- 31 déc. 2012, 14:09
#591457
Bonjour M...
j'ai longtemps chercher quoi te dire, j'ai beaucoup réfléchis a notre relation et j'en suis venue a certaine conclusion pas facile mais concrète. Je crois que toi et moi finalement n'avons jamais pris le temps de nous connaitre.Regarde-moi, si je suis dans cet état, si mes larmes coulent sur mes joues, si mon coeur me fait si mal, c’est TOI, toi et personne d’autre qui en est la raison. J’essaie de comprendre ce qui s’est passé pour que tout éclate en mille morceaux. Je me refais le film de notre histoire en marche arrière.
Pour te dire, j’aurais préféré qu’il fasse froid et que le ciel soit gris… Les rayons du soleil me donnent la nausée. Je me rends compte que je n’ai conservé de toi que la meilleure facette, que j’ai occulté, d’une certaine manière, tout ce que je haïssais, tout le mal que tu me procurais. J’ai fait de toi un idéal dénué de défauts. Avec le temps, les images d’hier sont devenues floues, imprécises.
Alors voilà, j’ai pesé le pour et le contre, mon choix est mûrement réfléchi même s’il m’est désagréable au fond de moi. Je me suis rendu compte que celui que j’aimais, celui que je croyais que tu étais, n’existait pas en toi … il n’avait jamais existé. Je me suis rendu compte que je m’étais trompée depuis le début et j’ai pris la décision de cesser de t'aimer.Le roman touche à sa fin, le livre des espoirs ne se remplit plus et la vie s’écroule.C’est trop tard. J’y ai cru, de toutes mes forces, je le désirais plus que tout…que ça marche, entre nous. Tu n’as rien fait. Rien. Indifférence totale. Douleur insupportable. Ça me pèse sur le coeur qui devient lourd, trop lourd. Je ne pleure plus, l’éponge absorbe les angoisses mesquines qui se glissent dans tout mon être. Oublier. Seule pensée: Oublier. Ne plus penser. J’aurais échangé la lune pour cette simple phrase. « Je ne veux pas te perdre ». Mais tu ne la prononces pas. Une lassitude s’est installée en toi. Plus d’envie. Je ne te donne plus envie. C’est fini.J’ai mal. Mal à l’idée de ne plus jamais te voir, te sentir, t’entendre rire. Mal lorsque je t’imagine dans les bras d’une autre, une autre qui saurait te rendre plus heureux que moi.Ce n’est pas de la magie mais du quotidien qui s’est installé dans nos cœurs et on a du mal à se détacher de nos habitudes. Ce n’est pas de la passion, pas de la fusion, juste une sorte d’attachement on dirait...J’ai mal sans comprendre. Mon coeur bat toujours.
En fin de compte, l’amour est une maladie dont personne ne veut se délivrer. Celui qui en est atteint ne cherche pas à se rétablir, et celui qui souffre ne désire pas guérir » J’ai eu besoin de te perdre encore une fois pour peu être commencer a comprendre certaine chose...
Tu n'as pas pris le temps de me découvrir, tu ne m'as pas laissé le temps d'être moi même. J'ai conscience de ne pas avoir aidé. J'ai laissé de coté ma joie de vivre et mon piment ne sachant plus me comporter pour te plaire a tout prix. Je ne savais plus ce que tu aimais chez moi, ce que tu voulais que je soit. Je me suis oublié... J'ai oublié de te montrer que j'étais forte, indépendante... j'ai surtout oublié que je l'était J'ai oublié que j'étais sur de moi, que j'étais belle, j'ai oublié de m'aimer, que j'avais des projets et des envie, que je voulais découvrir le monde et surtout profiter de ma jeunesse et une vie a construire et surtout un équilibre à maintenir ... je ne veux plus jamais m'oublier.
J’aurais tellement aimé que tout soit plus simple, que l’on vive comme ces couples qui paraissent sereins et surtout, qui le sont. J’aurais aimé pouvoir sortir, m’amuser, sans culpabiliser à chacun de mes gestes, sans ressentir l’angoisse de notre future dispute et surtout sans avoir l'angoisse de te perdre ou que tu ne soit plus la a mon retour tout ça n'était pas saint...Bien trop peur de ressasser les erreurs de nos débuts... Je ne peux pas vivre de passion et de conflits. J’aurais préféré moins t’aimer et construire un amour pur et durable plutôt que fusionnel et dévastateur.
Je t’aime.
C’est nul de dire ça, c’est la phrase la plus bête du monde.
