- 11 févr. 2013, 19:40
#618189
Bonsoir à toutes et à tous,
Je découvre (hélas pour moi) ce forum et tous les messages de soutien qui je l'espère permettront à certains d'entre nous de garder le moral.
Je vais tenter d'être bref, toutes les histoires de rupture étant malheureusement souvent presque les mêmes.
Nous nous connaissons elle et moi depuis bientôt 1 an, et avons vécu une histoire pleine de passion, d'amour, d'échange et de complicité. Une relation qui s'est construite doucement mais surement, pour que finalement nous fassions le constat formidable que nous étions follement amoureux. Je précise que nous avons tous deux la quarantaine, que nous ne vivons pas ensemble. Comme dans beaucoup d'histoires, nous avons eu des quelques prises de becs, des malentendus qui furent parfois assez violentes, et que nous mettions que le compte de nos caractères à la fois indépendants et explosifs et sur la peur peut-être de réaliser que nos sentiments devenaient de plus en plus forts, de se dévoiler, la fameuse "mise en danger" de toute relation en construction. Mais le dialogue, les efforts de chacun, les concessions nous ont permis de résister à la tentation de peut-être tout plaquer.
Nous avons souvent évoqué notre angoisse de ne pouvoir gérer ces moments, et nous avons longuement parlé pour tenter de trouver des "truc" afin de ne pas perdre le contrôle. Lassé après une "mini frisette" je lui ai dit tout récemment dit que j'avais peur qu'un jour ces disputes ne mettent un terme définitif à notre histoire, et que je commençais parfois à douter, non pas de notre amour plus fort chaque jour, mais de ma capacité de mec à gérer ses conflits récurrents . Elle a été prise alors d'une véritable crise de panique et j'ai du passer de nombreuses minutes pour la calmer et rassurer. Je lui fait la promesse que tout irait bien...
Il y a deux semaines nous avons eu une dispute, toujours sur des choses insignifiante, mais dans ces moments là, il est très difficile pour nous de garder notre calme, même si nous nous étions jurés d'essayer de contrôler notre dans des moments pareils. Ces colères se terminent toujours par un besoin pour moi de retirer quelques heures, parfois pour une journée, pour redescendre un peu et tenter tant bien que mal d' analyser la situation. Pour elle c'est une juste une colère, une impulsivité qui n'est finalement pas si grave. Ce jour la, énervés, nous avons fait mine de partir chacun de notre côté, nous nous sommes téléphoné pour nous retrouver quelques minutes plus tard, pour parler, puis rentrer chacun chez soi (c'était prévu).
Après cette ultime dispute j'étais anéantis, persuadé que nous ne nous aimions plus, ou plutôt qu'elle ne m'aimait pas, puisque nous n'arrivions pas à gérer ces engueulades. J'ai rappelé, j'ai dit que moi, d'ordinaire si confiant, je doutais. Elle à tenté de me rassurer. J'ai passé en revue toutes nos disputes. Qu'une rupture pouvait un moyen de ne plus être malheureux, elle s'est mise à pleurer, et nous avons raccroché....
Le lendemain elle m'a annoncé la fin de notre histoire. J'ai dit tout que c'était trop bête, qu'il ne fallait pas baisser les bras, bref les choses que l'on dit quand on aime et que l'on vous quitte. Elle m'a dit qu'elle était fatigué, et qu'elle ne voulais pas me voir....avec le petit "désolée" qui fait si mal.
Je n'ai plus rappelé, décidé à faire mon deuil...
Et puis 4 jours après j'ai eu le droit à un appel pour me proposer de prendre un verre et pour discuter. La conversation a été brève, de mon fait, chaleureuse mais brève. J'ai Rdv mercredi, et j'ai une trouille bleue. J'ai peur qu'elle me veuille me voir pour me dire la même chose, que tout est fini...ou pour me proposer une "belle amitié". J'ai une envie folle de l'appeler pour le lui demander, pour lui dire que j'ai compris le dernier message, et que je ne veux pas revivre un seconde rupture en direct cette fois...
