Premier contact, au bout d'une semaine, je rate l'objectif. Moi :" je pense toujours à toi", " Tu refais ta vie et, même si je pense à toi chaque minute, si tu me manques, si je t’aime toujours… Je te laisse tranquille", "bisous". Elle : "Si, si, c'est bien comme ça, laisse moi tranquille". Fin du contact.
Semaine suivante, re-contact pour les mêmes motifs, je fais un peux mieux: juste un petit "bisous" mais une invitation à détendre nos relations. Elle : "Je sais que tu as encore des sentiments pour moi et c’est ce qui m'empêche de te parler, je suis désolée… Peut-être que cette réaction n'est pas la bonne…Je sais que cela te fais du mal."
Pendant ces deux semaines, je suis très abattu, l'appétit me fait défaut, je dors très mal, je pense à elle toute la journée, je me relâche sévèrement au travail, je parle à toutes mes relations, parents, amis de ce cuisant échec en le racontant plus ou moins comme le texte de "mon histoire"... Je suis amer mais pas en colère. Réponse unanime: Tu es un mec super, tu as tout pour toi... Elle est instable, idiote... Elle ne te mérite pas, rebondis, tu trouveras mieux, sois en sûr...
Merci les gars (et filles) !... mais c'est elle que je veux.
Et je découvre ce forum. Je le parcours en diagonale. Allez, action ! Je me reprends en main !
Au travail, plus de tête morose: "Je vais bien, tout va bien !". Je me remets au sport, je change de coupe de cheveux (c'est vrai que depuis 1 an, je me laissais aller !), je fais des efforts vestimentaires, je reprends contact avec des amis, me prévois des sorties, range nos photos (que je regardais tous les 2 jours), nos objets communs... mais pense toujours à elle.
La semaine suivante, je lui demande par SMS si je pouvais prendre la petite. Suivant les conseils trouvés ici, je fais un peu trop télégraphique mais bon, elle me répond sympathiquement. Elle me reçoit sur le trottoir. Moi, apparence nickel, je veux me la jouer cool mais je suis quand même un peu trop tendu. La petite, toute à la joie de me voir, sauve un peu la situation en détournant notre attention. Au retour, je fais un peu trop bref, limite cinglant et les quitte rapidement après un "au revoir".
Depuis, tant de son côté que du mien, SR strict.
Désolé du pavé !
Votre avis ? (surtout mesdames)
Merci à vous
Modifié en dernier par hopeless le 07 juin 2013, 17:14, modifié 7 fois.