Je pourrais te dire que je ne pense plus à toi et que tous ces souvenirs ne me chatouillent plus le coeur. Je pourrais te dire que te croiser dans la rue ne me procurerait aucune sensation et que ton prénom ne résonne plus dans ma tête ni dans mon coeur, que le souvenir de tes mains ne me fait plus frissonner. Je pourrais te dire que je ne désire plus tes mains sur mon corps et tes lèvres. C’est avec le temps qu’on réalise que le mal qu’on a eu n’a plus de raison d’être. Je sais souffrir si bien, mais toi tu ne dis plus rien.
J’aurais tant voulu t’effacer, te gommer comme un vulgaire trait de crayon. C’est fini. Je le sais. Je souffre trop pour continuer a t'aimer. A quoi bon pleurer pour celui que l’on aime ? Je préfère pleurer seule, pour d’autres raisons. J’aurais voulu que ça marche, que les morceaux se recollent mais la glu n’est pas assez puissante, même si parfois l’espoir revient.
Je n’ai aucune idée de l’endroit où tu seras lorsque tu la liras mais en tous les cas, je sais que tu seras loin, trop loin de moi.
Il y a des choses que l’on enferme dans une boîte ou que l’on range dans un tiroir… mais qu’on ne se résout pas à jeter à la poubelle. Peut-être parce que nous ne sommes pas assez courageux, ou peut-être que la volonté nous manque.
Je souffre moi aussi, je souffre parce que je sais que c’est fini, qu’un trait doit être tiré. C’est l’idéalisation de notre couple que j’aime encore, cet espoir d’un changement rapide et possible. Mais c’est trop tard.
nous ne formerons plus jamais le couple que nous avions, un jour, espéré devenir. un avenir ensemble n’est plus envisageable. Nous n’avons plus rien en commun,nos désirs divergent, nos priorités aussi.
Je t’ai aimé. Crois moi... Vraiment. Mais est venu le temps de te dire adieu. T’as le coeur dur toi, coeur de béton sans contrefaçon, tu arriveras à t’y faire.
Je t’embrasse une dernière fois....
Sache que je t'aime et que j'aurais voulu te garder mes j'ai grande conscience que l'on n'y arrive pas pas dans ce tome en tout cas peu être dans un autre..
Au revoir M...
j'ai longtemps chercher quoi te dire, j'ai beaucoup réfléchis a notre relation et j'en suis venue a certaine conclusion pas facile mais concrète. Je crois que toi et moi finalement n'avons jamais pris le temps de nous connaitre.Regarde-moi, si je suis dans cet état, si mes larmes coulent sur mes joues, si mon coeur me fait si mal, c’est TOI, toi et personne d’autre qui en est la raison. J’essaie de comprendre ce qui s’est passé pour que tout éclate en mille morceaux. Je me refais le film de notre histoire en marche arrière.
Pour te dire, j’aurais préféré qu’il fasse froid et que le ciel soit gris… Les rayons du soleil me donnent la nausée. Je me rends compte que je n’ai conservé de toi que la meilleure facette, que j’ai occulté, d’une certaine manière, tout ce que je haïssais, tout le mal que tu me procurais. J’ai fait de toi un idéal dénué de défauts. Avec le temps, les images d’hier sont devenues floues, imprécises.
Alors voilà, j’ai pesé le pour et le contre, mon choix est mûrement réfléchi même s’il m’est désagréable au fond de moi. Je me suis rendu compte que celui que j’aimais, celui que je croyais que tu étais, n’existait pas en toi … il n’avait jamais existé. Je me suis rendu compte que je m’étais trompée depuis le début et j’ai pris la décision de cesser de t'aimer.Le roman touche à sa fin, le livre des espoirs ne se remplit plus et la vie s’écroule.C’est trop tard. J’y ai cru, de toutes mes forces, je le désirais plus que tout…que ça marche, entre nous. Tu n’as rien fait. Rien. Indifférence totale. Douleur insupportable. Ça me pèse sur le coeur qui devient lourd, trop lourd. Je ne pleure plus, l’éponge absorbe les angoisses mesquines qui se glissent dans tout mon être. Oublier. Seule pensée: Oublier. Ne plus penser. J’aurais échangé la lune pour cette simple phrase. « Je ne veux pas te perdre ». Mais tu ne la prononces pas. Une lassitude s’est installée en toi. Plus d’envie. Je ne te donne plus envie. C’est fini.J’ai mal. Mal à l’idée de ne plus jamais te voir, te sentir, t’entendre rire. Mal lorsque je t’imagine dans les bras d’une autre, une autre qui saurait te rendre plus heureux que moi.Ce n’est pas de la magie mais du quotidien qui s’est installé dans nos cœurs et on a du mal à se détacher de nos habitudes. Ce n’est pas de la passion, pas de la fusion, juste une sorte d’attachement on dirait...J’ai mal sans comprendre. Mon coeur bat toujours.