J'ai un doute terrible.
Je découvre (hélas pour moi) ce forum et tous les messages de soutien qui je l'espère permettront à certains d'entre nous de garder le moral.
Je vais tenter d'être bref, toutes les histoires de rupture étant malheureusement souvent presque les mêmes.
Nous nous connaissons elle et moi depuis bientôt 1 an, et avons vécu une histoire pleine de passion, d'amour, d'échange et de complicité. Une relation qui s'est construite doucement mais surement, pour que finalement nous fassions le constat formidable que nous étions follement amoureux. Je précise que nous avons tous deux la quarantaine, que nous ne vivons pas ensemble. Comme dans beaucoup d'histoires, nous avons eu des quelques prises de becs, des malentendus qui furent parfois assez violentes, et que nous mettions que le compte de nos caractères à la fois indépendants et explosifs et sur la peur peut-être de réaliser que nos sentiments devenaient de plus en plus forts, de se dévoiler, la fameuse "mise en danger" de toute relation en construction. Mais le dialogue, les efforts de chacun, les concessions nous ont permis de résister à la tentation de peut-être tout plaquer.
Nous avons souvent évoqué notre angoisse de ne pouvoir gérer ces moments, et nous avons longuement parlé pour tenter de trouver des "truc" afin de ne pas perdre le contrôle. Lassé après une "mini frisette" je lui ai dit tout récemment dit que j'avais peur qu'un jour ces disputes ne mettent un terme définitif à notre histoire, et que je commençais parfois à douter, non pas de notre amour plus fort chaque jour, mais de ma capacité de mec à gérer ses conflits récurrents . Elle a été prise alors d'une véritable crise de panique et j'ai du passer de nombreuses minutes pour la calmer et rassurer. Je lui fait la promesse que tout irait bien...
Il y a deux semaines nous avons eu une dispute, toujours sur des choses insignifiante, mais dans ces moments là, il est très difficile pour nous de garder notre calme, même si nous nous étions jurés d'essayer de contrôler notre dans des moments pareils. Ces colères se terminent toujours par un besoin pour moi de retirer quelques heures, parfois pour une journée, pour redescendre un peu et tenter tant bien que mal d' analyser la situation. Pour elle c'est une juste une colère, une impulsivité qui n'est finalement pas si grave. Ce jour la, énervés, nous avons fait mine de partir chacun de notre côté, nous nous sommes téléphoné pour nous retrouver quelques minutes plus tard, pour parler, puis rentrer chacun chez soi (c'était prévu).
Après cette ultime dispute j'étais anéantis, persuadé que nous ne nous aimions plus, ou plutôt qu'elle ne m'aimait pas, puisque nous n'arrivions pas à gérer ces engueulades. J'ai rappelé, j'ai dit que moi, d'ordinaire si confiant, je doutais. Elle à tenté de me rassurer. J'ai passé en revue toutes nos disputes. Qu'une rupture pouvait un moyen de ne plus être malheureux, elle s'est mise à pleurer, et nous avons raccroché....
Le lendemain elle m'a annoncé la fin de notre histoire. J'ai dit tout que c'était trop bête, qu'il ne fallait pas baisser les bras, bref les choses que l'on dit quand on aime et que l'on vous quitte. Elle m'a dit qu'elle était fatigué, et qu'elle ne voulais pas me voir....avec le petit "désolée" qui fait si mal.
Je n'ai plus rappelé, décidé à faire mon deuil...
Et puis 4 jours après j'ai eu le droit à un appel pour me proposer de prendre un verre et pour discuter. La conversation a été brève, de mon fait, chaleureuse mais brève. J'ai Rdv mercredi, et j'ai une trouille bleue. J'ai peur qu'elle me veuille me voir pour me dire la même chose, que tout est fini...ou pour me proposer une "belle amitié". J'ai une envie folle de l'appeler pour le lui demander, pour lui dire que j'ai compris le dernier message, et que je ne veux pas revivre un seconde rupture en direct cette fois...
J'ai un doute terrible.