En fin de compte, l’amour est une maladie dont personne ne veut se délivrer. Celui qui en est atteint ne cherche pas à se rétablir, et celui qui souffre ne désire pas guérir » J’ai eu besoin de te perdre encore une fois pour peu être commencer a comprendre certaine chose...
Tu n'as pas pris le temps de me découvrir, tu ne m'as pas laissé le temps d'être moi même. J'ai conscience de ne pas avoir aidé. J'ai laissé de coté ma joie de vivre et mon piment ne sachant plus me comporter pour te plaire a tout prix. Je ne savais plus ce que tu aimais chez moi, ce que tu voulais que je soit. Je me suis oublié... J'ai oublié de te montrer que j'étais forte, indépendante... j'ai surtout oublié que je l'était J'ai oublié que j'étais sur de moi, que j'étais belle, j'ai oublié de m'aimer, que j'avais des projets et des envie, que je voulais découvrir le monde et surtout profiter de ma jeunesse et une vie a construire et surtout un équilibre à maintenir ... je ne veux plus jamais m'oublier.
J’aurais tellement aimé que tout soit plus simple, que l’on vive comme ces couples qui paraissent sereins et surtout, qui le sont. J’aurais aimé pouvoir sortir, m’amuser, sans culpabiliser à chacun de mes gestes, sans ressentir l’angoisse de notre future dispute et surtout sans avoir l'angoisse de te perdre ou que tu ne soit plus la a mon retour tout ça n'était pas saint...Bien trop peur de ressasser les erreurs de nos débuts... Je ne peux pas vivre de passion et de conflits. J’aurais préféré moins t’aimer et construire un amour pur et durable plutôt que fusionnel et dévastateur.
Je t’aime.
C’est nul de dire ça, c’est la phrase la plus bête du monde.
Je pourrais te dire que je ne pense plus à toi et que tous ces souvenirs ne me chatouillent plus le coeur. Je pourrais te dire que te croiser dans la rue ne me procurerait aucune sensation et que ton prénom ne résonne plus dans ma tête ni dans mon coeur, que le souvenir de tes mains ne me fait plus frissonner. Je pourrais te dire que je ne désire plus tes mains sur mon corps et tes lèvres. C’est avec le temps qu’on réalise que le mal qu’on a eu n’a plus de raison d’être. Je sais souffrir si bien, mais toi tu ne dis plus rien.
J’aurais tant voulu t’effacer, te gommer comme un vulgaire trait de crayon. C’est fini. Je le sais. Je souffre trop pour continuer a t'aimer. A quoi bon pleurer pour celui que l’on aime ? Je préfère pleurer seule, pour d’autres raisons. J’aurais voulu que ça marche, que les morceaux se recollent mais la glu n’est pas assez puissante, même si parfois l’espoir revient.
Je n’ai aucune idée de l’endroit où tu seras lorsque tu la liras mais en tous les cas, je sais que tu seras loin, trop loin de moi.
Il y a des choses que l’on enferme dans une boîte ou que l’on range dans un tiroir… mais qu’on ne se résout pas à jeter à la poubelle. Peut-être parce que nous ne sommes pas assez courageux, ou peut-être que la volonté nous manque.
Je souffre moi aussi, je souffre parce que je sais que c’est fini, qu’un trait doit être tiré. C’est l’idéalisation de notre couple que j’aime encore, cet espoir d’un changement rapide et possible. Mais c’est trop tard.
nous ne formerons plus jamais le couple que nous avions, un jour, espéré devenir. un avenir ensemble n’est plus envisageable. Nous n’avons plus rien en commun,nos désirs divergent, nos priorités aussi.
Je t’ai aimé. Crois moi... Vraiment. Mais est venu le temps de te dire adieu. T’as le coeur dur toi, coeur de béton sans contrefaçon, tu arriveras à t’y faire.
Je t’embrasse une dernière fois....
Sache que je t'aime et que j'aurais voulu te garder mes j'ai grande conscience que l'on n'y arrive pas pas dans ce tome en tout cas peu être dans un autre..
Au revoir M...